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Dépucelage anal de Célia, ça dérape !

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Le dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (Chap II)
En résumé du Chap. I : Célia, suite aux demandes de son compagnon John, contacte un « Guide », Monsieur Henri, pour l’amener à un dépucelage anal en douceur. Après avoir été exhibée en sex-shop, puis avoir fait une fellation à un transsexuel, Célia et Monsieur Henri rentrent à l’appartement ; John, comme convenu, est toujours à son travail et ne rentrera pas avant 19h45.
— Ne t’inquiète pas Célia, ce n’était qu’une mise en condition pour exacerber tes sens. Je parie que tu es si troublée que tu es inondée. Et je pense que tu es prête à continuer, à me suivre dans les recommandations pour te préparer pour ce soir. Le veux-tu ?— Oui Monsieur, je le veux .........— Pour bien faire les choses, il faut que tu comprennes, mais avant, nous allons prendre quelques photos souvenirs. Mets-toi à quatre pattes !

Je rappelle que je suis en short de jean ultra-mini qui me rentre dans les deux raies sans culotte, découvrant plus de la moitié des fesses et avec un anus picket, un tee-shirt blanc d’une taille trop petite et donc ultra-moulant sur mes petits seins dont les tétons sont emprisonnés par une pince.
— Marche jusqu’à la table basse. — Monte sur la table basse toujours à quatre pattes.— Saute dans le canapé.— Descends et va à la cuisine. As-tu de la bière au frigo ?— Va m’en servir une, toujours à quatre pattes.
J’aime autant vous dire que ce fut loin d’être facile, mais j’y suis arrivée.
— Rejoins votre chambre.— Monte sur le lit et déshabille-toi.

Une fois sur le lit, je commence par enlever le tee-shirt, puis suis difficilement le micro short. Je commence à prendre une des deux pinces, et sous confirmation du regard de Monsieur Henri, je l’enlève ! Whaou ! La douleur est presque plus dure à enlever qu’à mettre. J’enlève la seconde dans la foulée, puis les boules de geisha. Enfin, il me reste l’anus picket.
— Tourne tes fesses vers moi et enlève-le doucement.

Ce que je m’empresse de faire.
— Retourne-toi vers moi et suce-le comme si tu faisais une fellation à ton John chéri.— Mais il n’est pas là.— On avait dit : pas de discussions ! Aucune hésitation à mes ordres.— Bien, Monsieur Henri.

Je dois dire que c’est avec une dose de dégoût que je m’exécute. Le goût de la chose n’est pas très agréable. L’objet est décoré d’une pierre rouge.
— Ce n’est pas très bon tes sécrétions Célia ?— Non, Monsieur, pas très bon.— Tu comprends donc que si John met sa bite là-dedans et que tu le suces après, ce sera pareil ?— Oui Monsieur.— Il faut donc nettoyer tout ça, nous avons quelques heures pour faire les trois lavements nécessaires. Hop, aux toilettes à quatre pattes devant le w.c., cul tourné vers la cuvette.

Comme j’en ai pris l’habitude, j’obéis, fonce et me positionne. J’entends Monsieur faire couler de l’eau à la salle d’eau et il revient avec un drôle d’attirail. Un broc relié à un tuyau souple et long. Je comprends très vite. Monsieur m’enfile la canule dans mon fondement distendu, lève le broc en hauteur et mon ventre se remplit à la vitesse grand V. C’est très bizarre. Une fois le broc vide :
— Bien, tu gardes ça dans ton ventre, contracte bien, car rien ne doit sortir. Je reviens dans une demi-heure.

Une demi-heure plus tard, le voici, nu ! Il a un engin énorme au repos ! Il m’attrape sous les aisselles et m’aide à me relever pour m’asseoir sur la toilette.
— Voilà, c’est bien, tu as tout gardé. Au troisième top, tu pourras tout relâcher. Un ... Deux... Trois ...

