Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 237 J'aime
  • 3 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Dépression au fond du jardin

Chapitre 1

Erotique
Cela fait maintenant quelques années que je suis en pleine déprime, après mon divorce, il a fallu que l’entreprise pour lequel je travaille cesse son activité. Problème financier impossible à résoudre, ont-ils dit. Autant vous dire que j’ai subi un second choc quelque temps après ma séparation.
Depuis ce moment, je me traîne, je n’ai plus goût à rien, j’ai dû consulter mon médecin, car ma famille s’inquiète pour moi, j’ai donc pris un rendez-vous et j’y suis allé en traînant les pieds.Vu mon état, il m’a prescrit des antidépresseurs, cela fait maintenant presque deux ans que j’en prends et je ne me sens pas vraiment mieux.Le doc m’a donc fortement conseillé de consulter un psy. Je me suis souvenu d’une psychologue avec qui j’avais fait un peu connaissance, car on a travaillé quelques années dans le même établissement. Je l’ai donc contactée, elle m’a indiqué qu’elle ne prenait pas de personnes en dehors de son infrastructure, mais vu que l’on se connaît et considérant ma situation personnelle et professionnelle, elle a accepté de me suivre en toute discrétion. Elle m’a bien indiqué que normalement, elle ne pouvait pas me recevoir et qu’elle calerait les rendez-vous en fin de journée, lorsque la plupart du personnel de l’établissement serait parti.
J’ai donc passé l’hiver à la voir une fois par semaine, elle me reçoit dans son bureau et s’assoit toujours en face de moi. Je la trouve toujours aussi charmante, pour vous la décrire rapidement, elle est brune, petite, les cheveux très courts, les yeux d’un bleu profond, des petits seins et un cul qui attise la gourmandise. Sauf que moi, actuellement, je n’ai plus aucune envie de ce côté, plus aucun désir. C’est grave docteur ?
Une chose m’avait étonné lors de notre premier entretien, vu que l’on se connaît assez bien, je pensais que l’on allait se tutoyer, mais elle a tout de suite employé le vouvoiement, certainement pour bien me faire comprendre qu’elle n’accepterait pas de familiarités entre nous, j’ai donc facilement accepté et pour tout vous dire, je n’an ai même pas envie avec elle, même si elle est très charmante. Je suis out, complètement out avec les relations de séduction et sentimentales.
Au bout de quelques séances avec elle, elle n’a pas hésité à aborder le thème, est-ce que je côtoie des personnes du sexe opposé ? Est-ce qu’il y a quelqu’un de mon entourage qui m’intéresse ?Eh bien non, personne.
— Des envies sexuelles ?’— Non aucune’
Puis à chaque fois, elle change de sujet, on aborde mes autres problèmes perso, on revient toujours à la même chose et j’ai le sentiment de tourner en rond.
Puis est venu le printemps, avec les beaux jours, je pensai que ma dépression s’atténuerait et que je reprendrai petit à petit le moral, mais ce ne fut pas le cas.

Aujourd‘hui, il fait particulièrement beau, même chaud, comme d’habitude, le rendez-vous est calé en fin de journée, la secrétaire me fait patienter juste avant de s’en aller.J’attends patiemment que ma petite psycho vienne m’accueillir dans une belle robe d’été, elle est resplendissante, j’ai l’impression de la découvrir pour la première fois et la trouve très belle.J’entre dans son bureau et comme à son habitude, elle s’assoit en face de moi en plongeant ses beaux yeux bleus dans les miens.
— ‘Alors comment allez-vous en ce beau jour de printemps ? Il fait même particulièrement chaud aujourd’hui’, me dit-elle.— ‘Comme d’habitude’
On aborde de nouveau les sujets habituels qui m’ennuient profondément et plus les minutes passent, plus je fais des réponses courtes, j’ai pas trop envie de parler aujourd’hui.Alors d’un seul coup, après m’avoir longuement regardé dans les yeux, je me suis retrouvé surpris de l’entendre me parler de sexe, commençant brusquement, voire brutalement :
— Est-ce que vous vous masturbez ? »— Pour quoi faire ?’ Lui répondis-je.— Vous devez avoir quand même des envies à satisfaire et une personne seule peut se soulager ainsi’.— Ce n’est pas mon cas’— Vous n’avez pas des érections, des envies de sexe ?’— Non, je ne me souviens même plus de ma dernière érection’.
Un long et pesant silence s’installe entre nous, puis elle se lève, ouvre la porte de son bureau et je la vois s’éloigner dans le couloir. Quelques minutes passent et je me demande ce qu’elle peut bien faire...Je l’entends ensuite revenir, elle ferme la porte et se rassoit en me souriant, je remarque que c’est la première fois qu’elle me sourit.
