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Dépression au fond du jardin

Chapitre 2

Divers
Ma psy regarde mes jets de sperme qui s’engouffrent dans sa culotte, je me déverse comme un fou, cela fait longtemps que je n’ai pas éjaculé comme ça, vu que je n’ai pas joui depuis très longtemps, cela explique la quantité qui se déverse continuellement dans son string.Je la regarde, elle semble hypnotisée par mon éjaculation et passe sensuellement sa langue plusieurs fois sur ses lèvres tenant toujours son string par le haut afin de fournir un récipient pour mon nectar.
— Eh bien, tu en avais vraiment besoin, dit-elle en me pressant doucement le gland pour en faire ressortir tout ce qui peut rester.
Je ne dis rien et continue à la regarder, elle est vraiment belle, d’une sensualité exacerbée par l’instant, et j’aimerai tant lui faire l’amour, mais malheureusement, ce n’est pas à l’ordre du jour, le serait-ce un jour d’ailleurs ? La relation patient psychologue est codifiée et je sais que des relations amoureuses ou sexuelles avec leur patient sont interdites.
— Merci, cela m’a fait le plus grand bien ! lui dis-je en me rhabillant.— Tu en avais vraiment besoin et j’y ai pris beaucoup de plaisir aussi.— Oui, j’ai pu voir que tu mouillais intensément, mais tu n’as pas joui...
Elle reprend sans rien dire sa robe et la remet puis contourne lentement son bureau me permettant d’admirer les très belles courbures de son corps, son fessier dans lequel je me laisserai aller avec un énorme plaisir. Lorsqu’elle s’assoit, j’imagine que mon foutre doit tremper sa petite culotte et j’imagine un instant que celui-ci pénètre ses lèvres et son clitoris. Je la regarde intensément, mais ne décèle aucune expression sur son visage pouvant indiquer un quelconque trouble ou plaisir. Elle conserve une attitude très professionnelle.
— La séance est terminée mon cher.— Et quelle séance ! dis-je avec le plus beau de mes sourires, est-ce que l’on peut reprendre un rendez-vous ?— Seulement si tu en éprouves le besoin.
Sur ce, je me lève et marche dans sa direction, espérant pouvoir l’embrasser, mais elle reste assise en me souriant. Alors je lui prends les mains et tire lentement pour la faire se relever. Elle m’offre un début de résistance puis se laisse tirer dans mes bras.Je la serre fort contre moi en lui chuchotant au creux de son oreille que j’ai toujours eu envie d’elle.
— Tu es sexy et sensuelle, j’adore.
Je dépose un baiser sur sa joue, glissant légèrement vers ses lèvres, mais elle détourne son visage, évitant de m’embrasser comme j’aurais aimé le faire. Je n’ai malheureusement pas le plaisir de goûter à ses lèvres et à sa langue.
— S’il te plaît, n’insiste pas, il faut t’en aller maintenant.
— OK. A bientôt j’espère.
Je sors de son bureau et quitte son établissement, un peu hagard, je suis encore sous l’émotion de ce qu’il s’est passé.
Le lendemain, je n’ai que cette séance en tête, je m’interroge sur la suite des évènements à donner à cette nouvelle relation qui s’est installée entre nous. Dois-je la revoir ? Est-ce que cette relation est vraiment saine ? C’est quand même ma thérapeute et je n’en reviens pas de ce qu’elle a fait. Elle doit avoir vraiment confiance en moi, car je pourrais ternir sa réputation si je raconte ce qu’il vient de se passer à sa direction. De toute façon, je n’ai aucune preuve de cette histoire et si je venais à tout raconter, c’est en fait ma parole contre la sienne, et je suppose qu’elle ne va conserver aucune trace de ma semence. Je sais qu’elle est mariée, elle va sûrement s’empresser de nettoyer sa culotte en rentrant chez elle.
En tout cas, c’était vraiment excitant de se déverser dans sa culotte et de voir mes jets de sperme la souiller à intensifier mon orgasme.
Les semaines passent sans avoir la moindre nouvelle d’elle, je n’ai pas son numéro de portable et le seul moyen pour moi de la contacter est de prendre rendez-vous avec sa secrétaire.Après de nombreuses hésitations, ne sachant pas comment sera son attitude lors d’une nouvelle séance avec elle. Je me décide enfin à appeler son secrétariat, et j’obtiens un rendez-vous pour le lendemain, toujours en fin d’après-midi. Tant mieux, comme cela, on sera encore seul dans son bâtiment, vu qu’à 18 heures, tout le monde est parti.