Quel soulagement !
— Regarde bien ce que tu as libéré. Que tu comprennes à quel point cela peut être désagréable de sodomiser sans passer par cet exercice. Essuie tout ça et une petite douche. Nous recommençons l’opération deux fois, deux lavements d’un litre et demi, deux attentes d’une demi-heure, deux vidages, deux douches. Puis, tu remettras toi-même ton anus picket et tes boules de geisha.
... / ...
— Il est maintenant 17h00, nous avons 2h45 pour préparer l’appartement. Tu vas commencer par faire le ménage partout. Puis tu dresseras la table pour trois couverts, prépareras la table basse pour l’apéritif. Tu n’as que deux heures, car il te faudra t’habiller après. Commence par me resservir une bière.
Monsieur est nu dans le canapé, regardant la télévision, pendant que je m’affaire au ménage. De temps en temps, il me prend en photo sous tous les angles. Et cela, jusqu’à que j’ai fini mes tâches. La table est bien mise et décorée, l’apéritif est prêt et il est tout juste 19h00.
— Tu as 10 minutes pour prendre une douche. Et reviens ici.— Tu vas mettre les bas blancs achetés tout à l’heure, et les escarpins à talons aiguille.

Une fois fait, de nouvelles photos, y compris sur le lit conjugal. Monsieur Henri, toujours nu, ne bande pourtant pas.Enfin, il sort la jupe en cuir noir du sac, me la présente et me l’attache d’un bouton pression, puis il la tourne et finit de la boutonner dans le dos. La fermeture - je le sens - suit le dessin de ma raie culière. Il sort de sa mallette un bijou de sein qu’il positionne sur mon sein droit emprisonnant mon téton dardé. Enfin, il me tend le chemisier en dentelle transparente blanche, que j’enfile et boutonne.
C’est à ce moment que ça sonne à la porte d’entrée.
— Va ouvrir, prends en charge la commande et appelle-moi.

Et me revoilà à être obligée de m’exhiber devant un livreur ! Je prends les paquets et j’appelle Monsieur.Il arrive toujours nu avec un billet de cent euros, le livreur rend la monnaie rouge comme une pivoine, et Monsieur ferme la porte.
— Va à la cuisine et prépare tout en plats bien ordonnés. Dans moins d’un quart d’heure, John arrive.

Aussitôt dit, aussitôt fait et quand je reviens au salon, Monsieur est rhabillé de son costume noir. Nous n’attendons pas longtemps l’arrivée de John.
— Quand John arrivera, tu iras vers lui, tu l’embrasseras très amoureusement, tu lui mettras un doigt sur la bouche en lui demandant de ne rien dire. Puis tu me présenteras.
Ce qui fut fait à peine cinq minutes plus tard. J’aime autant vous dire que ma tenue l’a fortement surpris et nous avons pu le constater à la bosse qui a instantanément déformé son pantalon.
— Bonjour Monsieur.— Bonjour John, prêt pour notre petite soirée ?— Oui Monsieur.— Bien, je te suggère d’aller prendre une douche vite et bien faite. Nous t’attendons depuis longtemps pour l’apéritif. Tu reviens entièrement nu bien entendu.

L’étonnement de mon chéri se remarqua tout de suite. Je lui refis le signe silence d’un doigt sur mes lèvres, et il partit vers la salle de bain. Un petit quart d’heure après, il nous rejoint au salon, nu comme un vers et un début d’érection. Il s’assit dans un fauteuil alors que moi et Monsieur sommes dans le canapé.
Suivant les consignes données par Monsieur, je me lève faire le service, sers les glaçons dans les verres, allant chercher la bouteille de whisky dans le placard, prenant soin de bien me pencher en avant sans plier les genoux, exposant mon derrière décoré de la pierre rouge à mon compagnon. Nous trinquons Monsieur en costume, moi, habillée limite pute et mon John, nu, exhibant maintenant une belle érection.
— John, je vois que la tenue de Célia ne te laisse pas indifférent, peux-tu partager ce que tu en penses ?— Et bien, elle est absolument bandante, comme vous pouvez le constater. J’ai du mal à la reconnaître, tant elle ne m’a pas habitué à une telle ... Euh ... exhibition. Tu es ravissante chérie.— Aimeriez-vous qu’elle s’habille plus souvent comme ça ? — Bien entendu.— Tous les jours ? — Peut-être pas tous les jours, il y a le boulot quand même...— Je vous le concède, mais même pour le boulot, il y a moyen d’être un peu plus sexy qu’auparavant non ?— Oui, mais quand même. Faudrait pas aller trop loin et ce n’est pas tout à fait l’objet de notre réunion ce soir.— Certes, mais au-delà de ce soir, il y a l’avenir de votre couple. Vous vous aimez énormément, ça se voit, il faut mettre tout en œuvre des deux côtés pour que ça dure.— Bien sûr.— Ce soir, nous allons réaliser ton fantasme à ta demande. Mais à la façon dont Célia l’a décidé. Tu es prêt à suivre tout ce qui te sera demandé ?— Oui Monsieur.— Bien, à table ! Célia, viens à la cuisine.

