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Le dépucelage de Florine

Chapitre 2

Le point de vie de Florine

Hétéro
Nous sommes au mois de juin 2003, il fait beau sur la métropole lilloise. Je marche tranquillement sur le trottoir près de la station de métro Mairie de Lille. Je m’appelle Florine, j’aurai 19 ans dans un mois. Je suis brune, les yeux marrons et une silhouette plutôt élancée mais avec des formes. Je suis plutôt timide et manque beaucoup de confiance en moi. Je n’ai pas connu les amourettes de collège et de lycée et je suis encore vierge.

Je pense aux vacances qui approchent, deux semaines début juillet en tant qu’animatrice enfants en colonie de vacances, une grande première pour moi. Puis deux semaines en août dans un hôtel club à Corfou, une île grecque, avec mes parents et ma jeune sœur. Je croise un jeune homme, je dirais 24 ou 25 ans, brun, la peau hâlée. Il me sourit, ce qui ne m’arrive pas souvent, alors je lui souris aussi. Je continue ma route mais je sens qu’on m’observe alors je me retourne et je grille le charmant inconnu en train de me mater.

Il me rejoint en quelques pas et engage la conversation. Je suis plutôt flattée, moi qui me trouve moche avec mon acné juvénile qui s’accroche à ma peau. Il est gentil, il me pose des questions et me sourit tout le temps. Je suis assez troublée mais ça ne me déplaît pas. Voilà qu’il m’entraîne dans un endroit tranquille pour mieux faire connaissance, dit-il. À peine assis, il met une main dans le bas de mon dos dénudé et cela me fait frissonner…de plaisir. Il dépose un baiser sur ma joue, puis dans mon cou et je sens une douce chaleur envahir le bas de mon ventre. Mon inconnu, qui s’appelle Ludovic, voit mon trouble et me demande si j’ai un copain. Je réponds que non. Il poursuit son interrogatoire, voulant savoir si je suis déjà sortie avec un garçon. Gênée, je glisse un autre non. Il comprend que je suis vierge et ça n’a pas l’air de le déranger.

Ludovic me propose d’être sa petite amie, arguant qu’il pourra m’apprendre les choses de l’amour. J’hésite un peu, je ne le connais pas depuis deux heures après tout. Mais je repense à mes camarades de classe qui se moquent de moi, disant que je finirai vieille fille, que jamais un garçon ne s’intéressera à moi. Alors j’accepte la proposition de Ludovic. En se séparant, il me roule une pelle d’enfer, dans laquelle je me donne à fond : c’est une première pour moi. J’ai bien aimé mais je regrette un peu son haleine de fumeur. Il me donne rendez-vous dans deux jours.

Le jour J, en me levant je suis toute excitée à l’idée de revoir Ludo. Mais en fin de matinée je suis au comble du désespoir : il fait marche arrière, me disant qu’il n’est pas un gars pour moi, qu’il va me faire souffrir. Je fais mon possible pour le faire changer d’avis et j’y arrive. Il a besoin d’y réfléchir et me donnera sa réponse dans trois jours. Ceux-ci me semblent durer une éternité. Finalement on se revoit à ma plus grande joie! On s’embrasse avec fougue et il me propose de se promener : j’accepte avec plaisir. J’essaie d’en apprendre un peu plus sur lui mais il reste assez mystérieux.

Tout à coup, il s’arrête devant une maison et m’apprend qu’il vit là, dans un studio et il me propose de monter un moment. J’hésite quelques instants, je me doute bien de ce que mon mec a en tête… j’en ai envie mais j’ai aussi un peu peur. Je fonds devant son sourire et nous montons chez lui. Je reste dubitative devant son lieu de vie : c’est petit, encombré et un peu sale. Je me dis naïvement que ça doit souvent ressembler à ça, l’intérieur d’un célibataire. Ludo me fait asseoir sur son lit et commence à être assez entreprenant. Il m’embrasse et passe ses mains partout sur mon corps, par-dessus mes vêtements. Puis il me glisse dans l’oreille qu’il a envie de moi, de me découvrir et ça me rend toute chose. Il commence à enlever mes vêtements, tout en me faisant des compliments sur mon corps et je me laisse aller. Mon mec me demande de le déshabiller aussi, ce que je fais de façon un peu gauche: je suis un peu nerveuse.

