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Dépucelage anal de Célia, ça dérape !

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Le dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (Chap III)
En résumé des deux premiers chapitres : Célia, suite aux demandes de son compagnon John, contacte un « Guide » Monsieur Henri pour l’amener à un dépucelage anal en douceur. Après avoir été exhibée en sex-shop, puis avoir fait une fellation à un transsexuel, Célia et Monsieur Henri se préparent à la soirée. John rentre du travail et après un dîner très sensuel, sodomise enfin sa chérie Célia qui a la tête posée sur les cuisses de Monsieur. Après quoi, il nettoie consciencieusement sa Chérie pendant que Monsieur se déshabille.
John, tout concentré, à son affaire, ne s’est pas aperçu que Monsieur s’était déshabillé. Tandis que Célia est partagée entre la jouissance que lui procure la langue de John et l’étonnement de voir enfin la bite de Monsieur bandé et faisant bien le double de celle de John.
— Allez, les jeunes, vous avez bien profité. Comment avez-vous ressenti cette première sodomie ?
John : - paradisiaqueCélia : - Une jouissance inconnue et tellement agréable. Finalement, je ne regrette pas d’avoir attendu, pour bénéficier de vos conseils et mises en condition.
— Très bien et maintenant, ce serait correct de s’occuper de moi afin de libérer cette tension (en montrant son érection). Vous accepteriez de me soulager ?
Célia : - Je n’y vois aucun inconvénient si John est d’accord.John : - Mais je ne suis pas PD !
— Il ne s’agit pas de cela, d’ailleurs, on ne dit plus PD depuis longtemps. Il s’agit de me remercier. Allez, venez tous deux vous partager cette belle fellation.
Comme hypnotisée, je commence à lécher Monsieur devant John ahuri. Quant à mon grand étonnement, John me rejoint et commence à son tour à s’activer. Il s’en suit un concert de nos langues sur la hampe de Monsieur, altérant léchouilles et gobages pendant un bon moment.
— Je viens ... Célia, garde tout dans ta bouche...
Et il se met à gicler une première fois, puis une deuxième et enfin une petite dernière, si remplie que je n’arrive pas à tout garder et qu’une grande traînée me coule sur le menton.
— Embrassez-vous et partagez ce nectar. Vous savez que je n’aime pas gaspiller.

Se roulant une bonne pelle, j’échange avec John le sperme de Monsieur et nous avalons sans plus de question que ça. Je suis quand même de plus en plus surprise par l’abandon de John.
— Merci, je vais vous laisser. Mais avant, je voudrais vous proposer de continuer l’expérience et de pousser cet apprentissage un peu plus loin. Seriez-vous partants ?— Cela dépend ce que vous entendez par là ?— Et bien Célia tu as fait cadeau à John de ton dépucelage anal, il me semblerait normal que John t’offre le sien en retour.
Surprise lorsque j’entends John :
— D’accord, cela me semble assez logique. — Dans ce cas, nous pourrions revivre une soirée vendredi prochain.
En chœur, nous acceptons.
— Je vais vous laisser mon matériel pour vendredi après-midi. Célia, tu as vu comment faire. Je veux que vous preniez tous deux votre journée, un copieux petit-déjeuner, grande toilette et épilation, même pour toi John. Et à partir de midi, vous vous faites mutuellement les trois lavements. Aucun rapport pendant la semaine. Pour ce week-end, profitez un maximum. — Nous ferons comme vous désirez.— Célia, tu t’habilleras avec la tenue short et tee-shirt que je t’ai achetés, équipée du Rosebud et d’une pince de sein côté droit ; John, tu resteras nu. Cette fois, vous vous occuperez de commander le repas pour le soir. J’arriverais à 19h45 précise, tout devra être prêt.— Ce sera prêt, comptez sur nous...— Bon week-end et bonne semaine.

