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Un dérape qui a des conséquences

Chapitre 3

Un secret bien gardé

Inceste
Je ne sais pas si les souvenirs me reviennent ou si c’est simplement lié à l’annonce de la grossesse de ma sœur, mais maintenant, la nuit, je fais des rêves érotiques où nous sommes tous les deux. Il m’arrive même de me réveiller trop tard et de sentir les draps humides, recouverts par mon éjaculation liée à ces rêves. Mais je pense qu’il s’agit de mon imagination, car il est très rare que pendant mes rêves, nous pratiquions les mêmes positions. La seule chose qui ne change pas, c’est que dans ces rêves, je me vois éjaculer au fond d’elle. Mais si lors de mon premier rêve, l’action se passait chez elle et aurait pu faire penser qu’il s’agit d’un souvenir qui revient, par la suite, il n’est pas rare que l’action se passe chez moi.
Quelques semaines plus tard, Laure annonce finalement sa grossesse à toute la famille. Mon autre sœur ne nous regardant pas de façon étrange, je comprends qu’elle n’a pas dû nous voir nous embrasser pendant le réveillon et cela me rassure. Mais, en parlant de sa grossesse à tout le monde, je sais aussi que maintenant Laure a fait son choix. L’annonce a toute la famille signifie qu’elle compte garder le bébé. Même s’il s’agit d’un premier enfant pour elle comme pour moi, je ne peux parler de ce secret à personne, sauf avec la mère de mon futur bébé. Et n’ayant aucun droit légal non plus, le jour où je serai en couple et que j’aurais un enfant avec ma copine, je ne pourrais jamais prétendre être père pour la seconde fois. D’une part, parce que cela briserait notre secret et d’autre part, je ne pourrai jamais reconnaître l’enfant que ma sœur mettra au monde dans quelques mois.
Évidemment, étant célibataire, les premières questions qui sont posées à ma jeune sœur concernent le père du bébé. Pour seule réponse, elle déclare qu’il s’agit d’un gars rencontré pendant la soirée du nouvel an et qu’elle n’a plus jamais revu après la nuit passée ensemble. Sachant également qu’elle est contre l’avortement, toute la famille comprend cette raison qui la fait garder le bébé.
Puis vient le confinement. Période assez difficile à traverser. En effet, pendant cette période, ma sœur aînée accouche de son fils. Mais malheureusement, en dehors des discussions par ordinateur interposés, personne ne peut aller voir le nouveau-né. C’est surtout pour les parents que ce moment est le plus difficile, car il s’agit de leur tout premier petit-enfant. Et pour moi, le moment difficile à traverser pendant le confinement, c’est de ne pas pouvoir tenir ma promesse d’être là pour Laure. Pas parce que je continue de travailler alors que tous les autres membres de ma famille sont soit en télétravail, soit chômage partiel. Mais parce que quand je rentre du travail, je ne peux pas aller voir si Laure va bien. Je dois me contenter de nos conversations téléphoniques et de nos visios. Et c’est également à cette période que le ventre de ma sœur commence à s’arrondir légèrement. Ce n’est pas que j’aurais aimé être là pour le vivre au quotidien, mais c’est juste que n’étant pas physiquement vers elle, je ne remarque pas les petits changements derrière l’écran de mon ordinateur. C’est seulement lors du déconfinement que je réalise que le ventre de Laure a vraiment changé.
Même si c’est ma sœur, je ne peux pas m’empêcher de vouloir essayer de sentir les mouvements de ma progéniture. Pourtant, je n’ai jamais été vraiment intéressé par le fait de toucher le ventre d’une femme enceinte. Mais là, le fait de savoir que c’est mon enfant change radicalement ma vision des choses. Maintenant je comprends cette envie que les futurs pères ont de vouloir caresser le ventre de leur femme enceinte.— Je peux toucher ton ventre ? osé-je demandé à ma jeune sœur pendant que nous sommes seuls.— Oui bien sûr, me répond-elle. Mais je croyais que ce n’était pas trop ton truc.— Je le croyais aussi. Mais là c’est différent et tu sais pourquoi.— Parce que c’est ton bébé... dit-elle sans me juger.
Je m’approche d’elle et je pose mes mains sur son ventre. Mais à ma grande déception, je ne sens pas de mouvements. Mais cela n’empêche pas ma sœur de me poser une question à laquelle je ne m’attendais pas.— J’ai bien fait de garder le bébé ? me demande-t-elle.— Je ne sais pas trop. Je n’ai jamais vraiment voulu avoir d’enfant. Mais là, savoir que c’est mon bébé qui est dans ton ventre, je reconnais que ça me fait quelque chose.— Ça se voit, me confirme-t-elle. Tu voudras venir avec moi pour les échographies ? Normalement j’ai rendez-vous dans trois jours pour connaître le sexe du bébé.— Tu accepterais que je vienne ?— Tu m’as promis de t’impliquer pendant ma grossesse et même après. Tu te souviens ?— Oui bien sûr. Et c’est toujours valable. Mais je ne veux pas m’imposer. Si tu ne veux pas que je vienne, alors je resterai chez moi.— Je te le propose, donc ça ne va pas me déranger.— Dans ce cas, je veux bien t’accompagner.
Au cours de l’échographie quelques jours plus tard, j’entends le cœur du bébé battre et je fonds en larmes. Je ne m’attendais pas à être aussi touché. Je ne sais pas vraiment si ce sont mes larmes qui émeuvent ma sœur ou si, pour elle aussi, ce sont les bruits des battements de cœur, mais je constate qu’elle aussi verse une petite larme. Et quelques minutes plus tard, le gynécologue demande à ma sœur si elle connaître le sexe du bébé. Elle me regarde quelques secondes, semblant chercher mon approbation.
