Entendre une phrase comme celle-là, j’en avais rêvé des dizaines de fois, et j’avais imaginé la scène entre lui et moi. Tous les deux allongés sur mon lit en vacances comme maintenant avec le soleil inondant la chambre et le mer scintillante en bas, sur la plage, à quelques encablures! Nous étions allongés, tête bêche, nus et bronzés mon visage et mes lèvres à quelques centimètres de son sexe dont je caressais, doucement la hampe en faisant glisser mes doigts le long de sa hampe, pas encore totalement raide. Et avec son gland dont je voyais juste le bout et les petites lèvres roses du méat émergeant de son prépuce toujours fripé, mais dont il avait déjà tiré un peu la peau en arrière pour m’offrir ce spectacle de la première goutte de liquide séminal transparent écartant ses petites lèvres pour pouvoir sortir à l’air libre! Et couler le long de son frein avant de pouvoir se glisser dans les replis de son sillon juste sous le bourrelet de sa couronne! Je me retins de la cueillir avec le bout de ma langue puisqu’il avait souhaité me prendre le premier entre ses lèvres. Il décalotta encore un peu plus sa bite pour que puisse sentir monter jusqu’à mes narines le parfum de sa bite qui ressemblait assez au mien! De mon côté, j’attendais, en sentant vibrer ma queue, qu’il tende ses lèvres vers elle, alors que je m’étais décalotté davantage jusqu’à faire apparaître mon sillon humide des humeurs nées depuis ma branlette du réveil jusqu’à maintenant. Laissant, alors échapper, à mon tour le parfum de ma virilité. Mon gland, totalement épanoui brillait au soleil mettant en valeur le bourrelet de ma couronne, de couleur un peu plus foncée que le reste. J’avais une queue plus longue et plus épaisse que celle de Marc mais je m’efforçais de ne pas en tirer de trop visible fierté, alors que ce qui me troublait le plus dans celle de mon copain et me faisait bander en l’évoquant, c’étai cette longue bande se peau plus brune et foncée de son prépuce qui dépassait de loin le bout de son gland lorsqu’il ne bandait pas! Il ne semblait d’ailleurs pas prendre ombrage de la légère différence de gabarit entre nos deux bites, que nous aimions autant l’un que l’autre, caresser, humer, décalotter branler et sucer longuement, avant la récompense des longues giclées de sperme que nous savions si bien faire jaillir entre nos lèvres. Pour les mélanger ensuite en un baiser profond et parfumé de cette odeur de bite que nous aimions tant l’un et l’autre! en l’entretenant avec soin lors de la toilette du matin, après nos jaillissements nocturnes solitaires ou en duo!.
L’un comme l’autre nous étions amoureux et capables de rester de longs moment à contempler la bite de l’autre que nous évoquions le soir entre nos draps dans le semi brouillard de l’avant sommeil! Pour nous réveiller le lendemain la bite raide comme une barre de chair qui ne débandait pas sur le chemin de la Fac à l’idée de nous retrouver, enfin tous les deux réunis! Enfin Marc passa à l’action et saisissant ma tige d’une main , il avançait ses lèvres vers mon gland pour le butiner du bout de la langue et le lécher doucement pour en récupérer la luisance transparente, avant de le prendre entièrement entre ses lèvres et de l’y faire voyager jusqu’à toucher ma toison pubienne avec son nez. Puis revenant en arrière pour recommencer, et faire ainsi monter le désir dans ma tige, jusqu’à la première rafale de mon éjaculation qu’il accueillait avec un petit grognement, avant de laper les suivantes un à une sans en laisser une goutte! ! Nous avions envie l’un de l’autre et besoin l’un de l’autre pour nous sentir bien dans la vie et pas seulement dans les moment d’intimité et de jouissance sexuelle!
