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Dépravation familiale

Chapitre 2

Inceste
Le dîner s’achevait sur la terrasse, au bord de la piscine. Je me tenais sur la réserve, ne voulant pas montrer devant Margot une intimité avec sa mère qui eût pu paraître bien au-delà de la simple fraternité. Sybille s’était assise tout près de moi, la main tantôt sur mon épaule, tantôt sur mon genou, avec des gestes qui pouvaient sembler normaux entre frère et sœur. Néanmoins, je restais attentif à ne pas susciter d’étonnement chez ma nièce.
À cette réserve près, j’étais parfaitement bien. Sybille et Margot avaient enfilé des liquettes de plage, mais négligé de les boutonner ; aussi m’était-il facile de mater les seins de l’une et l’autre, ce dont je ne me privais pas, tout en veillant quand même à ce que Margot ne perçoive pas l’insistance de mon regard sur ses seins. Sybille, me connaissant bien, ne se gênait pas trop pour me faciliter la vue sur les siens. Je l’ai dit : Sybille est plutôt menue (un mètre cinquante et quelques, cinquante kilos). Mais ses seins, c’est autre chose ! Pas franchement gros, mais assez fortement développés, et encore bien fermes. Un régal pour les yeux et les mains !
La conversation glissait vers des sujets croustillants, d’autant que Margot elle-même confiait avoir déjà couché, mais avait trouvé les garçons de son âge "pas bien malins et pas doués". Sybille lui répondait en souriant qu’elle avait bien le temps et qu’il lui fallait être plus compréhensive avec les garçons. Je surprenais des regards brillants de Margot vers sa mère. Sachant le plaisir qu’elles se donnaient mutuellement (pour qu’elles l’aient fait à peine arrivées chez moi, il fallait bien qu’elles n’en soient pas à leur coup d’essai), je voyais bien ce que ces regards signifiaient "s’ils pouvaient me donner autant de plaisir que toi, Maman".
Elles se doraient au soleil couchant, installées l’une à côté de l’autre, profitant de la chaleur sur leurs poitrines découvertes, les yeux clos ; les boucles blondes de leurs cheveux tombaient sur leurs épaules. La vision était réjouissante et je me régalais de voir les seins ronds et épanouis de l’une, petits et pointus de l’autre. Margot ouvrit les yeux vers sa mère, regardant ses seins avec un plaisir mêlé d’envie. "Qu’est-ce qu’ils sont beaux, tes seins, Maman. Si je pouvais en avoir d’aussi gros !" Sybille sourit "Ne t’inquiète pas, ma chérie. Patience : ça va venir ! Ta croissance n’est pas terminée. Je n’étais pas mieux dotée à ton âge. Et tu as bien vu que ça n’empêche pas que tu sois une très belle fille. Vois comme tu plais aux garçons !" Pffff... les garçons ! Ils sont nuls ! Tellement maladroits. Les plus âgés, ils me traitent comme une gamine, et les adultes, ils ne regardent que mon cul. De toute façon, ils auraient trop peur de risquer une aventure avec une fille trop jeune.
– Que tu es impatiente ! Il faut bien que tu finisses de grandir et que... – Tonton, coupa Margot, est-ce que tu ne trouves pas que mes seins sont trop petits ? – Eeuuh... un peu, c’est vrai. Mais je t’assure qu’ils sont déjà très beaux. Et tu es une très jolie fille : ta silhouette est parfaite. – Tu trouves que j’ai un joli cul ?
Je ne m’étais pas attendu à une discussion si explicite et sur un ton aussi direct de la part de ma nièce. Je me rendais compte qu’elle et Sybille s’étaient habituées à bien des libertés de langage en plus des libertés de mœurs. Je répondis qu’elle avait en effet un très beau cul et la rassurai : certainement, elle deviendrait sous peu aussi ravissante que sa mère. À l’évidence, Margot s’en doutait déjà, ce qui ne suffisait pas à apaiser son impatience. Quant à moi, cette conversation m’avait encore plus excité, et je ne me gênais plus pour regarder ses petits seins qui me faisaient de plus en plus envie.
Je me levai et débarrassai la table, emportant les restes du repas. J’espérais en m’occupant ainsi me calmer un peu ; mais de la cuisine, j’aperçus par la fenêtre Sybille qui caressait les seins de Margot. Ma nièce se trémoussait de plaisir et prenait la main de Sybille, la dirigeait entre ses cuisses. "Ah zut, décidément, elles sont excitées comme des chiennes. Elles vont me rendre dingue", me dis-je. Sybille se rapprocha et caressa le ventre de Margot, puis descendit sa main. Elles veillaient tout de même à ne pas trop se rapprocher l’une de l’autre, mais je voyais le mouvement du bras de Sybille qui continuait à caresser. Je décidai de m’attarder là pour leur laisser le temps de profiter de leurs caresses... et pour profiter du spectacle !
Je commençais à comprendre qui était vraiment ma nièce. Plus une petite fille, en tout cas ! Ma présence ne semblait pas la gêner plus que celle de n’importe qui d’autre, et en tout cas cela ne freinait guère ses envies : deux fois en quelques heures, presque sous mes yeux. Je revoyais sa mère à peu près au même âge... J’avais dix-sept ans et Sybille quinze quand nous avions commencé à baiser ensemble. Très vite, c’était devenu une habitude dont nous ne pouvions plus nous passer l’un et l’autre, au point que même lorsqu’elle ou moi avions une aventure par ailleurs, nous nous retrouvions souvent pour baiser ensemble. Je me souvenais encore de la première fois où je lui avais fait sucer ma queue. Son enthousiasme l’avait rendue très maladroite, tellement elle s’était régalée. Je lui avais appris à contenir son impatience et à mettre plus de douceur et de lenteur dans sa fellation. En peu de temps, elle était devenue une suceuse parfaite. Sybille avait été une salope précoce, et à l’évidence Margot en était une, elle aussi. Bon sang ne saurait mentir...
