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La déposition de Lay O'Neel

Chapitre 3

Orgie / Partouze
— Mon petit cul a rencontré ses abdos. J’ai continué à descendre. Sa bite montait à l’intérieur de moi, profond, toujours plus profond. Et à un moment j’ai su qu’il était tout en moi, tout à moi. Il me tenait par les épaules. J’ai joui tellement fort que je me suis mise à trembler. Il me remplissait tellement. On n’avait même plus besoin de bouger. Je sentais mon vagin crispé sur lui, onduler sur lui par la violence de l’orgasme, et je savais que dans un instant il allait me remplir de sperme. — Vous jouissez, quand même, je veux dire, avec une facilité...— Ah oui. Entièrement d’accord. Déconcertante. C’est même gênant. Depuis ce jour-là, je me suis aperçue, je ne sais pas, ce doit être un défaut de naissance, un don inné, je ne sais pas quoi, mais le moindre truc me déclenche des effets... Il suffit de me toucher un peu fort, d’un peu près, et bim ! Je jouis.
Le flic s’esclaffe. Lay le coupe.
— Ho mais ce n’est pas drôle. Vous trouvez ça drôle ? N’importe qui me fourre un doigt dans la chatte ou dans le cul, et direct...— Vous avez raison. C’est handicapant.— Handicapant, c’est le mot !— Bon, enfin. Continuez.— C’est assez simple. Les deux semaines suivantes ont été des semaines d’orgies, souvent à trois, parfois à quatre. Paul et moi étions toujours de la partie, parfois avec Léonie, parfois avec Milo, parfois avec les deux. J’adorais voir Léonie jouir sur la bite de mon mec. J’adorais voir me mec me regarder jouir sur la bite de Milo. J’adorais nous sentir tous les quatre jouir ensemble. Et puis, le bac est arrivé. Disons que nous avons mis nos petites habitudes en pause. Et après, je devais partir deux semaines avec mes parents en vacances. Mais j’avais préparé le terrain, et demandé à mes vieux si, ensuite, je pouvais passer deux semaines avec Paul. Ils m’ont dit qu’ils étaient d’accord si je décrochais mon bac. Evidemment, je l’ai eu. Résultat : deux semaines avec mes darons et mon frangin, sur la plage du Canet. Bonjour l’ambiance. J’avais la chatte en feu tout le temps, et il fallait que j’invente des ruses de sioux pour niquer avec des mecs random. Je l’ai tellement trompé, Paul, à ce moment-là... Ah oui, parce qu’il m’encourageait.
Chaque fois que je lui parlais de mes prises par SMS, et franchement, en moyenne, ce n’était pas glorieux, il me répondait : « Plus tu baises, plus tu m’excites. » Ou alors : « Je veux être le mec de la meuf de tous les mecs. Baise le plus de connards et de débiles que tu peux, et jouis d’eux de toutes tes forces, salope. Rince-leur les couilles. Tu vas voir ce que tu vas prendre, quand on se retrouvera. »
— Cela vous plaisait ?— Je pensais à lui tout le temps. A lui et à Milo. Maintenant, je voulais aller tout au bout de la débauche avec Paul. Et j’ai réfléchi. Bien, longuement, soigneusement réfléchi.
Le flic regarde Lay. Lay le regarde. Ils se comprennent. L’un comme l’autre se dit qu’il s’en est fallu d’un cheveu... et l’autre sait que l’autre se dit qu’il s’en est fallu d’un cheveu, et confirme. Le flic reprend.
— Vous avez réfléchi, et ?— Quand on s’est retrouvés, on devait partir ensemble sur une plage de Bretagne. Mais je lui ai posé des conditions.— Dites.— La semaine +1/j.— Plus un sur ji ? Comment cela ?— Le principe est très simple. Le lundi, je me tape un mec. Le mardi, deux. Le mercredi, trois, etc.
— Le dimanche, sept.— Sept.— En même temps ?, demande le flic, pâlichon.— Selon mon humeur. Mais pourquoi pas. Cela faisait un mois, presque, que j’avais essayé la double péné, avec Paul dans le cul et Milo dans la chatte. J’avais tellement joui qu’ils avaient éjaculé en même temps. On avait dégueulassé tout le canapé, d’une force... Et je me souviens, Léonie était là, elle m’avait dit : « Attends de t’en prendre deux dans le cul, tu vas comprendre ! » Cette pute !— Et Paul était d’accord ?
Lay hésite. Elle regarde le flic. Le flic la regarde.