En ce jour de septembre, je suis accueilli par sa secrétaire que je ne connais pas et qui me semble tout à fait charmante, quoique très jeune... Je suis d’ailleurs étonné qu’elle soit toujours là, car à cette heure-ci, elle devrait être partie.
Je me retrouve à l’attendre dans sa salle d’attente, seul, comme à chaque fois. Je ne dois patienter que quelques minutes pour la voir arriver tout sourire, traversant le couloir d’un pas décidé, elle me fait la bise puis me demande de l’accompagner à son bureau.
En refermant la porte de son bureau, elle me demande de m’asseoir. Une fois assis, je m’attends à la voir rejoindre son bureau, mais elle n’en fait rien. Elle reste juste derrière moi et posant ses mains sur mes épaules, elle se penche vers mon oreille pour me susurrer :
— Alors comment ça va maintenant, est-ce que ta libido est toujours éteinte ?— Malheureusement oui.— Notre dernière séance ne t’a pas réussi ? me demande-t-elle en souriant.— Eh bien, j’en ai un bon souvenir, mais je n’ai pas eu d’orgasme depuis.— Tu ne t’es pas masturbé en pensant à moi ?— Non.— Ah oui ? Je ne t’ai pas manqué ? dit-elle doucement.— Est-ce que je t’ai manqué moi aussi ?— Pas vraiment, mais j’ai beaucoup adoré ton foutre dans ma culotte, je l’ai gardé toute la soirée, mes lèvres intimes l’ont aussi beaucoup aimé.
Ses paroles murmurées devraient me faire de l’effet, car j’adore la douceur de sa voix, mais c’est le calme plat dans mon slip, tout juste une sensation agréable, mais qui n’est qu’auditive.
— Tu commences fort, nos séances commencent à devenir torrides.— Tu crois ? Tu sais, je pense que l’on peut faire beaucoup mieux, me dit-elle en me mordillant l’oreille.— J’ai envie de toi, j’ai envie de faire l’amour, cela fait tellement longtemps...— Doucement, on n’est pas là pour ça.— Je suis ici pour quoi alors ?— Pour soigner ta libido en berne, je présume, n’est-ce pas ?
Comme je ne réponds pas, elle continue avec cette voix douce et suave qui m’électrise peu à peu.
— J’ai beaucoup aimé te voir te répandre dans ma culotte, j’ai mouillé comme une folle et je n’ai pas pu m’empêcher de me faire jouir avant de rentrer chez moi.— Ah bon ?— Oui, je me suis arrêté au bord de la route, j’ai relevé ma robe et j’ai glissé un doigt dans ma culotte, du bout des doigts, j’ai pris un peu de ton sperme et j’ai caressé mon clito avec.— C’était bon ?— Oui, très bon, j’ai même fait pénétrer ce qui restait de ton sperme dans mon vagin et je me suis fait jouir avec...— Tu m’excites.— Fais-moi voir à quel point, déboutonne ton pantalon.
Je m’exécute doucement, prenant mon temps, j’ai envie de l’exciter aussi, j’ai envie de ressentir dans mon dos cette tension qui commence à monter entre nous. Tout doucement, je fais glisser mon pantalon sur mes cuisses découvrant mon sexe un peu érigé et toujours bien au chaud dans mon slip.
— C’est bien, me dit-elle, j’adore le voir dans cet état.— Tu as envie de le goûter ?— Cela te ferait plaisir ?— Oh oui !!! J’aimerais tant sentir ta bouche chaude et humide envelopper mon sexe.— Petit coquin, tu vois que ta libido n’est pas en berne, je peux te faire bander comme je veux.— Tu es aussi une belle coquine ! Tu as réussi la dernière fois, mais est-ce que cela va continuer ?— Coquine ? Peut-être, mais sûrement moins que toi, je pense même que tu es pervers.— Pervers, moi ?— Oui, tellement que je n’oserai même pas te présenter ma fille de peur que tu la pervertisses.— Comme je pervertis sa mère, je ne savais pas que tu avais une fille, elle a quel âge ?— L’âge de se faire pervertir, elle est rentrée à l’université cette année. Elle me ressemble beaucoup.— Si elle est aussi excitante que toi... Comment est-elle physiquement ?— Elle est un peu plus grande que moi, brune, cheveux mi-longs avec de grands yeux bleus.— Comme sa maman.— Oui, je suis sûr que tu l’apprécierais.— Mon Dieu.— Oui, quoi ?— Je pense que cela fait longtemps que je n’ai pas léché une belle petite chatte jeune et fraîche.
