Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 128 J'aime
  • 5 Commentaires

Je dépucelle le fils de ma meilleure amie.

Chapitre 2

Hétéro
JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE.Épisodes 2 et 3.
Résumé de la 1ère partie : Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots. J’ai dépucelé Claude, le fils de ma meilleure amie. Claude est d’une timidité maladive mais c’est un diamant brut de 18 ans avec une queue impressionnante.Je lui ai fais découvrir ce qu’était le corps d’une femme et il m’a comblée avec sa queue d’âne.Je lui ai promis de revenir ce soir pour qu’il me fasse subir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.Mais vu ses proportions peu communes, il va falloir que je me prépare sinon je vais déguster.

2ème épisode.Le soir est enfin venu, avant de rejoindre Claude dans sa chambre, Je commence par une séance aux toilettes pour un petit lavement, il faut que je fasse de la place pour sa queue, c’est qu’elle va remonter loin dans mes boyaux. Puis je me mets en condition avec un gode de bonne taille. Je sais que je vais souffrir malgré que mon cul n’en soit pas à sa première bite.
Une fois bien chaude et le cul assoupli, je vais me glisser dans la chambre de Claude. Je le trouve assoupi dans son lit. Je m’approche et tire doucement le drap qui couvre son corps.Je redécouvre avec admiration les proportions parfaites de cet adolescent. Il va en faire craquer des filles...Mais ce qui va peut-être l’handicaper avec elles, c’est cette verge si impressionnante qui va en rebuter plus d’une.Elle repose entre ses jambes épousant de belles bourses bien pleines pour finir alanguie sur le drap.Je me glisse entre ses jambes écartées et me saisis de ce dessert royal. Doucement, très doucement, je fais glisser ma main sur ce serpent qui prend doucement vie sous mes doigts.
Régulièrement, je libère sa verge pour constater les résultats de mon labeur, toujours collée contre ses bourses, elle relève la tête en un léger arrondi.Après quelques minutes d’efforts, elle se redresse à l’horizontal atteignant pratiquement sa taille définitive. Je m’active maintenant avec mes deux mains sur cette hampe magnifique et me décide à avaler avec difficulté ce gland trigonocéphale.A chaque caresse, je sens sa verge qui prend du volume. Des veines saillantes forment un lacis enchevêtré sous la peau fine.
Quand enfin je libère à nouveau son phallus, il est devenu si raide qu’il retombe sur son ventre, cachant son nombril. Je suis de nouveau choqué malgré nos galipettes de l’après-midi par les dimensions de ce manche de pioche.Son sexe a une grosse tête bulbeuse et la hampe devient de plus en plus grosse en s’approchant de son pubis.Curieuse, je me suis muni d’un mètre de couturière pour en avoir le cœur net et entoure la hampe à sa base avec mon mètre. Mon dieu ce n’est pas vrai… 19 cm !!! Çà fait quoi en diamètre ? Elle est vraiment énorme !!! Ca va être du sport de se glisser ça dans le fion !!!Je mesure aussi sa longueur, elle fait 26 cm de long… Ce n’est pas possible !!! Je ne la voyais pas si grande mais son épaisseur inusitée me donnait l’impression qu’elle était beaucoup moins grande.
Je lève un peu les yeux et vois Claude qui me regarde en souriant, il me demande perplexe:-J’espère que c’est à ton goût, tu trouves peut-être que je ne fais pas la maille ?Je lui rétorque aussitôt :-Pour faire la maille, tu n’as rien à craindre avec un éperon pareil, c’est un véritable monstre que tu te trimbales, mon garçon !
Et ma bouche reprend de nouveau possession de ce mandrin magnifique.Ma langue lèche avec application toute la longueur de sa hampe en finissant par gober ses œufs chargés de sa laitance.Je m’applique dans une fellation ou je ne peux absorber que son gland énorme.Cette constatation m’affole un peu en pensant que je veux me faire enculer par un membre de cette longueur, et que dire de la grosseur ?...Quel contraste avec la virilité de mon mari avec son membre ridiculement court par rapport à ce que je tiens dans mes mains.La vue de ce jeune et colossal membre viril à quelques centimètres de ma bouche me fais perdre toute retenue. Je lui enfile un préservatif, le diamètre est si imposant que même la taille XXL du condom compresse la base de son rostre.
