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Je dérape...

Chapitre 4

Inceste
Arghh, je suis dans une impasse. J’ai besoin de cette information pour régler au plus vite cette situation avec mon autre enfant pervers. Mais rester dans cette chambre à m’occuper de Louis et de son énorme queue qui me fait de l’œil, c’est impossible. Je vais me justifier comment ensuite auprès de mon autre enfant.
Je ne vois qu’une chose à faire : Donner à Louis une petite mise en bouche au sens propre comme au sens figuré d’ailleurs, lui promettre de lui donner le reste plus tard pour qu’il accepte de me donner le nom de son frère voyeur.
J’avoue ne pas à avoir faire trop d’efforts pour avoir envie de reprendre en main cette belle queue, qui cette fois-ci est bien dure et raide. Mais je ne veux pas lui montrer que je suis faible, alors je garde mes distances et je lui propose donc ce deal. Il accepte immédiatement, sans aucune négociation. Son mode « sexe » a pris le pas sur son cerveau. Et puis au final, c’est plutôt un bon deal pour lui.
Alors je verrouille sa porte doucement pour ne pas faire de bruit et je m’avance vers lui pour m’installer entre ses jambes. L’envie est bien présente, mais j’avoue que je reste focus sur l’idée de récupérer cette information le plus rapidement possible. Je ne perds pas de temps donc, et je commence à entourer sa queue avec ma main qui prend la place de la sienne. Il est déjà surexcité, je sens l’odeur du sperme sur sa queue et je vois même une ou deux gouttes perler sur son gland. Que c’est appétissant !
Alors après quelques va-et-vient, je me décide à franchir le pas. Je tends sa queue vers ma bouche, ou ma bouche s’approche de sa queue, je ne sais pas. Sûrement un peu les deux. Et ma langue fait le dernier pas pour lécher ce gland au si bon goût. Louis n’en croit pas ses yeux, je le regarde dans les yeux pendant que sa queue commence à coulisser dans ma bouche. Il tremble de partout, ses joues sont toutes roses, je sens qu’il en faut encore très peu pour qu’il explose dans ma bouche. C’est beau la jeunesse. Je n’aurais rien à l’idée d’avaler son jus, mais il me faut cette information, et pas envie qu’il s’échappe à moi une fois qu’il aura giclé :
— Alors, Louis, dis-moi... Jules ou Thomas ?— C’est Thomas maman. C’est Thomas qui avait sa queue bien en main pendant que papa et toi, vous faisiez l’amour. Mais continue s’il te plaît...— Tu es sûr de toi pour Thomas ?— Oui maman. Mais s’il te plaît, remets ma queue dans ta bouche...— Tu meurs d’envie de gicler dans la bouche de ta mère ?— Si tu aimes ça, je ne dirai pas non, me dit-il en espérant que je réponde positivement.— Alors, maman ne dirait pas non, mais on avait parlé de mise en bouche pour commencer. Donc soit tu gardes tout pour maman plus tard, lui dis-je en remettant un coup de langue sur sa queue, soit il va falloir te finir tout seul.
Je repose sa queue sur son ventre, me relève. Il essaie de bégayer un semblant de phrase, mais je lui mets un doigt devant la bouche en me relevant, lui faisant comprendre que ce n’est pas négociable.Une fois sortie de la chambre et refermant sa porte derrière moi, je reprends mes esprits en m’appuyant sur sa porte. Mais dans quelle situation me suis-je mise ? Louis et maintenant Thomas !!??? Que doit-il penser de moi ? Hier, il a dû m’entendre crier comme une chienne et ce matin, je suis encore tellement en manque que je me mets à me caresser en astiquant son petit frère endormi... Je dois absolument lui parler, mais quoi dire ?La porte de sa chambre est fermée, il doit être en train d’halluciner, posé sur son lit. Il faut que je me fasse un café, que je réfléchisse à comment aborder le sujet avec lui. Je descends et quelle est ma surprise en le voyant installé sur le canapé à regarder sa série sur Netflix :
— Ah Thomas, tu es là ? Tu n’es pas dans ta chambre ?— Non maman. Je profite d’avoir le salon pour moi tout seul pour finir ma série.— Ah OK, très bien.

Je me dirige dans la cuisine, je me fais mon petit café et reviens vers le salon, avec mon fils installé dos à moi sur le canapé. Il ne se doute pas que je suis là à le regarder. Il a l’air aucunement perturbé. Je n’arrive pas à me dire que c’est plutôt rassurant et qu’on va pouvoir avoir une discussion d’adulte à adulte. Mais je n’ai clairement pas le choix et je ne dois pas attendre plus longtemps au risque de plus me retrouver seul avec lui :
— Thomas, tu peux mettre en pause ta série s’il te plaît ? J’aimerais qu’on discute un peu.— Pas de soucis maman ! me répond-il un peu surpris.
Je m’installe sur le fauteuil situé près de lui et le tourne de façon à me retrouver face à lui.
— Tu sais, on n’a jamais eu l’occasion d’aborder ce sujet, mais j’imagine qu’à ton âge, certaines choses ont pris une place importante dans ton esprit, comme les filles et le sexe... — Heu ... oui. Mais où veux-tu en venir ?— Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas de mal à se faire des petits plaisirs et que parfois le désir prend le pas sur la raison. Alors...— Maman je te coupe. Je suis désolé ! me dit-il, la voix grelottante. Je te promets que c’est la seule fois que je vous ai espionnés, papa et toi. Tu comprends, je n’ai jamais eu de petite copine, contrairement à Jules et ...— Ah bon mon cœur ? Mais pourtant tu es un garçon tellement mignon et intéressant, lui dis-je en essuyant une larme sur sa joue.— Merci maman. Mais je crois que je suis nul quand il s’agit de parler avec une fille.— Ce n’est rien mon cœur, tu vas apprendre. Tu es jeune, tu as encore le temps.— Je vois tous mes potes qui ont déjà fait, et moi, rien du tout.— Tu sais, certains de tes amis mentent peut-être.— Oui peut-être, d’ailleurs j’en fais de même pour pas passer pour le petit puceau du groupe.— Ne t’inquiète pas, je suis certaine que ça arrivera plus vite que tu ne le crois. Mais en attendant pour revenir à notre histoire, je ne t’en veux pas pour hier soir. Comme je te l’ai dit tout à l’heure, parfois le désir est plus fort que tout. Pour preuve, ce matin ce que tu as vu, lui dis-je en le regardant du coin de l’œil. — C’est-à-dire ?— Bah tu sais, ce matin...— Non maman, je ne sais pas.— Mais si mon cœur, je t’ai vu partir rapidement derrière la porte de la chambre de Louis pendant que j’étais assise sur son lit.— Heu, ce n’était pas moi maman. Je suis resté en bas toute la matinée...— Tu plaisantes ?— Ah non du tout...
Heu... silence, malaise... Réaction... Vite une réaction...
— Bon bah aucun souci alors mon cœur !! Super ! Donc bah si t’as besoin, tu n’hésites pas, je serai toujours à ton écoute et puis pour hier soir, évite de recommencer s’il te plaît, mais tu ne seras pas le premier ni le dernier à avoir espionné au moins une fois ses parents pendant qu’ils font l’amour. Sur ce, je vais prendre une douche avant d’aller cuisiner, lui dis-je en finissant cette conversation avec un bisou sur la joue.
Je me lève et me dirige vers l’escalier, n’attendant aucunement un retour de sa part, bien au contraire. Mais il interrompt cette fuite en avant :
— Mais maman, tu faisais quoi dans la chambre de Louis pour me parler de désir qui dépasse la raison ?
Et merde...
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