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Dépravation familiale

Chapitre 3

Inceste
J’aidai Sybille à se relever, et sans prendre la peine de nous rhabiller, nous revînmes vers la terrasse. Mais à peine après dix pas, nous stoppâmes net ! A genoux sur l’herbe, Margot, la main entre les cuisses se caressait la chatte en soupirant de plaisir. J’hésitai un instant, mais déjà Sybille s’agenouillait près d’elle et l’enlaçait pour l’embrasser. Puis elle lui dit simplement "Laisse-moi faire, ma chérie". Elle l’étendit sur l’herbe et lui ôta le bas de son maillot de bain, puis elle s’allongea, la tête entre les cuisses de Margot et entreprit de la lécher. La petite ouvrit docilement les cuisses et se laissa aller sans hésiter. Je vins auprès d’elle et lui fis redresser le buste, puis je m’assis derrière elle et la laissai s’appuyer sur moi. Tout en l’embrassant dans le cou, je caressai ses petits seins.
Il faisait trop sombre pour voir distinctement, mais je voyais tout de même la silhouette de la tête de Sybille entre les cuisses de Margot. J’entendais des bruits mouillés mêlés aux halètements et soupirs de ma sœur. Margot se laissait caresser et lécher sans paraître prêter attention à l’insolite de sa situation. Il est vrai que de l’insolite, elle venait d’en voir et d’en entendre ! Pour ma part, je n’avais que très vaguement présent à l’esprit que c’était ma nièce que je tenais ainsi entre mes mains. Je tenais la petite par la taille et mes mains auraient pu en faire le tour tant elle était mince. Les petits seins que je caressais étaient fermes et les pointes dressées semblaient avoir doublé de volume. Appuyée contre moi, Margot ne pouvait pas ne pas sentir ma bitte qui reprenait rapidement de la vigueur tant la scène était excitante.
Margot soupirait et gémissait, laissant échapper de temps en temps "Haaa, maman... Oh, Tonton... Oh oui, encore". J’entendis la voix de Sybille "Tu as envie que je mette mes doigts dans ta chatte, ma chérie ?" Margot répondit dans un soupir "Ouiiiiii, ouiiii, Maman. Oh c’est si bon !" L’effet fut quasi immédiat. Je sentis Margot s’agiter entre mes bras, le bassin secoué de soubresauts. "Laisse toi-aller ma petite chérie. Oui, comme ça, ouvre-moi bien ta chatte. J’ai senti tout à l’heure comme tu étais mouillée, comme tu t’étais régalée à nous voir baiser, petite salope. Fred ne le sait pas encore, mais moi je sais quelle petite salope tu es, n’est-ce-pas ? Je suis sûre que toi aussi tu as envie que Fred te mette sa bitte dans la chatte !" Margot gémit de plus en plus fort puis haleta "Maman ! Oui ! ouiiii... Oui ! OUIIIIIIIII...." Son corps s’arc-bouta, tendu comme un arc, puis Margot retomba, emportée par la jouissance.
Après quelques instants de repos, nous reprîmes le chemin de la maison. Tout naturellement, nous allâmes droit à ma chambre et nous étendîmes sur le lit, Margot étendue entre Sybille et moi. Je commençai à caresser Margot, tandis que Sybille l’embrassait à pleine bouche. L’épiderme de ma nièce frémissait sous mes doigts et je sentis ses pointes de seins durcir dans ma paume. Son ventre se creusait tandis que ma main glissait vers sa chatte. Agréable surprise, elle était épilée ; ma première pensée fut que ce devait être une idée de Sybille, dont je connaissais le goût pour les femmes lisses. Mais je sentais Margot tout à fait capable d’en avoir pris l’initiative... "Quelle jolie chatte tu as, Margot. Toute lisse et douce... C’est une idée à toi ?" — Oui Tonton. J’avais envie de faire plaisir à Maman, elle aime beaucoup ça. Et puis j’en ai eu envie moi aussi. Mais figure-toi que les garçons, ils trouvent ça bizarre, quand ça ne les fait pas rigoler. Ils sont nuls, je te dis !
