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Le dépucelage anal d'Alice

Chapitre 1

Hétéro
Alice, une jeune étudiante de 21 ans vivait seule dans son petit appartement étudiant. Elle était mince et avait un subtil visage qui lui donnait un air innocent et fragile, des petits seins bien fermes et des fesses rebondies s’ajoutaient à son magnifique corps juvénile. Elle était célibataire depuis quelques mois mais bien sûr ce n’était pas les demandes qui manquaient, elle préférait seulement rester seule pour l’instant et profiter de ses amis et sa famille.Ses derniers rapports sexuels remontaient à sa dernière relation, il y avait de cela quelques mois, et elle commençait de plus en plus à ressentir le manque de sexe pas aidée il faut dire par la chaude saison estivale qui s’annonçait. Pour pallier à ce manque, elle aimait passer du temps, le soir, à se masturber en regardant un film coquin ou bien dans son lit avant de s’endormir.

Ce soir-là, elle était à la bibliothèque et s’apprêtait à rentrer chez elle après une longue journée de cours, elle rangea donc toutes ses affaires dans son sac et se dirigea vers la sortie. Dans le métro qui la ramenait chez elle elle remarqua un homme d’une trentaine d’années qui lui lançait de petits regards, mais elle n’y prêta pas attention au départ, ce n’était bien sûr pas le premier qui la dévorait du regard dans un lieu public.
Mais pour une fois il avait l’air assez classe, bien habillé, sûrement un businessman, et très agréable d’un point de vue physique. Elle lui rendit donc quelques regards que l’homme ne manque pas de remarquer.
Au bout de quelques minutes il se leva, Alice pensa que ce petit manège innocent allait s’arrêter là et qu’il allait partir en imaginant cette jolie étudiante qu’il avait aperçue dans le métro en allant retrouver sa femme. Mais il n’en fut rien, au contraire, il s’approcha d’elle et s’assit sur le siège voisin. Elle regretta immédiatement de s’être adonnée à ce stupide jeu de regards.

— Bonsoir mademoiselle, je peux me permettre ? dit-il en s’asseyant.  — Euh... oui, allez-y, lui répondit-elle, ne sachant pas quoi dire d’autre.

Elle aperçut au travers de son pantalon que l’homme avait une érection qu’il tentait vainement de camoufler. Elle ne sut pas quoi dire ni quoi faire.

— Vous êtes très séduisante et j’ai remarqué vos petits regards tout à l’heure.
— C’est pas ce que vous croyez, c’était pas sérieux et d’ailleurs j’arr..... 

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, il lui attrapa la main et la posa sur son entrejambe. Surprise, elle le regarda avec effroi, voulant protester, mais étrangement, elle le trouva vraiment attirant, son sang ne fit qu’un tour, et sans réfléchir, elle referma sa main sur la bosse qu’il avait au niveau du sexe et commença à le branler au travers de son pantalon.


— Ah je savais que sous ton air de petite sainte t’étais pas farouche, dit l’homme satisfait.

Elle n’en revenait pas de ce qu’elle venait de faire, elle qui d’habitude était si prude venait de succomber à un homme qu’elle ne connaissait même pas.
A son tour, il passa la main sous la jupe de la jeune étudiante et se mit à caresser sa chatte au travers de sa culotte. Par chance, la rame était presque vide à cette heure tardive et ils ne risquaient pas de se faire voir. Tandis que sa main était toujours en train de malaxer la bite de cet inconnu, elle remarqua que le métro arrivait bientôt à son arrêt. Que faire se disait-elle? Prise au dépourvu et encore une fois sans réfléchir, elle succomba à l’appel qui lui brûlait les entrailles depuis déjà plusieurs semaines et proposa à l’homme de venir chez elle.
Ils débarquèrent donc tous deux du métro et échangèrent quelques mots sur le trajet, il jubilait d’avoir réussi à séduire cette jeune étudiante:

— Alors tu vis toute seule, c’est ça ? On sera pas dérangé comme ça.— Oui j’ai un appart étudiant.
— Tu sais je ne vais pas te mentir,  je suis marié et il ne faudrait pas que cette petite aventure s’ébruite trop tu comprends ?

— Je ne le souhaite pas non plus, il n’y aura pas de soucis, ne t’inquiète pas. 

