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dépucelée par papi

Chapitre 1

Inceste
Bonjour. Je m’appelle Amandine, j’ai 22 ans et je voudrais raconter mon histoire...
A l’époque je venais de passer mon bac et je ne tenais pas en place, avide de découvrir la vie. Pourtant, pendant les vacances, mes parents, pour me calmer n’ont rien trouvé de mieux que de m’envoyer chez mes grands parents à la campagne...Mamie et Papi sont très gentils mais j’avais vraiment pas envie de passer 15 jours avec eux. Ce ne sont pas des marrants, et qui plus est, ils habitent dans la vieille maison familiale, perdue au milieu des champs, à des kilomètres du premier village...Quel ennui ! Sous la pression de mes parents j’y suis allé quand même...Après 3 heures de train, dès que je suis arrivée là bas, j’ai compris que c’était une erreur. La campagne, c’était pas mon truc. J’ai commencé être bougonne, à faire la tête pour un oui ou pour un non... J’ai décidé de casser mon image de petite fille sage et j’ai joué la provocation pour me faire renvoyer à la maison.
Je me suis mise à être impertinente, répondre à tout bout de champ.... Mamie n’était vraiment pas contente ... Elle me disait sévèrement que c’était pas bien et qu’il fallait que je sois plus sage... Sinon je devrais retourner à la maison... cool ! justement j’attendais que ça !!!
Papi, lui, avait l’air de s’en foutre ! Ca m’énervait ! Il fallait que je réussisse à lui rendre la vie impossible pour l’obliger à me renvoyer...J’ai commencé à être carrément moqueuse avec lui et désagréable... Lorsque Mamie lui disait "mais enfin, ne laisse pas la petite te parler comme ça !", il répondait : "ho t’embête pas, c’est de son age, laisse la... Moi ça me gêne pas... "Et comme ça le gênait pas, ils me gardaient avec eux... Ca me rendait folle.
Alors j’ai essayé de changer de stratégie. J’ai joué la carte de la provocation d’un autre type. Je me suis mise à me promener à moitié nue dans la maison, avec les petites culottes les plus mini que je pouvait trouver... Mes grands parents étaient très à cheval sur les règles et les convenances, j’étais sûre que ça allait les énerver.Un matin j’ai fait exprès de laisser la porte de la salle de bain ouverte. J’étais juste en culotte, mes petits seins nus, sans soutif. J’ai attendu que Papi passe dans le couloir et me voie. Il allait me gronder, j’en était sûre, et me renvoyer à la maison... Mais au lieu de ça il a juste jeté un regard et il est parti. Et alors ? Même pas une remarque, même pas un moment d’énervement ? Je ne comprenais pas.
Je n’avais pas été assez provocante peut être...Alors le lendemain j’ai joué plus fort. Lorsque je l’ai entendu aller dans la salle de bain pour prendre sa douche, cette fois c’est moi qui l’ai rejoint. J’ai enlevé ma culotte et c’est toute nue que je suis rentrée dans la salle de bain.Sans un mot, faisant mine d’ignorer Papi qui était en train de se savonner, je me suis mise face à la glace du lavabo, mon petit cul bien en arrière, et j’ai sorti ma trousse de toilette pour me maquiller. En douce, je mâtais Papi dans la glace. J’attendais sa réaction, qu’il dise quelque chose, qu’il s’énerve. Mais il poursuivait sa douche, l’air de rien.Un peu sans le vouloir, je regardais son sexe. Je n’avais pas vu beaucoup de sexes d’homme jusque là. Je trouvais qu’il était pas mal du tout, de taille tout à fait honorable, plutôt impressionnant même, long, plutôt gros. Une belle queue de mec... Papi était pas mal du tout lui aussi pour son age, pas de graisse, bien musclé encore. Ca conserve la vie à la campagne !
Je continuais de me maquiller en faisant bien attention de ne pas croiser son regard. Lorsque Papi sortit de la douche, il attrapa une serviette et se mis derrière moi pour s’essuyer. Il s’était collé très, très proche de moi...Il a posé la serviette sur un porte manteau et a mis les mains sur mes hanches. J’ai compris que les choses allaient prendre une tournure à laquelle je ne m’attendais pas...Tout doucement il m’a dit : "Tu exagères Amandine ! Tu crois que je t’ai pas vu venir ? Tu es vraiment une petite coquine ! Mais ça ne me gêne pas ..." Il y avait quelque chose de chaud contre ma cuisse... Son sexe... Il bandait !!! Au lieu de s’énerver contre moi, mon Papi bandait ! C’était le comble !!!