Margot embrassait les seins de Sybille et prenait les tétons dans sa bouche, pendant que ma sœur caressait les hanches et les cuisses de sa fille. Quand la main de Sybille passa de l’autre côté pour caresser sa chatte, Margot écarta les cuisses en se serrant plus fort contre sa mère. Elle ne cessait de s’agiter, stimulée par nos caresses. Sybille se déplaça, vint s’installer entre les cuisses de sa fille et commença à lui lécher la chatte. Dans cette nouvelle position, Margot avait ma bitte à portée de main et je n’eus qu’un léger mouvement à faire pour qu’elle pût s’en saisir. Ma nièce referma sa main et se mit à caresser doucement, d’un mouvement lent et sûr qui démontrait que c’était loin d’être la première queue qu’elle branlait. "Ohhhh, soupirait-elle. Comme c’est bon, Maman, ta langue sur mon clitoris. Et la bitte de Tonton, comme elle est dure".
— Je vois bien, ma chérie. Tu es si trempée que j’arrive à peine à tout lécher tellement tu mouilles.
Je léchais et tétais les petits seins de Margot, et sentis une seconde main s’emparer de ma bitte. Sybille approuva "Hum, oui, elle est bien dure... Haaa, je la prendrais bien encore dans ma chatte... Mais c’est toi que Fred va baiser, maintenant, ma petite salope. Mais d’abord, tu vas venir me lécher à ton tour, ma chérie. Tu vas voir quel délice c’est de lécher une chatte remplie de foutre. J’adore me faire lécher quand je dégouline et tu vas adorer toi aussi : c’est presque aussi bon que de le recevoir dans la bouche.
Margot voulut se placer entre les cuisses de sa mère, mais Sybille refusa : "Ah, non ! Je ne veux pas manquer la moitié du spectacle. Je veux tout voir lorsque Fred va te mettre sa bitte dans la chatte". Elle fit retourner Margot qui s’installa au-dessus de sa mère puis replongea la tête entre ses cuisses grandes ouvertes. Je me plaçai à mon tour derrière Margot. A quatre pattes, elle m’offrait le spectacle de son superbe cul. J’avais hâte maintenant d’enfiler cette jeune chatte et je cherchai à bien ma positionner, mais déjà Sybille avait pris l’initiative des opérations. Sa main s’empara de ma bitte et la dirigea aussitôt à l’entrée. Autant pour ménager ma nièce encore étroite que pour offrir à ma sœur le spectacle qui lui faisait si envie, je commençai la pénétration avec une prudente lenteur.
Sybille caressait la chatte de Margot et écartait les lèvres en gloussant de plaisir. "Hmmmm... comme tu bandes, Fred. Elle t’excite bien fort cette jeune chatte. J’aime ça, c’est bon de voir ta bitte rentrer dans la chatte de ma petite salope chérie. Tu entends comme elle gémit ? " Margot en effet poussait des gémissements de plaisir, ponctués de "Ohhh, Maman.... Ohhh ouiiiii, Tonton... Oh, je suis remplie... Baise-moi Tonton !". Sybille avait pris mes couilles dans sa main, et je sentais sa langue qui les léchait comme elle pouvait malgré les allées et venues du bassin de Margot accompagnant mes coups de reins. Je tenais ma nièce par les hanches et j’essayais de la ralentir quelque peu, me sentant à deux doigts de l’orgasme.
Margot avait cessé de lécher la chatte de Sybille et, la tête posée sur ses cuisses, haletait au rythme de mes aller-retours dans sa chatte. Sybille caressait maintenant le clitoris de Margot en la stimulant. "Vas-y ma chérie. Jouis maintenant. Montre-nous quelle petite salope tu es." Je sentis ma nièce s’arc-bouter et dus la maintenir pour contenir ses soubresauts tandis qu’elle gémissait longuement. Ses cris vont crescendo et je sens sa chatte se serrer par spasmes sur ma bitte. Incapable de me retenir plus longtemps, je me laissai aller moi aussi.
— Tiens, petite salope, je vais vider mes couilles dans ta chatte et te remplir !
— Ouiiii, Tonton. Remplis-moi la chatte, remplis-moi de ton foutre !
En haletant moi aussi, je me répands dans un long jet qui me sembla ne pas finir, plaquant ma nièce contre moi pour l’empaler. Presque aussitôt, je sentiss la main de Sybille qui me repoussait hors de la chatte de Margot. Elle happa ma bitte dans sa bouche ; ses lèvres me pressèrent et je sentis sa langue lècher les dernières gouttes, puis elle délaissa ma bitte pour venir lécher la chatte de Margot.
Enfin, épuisés tous les trois, nous retombâmes pêle-mêle sur les draps.
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