— J’ai compris, dit le flic.— Compris quoi ?— Il était trop sûr de lui.— Exact.— Il a cru qu’il serait le premier.— Et surtout, il a cru qu’il serait là tous les jours.— Mais vous l’avez écarté.— Même vous, vous avez compris. Ne me dites pas qu’il n’y a pas pensé, lui.— Racontez-moi.— Est-ce bien nécessaire ?— Je vous le demande.— Bon. Donc, nous sommes arrivés en Bretagne le samedi. J’ai balisé le terrain. Je savais qu’avec mon physique, je pouvais me taper toute la plage si je voulais, mais j’avais décidé de choisir des vrais bons nullos, prétentieux, merdiques, cons à manger du foin. Les plus bas du lot. Des rappeurs. Des footeux. Des merdes qui n’auraient jamais l’occasion de baiser une fille comme moi, avec des seins comme ça et un cul comme ça, dans leur vie entière. J’ai obligé Paul à deux jours d’abstinence, samedi et dimanche. Lundi, je l’ai baisé lui. Mardi, je l’ai baisé le matin, et un autre mec dans l’après-midi. Mercredi, j’ai baisé le même clampin le matin, et puis je l’ai jeté. Je me suis tapé un serveur de restau dans l’après-midi. Le soir, avant de dormir, j’ai baisé avec Paul. Jeudi, au réveil, j’ai baisé Paul le matin sous la douche. Notez bien ce détail. Un peu plus tard dans la matinée, j’ai conduit mon clampin de mardi et mon serveur de restau dans la chambre et ils m’ont DP.— DP ?— Double péné. Un dans la chatte, un dans le cul. Et je me suis envoyé le gérant de l’hôtel en milieu d’après-midi. Et c’est à ce moment-là que ça s’est gâté. Parce qu’à partir de là, j’enchaînais les partouzes dans la chambre, mais sans Paul. Vendredi, je me suis lancée dans la première triple de ma vie. Trois mecs en même temps. Le soir, une bonne DP. Le gérant de l’hôtel laissait faire, puisqu’il s’occupait de mon cul. Samedi matin, j’ai fait fort : cinq mecs d’un coup. — Paul participait ?— Vous déconnez ? Je voulais le rendre dingue. Depuis le jeudi matin, j’avais pris mon pied dix, quinze fois, avec au moins dix mecs différents. Et sans lui. Lui, zéro, rien, nada. Il m’a dit qu’il voulait m’emmener au bout de la débauche, mais...— L’élève a dépassé le maître.— C’était le but. Je me couchais près de lui le soir. J’avais la peau couverte de sperme séché. Mais pas le sien. Je lui interdisais de me toucher, mais je l’obligeais à regarder.
Le flic regarde attentivement Lay. Ses yeux scrutent cet abysse insondable. Ce vertige de méchanceté pure.
— Vous l’avez poussé au suicide.— Jamais de la vie. J’ai fait exactement ce qu’il me demandait. Je suis allé au bout de la débauche pour lui. C’est lui qui n’a pas supporté.
Le flic déglutit. Cette femme, face à lui... En dix ans de métier, il n’avait jamais rencontré un tel poison à l’état pur. Et tout à coup, le flic se redresse. Fait face à cette incarnation concentrée de la luxure même. Il s’exclame :
— Et vous y avez pris goût !
Il frappe son bureau du plat de la main.
— Vous y avez pris goût !, répète-t-il, la rage au cœur. Alors la prochaine fois, ce sera qui ? Hein ? Qui allez-vous jeter dans les bras de la mort ? Qui allez-vous rendre fou de désir pour vous, au point de se suicider si vous ne vous offrez pas à lui alors que vous passez entre les bras de tous ? Hein ? Un riche héritier ? Une star de la chanson ?— Un flic ?, demande Lay, tout sourire.— Sale..., entame le flic, main levée.— Tu ne toucheras pas un seul de mes cheveux, sale cogne, dit Lay. Sinon tu sais ce que je vais te faire.
Elle tire une cigarette de son paquet, enfin. Elle la porte à ses lèvres. Ses lèvres... Elle cliquète le briquet, enflamme le tabac, attise la combustion, avale la fumée, la recrache voluptueusement.
— Vous n’avez rien contre moi. C’est aussi simple que cela.
Elle écrase la cigarette à même le bureau du flic, lentement. Soigneusement.Elle le fixe du regard.Elle se lève.Et alors qu’elle s’apprête à franchir la porte du bureau, l’officier rêve, un instant, un instant seulement, mais un instant complet, de la rattraper, de la plaquer contre le mur, et de la...
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