Je me relève et monte sur le lit pour chevaucher son corps, dos à lui, en lui montrant mon petit trou qui frémit d’impatience.Les sens exacerbés, je ne peux résister au désir de frotter mes fesses contre ce membre que je tiens fermement à la base.Je me contrôle difficilement en sentant sa force virile si près de mon anus, mais je me retiens ne voulant pas déchirer mon petit trou sous la poussée sauvage de cette colonne de granit.
-Aller Claude, comme promis je veux que tu me sodomise avec ton défonce-cul mais avant il faut que tu me prépares avec tes doigts !Je vois que Claude hésite alors je prends son poignet et colle ses doigts masculins sur mes fesses déjà frémissantes.Il appuie doucement son majeur contre ma collerette déjà humidifiée par mes préparatifs qui s’ouvre sous la pression. Etonné par l’intrusion de son doigt sans aucune peine dans mon anus, il s’enhardit alors, et enfonce entièrement son majeur dans mes entrailles. Perplexe mais rassuré par mes gémissements, son index vient se joindre à son majeur dans ma rosace déjà perforée. Je lance ma croupe en arrière pour l’encourager à découvrir mes entrailles mystérieuses.
Je cambre brusquement mes reins, lançant furieusement ma croupe à la rencontre de sa main, l’incitant à aller plus loin. Ces doigts me pistonnent l’anus déjà bien dilaté, déclenchant une longue plainte qui s’échappe de mes lèvres. Désirant savoir jusqu’à quel point il a élargi mon cul, il plonge trois doigts dans ma chatte dégoulinante et une fois qu’il les a bien lubrifiés, déterminé, il les enfonce dans mon anus n’en revenant pas de ce qu’il ose entreprendre.Claude se rend compte de la souplesse de cette partie de mon anatomie complètement étonné de la facilité avec laquelle ils agitent ses 3 doigts dans mon fion tandis que de son pouce s’est glissé dans mon vagin trempé pour titiller sensuellement mon clito.
Je suis étonnée de son audace mais très heureuse de ses initiatives.-Claude, c’est le moment de passer à l’acte mais il faut que tu lubrifies abondamment ta queue et mon œillet avant de me prendre !J’avais tout préparé et il s’acquitte minutieusement de cette tâche avant de présenter son monstre à mon petit trou.
Il met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Je plie les genoux et je sens mon derrière s’ouvrir sous la pression.Jusque-là tout va bien et je me dis…« Détends-toi ma petite. C’est le moment le moins agréable, tu vas déguster mais tu l’as voulu ».J’entreprends l’intromission dans l’anus de son gland. Je me baisse aussi doucement que possible mais je suis si tendu que je ferme le passage tellement j’ai peur qu’il me déchire. Mon Dieu, il est vraiment énorme !
Je sens qu’il s’énerve de ne pas y arriver.La pénétration est plus difficile qu’il croyait.Je ne sais pas si certaines d’entre vous ont tenté une telle expérience avec un pieu si énorme, c’est assez délicat. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. Jamais cela ne rentrera. Je glisse le bout de son gland sur le centre de mon trou. Je me recule vers ce bélier tendu qui pousse sur mon sphincter pour l’enfoncer.
Mon cratère s’élargit quand j’arrive à introduire enfin son gland et que mon anus emprisonne sa queue, il souffle fort et essaie de s’enfoncer plus profondément en constatant.— Comme c’est étroit, putain que tu es serrée par là !Je sens mes parois s’élargir quand je continue à me baisser et qu’il s’enfonce plus profondément en moi, ouverte comme jamais, et j’avoue ne pas prendre de plaisir tellement cette intrusion est douloureuse.
Sa bite progresse doucement mais sûrement dans mon anus, s’enfonçant toujours davantage. J’arrête la poussée un instant comprenant que je n’y échapperai pas. Mais en même temps, je n’ai pas envie d’arrêter. J’encaisse pour ne pas le décevoir, les yeux larmoyant.Il m’interroge, anxieux :- Julie… tout va bien ? Tu as mal ? Tu veux arrêter ?
