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Un dérape qui a des conséquences

Chapitre 4

La rechute

Inceste
Nous sommes le 5 juin 2021. Hier, Laure fêtait son anniversaire. Mais s’agissant d’un jour de semaine, nous avons préféré le fêter pendant le week-end.
Au cours des derniers mois, j’ai eu la chance de pouvoir passer un peu de temps avec ma sœur et notre fille. Moi qui n’aimait pas vraiment les enfants, je me découvre complètement gaga envers ma fille. Mais encore une fois, pour préserver notre secret, je ne m’en occupe jamais seul. Pourtant, Laure me fait entièrement confiance, mais il y aurait toujours ce risque que la famille se demande pourquoi Laure confie sa fille à son oncle au lieu de le confier à sa tante ou à sa grand-mère.
Aujourd’hui, je passe récupérer ma sœur pour aller fêter son anniversaire. Cela me permet aussi de voir ma fille quelques minutes de plus. Exceptionnellement, vu que toute la famille sera réunie et que personne ne pourra veiller sur le bébé, ma sœur confie notre fille à une nounou. Nous partons donc quelques minutes après son arrivée et après lui avoir fait part des consignes à suivre en cas de problème.
La soirée d’anniversaire de Laure se déroule normalement. Certains font la fête et poussent ma jeune sœur à profiter de sa soirée. Elle va donc danser et je ne peux m’empêcher de la regarder. Elle est vraiment magnifique dans sa robe noire qui moule bien ses formes. Sous mon pantalon, une bosse se forme, mais je ne cherche pas à la dissimuler, je suis protégé par la table.
De mon côté, je profite un peu de la soirée en allant danser de temps en temps, mais en évitant toujours le contact avec Laure. Car j’ai peur qu’une simple danse avec elle me fasse perdre tous mes moyens. C’est également pour cette raison que ce soir, je ne bois pas une seule goutte d’alcool. Je me contente de boissons gazeuses non-alcoolisées. Et je remarque que c’est pareil pour Laure.
Vers deux heures du matin, la fête se termine. Nous sommes tous fatigués et certains sont déjà rentrés. Laure et moi décidons de rentrer ensemble, sans donner la réelle raison. Ma sœur sait que même si elle doit probablement déjà dormir, je veux voir notre fille une dernière fois avant de rentrer chez moi pour la soirée.
Nous arrivons chez elle quelques minutes plus tard. Et pour montrer mon implication à ma sœur, je décide de payer la nounou pour le temps passé. Et une fois qu’elle sort de chez ma sœur, je retire mes chaussures et ensemble, nous nous dirigeons discrètement vers la chambre de notre fille. Nous la regardons dormir pendant quelques minutes avant de ressortir de la chambre et de retourner au salon.
Nous discutons quelques instants et avant de rentrer chez moi, sans vraiment savoir pourquoi, je décide d’être honnête avec Laure, même si je sais qu’elle risque de prendre peur et de vouloir s’éloigner de moi.— Tu es vraiment très belle ce soir, lui dis-je.— Merci.— Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai envie de t’embrasser et de te faire l’amour.
Voilà, la bombe est lâchée. Laure va prendre peur et elle voudra me fuir. Enfin, c’est ce que j’imagine. Mais la réalité me surprend. Ou plutôt, la réponse de ma sœur me surprend.— Montre-moi dans ce cas, me répond-elle.
Interloqué, je la regarde dans les yeux pendant quelques secondes. Elle aussi me regarde et semble attendre de voir si je vais oser me lancer ou non. Et dans un geste de folie et de résilience, je bondis vers elle et ma bouche vient retrouver la sienne. Pourtant, Laure ne semble pas surprise et ne me repousse pas. Au contraire, je sens ses bras autour de mon cou. Ma langue vient retrouver la sienne et nos bouches ne se décollent plus pendant près d’une minute.
Maintenant que j’embrasse ma sœur, je ne contrôle plus mes envies. Mes mains glissent sous sa robe et rapidement, commencent à soulever le tissu. Ma sœur pourrait tout arrêter simplement en m’empêchant d’agir. Mais au lieu de ça, elle m’aide à retirer le tissu. Et je découvre que pendant toute la soirée, ma sœur ne portait rien d’autre sur elle. Heureusement que je ne l’ai pas su avant, sinon j’aurais pu perdre le contrôle pendant la soirée.

Maintenant que Laure est nue, ma bouche affamée vient lécher sauvagement ses petits seins magnifiques. Ma sœur gémit et passe sa main dans mes cheveux. Et pendant que ma bouche explore son corps, ma jeune sœur décide de retirer mes vêtements qui se trouvent au-dessus de la ceinture. En même temps, dans cette position, ce sont les seuls auxquels elle a accès.
