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Le dépucelage de Florine

Chapitre 1

Le point de vue de Ludovic

Hétéro
Ceci est le récit de ma première relation avec un homme, racontée de son point de vue. La version de Florine sera publiée après. Tout est vrai. Merci d’avance de ne pas vous poser en juge. Cela ne changera rien à ce qu’il s’est passé de toute manière
Je marche sur le trottoir dans le quartier de la mairie de Lille, un après-midi de juin tranquille, sans but précis, les yeux baladeurs sur les jambes dénudées des femmes. J’adore l’arrivée de l’été: les nanas se dévoilent et je suis chaud bouillant. Je m’appelle Ludovic, j’ai 25 ans et je suis intérimaire dans le BTP. Je ne suis pas très grand, mais svelte et j’ai un sourire charmeur. De mes origines italiennes je tiens un teint mat, des cheveux très noirs et la tchatche.
J’aperçois une donzelle qui marche vers moi, l’esprit ailleurs. Elle porte une longue jupe en jeans clair et un top blanc un peu moulant mais pas très décolleté. Plutôt sage comme tenue mais elle a un joli visage, de longs cheveux bruns et une silhouette assez formée pour son âge, que je situe entre 18 et 20 ans. Je la regarde dans les yeux, lui souris au moment où on se croise et elle me le rend. Je découvre que ses vêtements sont nettement moins sages de dos: la jupe est fendue jusqu’aux genoux et le top s’arrête au milieu du dos et se termine par des lacets croisés qui contrastent avec sa peau joliment dorée. 
Elle m’a vu la reluquer et son sourire ingénu me décide : elle sera ma prochaine proie. Je fais demi-tour et la rattrape en quelques pas. Je la cerne assez vite, on voit bien qu’elle est timide et n’a pas l’habitude de se faire aborder : une chance pour moi, c’est du tout cuit. J’apprends qu’elle s’appelle Florine et aura bientôt 19 ans. Des compliments bien placés et un beau sourire sont en train de la faire fondre. Au bout de 20 minutes d’échanges j’obtiens son numéro de téléphone et l’entraîne à l’écart pour un premier rapprochement physique. 
On est assis l’un à côté de l’autre sur un banc au cœur d’un patio. Nous sommes seuls et je passe à la vitesse supérieure : une main dans le bas de son dos, directement sur sa peau douce. Elle frissonne à mon contact mais me laisse faire. J’en profite pour l’embrasser sur la joue, puis dans son cou et je lui demande si ça lui plaît. Elle me répond oui dans un souffle. J’enchaîne les questions :
_ Tu as un petit ami en ce moment ?
_ Non, je n’ai personne.
_ Tu en as déjà eu un?
_… Non.
_ Non? Tu es… vierge?
_… Oui…
Oh c’est Noël ! Une pucelle ! Ce que je préfère ! Je vais pouvoir la modeler comme j’en ai envie, en faire une fille soumise à mes désirs. Je la sens demandeuse de découvrir les plaisirs de la chair, vu qu’elle ne me repousse pas et qu’elle répond docilement à mes questions. Mais il faut que je sois prudent et m’assure de son attachement rapide. Je lui demande si elle aimerait être ma petite amie car elle me plaît beaucoup et j’ai de l’expérience, je pourrais la guider.
Elle est d’accord, mais veut être sûre que je serai patient vu qu’elle n’a aucune expérience. Heureusement je sais y faire pour mettre en confiance les petites nenettes dans son genre. Et avant de nous séparer je réussis à l’embrasser, une belle galoche langoureuse, dans laquelle elle se donne : elle est ferrée. On se quitte en se donnant rendez-vous deux jours plus tard.

Le jour J je l’appelle pour décommander, lui sortant un joli baratin qui a fait ses preuves : je vais te faire du mal, je ne suis pas un mec pour toi, tu es tellement adorable, innocente, il vaut mieux arrêter avant d’aller trop loin. Bingo, ça marche, elle tombe dans le panneau : elle a envie d’apprendre à me connaître, de découvrir les choses de l’amour, c’est la première fois qu’on s’intéresse à elle. C’est elle qui insiste pour continuer, du coup elle aura du mal à me refuser ce dont j’aurai envie. Je lui demande trois jours pour réfléchir et elle accepte. Elle est vraiment paniquée à l’idée de rester vierge toute sa vie, je le sens.