Je lui réponds dans un long râle :-Ça va aller, j’en ai vu d’autres… Bien que… Ne t’inquiète pas. Le plus dur est fait. Mon corps va enfin connaître la totalité de ton pénis. Mon petit cul va avoir l’honneur de goûter aux derniers centimètres de ton engin !Il m’encourage :— Allez, tu y es presque !Après un instant d’hésitation, je recommence à enfoncer sa matraque un peu plus en moi, je suis investi par son énorme verge fichée en moi comme un tuteur m’empêchant de tomber.Les muscles de mon anus doivent céder et laisser entrer en moi la base massive de la colonne de chair, ils se contractent comme pour l’expulser.Je suis paralysé, complètement possédée par cette incongruité qui remonte dans mon ventre défrichant des terres vierges.Je sens mes fesses écraser ses bourses. Ça y est, il est entièrement en moi.Je ne bouge plus, il s’est redressé et a pris avec douceur dans ses mains mes seins pour les caresser tendrement.
Petit à petit, la douleur laisse place au plaisir. Au bout d’un moment, je décide de reprendre les choses en main. Je pose mes pieds sur ses cuisses et mes paumes sur son torse et commence l’ascension de son rostre ne gardant que le gland en moi.La situation est sous mon contrôle et de plus en plus agréable. Je fais aller et venir dans mon anus son énorme sexe me poignardant jusqu’au bout en retenant en moi mes hurlements de plaisir.— Aaaaaaah, c’est bon… Mon Dieu… Tu me dépucelles à nouveau le cul ! Je vois dans la glace de l’armoire son jonc vigoureux sortir de moi, puis se renfoncer jusqu’à la garde.Sa grosse queue a tellement alésé mon cul qu’il me pénètre facilement maintenant, c’est fascinant !
Sentant l’orgasme le saisir soudainement, il me prend par les hanches et m’embroche d’un violent coup de reins, je sens son corps se cambrer frénétiquement, comme électrisé avant de s’immobiliser. Un geyser puissant de sperme lubrifie mes intestins en saccades violentes et répétitives.— Aaahhh… ouiiiiii…OOOhhhh mon chéri ! Remplis –moi ! Encore… Ouiiiii comme çà…. Ooooohhhhh….
Ses puissantes giclées de semence virile dans mes entrailles déclenchent en moi un orgasme d’une rare violence. Un long cri inhumain m’échappe, la jouissance me fait tellement me cabrer que son pieu s’échappe de mes reins complètement dévastés.
Je bascule sur le coté mais Claude ne l’entend pas comme ça, il commence à prendre des initiatives, le puceau, et j’aime çà !Il se lève, la queue toujours raide, me force à m’agenouiller sur le lit et pénètre mon œillet encore dilaté avec force jusqu’au fond puis s’arrête, comme pour me laisser le temps d’apprécier.
Il reprend le rythme de ses pénétrations, s’enfonçant, et se retirant... Je pousse des cris de plaisir à chacune des poussées de son gourdin qui me lime comme jamais me remplissant complètement. Je prends un pied incroyable et suis vite de nouveau au bord de l’orgasme, je contracte mes muscles sur cette grosse verge jusqu’à l’explosion de mes sens. Quand enfin le plaisir arrive, je gémis lorsqu’un flot de mouille s’échappe de mon sexe en manque de bite.
La pulsation de son membre qu’il m’enfile à fond me rend folle. Il grogne et ahane sous l’effort, mon amant fougueux, me pilonnant infatigablement, variant les plaisirs en changeant de trou pour rassasier aussi ma chatte tout en prenant des précautions pour ne pas me blesser.Je n’aurais pas cru pouvoir encaisser aussi facilement un tel organe mais je suis excité comme une pucelle qui découvre sa première bite.Les coups de boutoir de ce jeune animal fougueux sont douloureux mais ne font que décupler mon plaisir ! J’aurais voulu qu’il me lime encore pendant des heures mais je sens son excitation atteindre le maximum qu’il puisse accepter !