Je me relève quelques secondes pour venir chercher un nouveau baiser et ma sœur en profite pour retirer mon pantalon et mon boxer. Mon sexe raide est maintenant libre. Je ne sais pas encore si cette situation va ramener Laure à la raison, mais j’ai rapidement la réponse.
Après seulement quelques secondes, ma sœur prend ma barre dans sa bouche et commence une divine fellation. Cette fois, nous ne pouvons pas prétendre que c’est l’alcool qui nous désinhibe puisque nous sommes sobres. Ma sœur arrête sa fellation après environ une minute. Elle se relève du canapé, me prend la main et m’amène dans sa chambre. Elle m’allonge sur le lit et reprend sa précédente activité. Affamé, je lui fais comprendre que j’ai envie de la goûter et elle passe ensuite ses jambes de chaque côté de ma tête. Je plaque son fruit mûr sur mon visage et je me délecte de son nectar. Et au premier coup de langue, ma sœur pousse un long gémissement de plaisir.
Après quelques minutes, je sens que je ne suis pas loin de la rupture. Et même si c’est probablement très agréable de jouir dans sa bouche, j’ai envie de pénétrer ma charmante sœur. Au point où nous en sommes, je n’hésite pas à lui faire part de mes intentions.
Ma sœur arrête la fellation qu’elle me prodiguait et retire son abricot de mon visage. Elle passe maintenant ses jambes de chaque côté de mes hanches et se laisse retomber sur ma barre qui rentre en elle. Nous poussons un long gémissement ensemble une fois que nos corps sont emboîtés ensemble. Laure va et vient sur moi à son propre rythme. Et après une ou deux minutes, je la plaque contre moi et je nous retourne. Je me retrouve maintenant sur elle et je décide de prendre les commandes.
Je ne cherche pas à être brutal, mais mon désir pour elle réfréné depuis tant de mois se déchaîne et je me révèle assez bestial. Pourtant, à en croire ses gémissements, Laure semble énormément apprécier.
Assez rapidement, nous atteignons l’orgasme et je me vide entièrement à l’intérieur de ma sœur.
Après avoir rempli le vagin de ma jeune sœur, je commence à douter. J’ai très peur qu’elle regrette. C’est pourquoi, sans lui faire part de ma crainte, je me relève et je reprends mes habits. Mais alors que j’ai mon boxer dans la main, ma sœur me tire le bras.— Reste s’il te plaît, me dit-elle.— Pourquoi ? Tu vas probablement regretter en te réveillant.— C’est surtout si tu pars que je vais regretter. Reste ici cette nuit.— Et si, pendant la nuit, j’ai envie de recommencer ? demandé-je pour la dissuader de me laisser dormir avec elle.— On pourra recommencer, me dit-elle.
Ses derniers mots prennent l’avantage. Je lâche le morceau de tissu que j’ai dans la main et, après un nouveau baiser, je me glisse nu dans le lit de ma sœur nue également. Nous nous embrassons longuement en mêlant nos langues ensemble, puis, fatigués par l’heure tardive et notre activité, nous nous endormons.
Je suis réveillé quelques heures plus tard. Même si je ne sais pas vraiment quelle heure il est, je remarque qu’il fait encore nuit dehors. J’ai encore envie de ma sœur mais je ne veux pas la réveiller. Je décide simplement de déposer un baiser sur son omoplate et de prendre un de ses seins dans ma main.— Tu as encore envie ? me dit alors ma sœur en se tournant vers moi.
Je n’ose pas lui répondre. J’ai peur qu’elle soit trop fatiguée et qu’elle refuse. Voyant que je ne lui réponds pas, ma sœur décide de passer sa main au niveau de mon intimité.— Effectivement, tu en as encore envie, confirme-t-elle.— On n’est pas obligés de le faire si tu es trop fatiguée.
Pour seule réponse, Laure empoigne plus fermement ma barre et commence à me masturber. Puis après quelques minutes, elle passe sa tête sous les draps et je sens à nouveau sa bouche enfermer mon vaillant soldat. Là encore, elle ne fait que me mettre très en forme, car après une ou deux minutes, elle s’allonge à mes côtés et attend ma visite. Je ne me fais pas prier et je la pénètre une fois de plus.
