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Dérapage incontrôlé d'une femme délaissée

Chapitre 4

Hétéro
8. Et après l’épisode de la matinée, départ au cours de théâtre
J’avoue avoir eu du mal à recouvrer mes esprits. Je suis restée chancelante quelques minutes sans trop comprendre ce qui m’arrivait.Ça faisait tellement longtemps qu’un mec ne m’avait pas touchée que je suis partie au quart de tour et ma jouissance est arrivée très vite. Il faut dire aussi que Stéphane m’a très bien léché la chatte. Ce côté autoritaire et dépravé m’a énormément plu. Cette journée de télétravail n’a pas été la plus productive de ma carrière. Mon esprit alternait entre des pensées très osées (j’avais encore envie de jouir) et des remords (j’avais quand même sucé le mari de ma meilleure amie). Dans quel merdier je m’étais mise ?
La fin de journée est arrivée et je me suis préparée pour mon cours de théâtre. Stéphane est passé me chercher en voiture, comme d’habitude, pour aller au cours ensemble. Je suis montée dans sa voiture, il ne laissait rien paraître. Le Stéphane habituel.
— Salut Virginia, comment vas-tu ?
J’étais troublée, honteuse, je ne savais pas quoi penser.
— Euh (long silence) ça va merci.— Ta journée s’est bien passée ?— Disons qu’elle était bizarre. Je suis très mal à l’aise par rapport à tout ça.— Je te comprends. Maintenant il faut aussi se dire une chose. La moralité est à discuter, c’est évident, mais on se rend service et on ne se promet rien. Je te rends service, car tu vas trouver avec un autre homme ce que tu ne trouves pas actuellement dans ton couple sans risque de tout détruire. On ne refera pas notre vie ensemble et entre nous c’est uniquement sexuel. Et tu me rends service, car j’ai toujours fantasmé sur toi et si je ne m’amusais pas avec toi ça serait avec une autre. Et une autre qui, à un moment, pourrait m’ennuyer, car ses sentiments pourraient évoluer.— Oui c’est vrai, mais quand même. C’est toi, c’est moi, ce sont nos deux couples. — Le but c’est le cul, ce ne sont pas les sentiments.
J’avais le coude gauche appuyé sur l’accoudoir central. Il m’a attrapé la main et l’a posée sur son entrejambe. J’ai senti sa queue, même par-dessus le jean, se gonfler un peu. J’ai surtout été incapable d’enlever ma main.
— Tu sens la réaction d’un mec que tu excites et qui a envie de te baiser.— Oui Stéph, mais ça n’enlève pas que...— Que quoi ? La moralité est déjà bafouée ma belle et ça fait un moment. Tu n’auras pas plus de moralité en ne me touchant plus à partir de maintenant. Tu crois quoi ? Que nos conjoints nous excuseraient de nous être arrêtés à ce qu’on a fait ce matin, car « on aurait pu continuer » ? Il n’y a plus de question de moralité. Si tu veux qu’on ne se touche plus, car tu n’en as pas envie, c’est une chose. Comme je te l’ai dit, on ne se promet rien, c’est juste pour jouer. Si tu n’oses pas pour des questions de moralité, je t’assure que notre moralité on se l’est déjà mise où je pense.
Son discours me parlait. Il avait raison, la limite était déjà dépassée depuis un moment. Et il avait raison aussi sur un point, c’est juste la moralité qui me freinait, car le jeu qui s’était mis en place entre nous me plaisait énormément.
Pour toute réponse, j’ai commencé à caresser sa queue par-dessus le jean.Il a tout de suite repris le jeu à son compte.
— Serre plus fort, à travers le jean je ne sens rien là.
Ses propos, la situation, le lieu, lui caresser la queue là comme une morte de faim. Tout ça commençait à m’exciter. J’appuyais donc mes caresses et quand j’ai commencé à sentir sa queue plus dure, j’ai pu commencer à la saisir à travers son jean.
— Voilà c’est ça. Hum tu sais que j’ai adoré te lécher la chatte ce matin. Tu mouillais grave et j’ai adoré boire ton jus. J’aurais pu te la bouffer toute la journée. Et alors, cette pipe que tu m’as faite c’était le top. J’ai bien cru que j’allais jouir en deux minutes. Une vraie pipe de salope.
Il m’excitait énormément à me parler comme ça. Et il continuait :
— Tu sens comme tu commences à me faire bander dans mon jean là ?— Oui.— Que voudrais-tu faire avec cette queue ? — Là, j’aimerais l’avoir devant moi à l’air libre pour la toucher et l’embrasser.— Emoji agacé !
Stéphane avait haussé le ton d’un coup, ce qui m’a fait sursauter. Et en plus je n’ai pas compris ce qu’il a dit.
— Quoi ?— Entre nous, être en direct ou par WhatsApp il n’y a pas de différence. Pas de place au romantisme et à la retenue. Par WhatsApp je t’aurais répondu par un « Emoji agacé » donc là je te le dis. Alors je te repose la question.