Il s’est mis à accélérer le mouvement, je pense qu’il est au bout, je veux qu’il jouisse ! Je l’encourage en criant de toutes mes forces :-Jouis mon petit poulain, vide tes couilles en moi ! Ouiiiiiiii, ooooooh, putain je pars, ouiiiiiiiii, oooooooooh , encore, ne t’arrêtes surtout pas ! Défonce-moi !Je suis devenue folle de dire de telles choses mais je ne peux plus me retenir. Un flot brûlant inonde mon vagin en fusion, mais ce petit con n’a toujours pas cracher, champion le puceau, il apprend vite !!!
Claude devient hystérique et m’encule maintenant par des poussées d’au moins vingt centimètres.La sensation est extraordinaire bien qu’un peu douloureuse quand son manche de pioche si large défonce mes fesses, la sensation d’être si bien rempli suivie du vide qu’il laisse en se retirant pratiquement est dantesque! Jamais je n’ai connu ça !Je suis maintenant toute à lui complètement relâchée sous ses coups de boutoir. Quelle sensation d’extase ! Je gémis, je râle, en larmes de douleur quand son rythme s’accélère encore jusqu’à devenir d’une brutalité inouïe, Claude se défoule complètement. Il me défonce comme un damné ne se rendant pas compte par son manque d’expérience qu’il y va trop fort.
Mais je n’y tiens plus, je veux voir ce défonce-cul expulser tout son jus !Je m’extrais avec difficulté mais autorité de son rostre, c’est quand même moi la patronne bordel !!!Je retire le préservatif et le prends en bouche avec difficulté tout en le branlant des deux mains avec vigueur.Je m’emploie avec un tel brio qu’il éjacule à peine la verge sortie de ma bouche. Son sperme s’échappe du méat avec violence, ah la jeunesse !La première giclée de sperme est un véritable jet. Elle me frappe le visage avec une puissance que je n’aurais pu imaginer. Mon visage se recouvre de sa gelée épaisse. Puis aussitôt, une deuxième tout aussi abondante, tout aussi violente m’inonde les cheveux et termine sa course sur les draps.Je continue à masturber cette lance d’incendie, orientant comme je peux les jets...Une troisième giclée s’ajoute sur mon visage qui se retrouve sous une couche épaisse de crème. J’ouvre la bouche pour accueillir la quatrième giclée dont le volume de sperme ne tarit pas, ses expulsions sont toujours aussi copieuses.Comment ce jeunot peut-t-il avoir des testicules aussi pleins ?Deux autres plus espacées finissent par me remplir la bouche, j’avale ce mets de reine en appréciant son goût exquis tout en sentant sur mon visage malgré sa viscosité son sperme dégouliner avant de chuter sur les draps copieusement tachés.Je continue ma masturbation et arrive encore à obtenir deux contributions qui n’émettent plus qu’un filet de foutre. Je le regarde dans les yeux et le complimente :-T’es un putain d’étalon, tu es un sacré reproducteur mon garçon doté d’une belle queue aussi prolifique et quel tempérament de feu tu as! J’envie et je plains la femme que tu choisiras, elle va salement déguster mais tu va la faire grimper aux rideaux !-Ta mère va être contente de moi !
Perplexe, Claude me regarde sans comprendre avant que je lui avoue que j’ai agi à la demande de sa mère.Ca l’a tellement mis en rogne qu’il s’est vengé en me reprenant encore deux fois dans la nuit.Qu’est ce que j’ai pris !!! Mais que c’était bonnnn !!!!!L’élève apprend vite est va bientôt en savoir autant que son maître.Ou devrai-je plutôt dire, que sa MAÎTRESSE……..

3ème épisode : Sa belle-mère veut aussi connaître l’extase avec ce petit crapaud qui s’est transformé en étalon extraordinaire.
Je me présente, je m’appelle Annabelle, je me suis remarié avec Guy qui a un fils de son précédent mariage, Claude, qui vit avec nous.Julie et son mari sont nos meilleurs amis. Nos deux couples avons fait connaissance dans des lieux plutôt chauds et nous sommes des aficionados de parties fines.