Elle commençait déjà à regretter de l’avoir invité, et s’il était dangereux, ce n’était pas du tout prudent, mais en même temps elle voulait se faire prendre, son abstinence avait déjà trop duré. Elle le guida donc jusqu’au pas de son petit appartement et ouvrit lentement la porte, se disant que de toute façon il était trop tard pour reculer.

— Tu veux quelque chose à boire ? , demanda-t-elle, ne sachant pas quoi faire dans une situation pareille, elle qui n’avait jamais invité un parfait inconnu chez elle.

Pour seule réponse, il l’attrapa et l’embrassa à pleine bouche, elle s’abandonna à son tour et commença à passer sa main sur l’entrejambe de l’homme. Il l’attrapa et la fit asseoir sur une chaise qui traînait non loin et lui intima l’ordre de le sucer. Alice aimait la façon dont il avait pris les choses en main et elle s’exécuta sans discuter.
Elle baissa son pantalon et son caleçon d’un seul et même geste et le sexe de l’homme jaillit : une bite bien épaisse et juteuse qui n’attendait que la chaude bouche d’une jeune étudiante comme Alice. Elle s’empressa donc de le prendre en bouche et le goba tout entier, elle le suçait avec délicatesse et maîtrise, donnant des baisers sur son énorme gland et passant sa langue sur le frein de l’inconnu, ce qui le faisait soupirer comme un buffle. Tandis qu’elle mettait ses talents de suceuse à son service, l’homme sortit un préservatif de sa poche, lui faisant comprendre ce qu’il attendait d’elle maintenant. Il était déjà dur comme un roc, son sexe était tendu et il ne désirait plus qu’une chose : la prendre comme une pute.

Alice commença à se toucher la chatte pour montrer son approbation tandis qu’elle continuait de le pomper avec ardeur, et voyant que la jeune femme commençait à ressentir le besoin de la pénétration, il la souleva à bout de bras et la porta jusqu’à la chambre, guidé par les indications d’Alice. Il la jeta sur le lit comme un vulgaire sac de pommes de terre et sans lui laisser le temps de comprendre quoi que ce soit il lui demanda :

— On t’a déjà pris le cul chérie ?
— Quoi ? Non, mais je préfère pas ! Prends-moi par la chatte plutôt ! , dit Alice en prenant peur.
— Tu sais, je fais rarement l’amour à des femmes aussi jeunes que toi et du coup j’ai jamais goûté le cul d’une fille qui soit vraiment serré. Mais t’inquiète pas, je serai pas trop méchant avec toi et il faut bien que tu commences quelque part de toute façon. Alice commençait à comprendre l’erreur qu’elle venait de faire en l’invitant mais il était trop tard pour renoncer, elle se mit donc à genoux sur le lit tandis que son bourreau enfila la capote et se masturba en la regardant, faisant redurcir sa queue afin de pouvoir encore mieux la pénétrer.

Il s’approcha donc, se plaça derrière Alice et commença à frotter son gland sur l’anus de sa jeune partenaire, il gémissait déjà de plaisir en pensant à ce qu’il allait lui faire subir. Il passait sa main sur le dos de la belle étudiante en se demandant comment un corps aussi frêle allait pouvoir tenir sous ses violents coups de boutoir.
De son côté, Alice retenait son souffle, elle attendait sa sentence sans protester et ressentait un mélange de peur et d’excitation, et bien qu’elle faisait mine de ne pas vouloir, les gouttes de mouilles qui coulaient de sa chatte disaient le contraire.
Son amant prit donc soin de récupérer ses sécrétions qui coulaient le long de ses belles cuisses et se lubrifia le sexe avec, puis commença à presser son gland sur l’œillet tout serré de la belle, lui arrachant un râle de crispation. Son sexe était bien trop gros pour ce si délicat anus, mais il n’en avait que faire, bien au contraire, cela le réjouissait d’avance.

Il cracha sur l’anus de sa partenaire pour faciliter son entrée et n’attendit pas une seconde de plus pour lui rentrer dans le derrière, le passage était bien sûr trop étroit et il dut forcer pour réussir à faire passer son gland au grand désarroi de la jeune femme qui serrait les dents en priant pour qu’il rentre vite dedans.
Au moment où il passa la couronne de son sexe, Alice eut un sursaut et se redressa brusquement en essayant d’empêcher le passage de son amant avec sa main tout en envoyant de petits cris de protestation et de détresse, mais en réponse, il la plaqua avec force sur le lit et continua son avancée. Après avoir passé le gland, c’est bientôt toute la queue de l’homme qui allait rentrer dans les fondements d’Alice, elle cria tant les sensations étaient intenses, ce qui ne faisait que plus durcir son amant qui y mettait maintenant toute sa science pour la pénétrer avec force.