— Je crois qu’il faut passer à une autre étape’, me dit-elle.— Ha oui, laquelle ?’— Je suis forcée de constater que ton cas est particulier’.
Tiens elle me tutoie maintenant, c’est surprenant et cela attise ma curiosité.
— Il va falloir passer à des méthodes peu orthodoxes, mais je ne sais pas si tu vas l’accepter’.— Cela dépend, dis toujours et je verrai’
Elle ne répond rien et se lève doucement en s’approchant de moi, elle n’est plus qu’à quelques centimètres, debout devant moi.
— J’ai du mal à croire que ta libido a complètement disparu’.— C’est pourtant le cas’.
Je t‘ai suffisamment observé et je pense qu’il faut passer aux choses sérieuses’.
Sans rien ajouter, je la vois qui passe ses bras derrière son dos et j’entends un zip qui glisse doucement, elle a porté ses bras en haut de son dos afin de tenir sa robe tendue et en voyant ses épaules se dénuder lentement, je comprends ce qu’elle fait, elle dégrafe sa robe.Je ne la quitte pas du regard et la voilà qui se tortille devant moi et qu’elle fait ensuite glisser son soutien-gorge sans que je ne puisse rien découvrir de sa poitrine. Puis elle jette son soutif sur son bureau, je peux apercevoir qu’il est blanc en dentelle fine.Mon regard revient sur sa poitrine, constatant la naissance de ses seins, sa peau légèrement bronzée ne me laisse pas de marbre, mais je fais comme si cela n’avait aucune importance.
— ‘Alors me dit-elle, qu’en penses-tu ?’— Tu es très belle, mais cela ne changera rien’— Ha oui... je ne te fais aucun effet ?’— Et bien tu as l’air d’avoir de très jolis seins’— Regarde-les bien’ dit-elle en se penchant et en reposant ses mains sur mes cuisses.
Je peux voir maintenant deux beaux seins en forme de pomme qui se penchent dans ma direction, mais je ne suis pas plus troublé que ça, du moins je ne laisse rien transparaitre.
— Tu n’as pas envie de les prendre dans tes mains ?’. Dit-elle.
Voyant que je ne réponds rien, elle continue :
— Pas envie de les caresser ? De les lécher, de les sucer ?’— Bof’.— Ecoute si tu me permets, on va continuer, mais tu ne vas pas pouvoir me toucher, de toute façon, tu n’en as apparemment pas envie’.— Pas de problème’.— OK et si tu acceptes, tu ne pourras pas te défiler, il faut provoquer une réaction sinon la situation restera bloquée et maintenant ce statu quo a trop duré, je me dois d’essayer’.— Bien’.
Je la vois qui se penche à nouveau vers moi, lentement elle fait glisser ses mains sur mes cuisses pour remonter jusqu’à mes hanches.Je ne la quitte pas du regard, un peu indifférent à ce qu’elle fait, mais ses mains se réunissent sur ma braguette qu’elle cherche à ouvrir.
— Hé, qu’est-ce que tu fais ?’— Chut... détends-toi, laisse-toi faire’.
Elle dégrafe mon pantalon et tire dessus afin de le faire glisser jusqu’à mes genoux, je l’aide un peu en soulevant mon bassin. Elle découvre ainsi mon slip qui n’est pas déformé du tout.Elle regarde longuement l’endroit où devrait se former une bosse, mais rien ne vient.Elle passe sa main sur mes cheveux en me disant d’une voix sensuelle :
— Tu es très mignon, je suis certaine que tu dois attiser des convoitises ‘
Sa voix est langoureuse à souhait, je suis presque sous le charme, sa main continue à caresser mes cheveux puis elle fait pencher ma tête sur sa poitrine en se rapprochant encore, tant et si bien que je suis obligé d’écarter un peu mes jambes, elle se faufile entre et je laisse ma tête plonger entre ses seins.
— Respire’ me dit-elle.
Je sens lentement son parfum, ses effluves me montent au cerveau, elle sent bon...
— Tu sens bon’— Respire lentement, profite’
Je continue donc mes profondes inspirations et relâche l’air inspiré entre ses deux seins, je glisse une joue sur son sein gauche et je la sens tressaillir légèrement.
— N’oublie pas que tu ne peux pas me toucher’— Je n’oublie pas et je ne te touche pas, mes mains sont sur mes genoux’
Elle me caresse la nuque doucement, tendrement du bout des doigts puis glisse ses doigts dans mes cheveux, ses longues et douces caresses commencent à me faire de l’effet et je suis surpris de sentir une émotion dans mon bas-ventre.