Elle vient de revenir après avoir accompli sa mission, ça lui a bien pris 2 heures et elle me prend à part pour m’annoncer.-Je te remercie Annabelle, je t’avoue que je ne m’attendais pas à ça, je n’ai jamais connu un mâle aussi bien monté que Claude et pourtant tu sais que côté bites, j’en ai déjà vu des paquets.Mais un engin comme le sien, je peux te certifier que c’est bien la première fois que j’en ai un sous la main. Et il n’a pas fallu longtemps pour que Claude retienne mes leçons et me fasse grimper au rideau comme ça ne m’est rarement arrivé, il est très endurant et pas avare coté semence, un vrai acteur porno!
Je n’en reviens pas de ce qu’elle me raconte et lui demande force détails.J’avais déjà remarqué le volume avantageux de l’entrecuisse de mon beau-fils, et qu’il devait être correctement équipé mais sans plus. Mais pas aux proportions qu’elle m’annonce.
La nuit venue, ressassant ce que vient de m’apprendre Julie, je n’arrive pas à trouver le sommeil.Soudain j’entends des gémissements à peine étouffés. Je me lève et me guidant aux bruits, me retrouve devant la porte entrebâillée de la chambre de Claude.Ce que je découvre est fabuleux, Julie est en train d’essayer de s’introduire dans le derrière une verge d’une taille peu commune et d’une grosseur monstrueuse!L’excitation que je ressens à la vue de ce soc est considérable, c’est la première fois que je le vois entièrement nu, le sexe dardé. Comment ce gamin peut-il posséder un sexe aussi long, et en plus c’est mon beau-fils!
Je devrais partir mais je suis trop curieuse. Il m’est déjà arrivé de faire des pronostics sur son membre et je m’étais persuadée qu’il avait une verge comme Monsieur tout le monde mais je réalise mon erreur d’appréciation. Julie n’a pas exagéré !Il a une matraque énorme, une barre de chair bien raide et bien veinée au gland rose très proéminant. Elle doit faire à vue de nez dans les vingt cinq centimètres de long et est aussi épaisse qu’un poignet de jeune fille. Le gland est en rapport, aussi volumineux qu’une grosse prune, gorgé d’un sang rouge carmin. Mon ventre me brûle, je sens ma chatte qui devient chaude et toute humide. Comment aurais-je pu imaginer que je ressente une telle houle agiter mon sexe de voir la queue raide de Claude.
Julie l’encourage :— Prends-moi comme une salope, elle me plaît ta queue et je veux que tu me défonces comme jamais !Je veux ta grosse pine, je suis ta chienne, ta salope et j’aime ça, fait-moi jouir mon amour avec ton défonce-cul !
Claude l’encule de toutes ses forces ne s’arrêtant plus, elle n’en peut plus, ses gémissements sont de plus en plus fort. Il l’a défonce littéralement mais elle en redemande, le suppliant d’y aller encore plus fort.Ses cris deviennent de véritables hurlements quand elle est terrassée par un orgasme foudroyant. Claude, profondément planté dans son cul se crispe en pleine éjaculation, sa jouissance fait tellement cabrer Julie que le pieu massif s’échappe de ses reins complètement dévastés.
Elle prend aussitôt dans sa bouche son jonc toujours aussi vigoureux pour le nettoyer avant qu’il ne la force à s’étendre pour la reprendre à nouveau.Je voudrais les rejoindre mais un reste de raison me retient, je rejoins ma chambre sur la pointe des pieds mais je suis tellement excitée que je me jette sur mon mari pour qu’il me fasse l’amour.Tout le temps de l’acte, mon esprit vagabonde, me voyant prise par le bélier monstrueux de mon beau-fils. Je ne pense plus qu’à ça !
Après avoir réfléchi toute la nuit, j’ai pris ma décision. Il faut que je me le fasse !Mais comment faire ? Je ne veux pas après, être soumise ensuite à ses caprices ou un chantage.