— Tu aimes ce que je te fais Alice ? Ça fait quoi de se faire enculer, ça fait du bien hein ? , dit-il en la provoquant.

Elle aurait aimé protester, mais elle devait se rendre à l’évidence, ce traitement qu’il lui infligeait était à son goût et elle prenait de plus en plus de plaisir à se faire élargir le cul.

— Oui j’aime ça, je suis une petite salope, prends mon petit cul ! 

Il fit donc rentrer et sortir sa queue en elle comme si elle était une vulgaire pute, élargissant à chaque fois le passage. Alice ne s’en plaignait plus bien au contraire, ses cris de détresse avaient laissé place à des râles de plaisir comme jamais elle n’en avait criée.
Après de longues minutes à la pilonner dans cette position, il sortit doucement sa queue du cul de sa chienne, mais malgré le supplice qu’il venait de lui infliger, son œillet se referma d’un coup, sans laisser le temps à son bourreau d’admirer le fruit de son travail.

Il se mit donc debout et ordonna à Alice de venir se placer à genoux devant lui en ouvrant la gueule et en attendant patiemment. Elle se leva donc de son lit avec difficulté, le plaisir et l’excitation de la pénétration étant passés, son cul la faisait maintenant affreusement souffrir, mais elle s’exécuta et vint se placer devant son partenaire en lui présentant sa bouche tandis qu’il retirait son préservatif. Il se plaça devant elle et mit sa queue tendue dans la bouche grande ouverte d’Alice qui n’attendait que ça.

— Crache sur ma queue chérie !

Elle se mit donc à cracher de longs filets de bave sur la bite en ébullition de son amant, elle le pompait avec énergie, tâchant d’oublier le feu qui brûlait son petit anus et pensant au fait qu’il y a quelques minutes ce gros gourdin était en train de lui dilater le cul. Elle se demandait comment avait-il fait pour se frayer un chemin avec une bite pareille ?

— Bouffe-moi les couilles maintenant petite traînée, dépêche-toi ! 

Alice s’appliquait à satisfaire tous les désirs de son homme, elle goba donc ses grosses couilles juteuses et avait même du mal à les faire rentrer entièrement dans sa bouche, il n’avait pas juté depuis des semaines et cela se sentait, ses burnes étaient pleines à craquer et il n’attendait que de se les vider.

— Hmmm, tu aimes quand j’aspire tes couilles comme ça ? lui lança-t-elle.
— Oh ouais putain c’est trop bon ..... mais arrête-toi sinon tu vas me faire juter. Va sur le lit plutôt, et mets-toi sur le dos. 

Alice se laissa donc tomber sur le dos, tandis que l’homme se remettait une capote sur le sexe.
Il s’approcha d’elle, semblant plus déterminé que jamais, l’attrapa par les jambes, et lui pénétra le cul avec force. Cette fois-ci, pas de fioritures, il ne lui laissa pas le temps de s’habituer à lui. Alice en eut le souffle coupé, elle ne s’attendait pas à une telle invasion, mais contre tout attente, elle éprouva une sensation de plaisir intense, le fait d’être comblée de la sorte lui faisait un bien fou. Il s’enfonçait en elle, se servant des belles jambes de sa pute du soir pour l’attirer à lui à chaque coup de boutoir. L’anus de la belle se contractait sur ça bite tant elle prenait du plaisir.

— Tu aimes ça à ce que je vois, moi qui pensais te faire mal, je vois que tu m’as bien trompé sous tes faux airs de petite innocente.
— Oh oui je suis une vraie pute ...... je suis ta petite pute.

C’était la première fois qu’Alice sortait de telles obscénités, elle se sentait comme une vulgaire chienne et aimait être traitée comme tel.
Il lui caressait le clitoris tandis qu’il continuait bien sûr à lui trouer le cul quand soudain, le corps d’Alice se crispa et de longs filets de cyprine sortirent de sa chatte, éclaboussant et mouillant tout sur son passage. Elle était devenue rouge de plaisir et jouissait pour la première fois de cette manière sous les coups de boutoirs de son homme.

— Et bah tu cachais vraiment bien ton jeu, lui lança-t-il tandis qu’il continuait ses va-et-vient.