Ayant déjà éjaculé quelques heures plus tôt, je reste plus longtemps à l’intérieur de ma sœur que la dernière fois. Et même si j’aurais aimé la remplir à nouveau, au dernier moment, je décide de me retirer et je gicle maintenant sur son ventre et ses seins.— Pourquoi tu as fait ça ? me demande Laure.— Désolé. Tu n’as pas aimé ? — Disons que je ne m’y attendais pas. Mes ex ne se sont jamais retirés. Après, ce n’était pas désagréable non plus. Mais si tu as fait ça par peur que je t’en veuille de te lâcher en moi, sache que tu peux te vider en moi sans problème.— D’accord. Je te promets de ne plus le faire si tu n’en as pas envie.— Je te l’ai dit, ce n’était pas désagréable. Donc je ne suis pas contre si un jour tu veux recommencer.
Avec cette discussion que nous abordons de façon banale, je ne réalise pas encore que cela signifie que notre aventure ne prendra pas fin après cette nuit. Ma sœur se lève et va nettoyer son corps des traces de mon passage. Puis elle revient et m’embrasse longuement avant que nous nous rendormions.
Et au petit matin, je suis réveillé par des caresses sur mon torse. Pendant quelques secondes, je redoute que ma sœur exprime des regrets par rapport à notre nuit ensemble. Mais je suis rapidement rassuré lorsque Laure vient mettre sa langue dans ma bouche. Puis rapidement, elle prend une nouvelle fois ma barre dans sa bouche. Ses fellations sont toujours agréables et un réel plaisir à recevoir. Mais cette fois, ma sœur reste plus longtemps que les autres fois.— Laure, je ne vais bientôt plus pouvoir résister, lui dis-je.
Elle ralenti son rythme mais garde toujours mon mandrin dans sa bouche. Son ralentissement me permet de tenir près d’une minute de plus avant d’atteindre à nouveau le seuil de mes limites.— Laure, arrête, je ne vais plus tenir.
Mais cette fois, au lieu de ralentir, ma sœur accélère ses mouvements. Je comprends qu’elle a l’intention d’aller jusqu’au bout et après quelques secondes de plus, je lâche un profond gémissement de soulagement et je me laisse aller dans la bouche de ma sœur. Lorsque je n’expulse plus rien, ma sœur se retire en gardant sa bouche fermée. Elle se lève du lit et se dirige vers la salle de bain. Je la suis et pendant qu’elle recrache mon sperme dans le lavabo, je la prends dans mes bras et je dépose un baiser dans son cou. Elle penche la tête pour apprécier mon attention. Mes mains caressent son corps et mes doigts se dirigent vers sa zone intime. Un premier doigt trouve facilement l’entrée de sa grotte, puis un second. C’est ensuite un lent va-et-vient dans son antre humide. Ma sœur gémit et mes doigts ressentent de plus en plus d’humidité. Je me mets à genoux derrière ma sœur qui comprend mes intentions et écarte les cuisses pour me laisser accéder à son fruit délicieusement dégoulinant. J’approche ma tête et je m’abreuve de tout ce que son corps est capable de m’offrir. Pas une seule goutte de sa cyprine ne fini au sol. Ma sœur gémit de plus en plus fort et je l’entends s’aggriper plus fermement au lavabo. Puis dans un cri qui fait plaisir à entendre, ma sœur jouit et son corps tremble. Elle essaie de lutter pour rester debout, mais ses muscles l’ont lâchée. Je la serre dans mes bras et je la maintient. Elle se laisse tomber au sol, retenue par mes bras.— Merci, me dit-elle en m’embrassant. Je n’avais jamais jouit comme ça.— C’est un plaisir de t’avoir fait connaître ça.
Puis, en une fraction de seconde, je réalise ce qu’il se passe quand je me retiens de lui dire "je t’aime". Je comprends que je suis tombé amoureux de ma sœur et que je ne veux plus aucune autre femme dans ma vie. Pourtant, après un nouveau baiser, je suis prêt à lui avouer mes sentiments pour elle. Mais elle ne m’en laisse pas le temps et freine toutes mes ardeurs.— On remettra ça bientôt, s’exclame Laure. C’est génial le sexe avec toi.— Pas de souci. Tu n’auras qu’à m’appeler quand tu voudras recommencer.
J’essaie de cacher ma déception. Je ne veux pas simplement coucher avec elle de temps en temps pour s’amuser ensemble. Je veux lui faire l’amour tous les jours et essayer de vivre avec elle et notre fille. Mais si c’est ce qu’elle veut, alors tant pis, je me contenterai de bons moments avec elle durant lesquels je tenterai d’être le meilleur partenaire qu’elle ait connu pour espérer qu’elle ouvre les yeux sur moi et veuille la même chose.
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