Je retrouve Julie le lendemain et lui explique mon dilemme. Elle me regarde d’un air narquois avant de m’expliquer ce qu’elle va faire.-Claude et mon élève et je vais lui donner une nouvelle leçon. Je vais lui demander d’être mon esclave et de faire tout ce que je lui demande. Comme acte de soumission, il devra accepter de porter une cagoule très spéciale qui ferme avec un cadenas. Il sera aveugle et presque sourd.Je suis sûre qu’il va accepter. Je t’appellerai pour te dire de venir le moment venu.
Une semaine après, elle me téléphone pour me dire l’heure du rendez-vous chez elle.Quand j’arrive à son appartement, je rentre comme convenu sans faire de bruit et les trouvent dans la chambre de Julie. Ils sont déjà nus et en plein coït, un trait d’union impressionnant fait de chair les relie. Elle m’a aperçue et me fait signe de m’approcher, Claude a une cagoule de cuir noir qui lui cache la tête, ne laissant libre que son nez et sa bouche.
Je me rapproche pour admirer son corps bien découplé qui me trouble plus que je veux me l’avouer. Julie se retire de cet axe de béton et j’ai sous les yeux la plus majestueuse des verges qu’il m’ait été donné d’observer. Mon Dieu ! Sa queue est aussi grosse que celle de Mandigo, un acteur porno black !J’admire extasiée ce phallus encore plus imposant vu de près. J’ai la respiration coupée devant cet engin qui dépasse de plusieurs centimètres son nombril.Julie vient de se positionner sur son visage et lui ordonne de la faire jouir rien qu’avec sa bouche.Consciencieusement, il s’active avec sa langue entre ses cuisses. Elle me fait signe, je me déshabille rapidement et me saisis de son mandrin, je n’en ai jamais tenu de si gros.Il est si beau avec sa grosse queue splendidement dressée, toute à ma disposition dorénavant et je n’ai plus besoin de fantasmer sur sa taille. J’en ai plein les yeux et ...plein les mains.Son sexe palpite contre ma paume et je suis enivrée par mon acte, ma langue passe sur mes lèvres gourmandes, mon regard figé sur le membre imposant que j’avais deviné de bonne taille l’autre nuit, mais je m’aperçois maintenant qu’il est vraiment colossal.
Il ne se doute pas encore que c’est une autre personne qui le branle, complètement pris par son cunnilingus. Mes deux mains courent sur son rostre dont le mufle s’est décalotté, j’approche mes lèvres et happe avec gourmandise cette grosse quetsche qui remplit à elle toute seule ma bouche.Ma langue s’active comme elle peut dans le peu d’espace disponible. J’essaie d’en accueillir le plus possible mais mes lèvres atteignent à peine la moitié de cette hampe magnifique.Je pourrais passer des heures à la câliner, la caresser, la sucer. Soudain Claude se fixe et essaie de parler mais Julie appuie encore plus sa chatte sur la bouche et lui ordonne de continuer.-Esclave, je ne t’ai pas dit de t’arrêter et je t’avais promis une surprise, ne te laisse pas déconcentrer et applique-toi mieux. Tu n’es plus à ce que tu fais !
Récit de Claude.Que ce passe-t-il ? Je suis en train de brouter le minou de ma Maîtresse et une bouche en feu est en train de me sucer le dard avec une science d’experte, c’est encore plus voluptueux qu’avec Julie.Une deuxième personne applique sur ma bite une fellation d’enfer, à ce rythme là, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps. Julie m’avait bien dit qu’elle me ferait découvrir quelque chose de nouveau mais je ne m’attendais pas à ça !L’inconnue vient de stopper son travail, ouf, il était temps car j’allais lâcher la purée !