J’étais très surprise bien sûr, énervée de sentir que la situation m’échappait... Mais étrangement, j’étais fière de provoquer chez lui cette érection... Moi qui cherchait à le faire réagir, j’y étais arrivée... Pas avec les effets escomptés, certes...
Il commença à promener ses mains un peu partout, sur mes hanches, mon ventre, frôlait mes seins, ce qui me faisait plutôt de l’effet. "Tu as la peau douce ma chérie...". Je sentais son sexe dressé contre mon ventre. Abandonnant mes principes, par curiosité, je l’ai pris dans la main. C’était vraiment impressionnant de sentir cette grosse chose chaude entre mes doigts. Elle grossissait encore...C’était drôle ! Presque sans le vouloir, je me suis mise à masturber Papi. C’était fascinant ... Il bandait tellement !
Lui, il n’en pouvait plus, il était excité comme une puce, il me caressait de partout, me serrait fort contre lui et et me disait des trucs du genre "tu n’as pas honte de rendre fou ton Papi chéri, Amandine ? ". Je sentais sa queue toute dure dans mes mains. Il me caressait les fesses, me mettait des doigts partout, y compris dans le minou...— Papi... je suis vierge...— Ca ne fait rien, ma chérie... J’ai bien vu que tu t’ennuyais chez nous. Papi va s’occuper de toi, tu vas voir comme c’est bon...Quel pervers, mon Papi quand même ! Jamais je me serais douté de ça ! Mais au lieu de me faire peur, c’était tout le contraire : ça m’excitait.
Il sentait bien que je n’avais rien contre : il m’a attrapé par les fesses, soulevé de terre comme une plume et il m’a reposé sur le lavabo, un beau lavabo en pierre de la campagne, bien solide. Il m’a écarté les jambes. Il regardait mon minou avec des yeux ronds, pleins de désir et d’admiration. Il descendit sur ses genoux et porta son visage entre mes jambes. Là je senti sa langue qui se mit à lécher doucement ma chatte. Mon dieu que c’était bon ! La langue de Papi me donnait plein de frissons, elle furetait partout dans ma foufoune, entrait même un peu au milieu. C’était délicieux. Puis il se releva. Il semblait avoir vraiment envie, sa queue bien droite devant moi...Il attrapa mes jambes et me rapprocha de lui. J’avais bien compris son intention...A l’époque, je n’avais jamais encore véritablement fait l’amour, voulant préserver ma virginité pour celui qui ferait vraiment battre mon coeur (j’étais un peu naïve à l’époque), mais j’ai compris que là, j’allais y passer... Mais après tout, Papi avait raison : je m’étais tellement ennuyée, ces vacances... Un peu d’animation ne me ferait pas de mal ! Et puis en regardant la belle queue de Papi, en la sentant contre moi, je ne pouvais que constater que j’en avais bien envie...
Je l’ai laissé m’avancer encore contre lui. J’osais pas regarder mais je sentais sa grosse queue tout près de ma petite chatte. Il poussa doucement son gland vers l’entrée de mon étroit vagin de pucelle... Oui la grosse queue de mon Papi... Il était en train de me rendre visite... Ha si j’avais pensé à ça !! Il a poussé un peu plus fort, et ça y est ...Doucement, progressivement, Papi est rentré tout au fond de moi... Il a commencé des va et vient délicieux ...
C’était une sensation extraordinaire ! C’était la première queue que je recevais une queue d’homme, et quelle belle surprise ! Papi était très délicat, juste ce qu’il faut pour une première fois. Mes copines ne m’avaient pas menti. C’était vraiment bon, une bonne queue de mec ! Et que ça soit celle de mon Papi ne changeait rien à l’affaire...
Il a commencé a faire des mouvement de va et vient, très très doucement. Quel délice ! Il paraît que la première fois c’est parfois un peu douloureux, mais là, avec Papi, c’était juste délicieux. Je regardais son sexe aller et venir en moi. Qu’il était beau ! Ca a duré un moment comme ça, puis il s’est mis à accélérer. A ma grande surprise c’était encore meilleur. Plus il y allait fort, plus j’aimais ! J’avais un peu honte, mais c’était bon, trop bon ! Il me défonçait bien comme il faut, avec une vigueur insoupçonnée chez un homme de son age. Ses coups de rein étaient ravageurs. A chaque fois j’avais l’impression qu’il allait plus loin en moi. Il s’arrêtait quelques secondes puis recommençait de plus belle.
Au bout d’un moment, brusquement Papi est sorti, comme s’il y avait le feu... Il a mis sa queue au dessus de mon ventre et j’ai vu un jet de liquide blanc, abondant, jaillir de sa belle queue. Son sperme chaud s’est répandu sur mon ventre. J’en avais partout.— Ca va Papi ? — Heu... Oui ma chérie, j’ai failli venir en toi ! Tu ne prends pas la pilule en plus je suppose ! Tu m’as rendu fou ! C’est pas grave, hein ? — Mais non, Papi c’est pas grave ! J’ai beaucoup aimé ! ...On recommencera ?— heu... oui... ma petite fille... Bien volontiers !
C’est ainsi que du jour au lendemain, je n’ai plus du tout eu envie de rentrer à la maison. J’avais trouvé un très bon passe temps : la queue de Papi était devenue mon jouet favori, et Papi savait vraiment bien s’en servir. Il était le meilleur amant qui soit pour une petite pucelle comme moi, attentionné, délicat, mais surtout expérimenté ! Il m’apprenait des tas de choses. En quelques semaines j’ai rattrapé tout le retard que j’avais par rapport à mes copines...
Je ne mettais plus de culotte sous mes jupes et ça excitait beaucoup Papi. Dès que mamie tournait le dos, il me mettait la main aux fesses. Ou alors il m’emmenait dans le jardin pour me prendre encore une fois. Moi je me laissais bien faire car j’adorais ça ! Lorsqu’il a fallu que je parte pour retourner sur Paris, j’étais bien malheureuse. Papi m’a fait promettre de revenir vite. Tu parles ! Bien sûr que j’avais envie de revenir : la queue de mon Papi allait trop me manquer !
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