D’après les mouvements que j’apercevais, Sybille devait être en train de doigter sa fille qui lui ouvrait largement ses cuisses et ondulait des hanches dans un mouvement en avant, à la rencontre des doigts qui la pénétraient. Je vis Margot se laisser aller, le dos sur sa chaise, puis se trémousser avant de s’immobiliser. "Fort bien, la petite a bien joui. Je peux me montrer, maintenant". Je revins à table, comme si de rien n’était, sauf ma bite, dure comme du bois.
Je ne pensais plus qu’à une chose : baiser Sybille. Pas facile pourtant d’éloigner Margot. Je dus ronger mon frein un bon moment ; j’avais glissé à l’oreille de Sybille mon souhait qu’elle éloignât sa fille quelque temps, mais n’avais obtenu pour réponse qu’un sourire désolé et une caresse furtive sur ma bite. La frustration de l’attente me rendait plus audacieux : je matais sans plus guère de précaution les deux femelles, m’attardant sur leurs seins et leurs cuisses. Margot ne tenait pas beaucoup en place, elle non plus : elle allait piquer une tête dans la piscine, ressortait, revenait s’asseoir, parlait de tout et de rien, couvrait Sybille de baisers et de caresses de plus en plus intimes. Prenant mon mal en patience, je la regardais aller et venir, sauter, courir. "C’est vrai qu’elle a un cul superbe !" me disais-je, ce qui ne m’aidait pas à patienter. Avec ses longues jambes fines et son cul ferme et bien galbé, elle aurait donné envie au plus blasé. Mon regard s’attardait sur ses tétons, ses seins, son ventre, la bosse du mont de Vénus. Une sorte de délicieux calvaire que cette attente. Enfin, Margot parla d’aller se coucher. Elle nous embrassa en s’attardant plus que de raison dans le cou de sa mère, et vraiment tout près de ma bouche. Enfin elle s’éloigna ; il faisait presque nuit. J’attirai Sybille vers le fond du jardin.
Tout aussi impatiente que moi, Sybille retira vivement le bas de son maillot de bain et plaqua sa main sur ma bite. "Hmmm, tu bandes déjà bien fort, Fred. Moi aussi, j’ai hâte que tu me la mettes". Elle fit glisser mon maillot et me caressa les couilles. Je lui pelotais le cul, deux doigts dans sa raie. "Tu sais que tu m’excites depuis un bon moment ? Et Margot n’est pas en reste. Elle est bien la fille de sa mère. Je vous ai vues vous caresser, tout à l’heure. Et je vous ai entendues dans la chambre, à peine arrivées."
– Ah, tu nous as vues ? Ca m’étonne pas ; on ne s’est pas beaucoup préoccupées de discrétion... Ça te dérange pas que je baise avec Margot ? C’est dingue, l’effet que ça me fait de baiser avec ma fille. Oh oui... mets tes doigts dans ma chatte. Ohhhh…" – Tu parles, si ça me gêne ! Ça m’a excité comme jamais. Elle est bandante, cette petite. Et vous voir vous caresser, ça m’a bien fait bander. Regarde ce que je vais te mettre !– Hmmmm ! Viens vite…
Je la fis s’étendre sur l’herbe. Cuisses ouvertes, Sybille se laissait doigter en gémissant. J’étais impatient de fourrer ma bite dans cette chatte humide et ouverte, mais je ne voulais pas trop précipiter. Elle gémit encore un peu plus quand je rentrai un second doigt, mon majeur tâtonnant à la recherche du point le plus sensible. Un spasme secoua Sybille quand je rencontrai le point critique. Elle serra les lèvres pour ne pas gémir trop fort et eut un premier orgasme. Je lui laissai juste le temps de se remettre avant de la stimuler à nouveau. Tendue comme un arc, Sybille jouit plusieurs fois de suite, puis m’arrêta. "Arrête, Fred. Je n’en peux plus d’attendre. J’ai besoin d’être remplie. Viens me mettre ta bite. Remplis-moi la chatte."
Dévoré d’impatience moi aussi, je ne me fis pas prier longtemps. Je lui demandai de se retourner et la fis mettre à quatre pattes. Sybille aimait particulièrement être prise en levrette, position favorisant une profonde pénétration. "Ohhhh... Fred, encore... Oh, comme tu me remplis, comme c’est bon... Encore ! Plus profond !"
Je tenais Sybille par les hanches, la pressant fermement contre moi pour la remplir au maximum. Elle soupirait et gémissait de plus en plus fort, oubliant toute prudence. Je me contenais difficilement, impatienté par mon excitation trop longtemps contenue. Les soubresauts de Sybille qui s’empalait sur ma bite me firent perdre tout contrôle, et je lâchai un jet de foutre "Tiens ma salope, prends ça dans ta chatte, prends, prends tout. Aaaaaaaah...". Sybille retint difficilement un cri de plaisir et se laissa aller, le nez dans l’herbe en soupirant "Aaaaah... comme c’est bon d’être remplie. Hmmmm, enfin !"
à suivre...
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