— Tu aimes ?’ Me dit-elle de sa voix sensuelle et douce.— Oui... ça fait du bien’— Tant mieux’, me chuchote-t-elle sur le même ton, ‘j’espère que cela te fait de l’effet’— Ça commence ‘— Ha oui ? Fais voir’
Elle retire ma tête, la relève lentement et fixe mon boxer de son regard perçant, lui permettant de voir qu’une bosse commence à se former.
— Très bien’ dit-elle, ‘prends ton sexe dans la main’
Je suis de plus en plus troublé, j’hésite un instant, mais pris par la situation, je m’exécute, je glisse une main dans mon boxer et attrape mon sexe, je le sens se tendre de plus en plus.
— ‘Très bien, commence à te caresser doucement’— ‘Devant toi ?’ — ‘Oui, devant moi... c’est excitant, non ?’
Je ne réponds pas, je suis maintenant très gêné et en même temps très excité, mais je ne peux résister et je fais glisser légèrement mon boxer pour libérer mon sexe qui est de plus en plus tendu, ma main caresse mon gland lentement.
— Il faut lubrifier’, me dit-elle en se penchant.
Je la vois placer sa bouche juste au-dessus de mon gland et libérer de sa salive qui coule sur ma main et mon sexe, je me précipite pour ne pas perdre une goutte et dispose sa salive sur ma queue.
— ‘Humm, c’est bon’.—‘ Oui, continue comme ça, ne t’arrête pas’
Elle fait glisser le haut de ses bras pour découvrir ses seins et les caresse tendrement, lentement.Je suis fasciné, excité par la situation, je vois ses tétons durcir sous mes yeux, elle me fixe du regard avec un léger sourire et je m’entends râler de plaisir.Je la vois se reculer légèrement, elle prend mes cuisses et les rapproche l’une de l’autre puis en écartant ses jambes, elle se rapproche de moi, ses cuisses sont à quelques centimètres de mon sexe et j’accélère mes va-et-vient sur ma queue.
— ‘Ne va pas si vite, laisse-nous profiter du moment’.— ‘J’ai envie de jouir’.— ‘Arrête de te caresser’.
Je continue quand même en la regardant d’un air surpris, elle prend fermement ma main et l’ôte de mon sexe.
—‘Attends un peu, la suite n’en sera que meilleure’.
Elle approche son visage du mien et me caresse les joues avec les siennes, sa bouche effleure mes lèvres.
—‘Tu as envie de m’embrasser n’est-ce pas ? Mais on ne peut pas...’
Ses lèvres caressent maintenant les miennes, je sens son souffle sur ma bouche, j’écarte mes lèvres, espérant sentir sa langue les découvrir, mais elle continue à les effleurer.Puis elle se redresse, m’ordonnant de me caresser à nouveau.Je m’exécute promptement, j’ai tellement envie de jouir, cela fait si longtemps... dans un profond soupir, je laisse retomber ma tête vers elle et mon front vient se coller contre son ventre.
— Fais glisser ta robe, j’ai envie de sentir ta peau nue’.
Elle obéit doucement et je la vois découvrir son ventre plat, je colle à nouveau mon front, mais cette fois-ci contre sa peau qui est si douce...Mes va-et-vient s’accélèrent, je n’en peux plus, j’ai tellement envie de jouir que je râle intensément.
— Oui comme ça, continue puis ralentis’.
Elle pose sa main sur la mienne pour me forcer à ralentir, elle imprime maintenant le rythme, un rythme lent et profond, lorsque ma main passe sur mon gland, elle la serre un peu.
— ‘Ça t’excite aussi ?’.
Elle ne répond pas, continuant à imprimer le rythme de mes caresses avec sa main poser sur la mienne en accélérant légèrement. C’est tellement bon que je pose à nouveau mon visage contre son ventre, il faut que je sache :Je pose ma main sur le haut de sa cuisse, voyant qu’elle ne proteste pas, je glisse sur ses fesses, les caresse aussi lentement qu’elle guide mes caresses. La douceur de ses fesses me fait encore plus durcir, elle le ressent et un léger soupir sort de sa bouche.
— J’ai envie que tu jouisses maintenant, j’ai envie de te voir éjaculer’.
J’accélère et glisse un doigt entre ses cuisses, elle mouille tellement que mon doigt est happé, s’enfonçant en elle.Je sens ma jouissance venir :
— Je vais jouir !!!’
D’un coup, elle se recule et laisse tomber sa robe à ses pieds, elle tire sur son string :
— Oui, jouis dans ma culotte, je veux sentir ton sperme’.
J’approche mon gland de celle-ci et dans un long cri, je me répands dedans, entre ses lèvres... d’une légère poussée, j’entre même mon sexe en elle, mais elle se recule pour me voir inonder sa culotte.
Diffuse en direct !
Regarder son live