Nous avons passé un week-end merveilleux, faisant l’amour plusieurs fois ou plutôt baisant comme des sauvages. John m’a à nouveau sodomisé et j’ai aimé cela. Les discussions allant bon train et John s’angoissant de son dépucelage à venir. La semaine passa très vite et nous avons eu du mal à nous contrôler. Mais nous avons tenu sans rapports du lundi au jeudi soir. Vendredi arrivé, nous avons commencé à suivre les consignes de Monsieur. John me faisant le premier lavement puis je fis celui de John. Répétant trois fois l’opération. Et à 19h00, nous étions déjà prêts à recevoir Monsieur. Bien sûr, à 19h45 précise, on sonne à la porte et me précipite pour ouvrir.
— Bonsoir Célia, je vois que tu as respecté mes consignes. Mais j’aimerais que ce soit John qui vienne ouvrir ... on recommence, retourne dans le salon.
Je referme la porte et vais expliquer à John que c’est à lui d’aller ouvrir (je rappelle qu’il est nu et épilé avec soin). Re sonnerie de la porte, John se lève et va ouvrir. J’entends une conversation qui s’entame et qui continue à la porte. Intriguée, je m’approche, la porte est grande ouverte, John est nu et tétanisé par Monsieur qui prend plaisir à rester sur le palier traînant sur les politesses d’usage, au risque qu’un voisin ne déboule. Me positionnant à côté de John, Monsieur me prend par la taille et me roule un patin d’enfer auquel je réponds avec plaisir. Puis nous rentrons et John ferme enfin la porte.
— Alors je vois que vous semblez être prêts.— John : - je ne suis pas sûr de vouloir aller jusqu’au bout.— Et bien, nous allons voir cela tout de suite. (Ouvrant sa mallette, il en sort un Rosebud identique au mien) Célia, veux-tu installer ceci dans le petit trou de John s’il te plaît ?— De suite Monsieur. John chéri positionne-toi sur le canapé que je t’assouplisse un peu.
Je me mets à lécher sa rosette... Monsieur me conseille d’écarter petit à petit de mes deux pouces, puis de rentrer un peu d’un pouce, donner le Rosebud à sucer à John, puis enfin de pousser le Rosebub dans le fondement de John qui émet un gémissement plus de plaisir que de mal.
— Bon il est temps de servir l’apéritif. John, ce sera un whisky glace pour moi. Et pour toi Célia ?— Un martini frappé s’il te plaît mon chou.— Vous avez commandé quoi à manger ce soir ?— Nous ne savions pas trop le résultat, nous avons commandé des Pizzas, ce sera facile à réchauffer au cas où.— Très bien. Tu as peut-être compris John que ce soir nous inversons les rôles. C’est donc toi qui iras prendre en compte la livraison, puis tu te tourneras devant le livreur pour aller poser ça en cuisine en exposant ton derrière et tu appelleras Célia pour qu’elle aille payer. C’est compris ?— Ce sera fait suivant vos désirs.— Ce soir, ce sont tes désirs aussi, non ?— Oui Monsieur, je pense que je vais aimer m’exhiber ainsi.
Et pas moins de 5 minutes après, voilà que ça sonne à la porte. John se lève avec un début d’érection et va ouvrir. Nous l’entendons dire « Bonsoir », puis « Oui c’est bien pour ici, ne bougez pas » puis « Célia chérie, tu peux venir payer le livreur s’il te plaît ». Je me lève à mon tour. Je vous rappelle que je suis avec un microshort me rentrant dans les deux raies déformées par la présence du Rosbud, et d’un tee-shirt hypermoulant sous lequel on distingue bien mes petits seins libres, mais équipés pour celui de droite d’une pince. Le livreur ouvre des yeux immenses me détaillant du haut en bas et de bas en haut.
— Ça fait combien ? — Vingt-neuf euros s’il vous plaît.
Rejouant le sketch du sex-shop sur les consignes de Monsieur et sans prévenir John, j’appelle :
— Papa, tu as trente euros s’il te plaît ?