Ma psycho éclate de rire et commence à me caresser doucement la poitrine.
— T’es vraiment pervers !— Il n’y a aucune perversité à vouloir donner du plaisir avec sa bouche.— Oui, mais notre relation n’est pas saine, cela n’est vraiment pas déontologique. Mais ta perversité est vraiment intéressante. Dis-moi, as-tu envie de prendre ton sexe en main ?— Je préférai que cela soit toi.— Oui, mais cela nous est interdit.— Interdit par qui ? Au point où nous en sommes.— N’y compte pas mon cher, cela ne doit pas arriver.— Pourtant tu fais tout pour m’exciter et ce n’est pas sympa de ne pas vouloir me soulager.— Tout d’abord, j’aimerais voir ta queue grossir et voir ton gland sortir un peu, me dit-elle en me prenant les mains.
Elle est toujours derrière moi, je sens son souffle sur mon cou.
— Je n’ai pas fait attention, lui dis-je, comment es-tu habillée ?— Tu n’as pas remarqué que je porte un jean et un pull.— Si effectivement, mais tes dessous ?— Ah ah, monsieur est curieux, cela te ferait encore plus bander de savoir que je ne porte pas de soutien-gorge ?— C’est intéressant, je ne savais pas que tu aimes ne pas porter de dessous.— Pour être honnête, ce n’est pas dans mes habitudes, mais je l’ai enlevé juste avant notre rendez-vous. J’aime bien le contact de la laine sur mes seins.— Est-ce que tes tétons sont durs ?— Tu es bien curieux, me dit-elle en glissant ses mains sous mon pull et mon tee-shirt.
Elle caresse lentement ma poitrine et se permet même de caresser mes tétons du bout des doigts juste pour voir s’ils durcissent et en effet, le contact de ses doigts me fait de l’effet, je sens qu’elle les attrape et les fait rouler entre ses deux doigts.
— Tu vois, les tiens durcissent aussi, ils ne sont pas insensibles à mes caresses.
Puis elle les pince brusquement, me laissant échapper un léger cri.
— Non seulement tu es perverse, mais en plus tu es sadique.— C’est pour ton plus grand plaisir mon cher, je suis sûr que ces légères douleurs ne te déplaisent pas.
Je ne réponds rien, la laissant faire en profitant de ses caresses sur ma poitrine et mes tétons.
— Et je suis sûr aussi que tu dois aimer la sodomie.— Euh... non je ne crois pas.— Comment ça tu ne crois pas ? Tu n’as jamais doigté ton petit trou ?— Non, jamais.— Eh bien, il n’est jamais trop tard pour bien faire.— Ouais bof, cela ne me tente pas du tout.— Attends d’essayer, tu verras, tu vas adorer, enlève ton pantalon.
Je m’exécute, impatient et fébrile de découvrir la suite.
— Bien, lève-toi maintenant, mais ne te retourne pas.
Je l’entends ouvrir un flacon et je sens ses doigts glisser dans mon slip, entre mes fesses
— Qu’est-ce que tu fais ?— Tu vas voir, laisse-toi faire, tu vas adorer.
Je sens son doigt lubrifié tourner autour de mon petit trou et empreint d’une très grande douceur, elle glisse la première phalange à l’intérieur. Cette légère pénétration me fait contracter mon anus, l’empêchant d’aller plus loin.
— Doucement, me dit-elle, ne crains rien, je vais y aller en douceur, détends-toi. Je vais remettre du lubrifiant, cela t’aidera.
Je sens encore son doigt glisser dans mon petit trou du cul et elle entame lentement un va-et-vient. Je sens une légère douleur qui commence à être remplacée par une onde de plaisir. Je gémis.