Alice était bien trop faible pour répondre quoi que ce soit, l’orgasme l’avait terrassée et elle se contenta de lui sourire puis l’enlaça avec ses jambes pour lui faire comprendre qu’elle en voulait encore. Il se pencha donc sur elle et commença à l’embrasser tandis que ses coups de reins devenaient plus puissants que jamais. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il sortit son sexe du cul de la belle Alice tout en lui écartant les fesses. Cette fois-ci, l’anus de l’innocente jeune femme resta grand ouvert, son cul était extrêmement dilaté, au moins aussi large que deux fois une pièce de 2€ et ce magnifique trou semblait respirer, sa taille augmentant et rétrécissant au rythme de la respiration d’Alice.
Son amant attrapa son téléphone et prit une photo du magnifique cul d’Alice.

-  Regarde ça ! T’as vu ce que je t’ai fait ? Tu pourras faire croire à personne que t’es vierge du cul maintenant, dit-il en lui tendant le téléphone.

Alice n’en croyait pas ses yeux, elle avait littéralement un gouffre à la place de l’anus, son trou était béant. Par réflexe, elle passa son doigt entre ses cuisses et se l’introduisit dans son cul afin de vérifier son état, et constata avec effroi qu’il rentrait sans aucune résistance.

— Oh purée mon cul... mais t’es une vraie brute. 

Il ne s’embêta pas à lui répondre et la tira par les jambes jusqu’au bout du lit puis se mit à genoux. Il commença à placer sa langue dans l’entrejambe d’Alice et se mit à lui lécher la chatte. Il le savait, c’était la première fois qu’on lui infligeait un tel traitement. Elle se mit immédiatement à haleter et à se tordre dans tous les sens sous les coups de langue de son partenaire. Il donnait de petits coups de langue sur son clitoris et lui léchait la vulve avec passion tandis qu’elle succombait sous les nombreux orgasmes qui venaient la foudroyer. Il descendit de plus en plus bas jusqu’à venir rencontrer l’anus encore tout dilaté d’Alice et y enfonça sa langue.
Il léchait à pleine langue l’œillet encore tout ouvert de la jeune femme, n’hésitant pas à cracher dessus et à reprendre de plus belle, enfonçant sa langue au plus profond du cul d’Alice puis la ressortait pour embrasser ses jambes.

— Oh j’adore ça, c’est trop bon, t’es aussi doué avec ta langue qu’avec ta bite ma parole.
— T’aimes que je te bouffe le cul chérie, ça ne te dérange pas ?
— Non après ce que tu m’as fait aujourd’hui, rien ne me dérange plus. 
Il continua donc de lui lécher l’anus en passant de temps à autre son pouce à l’entrée de son fondement et constatant que petit à petit, son trou retrouvait une taille normale.

Il se leva et la mit une fois de plus à genoux, elle lui retira la capote pour le sucer et sentit qu’il était proche de l’orgasme : les expressions de son visage et les soubresauts de plus en plus fréquents de sa bite le trahissaient. Tandis qu’il passait les mains dans les longs cheveux de son amante, il sentait que le traitement que lui infligeait Alice lui faisait monter la purée, et dans un énorme râle de plaisir, il lui déchargea son sperme dans la bouche tandis que la belle continuait de sucer, sentant sa bouche se remplir d’un liquide chaud et visqueux. Il éjacula comme cela durant de longues secondes tandis qu’elle restait sagement là en attendant qu’il ait fini de se vider. Enfin, il se décida à se retirer de la bouche d’Alice qui était pleine à ra-bord de la purée chaude de son homme.

— Avale chérie, puis montre-moi ta bouche ensuite, je veux vérifier que tu triches pas.

Elle n’avait jamais avalé, mais s’exécuta docilement, faisant difficilement passer l’épaisse purée dans sa gorge et déglutissait tant bien que mal le liquide de cet inconnu qu’elle ne connaissait même pas il y a une heure à peine.
Elle présenta donc fièrement sa bouche toute propre à son amant, lui montrant combien elle avait fait du bon travail.

— Et bah félicitations Alice, tu as aimé le goût ? 

En vérité, elle ne trouvait pas le goût très agréable, mais bien sûr en bonne fille bien élevée, elle ne lui en toucha pas un mot.

— Oui c’était délicieux, dit-elle en se léchant les lèvres.

Elle s’assit donc sur le lit tandis qu’il remettait ses habits et s’en alla, la laissant avec pour seul souvenir de cette soirée le goût puissant de foutre qu’elle avait encore dans la bouche.
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