— Oui, dit-elle sans détacher son regard du mien.— C’est une fille, annonce-t-il.
Je fonds en larmes une seconde fois et ma sœur est également émue. Bien que nous nous soyons présentés comme frère et sœur devant le gynécologue, je ne sais pas si ma réaction lui a permis de comprendre mon implication dans la grossesse de ma sœur. En tout cas, s’il a compris, il ne dit rien.
Nous sortons de l’établissement quelques instants plus tard. À cet instant, loin du regard des autres, j’ai sincèrement envie d’embrasser ma sœur. Mais pas un baiser fraternel. Je veux l’embrasser comme un homme embrasse une femme, mettre ma langue dans sa bouche et passer mes mains sur son corps. Mais je lutte de toute mes forces pour me retenir. À la place, je lui prend la main et nos doigts s’enlacent. Ce n’est qu’en arrivant à la voiture que nos mains se séparent. Je ramène ma sœur chez elle sans oser tenter la moindre chose. En plus, même si je le faisais et que cela nous amenait dans son lit une seconde fois, je ne pourrais jamais savoir s’il s’agissait d’un acte volontaire et désiré par tous les deux, ou s’il s’agissait d’une réaction liée aux hormones.
Après cette échographie, sachant que je n’aurais aucun droit de paternité sur ma fille, je décide de prendre mes congés pour la période de l’accouchement de ma sœur. C’est-à-dire, à entre la fin du mois de septembre et le début du mois d’octobre. En raison de la crise sanitaire et des possibilités de devoir subir un reconfinement pendant l’été, mon employeur ne semble pas vraiment surpris par mon choix de période de congés.
Quelques jours après l’acceptation de mes congés, je retourne chez Laure. Je lui fait la bise, mais le peu de temps pendant lequel je suis proche d’elle me permets de sentir son odeur. Elle sent vraiment bon et je lutte, une fois de plus, de toute mes forces pour ne pas la serrer dans mes bras et l’embrasser. Son ventre ne cesse de grossir et je la trouve de plus en plus sublime. — Salut Laure. J’aimerais te poser une question si tu veux bien.— Oui bien sûr. Je t’écoute.— Alors voilà. Tu sais que je veux être présent un maximum pour toi et le bébé.— Oui, et tu me l’as montré l’autre jour en étant présent à l’échographie.— Oui. Mais je sais aussi qu’en raison de nos liens familiaux, je ne pourrai pas avoir de congés pour ton accouchement.— Ah, je ne savais pas.— Dans ce cas je te le dis. Je n’aurais aucun droit légal sur notre fille. Si un jour tu veux partir loin et l’élever seule, je ne pourrais rien te dire.— Je ne prévois rien de ce genre.— Je m’en doute. C’était surtout pour t’informer. Mais voilà, comme je n’aurais pas droit à un congé parental, j’ai décidé de prendre des congés pour la période durant laquelle tu devrais accoucher.— Tu as vraiment fait ça ?— Oui. Après, si tu accouches plus tôt que prévu, je risque de ne pas pouvoir être présent. Si toutefois tu veux que je...— Oui, me coupe-t-elle. Tu es le père de mon bébé. Alors si tu veux être présent au moment de l’accouchement, tu peux. Enfin, s’il n’y a pas de restrictions sanitaires à ce moment-là.— Oui c’est sûr que ça aussi pourrait être un problème.— Mais si tu as envie d’assister à la naissance de ta fille, je suis d’accord, me confirme Laure.— Mais toi, tu veux que je sois présent ? Je ne veux pas t’imposer ma présence si tu ne la veut pas.— Honnêtement, même si tu es mon frère, je ne m’imagine pas accoucher sans ta présence. Comme je te l’ai dit, tu es le père de mon bébé, donc je veux partager ce moment avec toi.— Merci, lui dis-je avec enthousiasme et en la serrant dans mes bras.
Mon émotion est bien trop forte pour être contenue à cet instant. Je ne résiste plus et je pose mes lèvres sur les siennes. Et quasiment aussitôt, ma langue va visiter sa bouche. Je ne sens aucun geste de défense de ma sœur. Elle n’essaie pas de me repousser. Cependant, après cinq ou dix secondes, je reprends mes esprits.— Désolé, lui dis-je.— Ce n’est pas grave. Ce n’est pas comme si nous ne l’avions jamais fait, dit-elle en rigolant.
Je décide de me lever et de partir en évitant que ma sœur voit la bosse qui doit probablement déformer mon pantalon. Je ne suis pas encore retourné à ma voiture que je reçois un SMS de Laure me disant, une fois de plus, que je n’ai pas à m’en vouloir.
Durant les semaines et les mois qui suivent, la tentation est toujours présente, m’obligeant à lutter de toutes mes forces pour ne pas l’embrasser à nouveau, ni même aller plus loin. Puis le jour de l’accouchement arrive. Je suis prévenu par SMS que Laure se dirige à la maternité car elle vient de perdre les eaux. Je ne perds pas une seconde et je saute dans ma voiture pour rejoindre la maternité.
Malheureusement, les restrictions sanitaires étant assez strictes et ne pouvant pas me déclarer comme étant le père du bébé de ma sœur, c’est finalement notre mère qui décide d’accompagner Laure pendant l’accouchement. Pour préserver notre secret, je suis donc privé d’assister à la naissance de ma fille.
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