Trois jours plus tard, on se rejoint sur Lille. Elle est toute belle dans sa jupe style andalouse et son petit haut cintré. On s’embrasse à pleine bouche : elle est mûre. Je lui propose de se promener un peu, main dans la main et elle accepte, ravie. Elle ne sait pas que je l’emmène chez moi, en faisant quelques détours. Je lui pose pleins de questions pour lui montrer que je m’intéresse à elle. Elle essaye aussi de mieux me connaître mais je reste vague. Nous finissons par arriver dans ma rue. Je lui demande si elle accepte de venir chez moi. Elle marque un temps d’arrêt et devant mon sourire angélique, cède. 
J’occupe une chambre au 2ème étage d’une maison divisée en studios, près de la station Porte de Douai. Je ne suis pas un maniaque du rangement et du ménage comme peut le constater Florine. Les sanitaires sont sur le palier et pour tout mobilier j’ai un lit une personne, une commode et une kitchenette. Je fais asseoir ma conquête sur le lit et viens la caresser et l’embrasser avec fougue. Elle me laisse faire et se détend un peu. Je lui susurre que j’ai envie d’elle, de la découvrir complètement, de la parcourir de mes mains et de ma bouche. Son souffle se fait plus court et elle me répond qu’elle en a envie mais qu’elle a peur. 
Il va falloir la jouer serré pour la garder sous ma coupe. Je commence à la déshabiller doucement, la couvrant de compliments et je l’encourage à ôter mes vêtements aussi. C’est la première fois qu’elle fait ça et ça m’excite encore plus. Il ne me reste que mon boxer, largement déformé par ma queue déjà bien dure. Elle porte encore son soutif et sa culotte en coton, mais plus pour très longtemps. Pour l’instant j’ai une furieuse envie de me faire sucer. Je lui demande d’enlever mon boxer et de caresser mon sexe. Elle le fait, tout doucement. Elle semble impressionnée et ça me donne l’avantage sur elle : je suis son professeur et elle,  mon élève. 
Je demande à Florine de prendre ma bite dans sa bouche, elle s’avance au-dessus de mon sexe mais bloque. Elle recommence plusieurs fois mais rien n’y fait : elle a peur de me faire mal avec ses dents et que je jouisse dans sa bouche. Je le prends un peu mal: je ne suis pas un éjaculateur précoce bon sang! Je commence à perdre patience, ça craint. Alors j’ai une idée : je vais dans ma commode, prends un pot de pâte à tartiner et en mets une bonne dose sur ma queue. Je n’en reviens pas d’être obligé de faire ça pour avoir droit à une pipe ! Mais ça fonctionne, ma petite pucelle daigne enfin prendre mon gland entre ses lèvres. Pour le moment c’est une sucette au chocolat mais progressivement elle sent mon vis dans sa bouche. Le résultat est délicieux, elle passe sa langue partout pour bien nettoyer ma bite comme je le lui ai ordonné. 
Pendant qu’elle s’occupe de me sucer pour la première fois de sa vie, je la pelote un peu au niveau des seins que je libère enfin. Ils ne sont pas très gros mais bien fermes et ronds. Elle gémit la bouche pleine et quand je sens qu’elle fatigue je l’arrête. Elle me demande si elle a bien fait ça. Je ne lui mens pas : c’était pas mal pour une première fois, mais je vais devoir lui apprendre comment bien sucer un homme. Elle semble un peu déçue mais je la rassure, je suis sûr qu’elle apprendra vite. 