J’ai dû prendre sur moi pour lui répondre, mais il avait raison. Rien que de me forcer à parler crûment mon désir montait encore plus.
— Je la branlerai pour bien la faire bander et après je la mettrais dans ma bouche pour te la sucer comme ce matin. Et puis comme ce matin, je la reprendrais avec ma main et la branlerai encore pour pouvoir te bouffer les couilles, car j’ai adoré ça.
Jamais je n’ai parlé comme ça à un mec. M’entendre dire des trucs comme ça à Stéphane me rendait dingue de désir. Je sentais bien que j’étais trempée.
— Et après cette belle pipe tu veux quoi ? Allez excite-moi salope.
Cette discussion me rendait de plus en plus folle. Mes propos, ma main caressant un jean avec dessous sa queue très dure, Stéphane qui me traite de salope. Je me suis libérée complètement.
— Après cette pipe, j’aurais envie de cette queue au fond de la chatte. Qu’elle me baise bien à fond pour me faire hurler de plaisir.— Tu as envie de te faire défoncer ?— Oui j’ai envie de bien me faire prendre. Me faire culbuter.— Sentir mes coups de bite à vitesse variable ?— Oui.— Alterner les petits coups de reins et les grands coups pendant lesquels tu sens mes couilles cogner contre toi.— Hum oui comme ça.— Tu as envie que je te baise là hein ? Dis-le !— Oui Steph j’ai envie que tu me baises. — Eh bien ça devra attendre, car on est arrivé.
Stéphane s’est garé, nous sommes descendus de la voiture. J’étais dans un état très avancé d’excitation. Je me suis rendu compte qu’il m’avait mis au bord de l’orgasme sans même me toucher. J’étais trempée et c’était encore une première pour moi. Jamais on ne m’avait excitée à ce point juste par les mots.
9. Retour du cours de théâtre
Je suis restée excitée pendant tout le cours de théâtre. Je n’étais franchement pas à ce que je faisais. Je ne pensais qu’au sexe. Lorsque nous sommes repartis, j’étais encore une vraie chaudière. A peine montés dans la voiture, Stéphane a recommencé de plus belle.
— C’est moi ou tu n’étais pas très concentrée ce soir ?— Ah ça c’est le moins qu’on puisse dire. J’étais légèrement troublée.— Tu avais envie de baiser n’est-ce pas ?— Oui.— Et tu as toujours envie hein ?— Oui.— Pendant qu’on roule, il fait nuit, mets-toi à l’aise et caresse-toi un peu. — Ça ne va pas et si on nous voit ?— Il fait nuit, tu mets ton sac sur tes genoux comme une grand-mère, personne ne te verra.
Encore une situation inédite pour moi qui m’a excitée. J’ai donc mis mon sac sur mes genoux, j’ai ouvert mon pantalon et j’ai commencé à me caresser. Ça m’a fait du bien, car je sentais bien que ma chatte était en feu et que j’avais besoin de me soulager.
— Fais-moi lécher tes doigts.
Je me suis donc exécutée.
— C’est dingue ce que tu mouilles toi, tes doigts sont trempés. Et le goût de ta chatte j’adore.
Je n’ai rien dit, mais je n’ai jamais constaté, jusque-là, être une grosse « mouilleuse ». Cette réaction tient sûrement au fait que Stéphane est capable de m’exciter comme une folle. Alors que je suis en train de me caresser et que nous sommes en train de rouler, Stéphane se contorsionne un peu et m’attrape le sein gauche de sa main droite.
— Tu as des seins de folie toi. Je suis pressé de te les lécher, car j’adore ça. J’aime les téter doucement puis les mordiller pour rester juste à la frontière entre plaisir et douleur. Tu aimes ça ?— Oui, beaucoup.— Et puis je vais aussi adorer te les malaxer en te baisant en levrette. Mais qu’au moment où je te prendrais plus en douceur, car lorsque je te baiserai bien à fond je t’attraperai par les hanches pour bien te défoncer.
Plus il me disait ce genre de choses et plus je me caressais.
— Au prochain cours de théâtre, il faudra que tu mettes ton gode dans ton sac. J’ai très envie de te voir te goder à côté de moi pendant que je conduis.— Hum pourquoi pas.
Cette proposition m’a électrifiée. Je me suis imaginée en train de me goder à côté de Stéphane et cette vision très salope de moi a encore augmenté mon plaisir. Je n’en pouvais plus, j’avais envie de sexe.
— Stéphane, j’ai très envie de baiser là. — Il va falloir te retenir ma belle, car on arrive.
Stéphane m’a déposée dans le même état qu’à l’aller. En me faisant un bisou, il a ajouté.
— Sois patiente, je vais te baiser comme tu le mérites. Mais plus tu en meurs d’envie et meilleur ça sera.— J’en meurs déjà d’envie.— Moi aussi belle salope, moi aussi...
Je suis sortie de la voiture et il est parti. Je suis rentrée chez moi, j’ai filé sous la douche et j’ai pu finir de me caresser et me provoquer un très bel orgasme.
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