Monsieur qui s’est déshabillé entre-temps arrive nu avec son portefeuille, paye trente euros et s’en retourne vers le salon laissant le livreur complètement ahuri. Je lui colle alors un smack sur les lèvres avec un "Bonsoir" puis ferme la porte. Monsieur et moi nous éclatons de rire devant John, ébahi lui aussi de la farce. Nous finissons notre apéro, rigolant toujours, moi entre deux hommes nus. Puis nous passons à table... A la fin du repas :
— Alors John, tu t’habitues ?— J’avoue que cela me gène un peu.— Que doit dire Célia dans ce cas ? Tu as le tien depuis quelle heure Célia ? — Depuis 18h30.— Deux bonnes heures et tu ne t’en plains pas. — John comment penses-tu que cela va se passer ?— Je ne pense pas que cela va passer, votre sexe est bien trop épais pour moi.
Éclats de rire contagieux de Monsieur.
— Non non ... Célia t’a offert sa rondelle, tu vas offrir la tienne à Célia. Pour commencer, tu vas retirer le Rosebud de Célia comme vendredi dernier. Vas-y délicatement en humidifiant bien, car cela a dû sécher un peu depuis le temps qu’elle le porte. Qu’elle n’ait pas à se plaindre de ta méthode sinon tu auras le droit à une punition...
Célia se leva de table, retira son microshort et s’installa dans le canapé, les fesses juste au bord des cousins. Une fois le pourtour bien léché et trituré, John commença à enlever le Rosebud avec les dents comme il avait appris le vendredi précédent. Monsieur triturait de son côté les seins de Célia pendant ce temps. Puis il attrapa dans sa mallette un gode ceinture dont il équipa Célia.
— A ton tour Célia d’enlever le Rosebud de John avec la même méthode.
Ce qui fut assez vite fait. Puis elle recommença à sucer l’anus de John, écartant de ses deux pouces, puis faisant pénétrer un pouce, puis l’index, puis l’index et le majeur. Enfin, Monsieur lubrifia le gode ceinture d’un gel et donna le feu vert pour le premier enculage de John. Célia se positionna et commença à pénétrer son John Chéri. Doucement d’abord, suivant les conseils de Monsieur. Puis elle se libéra, se démena de coups de boutoirs désordonnés. Vite calmée par Monsieur d’une tape sur le derrière.
— Du calme ma belle. Il ne faut pas le dégoûter. Doucement puis tu accélères progressivement. Fais-lui comme tu aimerais qu’on te le fasse.
Au bout d’un bon quart d’heure, John explosa d’une jouissance anale et prostatique éjaculant tout ce qu’il put sur le canapé. Tous deux s’écroulant en sueur. Monsieur se masturbant devant le spectacle.
— Holà, nettoyez-moi ça vite fait avant que cela ne sèche...
Tout à notre affaire, je me laissais faire quand Monsieur s’approcha, m’enleva le gode-ceinture et se mit à me lécher le derrière quelques instants. Puis il m’attrapa, mit mes jambes sur ses épaules et me bouffa littéralement la chatte et le cul alors que j’avais la tête en bas au niveau de son érection, devant mon John qui n’en perdait pas une miette. Je ne résistais pas longtemps pour avaler cette bite si tentante.
John :
— Je ne pensais pas qu’on irait si loin.— Ça te gène demande Monsieur ?— Non, mais c’est que c’est ma copine quand même.— Ta copine qui a accepté de te faire vivre ton fantasme, ta copine qui t’a sodomisé, ta copine qui mérite récompense... Non ?— Oui, mais.— Allonge-toi par terre. Célia suce le et fais le rebander... très bien comma ça oui. Maintenant, empale-toi dessus ... couche-toi sur lui et détends-toi.
Monsieur se met alors à pénétrer l’anus de Célia avec le gode. Prise des deux côtés elle se mit à crier de douleur et plaisir à la fois. Puis la douleur disparut pour laisser la place à une félicité qu’elle ne croyait possible. John sentait le sexe artificiel à travers la mince paroi. Et tous deux ne mirent pas longtemps à jouir de concert.
— Contents les amoureux ?— Oh que oui, répondirent-ils en chœur !— Envie de continuer les expériences plus loin ?— Oui répondit Célia immédiatement.— Euh répondit John, que voulez-vous dire par là ?

Monsieur alluma son portable, compassa un numéro :— Alex tu peux monter troisième gauche, ce sera ouvert. Célia, peux-tu ouvrir la porte s’il te plaît ? ...
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