Bon, c’est bien beau tout ça mais j’ai envie de lui fourrer ma queue bien raide dans sa petite chatte serrée maintenant. Allez hop, je l’allonge sur le dos et lui fait ouvrir les cuisses après avoir enlevé sa culotte un peu humide. J’enfile une capote et je viens m’allonger sur la demoiselle. Je frotte un peu ma queue sur sa chatte toute chaude et positionne mon gland à l’entrée de sa grotte encore vierge. Je lui demande de bien respirer, de ne pas se retenir de crier et de me serrer fort si elle a mal. Je la sens tendue mais je n’y prête pas plus attention que ça, de toute façon, la première fois ça fait toujours mal chez les filles.
Je rentre un peu le bout de ma bite et dès que je sens une résistance, je pousse à fond. Elle hurle et m’étouffe avec ses bras mais je tiens bon et je continue de m’enfoncer dans sa chatte, jusqu’aux couilles. Puis je me redresse tout en restant bien au fond d’elle et je lui dis dans un sourire: ça y est bébé, tu es une femme maintenant. Elle me sourit, les yeux remplis de larmes et je commence  à aller et venir dans son fourreau tout serré. Ses gémissements de douleur se transforment en soupirs de plaisir. C’est gagné pour moi. Je la besogne de plus en plus fort, de plus en plus vite et je jouis dans la capote. La prochaine fois je m’en passerai, ça me gâche un peu le plaisir. Mais je me devais de rassurer Florine pour mieux la contrôler ensuite. J’essaie de la doigter un peu pour la faire jouir mais elle a trop mal. Bon tant pis pour elle. On reste quelques minutes l’un à côté de l’autre et puis je lui dis que je dois voir un pote. Elle semble déçue qu’on ne reste pas plus longtemps ensemble aujourd’hui mais j’ai pu tirer mon coup, c’est bon pour moi.
Je la raccompagne au métro le plus proche et on se donne rendez-vous dans deux ou trois jours. Je lui dis qu’elle est belle et que j’ai envie de lui faire découvrir pleins d’autres choses sur le sexe. Elle en a envie aussi mais en douceur me demande-t-elle. Mais bien sûr… ça sera comme j’en ai envie moi et c’est tout. Elle est à ma botte et je ne vais pas me gêner pour en profiter. J’ai déjà envie de la sodomiser la prochaine fois, je vais adorer éclater son anus tout serré avec mon chibre. On s’envoie quelques textos en attendant le rendez-vous suivant, histoire de maintenir mon emprise.
Je demande à Florine de venir chez moi directement, comme ça on pourra passer plus de temps ensemble. J’ai tout préparé : le tube de vaseline, des magazines pronos et j’ai changé les draps. Elle arrive toute pimpante et je la complimente avant de lui enlever tous ses vêtements. Je demande à ma biche de me faire une bonne pipe et je lui donne des instructions pour qu’elle s’améliore. Cette fois-ci pas besoin de chocolat pour qu’elle me prenne en bouche. Elle applique bien mes consignes et quand je suis bien raide je la reprends en missionnaire, en levant bien ses cuisses. Elle a encore un peu mal mais ça passe vite. Puis je la retourne, en profite pour enlever la capote et je la prends en levrette. Je lui demande de glisser sa main sous l’oreiller et de prendre ce qu’elle trouvera dessous : les revues de cul. 
On regarde ensemble pendant que je la besogne et je lui dit : regarde cette fille-là, une vraie chienne, tu as vu comment elle s’occupe de deux mecs en même temps ? Sous l’excitation du moment ma nana acquiesce. Elle me demande si j’ai envie de faire ça avec elle. Je dis que c’est mon plus grand fantasme mais que je veux le faire avec la bonne personne. Tout en lui parlant, je caresse son anus très fermé. Elle est un peu surprise mais se laisse faire, du coup je commence à entrer le bout de mon index, puis je l’enfonce de plus en plus, me calant sur mes coups de reins. On tombe sur la photo d’une meuf qui justement est en train de se faire enculer bien profond et je lui glisse dans le creux de l’oreille : j’ai bien envie de faire pareil, tu veux bien ma puce? Elle hésite un peu, elle a peur d’avoir mal mais je la rassure en lui montrant le tube de vaseline : avec ça, ma bite va rentrer comme dans du beurre ma biche. Elle accepte, génial ! J’étale une bonne dose de crème sur mon majeur et je lui doigte le cul quelques instants, puis j’en mets sur ma queue et la pénètre sans tarder. Comme prévu, ça glisse tout seul et un son rauque sort de la bouche de Florine. Je reste enfoncé jusqu’aux couilles un instant puis démarre mes va-et-vient, mes burnes tapant contre sa chatte dans un bruit qui me rend fou. Je finis par jouir dans son cul et je vois mon foutre s’écouler de son anus dilaté quand je ressors. Ma puce reste immobile et je viens m’allonger près d’elle en la prenant dans mes bras : il faut bien la rassurer et la récompenser après tout ça. 