— Tu aimes ?— Oui, mais vas-y doucement, très doucement.— Oui, cela m’excite aussi tu sais, je commence à mouiller ma culotte.— J’aimerais goûter à ton minou, goûter ton clito et ta liqueur.— Malheureusement, on ne peut pas.— C’est bon continue.— Oui, comme ça, en douceur, je vois que tu apprécies mon doigt.
Son autre main contourne mon bassin à la recherche de mon sexe. Elle glisse ses doigts sur mes couilles et remonte doucement jusqu’à mon gland.
— Humm, comme tu es dur ! Pour quelqu’un qui n’a plus de libido, tu réagis très bien. Je la sens palpiter sous mes doigts. Tu sais ce que j’ai dans mon sac ?— Je ne sais pas, mais tu vas sûrement me le dire.— Finalement non, c’est plus marrant de te faire la surprise. Attends un peu, et interdit de se retourner.
Je l’entends fouiller dans son sac puis ouvrir de nouveau le flacon de lubrifiant. Quelque chose de dur et doux rentre en contact avec mon anus. Il me semble que c’est un gode, elle le fait tourner tout autour de mon petit trou en s’y rapprochant doucement.
— Ne t’inquiète pas, il n’est pas très gros, juste assez pour te donner du plaisir. C’est dommage que je n’aie pas de gode ceinture, j’aurais aimé te pénétrer, te baiser et éprouver les sensations d’un homme durant la pénétration.— C’est impossible, avoir un gode ceinture ne te donnera pas les sensations d’un pénis.
Elle enfonce doucement le gode en moi, à peine un centimètre et entame un lent va-et-vient, le gode étant plus gros que son index, je ressens de nouveau quelques douleurs que j’exprime en râlant fortement.
— Chut, me dit-elle, ne fais pas de bruit, il y a encore quelqu’un au secrétariat.— La jeune fille que j’ai vue tout à l’heure ?— Oui.— Désolé, mais ça me fait mal.— OK, il faut être patient, je vais t’habituer tout d’abord avec mon doigt.
Et je sens de nouveau son index rentrer plus facilement, elle enfonce sa première phalange puis reste immobile.Tout d’un coup, j’entends la porte de son bureau s’ouvrir, ma psycho me plaque contre elle afin de m’immobiliser, je comprends qu’il ne faut pas que je bouge.
— Que se passe-t-il ? j’ai entendu crier.
Je reconnais la voix de la jeune secrétaire.
— Rien ma chérie, retourne à ton bureau s’il te plaît.
Ma chérie ? me dis-je, pourquoi ce ton si intime ? Ma psycho serait bi et se tape aussi sa secrétaire ?Même si ma psycho est dos à moi et encore habillée, la secrétaire doit voir que j’ai le pantalon baissé, d’ailleurs je sens encore son doigt en moi, elle ne l’a pas enlevé et elle se permet même de me titiller ma prostate, je sens mon sexe tellement dur, la situation est terriblement gênante et excitante, je n’ose faire le moindre geste.
— S’il te plaît, sors de mon bureau.
J’entends la secrétaire marcher doucement, mais au lieu de sortir du bureau, j’ai l’énorme surprise de la voir s’approcher, je tourne légèrement la tête et je m’aperçois qu’elle a la bouche grande ouverte en fixant mes fesses, c’est terriblement gênant surtout qu’elle ne dit rien, elle est tellement étonnée que ses yeux sont exorbités.
— Mais qu’est-ce que tu fais ?— Cela fait partie de la thérapie ma chérie.— Avec un doigt dans le cul ?— Oui, mais je n’ai pas à t’expliquer, cela ne te regarde pas.— Peut-être, mais j’aimerai bien savoir ce qu’un doigt dans le cul a à voir avec une thérapie.— Pour te dire, monsieur ici présent à des problèmes de libido.— Quoi ?— Oui et je m’assure que sa prostate fonctionne bien.— Tu rigoles, t’es psycho pas médecin.— Oui, mais je suis aussi charitable et humaine.
Toujours aussi surprise, la secrétaire fait un pas en avant et se met à fixer maintenant mon sexe qui est maintenant à moitié érigé, la surprise et la situation m’ont fait perdre mon érection.
— Et la prostate a une relation avec la libido ? dit-elle en bafouillant un peu.— Oui, ma chérie, son rôle est d’assurer l’érection.— Eh bien, ce n’est pas très efficace !