Mais à peine le temps de faire redescendre la pression dans ma queue qu’une chatte beaucoup plus serrée que celle de Julie prend le relais de la bouche merveilleuse.L’inconnue monte et descend sur ma hampe en serrant incroyablement fort ses muscles intimes.J’ai la queue comme prise dans un étau, broyée par son fourreau brûlant, l’effet que je ressens est au-delà de l’imaginable.On dirait que ma verge s’enfonce à chaque fois dans une gaine étroite à la résistance folle qui se contracte par à-coups obturant quasiment le passage. Son vagin se resserre sur ma teub pour mieux la masser, la pétrir, s’enfonçant toujours plus profondément et la lubrifie copieusement avec son jus magique.Elle accélère le mouvement de son bassin, s’empalant avec frénésie sur mon pieu qui la pourfend. Elle râle à chaque intromission dans sa chatte gorgée de mouille:– Oui !... Oh oui !... Ooui !... Encore !... Oh oui, j’aime cette grosse queue, Oouuiii !... Je vais te vider les couilles, te faire jouir !... Tu vas décharger ta liqueur... Tu vas me remplir ma chatte... Ooohhh... C’est trop bon !....Je n’en reviens pas de ce langage trivial. Encore pire que celui de Julie. La voix de la femme qui me chevauche avec fougue sur mon bas-ventre en émettant des obscénités me dit quelque chose mais les cuisses de Julie pressées sur mes oreilles et cette maudite cagoule assourdissent les sons.J’empoigne à pleine main ses fesses rebondies, jouant avec, les écartant.Chaque resserrement des deux globes charnus lui arrache un gémissement de plaisir lubrique. De la chatte distendue, s’échappe un véritable torrent chaud et visqueux qui se répand sur la base de ma queue et mes couilles.Elle s’éjecte soudain violement de ma bite en poussant un formidable hurlement et je reçois une véritable douche d’un liquide chaud sur tout le corps, il dégouline aussi du dos de Julie, glisse sur mes pectoraux et finit sur les draps. Je n’ai pas le temps de réaliser qu’elle s’est de nouveau empaler aussi loin qu’elle a pu avant de recommencer son rodéo sur ma bite.Au rythme d’une telle chevauchée, je ne peux me retenir très longtemps et sens la jouissance sourdre dans mes couilles. D’autant plus que Julie vient aussi de lâcher les grandes eaux que je bois à la source, le goût n’est pas désagréable, légèrement salé.
L’inconnue se déchaîne de plus en plus rapidement le long de ma queue enfouie en elle avec une telle frénésie que malgré mes efforts désespérés pour contenir l’éjaculation prête à jaillir de mon gland malaxé vigoureusement par ces chairs brûlantes, je n’en peux vraiment plus.J’empaume les deux masses jumelles du fessier inconnu, m’y cramponnant fermement et je me projette le plus loin possible en elle.Je me laisse aller et balance mes jets de foutre dans ce vagin devenu vraiment très étroit.Par répercussion, l’inconnue jette aussi un dernier hurlement de bonheur, en éjectant de nouveau un torrent de mouille qui inonde mes cuisses, je me vide copieusement dans son conduit …Nous restons tous les trois un long moment inerte, complètement vidés, pour récupérer de cette jouissance hors normes.
Récit d’Annabelle.Merveilleux !... Merveilleux et impensable ! Je viens de vivre les plus fortes jouissances de toute ma vie ! Et avec qui ? Avec mon propre beau-fils ! La sensation que j’ai ressentie d’être embrochée comme une volaille sur son obélisque, sur cette merveilleuse colonne de chair est proprement incroyable !
Je n’arrive pas à me résoudre à lâcher sa verge que je maintiens serrée dans ma main. Son jeune membre viril est toujours aussi dur et ferme dans ma main.Mais réalisant ce que je viens de faire, je relâche précipitamment cette verge toujours bandée comme si un tison me brûlait brusquement la main.
Mais Julie ne me laisse pas le temps de me poser des questions existentielles, elle m’ordonne :-Prends-ma place, tu verras ce qu’il arrive à faire avec sa langue, sa mère la bien élevé, il est très doué, moi je vais m’occuper de cette pauvre chose qui s’ennuie toute seule sur son ventre !
Sitôt-dit, sitôt-fait, elle enjambe son corps et se poignarde son fourreau intime de ce sabre qui n’attendait que cela.N’écoutant plus que ma libido, je présente ma fente aux caresses buccales de mon beau-fils.Il enfile sa langue dans ma moule, un peu vite peut-être, je le calme et dirige par ma voix que j’essaie de modifier l’introduction de sa langue vers mon clito en feu :-N’arrête-pas ! Continue, plus à gauche, ouiiii, mordille doucement, oui comme ça, lèche-moi à fond, fais-moi couler !