Je louche un peu sur la barre qui déforme son boxer alors qu’il me demande de lui enlever. Son sexe se dresse fièrement devant moi et mon copain m’encourage à le caresser. Je l’effleure doucement : c’est doux, chaud et dur. Puis Ludo me demande de le sucer. Une part de moi en a envie mais une autre part à peur. Peur de lui faire mal avec mes dents et peur de recevoir son sperme dans ma bouche. Il commence un peu à s’impatienter alors que j’hésite à le prendre en bouche et d’un coup il se lève et va ouvrir le tiroir de sa commode. Il en sort un pot de Nutella et en dépose une bonne noisette sur son gland en soupirant "Pfff, j’en reviens pas d’être obligé de faire ça…" Mais ça fonctionne : j’ose enfin poser mes lèvres sur son sexe érigé. Je n’ai que le goût du chocolat au début et j’apprivoise petit à petit ce qu’il se trouve en dessous. Sans y penser je passe ma langue sur tout le tour de son gland et j’aspire pour bien le nettoyer. J’entends Ludo soupirer, il a l’air d’aimer ça et je suis contente.

Il m’interrompt mais continue de me caresser les seins, ce qu’il avait commencé pendant ma  toute première fellation. Il m’allonge sur son lit et ouvre mes cuisses après avoir enlevé le dernier rempart de ma pudeur. Je le vois avec soulagement enfiler un préservatif et venir s’allonger sur moi. Je sens son sexe raide se frotter sur ma chatte humide et après quelques va-et-vient le long de ma fente, il présente son gland à l’entrée de mon vagin : j’ai un moment de panique mais il me rassure me disant que je peux le serrer fort et crier sans retenue, que ce n’est qu’un court mauvais moment à passer avant de découvrir le plaisir. Je le sens buter contre mon hymen et donner un puissant coup de bassin : je crie de douleur, j’ai envie qu’il ressorte et en même temps qu’il reste. Il se recule un peu, toujours planté au plus profond de mon intimité et me dit dans un sourire fier: ça y est ma puce, tu es une femme maintenant. Je lui souris à mon tour, les yeux pleins de larmes de douleur et de fierté mélangées. 

Il commence à bouger d’avant en arrière et la douleur laisse place peu à peu au plaisir. Après quelques minutes où il accélère franchement, je le sens jouir dans la préservatif et se retirer.

Il vient ensuite se coller à moi et glisse ses doigts sur ma minette pour me faire jouir à mon tour mais c’est trop sensible et il y va un peu trop fort. Ludo arrête donc ses attouchements et commence à se rhabiller. Il me dit qu’il doit voir un pote dans quinze minutes et qu’il a juste le temps de me raccompagner au métro le plus proche. Je suis un peu déçue de ne pas passer tout l’après-midi avec mon amoureux mais je ne dis rien: je ne veux pas lui déplaire. On se donne rendez-vous dans quelques jours, qui me paraissent interminables. Je raconte ma première fois à mon seul confident : mon journal intime.

Je retrouve Ludo directement chez lui la fois suivante. J’espère passer plus de temps dans ses bras et découvrir d’autres plaisirs avec lui. Quand j’arrive il se jette sur moi et je me retrouve nue très vite. Sa fougue me flatte! Il se dévêt aussi et me demande une fellation "nature" cette fois. J’ai dépassé mon blocage et je lui fais, écoutant attentivement ses indications. Puis il me prend en missionnaire comme la première fois. Mais avant de jouir il se retire et me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Je le sens se coller à moi et me pénétrer vigoureusement: c’est un peu brutal mais intense aussi alors je le laisse faire: après tout, il a dit qu’il m’apprendrait à faire l’amour.

Sous ses directives je glisse une main sous l’oreiller et en sors une revue porno. Je suis un peu surprise mais lui fais confiance. On regarde tous les deux le magazine et il fait des commentaires sur certaines photos, m’encourageant à être chaude comme certaines filles sur les images. Il me demande de tourner les pages de la revue porno et on découvre une femme qui se fait prendre en sandwich par deux hommes. Elle semble prendre son pied, ce que souligne Ludo. Je lui demande s’il aimerait faire ça avec moi, inquiète. Il répond que c’est son fantasme numéro un mais qu’il attend de trouver la bonne nana. Je suis sous l’emprise du plaisir qu’il me donne avec cette pénétration intense et mon cerveau est en mode veille. Il en profite pour me demander si j’aimerais bien. Je ne dis pas non, mais pas tout de suite: j’ai envie de prendre mon temps pour ce genre de pratique. Il me dit qu’il comprend, que ce n’est pas grave. 
On tombe ensuite sur une scène de sodomie et Ludo me glisse qu’il en a très envie aussi. Il commence par caresser mon anus avec son index tout en continuant à me prendre. Ça me fait drôle mais ce n’est pas désagréable alors je lui donne mon accord pour qu’il continue. Mon homme passe à la vitesse supérieure sans tarder et fait des allers et retours dans mon fondement avec un puis deux doigts. Il étale de la vaseline sur mon anus et sur son membre et me pénètre d’un coup! Je me sens écartelée et ça me fait un peu mal sur le moment. Puis la douleur s’efface, laissant place à un certain plaisir et il me sodomise plus énergiquement avant de jouir en moi. Je réalise alors qu’il a enlevé le préservatif et je lui dis qu’il aurait dû me prévenir. Mais Ludo me répond que ça va, il est clean et moi aussi puisque c’est lui qui m’a dépucelée.