Je passe à l’étape suivante, je veux la partager avec un pote. Qu’on la prenne en même temps. Je lui dis que j’ai confiance en elle, que je commence à m’attacher, ce qui est rare. Mais elle refuse, c’est trop tôt me dit-elle. Elle a besoin de temps pour avoir confiance en elle et en moi. Elle trouve qu’elle donne déjà beaucoup et aimerait que je la fasse jouir. Moi je suis claqué là, après une bonne baise. Mais, grand seigneur, je lui titille le clito. Sans succès. Je suis tellement habile que j’arrive à lui mettre le fait de ne pas jouir sur le dos. Quand j’apprends que dans dix jours elle part en colonie de vacances en tant que monitrice, je vois rouge. Elle va m’échapper pendant quinze jours, ça craint. Il faut que je la fasse céder à mon envie de plan à trois avant qu’elle ne parte.
Après plusieurs discussions sur le sujet, Florine a enfin accepté que je ramène mon pote. J’en ai choisi un tout gentil, jeune et plutôt mignon. Ça va la mettre en confiance. Je fais les présentations : Florine, Arnaud. Arnaud, Florine. On ne perd pas de temps, on se fout à poil et je demande à ma puce de s’allonger sur le dos, les yeux bandés. Arnaud et moi commençons à lui lécher les seins doucement : elle se détend et semble apprécier que deux mecs s’occupent d’elle. Puis je lui demande de sucer mon pote, ce qu’elle fait avec application. J’adore la voir faire, soumise à nos envies. Je la doigte un peu devant et derrière et je lui demande qui elle veut dans sa chatte et dans son cul. Elle me choisit pour la sodomiser, donc Arnaud s’allonge sur le lit, elle vient s’empaler sur sa queue couverte et je les regarde copuler quelques instants avant de me placer derrière et de l’enculer comme une bonne petite chienne. Mais la situation m’excite trop et je jouis rapidement. Je les regarde baiser encore un peu et je vois qu’Arnaud va bientôt décharger à son tour. Il se rhabille vite et me remercie pour ce moment. Florine est un peu contrariée : elle n’a pas eu d’orgasme et s’est sentie un peu oubliée. Je la recadre direct: elle a eu deux mecs pour s’occuper d’elle, ce n’est pas notre faute si elle n’a pas joui !
On se revoit encore deux ou trois fois rien que tous les deux, je continue de prendre mon pied avec cette petite nunuche qui croit que je suis amoureux. Puis elle part en colonie et je décide de la zapper. Je suis sûr qu’elle va se faire tringler par un collègue. Pourtant en rentrant, elle me donne rendez-vous sur Lille, je la sens un peu bizarre mais je viens quand même. Quand je la vois, je m’approche et tente de l’embrasser mais elle me repousse. Elle me dit que je ne suis pas un mec bien, que je me suis servie d’elle. Je n’ai pas le temps de répliquer qu’un grand balèze d’une quarantaine d’années me tombe dessus et me colle une droite qui fait sauter une dent. Il me gueule dessus que je n’ai plus intérêt à approcher sa fille sinon ça ira très mal pour moi. Quelle grosse pute celle-là ! Elle m’a tendu un piège. C’est plutôt elle qui devra faire attention à ne pas recroiser ma route…
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