Une fois à la cuisine, Monsieur me donne comme consigne d’enlever un bouton à chaque fois que je me rendrais à la cuisine. Commencer par les quatre de la jupe (toujours positionnée à l’envers) qui ne tiendra plus qu‘avec le bouton de ceinture, puis continuer avec les boutons du chemisier.
La discussion à table allant du beau temps aux commentaires sur la cuisine Thaï que je sers avec soin. Monsieur ne manquant pas de me renvoyer à la cuisine pour tout et rien, la salière, la carafe d’eau oubliées... résultat, je débarrasse l’entrée avec la jupe déjà entièrement ouverte à l’arrière, et ramène le plat avec un bouton de moins au chemisier. Monsieur continuant à prendre des photos sans que John n’ait émis la moindre protestation.
Au dessert, il ne me reste plus qu’un seul bouton à la jupe et au chemisier. Monsieur se lève, commence à me caresser les épaules. Ouvre mon chemisier entièrement et m’en débarrasse. Me prenant par la main, il me guide vers le canapé et me pousse à m’agenouiller devant lui, la tête entre ses cuisses, la jupe tombant de chaque côté de mon cul que je prends soin de cambrer. Monsieur fait sauter le dernier bouton.
— John, comme tu peux le constater, l’anus de Célia est occupé pour te préparer la place, viens donc le libérer.

John s’empresse de nous rejoindre, peine un peu à tirer sur l’anus picket.
— Tu devrais commencer à assouplir avec la langue, tourner autour.

Et John de suivre les consignes. Je sens sa langue qui tourne autour, qui remonte ma raie, redescend.
— Tu devrais utiliser tes doigts devant.— Tu vas commencer à tirer sur l’anus picket avec les dents.

Au bout d’un moment de ce traitement, je suis à deux doigts de jouir sur place, sans même de pénétration, alors que Monsieur bande enfin comme un taureau dans son pantalon. Je sens bien qu’il semble très bien monté. C’est alors qu’il nous stoppe.
— John, il faut que tu te rendes bien compte de ce que s’apprête à t’offrir ta Célia. Changement de place, John à genoux, Célia, tu lui suces l’anus.

Au bout d’une dizaine de minutes, nous ré-échangeons de places et cette fois, John arrive à m’enlever l’anus picket avec les dents. Puis, sur les conseils de Monsieur, continue de me lécher consciencieusement, introduisant sa langue derrière et me masturbant le bourgeon devant. J’obtiens un premier fulgurant orgasme, la tête collée à l’érection de Monsieur.
— Allez vas-y, John. Prends-la doucement. Tout en douceur, ne rentre pour l’instant que ton gland. Ressors. Rentre que le gland. Ressort. Rentre doucement toute ta longueur. Ressort. Rentre. Enfin, pistonne. Attrape ses seins, triture-les.

Et voilà comment la tête toujours posée sur l’érection de Monsieur, j’ai reçu l’éjaculation de mon John chéri dans mes boyaux et que j’ai eu mon premier orgasme anal. Je vous le jure, un vrai et foudroyant orgasme du cul m’effondrant au moment où John se retira. Mais Monsieur ne nous laissa pas longtemps pour récupérer.
— Célia, allonge-toi sur la petite table, sur le dos, lève les jambes écartées. John va nettoyer tout ça à la langue. Ne perds rien, faudrait pas tacher le sol.

Je crois rêver, John est en train de boire son propre jus, lapant mon cul, la langue vrillée dans mon anus. Passant devant, sans oublier mon clito. Je vais jouir à nouveau. Ce n’est pas possible, la troisième fois en moins d’une heure. C’est alors que j’aperçois Monsieur en train de se déshabiller, libérant une très belle et volumineuse érection. .../...
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