La situation est tellement cocasse que j’en oublie ma pudeur et me contente d’observer la jeune secrétaire, elle n’est pas très grande, brune avec de grands yeux bleus qui marquent son étonnement à la vue de la situation.
— Pourquoi, il n’est pas en érection ? demande ma psycho.— Non pas vraiment, c’est une demie molle.— Cela ne va sûrement pas durer.
Et elle commence à me pénétrer lentement, son doigt bien lubrifié coulisse avec une grande facilité dans mon fondement, je ressens de nouveau l’excitation me gagner. J’apprécie de plus en plus cette douce sodomie, elle le fait lentement avec application et je sens la main de sa secrétaire me caresser le ventre.
— Que fais-tu ma chérie ?— Et bien je t’aide un peu.— D’accord, mais ne touche pas son sexe.— OK, il commence d’ailleurs à grossir.— Très bien, je vais passer au stade supérieur, dit-elle en reprenant son gode qu’elle fait pénétrer d’un seul coup.
Je pousse un cri de surprise :
— Là, doucement, c’est bon n’est-ce pas ?— Je ne sais pas, c’est un peu douloureux et en même temps j’y prends du plaisir.
Je regarde la secrétaire dans les yeux et je m’aperçois qu’elle aussi apprécie la situation, d’ailleurs elle n’hésite pas à l’exprimer dans un murmure :
— J’ai envie de le caresser.
Ma psycho ne dit rien, peut-être ne l’a-t-elle pas entendu, en tout cas, la secrétaire n’hésite pas à venir titiller mon gland du bout de ses doigts, elle profite de ce que ma psycho ne peut pas voir ce geste.J’ai toujours le gode qui m’encule de plus en plus profondément, j’entends ma psycho gémir légèrement derrière moi, elle aussi y prend du plaisir, elle passe d’ailleurs sa main sur ma poitrine, me caressant, me pinçant les tétons, je bande de plus en plus fort et je sens la main de la secrétaire qui enserre mon gland en le pressant doucement.
— Ça fonctionne, il bande de plus en plus, il est vraiment tendu !— Ha tu vois, je te l’avais dit que cela ne durerait pas, mais tu devrais nous laisser maintenant, il faut que je finisse ce que j’ai commencé et je n’ai pas besoin de toi.— Ho ! s’il te plaît, laisse-moi voir.— Non, sors de ce bureau.— S’il te plaît, maman, je ne dirai rien à personne, j’ai trop envie de le voir jouir.— Ce n’est pas raisonnable ma chérie.
Je fermais les yeux lorsque j’ai entendu le mot maman et je n’en crois pas mes oreilles, la belle jeune femme qui ne manque pas une miette de la sodomie et de mon érection serait sa fille ?
— Mais, mais... c’est ta fille ?— Oui, mais fais comme si tu ne le savais pas.
Faire comme si je ne le savais pas !!! Mais c’est impossible et tellement incongru ! Ma psycho ne cessant de limer mon arrière-train me dit ton un peu autoritaire.
— Tais-toi et caresse-toi, je veux que tu jouisses maintenant, dit-elle en arrosant mon sexe de lubrifiant.
Je m’exécute sans rien dire en regardant sa fille qui me regarde, hypnotisée, elle me voit prendre mon sexe en main et commencer une frénétique masturbation.
— Oh mon Dieu, je vais jouir !— Déjà ? dit ma psycho.
Elle sort son gode de mon cul et rentre son doigt en cherchant ma prostate, à peine l’a-t-elle touchée que je râle profondément, annonçant ma jouissance, je vois sa fille qui se met à genoux devant moi, la bouche ouverte devant moi. Elle me prend ma main et la remplace par sa bouche, je sens la douceur de sa langue et la chaleur enivrante de sa bouche et j’éjacule à grands cris.Sa fille me garde dans sa bouche pour ne perdre aucune goutte, je me déverse en elle longuement, je l’entends même déglutir. Putain que c’est bon !!! Elle tourne sa langue sur mon gland, tout en continuant d’avaler ; mon orgasme est tellement fort que mes jambes ne peuvent me soutenir, c’est ma psycho qui me retient pour ne pas tomber, avec toujours son index planté maintenant profondément dans mon cul !
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