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Je dérape...

Chapitre 5

Inceste
— Rien, rien ne t’inquiète pas ! Je ramassais juste ses affaires et le reste pendant qu’il dormait. D’accord ?— Mais quel est le rapport avec le désir et ses affaires, je ne comprends pas très bien ?— Non, mais laisse tomber... OK ?— Bizarre quand même... J’ai la sensation que tu ne me dis pas tout ?— Et heureusement ! Déjà que tu espionnes ton père et ta mère, faudrait pas abuser !
Ouf ! Sur cette dernière réplique qu’il l’a un peu mouché, je remonte vers le premier étage. Direction la salle de bain.Mais dans quelle galère je suis !Un fils avec qui j’ai franchi depuis bien longtemps les limites du convenable.Un autre qui me mate pendant que je baise avec son père.Et le dernier qui semble être le voyeur de ce matin et qui semble s’être cloîtré dans sa chambre depuis.Et pour finir, mon mari qui va revenir dans une petite heure et qui est à dix mille lieux d’imaginer ce qui peut se passer chez lui. Ahhhhhhhhhh !!!!!!!Calme, il faut que je me calme. Respire.Louis est dans sa chambre, il doit sûrement se branler très fort.Thomas a remis sa série, j’entends le son de la télé de la salle de bain.Il faut absolument que j’aille voir Jules avant que son père arrive. C’est le plus grand, le seul à avoir parmi ses frères une vie sexuelle active, je suis sûr qu’il peut comprendre. Allez, on y va et on assume. Toc toc...
— Oui ?— C’est maman ! Je peux entrer ?— ...— Jules ?— Oui, vas-y, entre...
Jules est l’aîné et il a - contrairement à ses frères - acquis le concept « rangement ». Je rentre et sans surprise, tout est au carré, pas une feuille ou un livre qui dépasse. Il est posé sur son lit avec son ordinateur portable. Il ne jette même pas un regard dans ma direction, les yeux rivés sur son écran. Clairement, il est contrarié et on sait tous pourquoi.

— Jules, regarde-moi s’il te plaît...
Il lève la tête et se décide avec un visage sévère à enfin me considérer.
— Bon Jules, je sais que c’est toi qui m’as surprise dans la chambre de Louis ce matin. J’ai vu ton ombre s’éclipser quand j’ai regardé dans ta direction. Je ne sais pas ce que tu as vu, mais à en croire ton regard, je devine que tu en as sûrement trop vu.— Tu penses !!??? — Jules, je suis désolée, il faut que tu me comprennes. Je n’ai connu qu’un seul homme dans ma vie...
Et me voilà partie dans un long monologue pour raconter le pourquoi du comment. En toute transparence à un ou deux détails près. Je suis surpris de ne pas fondre en larmes, comme si je ne voyais plus le mal du bien. Je n’oublie pas de lui dire que c’est Chantal (ma meilleure amie) qui m’a mis ces idées en tête et qu’auparavant, je n’avais jamais envisagé mes enfants autrement que comme mes bébés.
— Tes enfants ? Donc tu masturbes Thomas aussi ? me répond-il avec toujours cette même colère.— Bien sûr que non !— Tu dis tes enfants. Donc tu sous-entends que tu aimerais jouer avec ma queue aussi ?— Heu...
Je suis tellement surpris que je ne sais pas quoi répondre. C’est à mon tour de bégayer.
— Je n’ai rien compris maman !— Non, je disais juste que je n’ai rien prémédité ce matin. Je suis rentrée dans sa chambre, sa queue s’est offerte à ma vue et comme ma libido est à son paroxysme en ce moment, j’ai voulu la tester un petit peu. Elle est tellement... Tu comprends ?— Tellement quoi maman ? Non je ne comprends pas.— Non, oublie. — Si dis-moi !— Tellement belle et grosse ! Voilà, c’est ça que tu voulais entendre !? Tu es content ? Je suis faible, je n’aurai jamais dû. Je t’en supplie, pas un mot à qui que ce soit s’il te plaît. Ça détruirait notre famille, ton père serait dévasté. Promets-moi de ne rien dire s’il te plaît ?— Tu m’étonnes qu’il serait anéanti. Tu t’imagines dans quel état je suis moi ? — Oui je sais, je suis égoïste. Je te promets d’être là au maximum pour en discuter avec toi ou si tu veux, je peux te prendre un rendez-vous chez un psychologue ?— Non, non tu n’as pas compris où je voulais en venir.
Il prend alors son PC, le pose à côté de lui et sans qu’il ait besoin de me dire quoi que ce soit, je comprends immédiatement où il veut en venir. Sa queue déforme de façon à peine incroyable son jogging.
— Tu comprends mieux maintenant ?— Mais Jules... je ne comprends pas. Enfin si, mais pourquoi ?— Maman, ça fait des jours que tu nous chauffes avec tes tenues, je ne passe pas une nuit à me branler sans penser à toi. Quand je baise avec Lucille, je ferme parfois les yeux et j’imagine que c’est toi que je culbute bien fort.
Sans trop d’explications, je viens m’assoir près de lui. Je suis abasourdie par ce que j’entends. Chantal avait raison. Aucun mot ne sort de ma bouche. Par contre, ma main se pose sur cette bosse que je commence à frotter.
— Mais Jules, Lucille est tellement plus belle que moi. Plus jeune, plus sexy. Alors que moi...— Alors que toi tu es juste le tabou ultime. Le fruit défendu. Et c’est tellement excitant. Regarde l’effet que tu me fais.
Ah pour le voir, je le vois et je le sens même. Elle est tellement grosse et chaude.
— Ce matin, tu voulais goûter la queue de Louis, n’est-ce pas ?— Non ! — Maman ?— Oui peut-être, je ne sais pas...— Laisse-moi te faire plaisir maman, et te laisser sucer ma queue. Elle n’attend que toi. S’il te plaît.— Mon cœur, je ne peux pas, ton père ne va pas tarder, lui dis-je en frottant de plus en plus fort sa bosse. Avec son jogging, j’arrive même à saisir sa queue pour la branler.
Lui en profite pour glisser sa main entre mes jambes
— Je suis sûr que tu es trempée maman. Je me trompe ?— Je ne sais pas. Sûrement. Elle a l’air tellement grosse.— Tu veux la voir ?
Et sans attendre un retour de ma part, il baisse son jogging. Il n’avait aucun sous-vêtement. Sa queue vient frapper son ventre. Elle semble tellement puissante.
— Oh mon Dieu... Jules, c’est tellement gros... Hmmm.— Reprends-la en main maman.— Tu es sûr ? — Tu en meurs d’envie. Regarde-toi, ta chatte est en feu et tu ne cesses d’écarter tes jambes depuis que j’ai posé ma main sur ta petite fente trempée.
Je jette un coup d’œil vers la porte, elle est fermée. Tant pis pour les conventions. J’attrape sa queue et me l’enfonce profondément dans la bouche. Je ne crois pas en avoir mis la moitié, tellement est immense. Je savoure cet instant, mais je sais que mon mari, son père va rentrer dans quelques minutes. Alors je l’engloutis de plus en plus fort. Je lui caresse les couilles. Je lèche tout. Et je le branle tellement fort. Il ne lui faut qu’une minute de ce traitement pour qu’il me dise :
— Maman, je vais gicler !— Vas-y mon cœur, maman n’attend que ça !!!
Et glou, et glou, et glou. Un délice.
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