Sa langue lèche toute ma gaine de velours sans en oublier un recoin. Je colle mon bassin pour venir encore plus à sa rencontre. — Aspire-moi le petit bouton, lèche-le, suce-le, fais-le bander !Je presse sa tête entre mes cuisses, j’arrive rapidement à l’orgasme sous la dextérité de cette langue incroyablement vivante. Il s applique si bien que je sens vite le plaisir monter en moi.-Vas y c’est bon, je pars, salaud que c’est bon...!
Mes cris retentissent dans la chambre quand un torrent fougueux de cyprine s’échappe de ma fontaine de plaisir.Je lui noie complètement le visage, lui remplissant la bouche d’une quantité effroyable de mon jus.Mon orgasme est tellement puissant que je tombe presque en syncope et qu’il me faut un moment pour récupérer mes esprits et ma respiration. Jamais je n’ai connu cela avec son père ou d’autres partenaires, c’était divin.
Il est impressionné par la violence de ma jouissance mais héroïquement boit à la source jusqu’à ce qu’elle soit tarie.Je suis si excitée que je ne ressens maintenant plus aucune gêne, je vis ce moment de pur bonheur ne pensant plus à l’identité de mon partenaire.Julie elle aussi vient d’avoir sa dose, Claude n’a pas pu se retenir et vient de lui remplir sa grotte d’une bonne dose de sperme.Nous admirons son corps nu.
Après l’effort, sa verge s’est repliée modestement, j’aspire délicatement l’extrémité flétrie de la bite entre mes lèvres qui se referment subtilement autour. Son désir fait le reste, certes il n’a pas encore la rigidité espérée, mais je vais rapidement y remédier. Privilège de son jeune âge, quelques minutes lui suffisent sous mes caresses pour retrouver toute sa vigueur et bander à nouveau, bien ferme.Je m’émerveille quand elle se redresse fièrement, dure et longue.Julie commente ce renouveau :- Chérie! Regarde cette queue qui est en pleine croissance. Je n’en reviens toujours pas de la taille que peut prendre cette bite! Claude… tu as vraiment une énorme queue, tu sais ! Elle est si grande, si longue, si dure!
Récit de Claude.Ces deux femmes ne me laissent pas un instant de répit. L’inconnue est une vraie furie, j’ai manqué me noyer sous les flots qu’elle a lâchés tout à l’heure. Des odeurs d’épices donnaient un goût merveilleux à ses sécrétions vaginales. Quelle amante merveilleuse !Je n’ai pas le temps de récupérer que je sens déjà deux mains se saisirent de ma virilité légèrement en berne. C’a y est… C’est repartit pour un tour… Mais qui irait s’en plaindre ? Sûrement pas moi !
Récit d’Annabelle.Des paroles se bousculent dans ma tête que je voudrais lui crier. Je n’ai jamais connu une telle queue avant. -Ouah, mon amour! Pardonne-moi mais je ne peux résister à te prendre en moi ! Tu remplis toute ma chatte, tu explores des lieux que personne d’autre n’a défrichés! Ah ! Je sens ton gland qui écrase mon utérus! Ooooooh chéri! Ta bite est extraordinaire, si grosse et si longue… j’adore! Tu ne le sais pas mais c’est le plus merveilleux des cadeaux que tu ne m’ais jamais offert.
J’ai des orgasmes si rapprochés que je ne touche plus terre. Je n’ai jamais vécu ça avec un autre ! A mon âge, je découvre pour la première fois ce qu’est le vrai plaisir, c’est irréel!!! Dommage de connaître ça si tard !Est le fait que ce soit dans les bras de mon beau-fils ? On dirait qu’il est inépuisable, sa vitalité de jeune amant et son rostre imposant font le reste. Je suis délicieusement épuisée tellement j’ai joui.
Je cède ma place à Julie qui s’impatiente et elle a tôt fait de le remettre en condition pour une nouvelle partie de jambes en l’air.Il est costaud le blanc-bec, il nous faut presque une demi-heure pour arriver à lui soutirer sa 3ème éjaculation, toujours aussi copieuse.
La suite au prochain épisode.
Diffuse en direct !
Regarder son live