Vacances à la mer, avec celui qui me passera la bague au doigt quelques années plus tard.
On croisait de temps en temps les mêmes personnes de l’hôtel, une fois à la plage, mais sans vraiment s’y mêler. Parmi ces gens, un couple avec leur fils, un grand ado de 18-19 ans, qui avait semble-t-il flashé sur moi (?). Il me fixait souvent, mais je n’en avais pas fait la remarque à mister, pensant que je me faisais probablement des films. Ce n’est qu’une fois à la plage que j’ai eu confirmation : moi seins nus et lui tout rouge presque à bégayer pour dire bonjour. Les fois suivantes, quand nous les croisions à l’hôtel, il continuait de me fixer à la dérobée, disant bonjour du bout des lèvres. Je voulais avoir le fin mot de l’histoire, mais sans le gêner vis-à-vis de ses parents, ou même de mister. Je profitai que Mr fusse parti faire du ski nautique, et je pris ce jeune homme à part, dans notre chambre pour parler plus aisément. Je lui dis que j’avais remarqué ses coups d’œil à peine furtifs, etc., et que j’aimerais savoir s’il avait un problème avec moi. Il n’osa répondre et baissa les yeux. En cherchant à insister, je remarquai qu’il pleurait presque, mais le visage rouge vif, car les yeux braqués sur mon haut de maillot. Je compris mieux sa gêne récurrente, et lui proposai de regarder pour de bon, joignant le geste à la parole, l’intimité de la chambre nous protégeant de tout regard indiscret et mal intentionné.Très surpris, il n’osa dire merci et resta figé.Je lui demandai s’il aimait ? S’il les trouvait beaux ? — Euh... oui, oui, M’dame. Je les tenai dans mes mains, devant lui, les caressant presque.Il redevint rouge vif en se cachant le bermuda. Je m’assis sur le lit, alors qu’il bafouillait. — Que ce passe-t-il ? Qu’as-tu ?—... J’peux me branler ? Interloquée, je récoltai ce que j’avais semé, et l’autorisai à demi-mot à se soulager. Ce qu’il fit sans se faire prier, faisant tomber son short en deux temps, trois mouvements et achevant son œuvre en à peine quatre. Il fut penaud et moi, j’essuyai ma poitrine qu’il ne quittait pas des yeux, restant encore bien droit. La situation m’avait émoustillée presque malgré moi. Disons qu’elle m’avait échappé. Alors que nous étions tous les deux affairés avec des lingettes, je sentis que la tension n’avait pas baissé pour autant. Ma poitrine brillait d’être ainsi lustrée et son sexe était toujours stimulé, même au travers du tissu imbibé. Je le pris alors en main, puis je posai timidement ma bouche sur son gland. Je goûtai au fruit défendu... et j’adorai çà. Je m’appliquai, l’embrassai sur toute la longueur, malaxant ses bourses. Son souffle court m’encouragea... Je le pris alors à pleine bouche. Prise au jeu, je le pris complètement, accélérant les allers-retours jusqu’à la garde. Je sentis des mains timides posées sur mes cheveux, signe du plaisir évident qu’il éprouvait et de l’issue qui se profilait. Sans y avoir été invité, il finit par se pencher et me caresser les seins, mais je le laissai faire. Il jouit encore sur moi, et c’en fut fini.Je lui fis alors promettre de garder ça pour lui, aussi bien vis-à-vis de ses parents que de Mister, ou de ses copains. Je restai seins nus en le raccompagnant à la porte, faisant gaffe que personne ne passe, trop impatiente de retourner sur le lit pour en finir toute seule avec la tension que je m’étais infligée
... à suivre
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