Les fois suivantes, il me reparle souvent de son fantasme de plan plan trois et devient un peu pressant. J’ai peur de le perdre alors je finis par céder. En plus dans quelques jours je pars pour deux semaines en colonie et il est persuadé que je vais le tromper avec un collègue. Je me dis que si j’accepte de réaliser son fantasme, il aura la preuve que je l’aime et que je suis fidèle. On programme le plan à trois avec un ami à lui qui est très gentil et mignon, m’assure Ludo. 
Le jour J on se retrouve dans le studio de mon chéri et un jeune mec est déjà là : Arnaud, blond aux yeux bleus, 23 ans. On passe très vite à l’action en se déshabillant tous les trois. Puis Ludo me met un bandeau sur les yeux et je sens deux bouches s’occuper de mes seins: c’est très excitant et très agréable. Surtout quand je sens leurs mains descendre.

Ils continuent leurs caresses buccales en haut et digitales en bas: je suis très humide. J’enlève le bandeau et Ludo me demande qui je veux dans ma chatte et dans mon cul. Je choisis et Arnaud s’allonge sur le dos. Je viens sur lui en andromaque et m’empale sur son sexe, qui est moins imposant que celui de mon homme. Arnaud caresse mes seins, puis m’attire à lui pour que Ludo puisse me pénétrer l’anus. Ce dernier met une bonne dose de vaseline sur son membre et m’embroche d’un coup. Je me sens complètement remplie. C’est un peu trop intense pour moi mais heureusement Ludo ne tient pas longtemps : la situation doit beaucoup l’exciter et il se vide dans mon fondement. Il nous regarde quelques instants, Arnaud et moi, copuler, avant que mon partenaire d’un jour ne jouisse à son tour.

Ce dernier se rhabille rapidement et se sauve un peu comme un voleur. Mon mec semble très content d’avoir pu réaliser son fantasme, mais moi je suis un peu contrariée : je n’ai encore jamais joui sous les caresses de Ludo. Je lui en fait la remarque mais il se dédouane : si avec deux mecs je n’ai pas pris mon pied c’est que le problème vient de moi, pas d’eux. Il me convainc du bien fondé de son raisonnement et je me dis qu’il doit avoir raison, après tout il a beaucoup plus d’expérience que moi. Je lui demande s’il peut quand même essayer. Il le fait mais je sens bien que ça l’ennuie plus qu’autre chose et l’orgasme ne vient pas. On se revoit tous les deux encore deux ou trois fois avant mon départ en colonie. Bien sûr je raconte tout dans mon journal intime avant de partir. 
De retour à la maison je subis l’engueulade de ma vie par mes parents : ma mère a lu mon journal… ils sont horrifiés et très en colère de la façon dont m’a traitée Ludo. Celui-là d’ailleurs, je n’ai pas réussi à le joindre pendant les deux semaines de ma colonie de vacances. Je commence doucement à ouvrir les yeux sur la réalité : ce mec s’est servi de moi, a abusé de ma naïveté et de mon manque de confiance en moi pour satisfaire SES envies.

Je suis obligée par mes parents de lui donner rendez-vous sur Lille : mon père me suivra de quelques mètres pour lui tomber dessus et s’assurer qu’il ne me contactera plus jamais. Je me rend au point de rendez-vous très angoissée et je vois Ludo marcher vers moi, l’air triomphant, sûr de lui. Il n’est pas déçu du voyage quand je repousse sa tentative de baiser et que je lui claque ses quatre vérités. Il n’a pas le temps de répliquer que mon père l’interpelle et lui décoche un coup de poing qui envoie mon ex rouler au sol. Quand il se relève, noyé sous les vociférations de mon père, je constate qu’il a perdu une dent. Je vois Ludo, soi-disant ceinture noire de karaté, s’enfuir à toutes jambes devant la colère sans borne de mon père. Même moi je suis effrayée, je ne l’ai jamais vu autant en colère. Mon premier et ex petit copain m’envoie un SMS plus tard m’intimant l’ordre de changer de direction ou de trottoir si on venait à se croiser à l’avenir, sinon il me défoncera la gueule. Charmant...

Voilà, ceci est le vrai récit de ma  première relation avec un homme, si l’on peut dire. Encore une fois, merci de ne pas juger les personnes présentes dans ce récit : ce qui est fait est fait. J’ai appris à vivre avec ce souvenir et heureusement par la suite j’ai connu des hommes biens, attentionnés et respectueux. J’ai aussi compris que j’avais le droit de dire non. On apprend de ses erreurs, n’est-ce pas?


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