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Dépravation familiale

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Frédéric et j’ai 40 ans, célibataire endurci. Non que j’aie manqué d’occasions de rencontrer des femmes agréables susceptibles de faire d’excellentes épouses, mais je n’ai jamais pu me résoudre à laisser passer une occasion de baiser une femme dès que l’occasion s’en présentait. Doté d’un solide appétit sexuel, je ne me voyais pas infliger à une épouse toutes mes aventures. Pour tout dire, dans la famille, on a le sexe à fleur de peau. Ma jeune sœur Sybille n’est pas moins obsédée que moi et si ça ne l’a pas empêché de se marier, c’est que son mari est bien de la même veine. Je suis fort bien placé pour le savoir, car j’ai participé souvent avec eux deux à des partouzes, dont parfois ils étaient eux-mêmes les organisateurs. Et bien avant le mariage de Sybille, elle et moi avons souvent baisé ensemble, dès notre adolescence. Sybille est une vraie salope, profondément perverse. Elle a le vice dans la peau, quoi. Elle a fait avec son José une fille absolument délicieuse et ils forment tous les trois une famille en apparence parfaitement normale pour qui n’est pas de leurs intimes. Tellement normale qu’un jour Sybille m’a annoncé leur divorce prochain... Et c’est ainsi qu’un jour ma sœur m’a demandé de les recevoir, elle et sa fille Margot "pour un week-end, voire plus". On était à la fin du printemps, et le temps était superbe en Languedoc-Roussillon. L’été s’annonçait magnifique, j’étais loin d’imaginer à quel point... Sybille et Margot arrivèrent donc un vendredi en fin d’après-midi. Quand elles descendirent de voiture, je ne pus cacher une réaction de surprise. On aurait dit deux sœurs séparées seulement de quelques années. Sybille, belle femme un peu menue, avait gardé sa silhouette de vingt ans ; si de plus près quelques rides au coin des yeux révélaient son âge, dans l’ensemble elle gardait une allure étonnamment jeune, alors que nous sommes faux jumeaux. Quant à Margot... Disparue, la petite fille ! J’avais devant moi une adolescente presque femme. La silhouette avait acquis des courbes et des rondeurs d’adulte, et Margot était aussi fine que sa mère. Elles avaient voulu pousser la ressemblance à l’extrême en s’habillant toutes deux pareillement : même mini-jupe en toile écrue et même T-shirt décolleté bleu clair. Margot me sauta au cou en m’appelant Tonton chéri. Sybille nous regardait avec attendrissement en attendant que sa fille termine ses embrassades. "Bonjour Fred, je suis si heureuse de te voir. On est bien chez toi, et j’en ai besoin avec ce que je traverse en ce moment" Je les pris l’une et l’autre par la taille et les emmenai vers la maison. "Vous savez que vous êtes absolument ravissantes toutes les deux ? Franchement on dirait deux sœurs ! On doit se retourner sur votre passage, quand vous allez en ville. Je suppose que la route vous a fatigué... Venez, je vous ai préparé des rafraîchissements. A l’ombre du parasol, au bord de la piscine, nous échangeâmes des banalités sur la route et la météo, puis je laissai les deux femmes s’installer dans leurs chambres. Pendant qu’elles s’affairaient de leur côté, je finis les préparatifs du dîner puis j’allai à ma chambre pour enfiler un maillot de bain. Alors que j’allais ressortir, j’entendis des bruits qui me firent dresser l’oreille. De la chambre voisine, celle de Sybille, me parvenaient des gémissements mal contenus. Prêtant une oreille plus attentive, je perçus des bruits de voix mêlés aux gémissements. Pas de doute, elles étaient toutes les deux ensemble et en train de s’envoyer en l’air ! Le premier moment de surprise passé, je trouvai la chose peu surprenante. Sybille n’avait pas le moindre tabou sexuel et si Margot lui ressemblait, ce n’était probablement pas d’aujourd’hui, à seize ans, qu’elle avait dû s’initier au sexe. Évidemment, de là à baiser entre mère et fille, il y avait une sacrée marge, mais après tout elles étaient loin d’être les premières qui jouaient à ces jeux. Et je savais que ma sœur, toute dépravée qu’elle soit, prenait très au sérieux l’éducation de Margot. "Après tout, conclus-je, il n’y a pas de mal à se faire du bien ! Et si elles se font plaisir, ma foi..." Je quittai ma chambre sans faire de bruit, laissant les deux femelles à leurs ébats, et j’allai plonger dans l’eau fraîche de la piscine. Ce n’est qu’une bonne heure plus tard qu’elles me rejoignirent. Elles ôtèrent leurs tuniques de plage et vinrent me rejoindre dans l’eau. L’une comme l’autre ne portaient que le bas de leur maillot, et encore celui de Sybille était-il minuscule, faisant paraître celui de Margot presque ordinaire. J’eus tout le loisir de détailler les deux femmes, et de constater que Margot avait déjà la taille et les hanches d’une femme et des jambes aussi bien faites que celles de sa mère. Sybille avait des seins encore très fermes malgré leur taille plutôt grosse, alors que la jeune fille n’était pas tout à fait formée de ce côté-là : assez larges pour laisser entrevoir pour le futur des seins de belle taille, mais encore insuffisamment développés. Pas encore en rondeur, ils trahissaient la jeune fille précoce mais pas tout à fait accomplie, et dressaient fièrement leurs pointes. Nous jouâmes au ballon tous les trois dans l’eau. Sybille et Margot étaient quelque peu tendues après leur voyage de plusieurs et ressentaient le besoin d’évacuer le trop-plein d’énergie. Et ce qui devait arriver arriva. Margot bondit pour attraper le ballon avant moi, et se jeta littéralement sur moi, les seins à hauteur de mon visage. L’excitation latente que je ressentais depuis que je les avais entendu gémir de plaisir dans la chambre devint patente. Je sentis ma bitte raidir immédiatement, alors que Margot et moi retombions dans l’eau. J’avais déjà le bras à sa taille et instinctivement je l’attirai contre moi. Je ne pensais pas un instant à mettre fin à ce contact et m’attardai ainsi, la pressant légèrement contre moi, mon visage toujours contre ses seins. Je pris enfin conscience de la situation et m’écartai d’elle. Le regard qu’elle me jeta me laissa perplexe. Enfin non pas vraiment : le même regard venu de n’importe quelle autre femme aurait été un appel au sexe parfaitement clair, mais je ne l’interprétai pas ainsi, du moins sur le coup. Ce n’est que rétrospectivement que je compris que dès cet instant Margot avait décidé que nous baiserions ensemble. Sybille ne parut pas avoir remarqué quoi que ce soit, mais quelques instants plus tard, elle profita du jeu pour se placer contre moi et sous l’eau plaquer sa main sur ma bitte en me glissant à l’oreille "Fred, j’ai très envie de ta bitte ce soir". Puis aussitôt "mais tu bandes déjà ! Hmmm, quel bonheur... J’ai hâte que tu me la mettes bien au fond". J’eus le tact et la prudence de ne pas lui avouer que c’était sa fille qui m’avait mis en érection. Maintenant je n’avais plus qu’une idée en tête : finir au plus tôt la soirée et me retrouver en tête-à-tête avec Sybille pour la baiser longuement.
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