Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 66 J'aime
  • 2 Commentaires

Le dernier TGV pour Genève

Chapitre 2

Erotique
Oui, j’ai fini par trouver celui qui m’a écrit la suite, le docteur A……Il écrit bien, hein ?Ce n’est pas la seule chose qu’il fait bien !;) Bonne lecture !………………………………………………………………………………………..

Le dernier TGV du soir vers Genève venait de quitter la capitale française et par cette douce soirée de printemps, les derniers rayons du soleil s’estompaient petit à petit .Dans la ville, sur les trottoirs étaient apparues les premières tenues légères marquant la fin d’un hiver long et triste. La vie renaissait, la sève montait dans les végétaux ( mais pas seulement!) en même temps que la sensualité chez beaucoup de ces hommes et femmes.
Il y avait peu de monde dans ce wagon de première classe. Le hasard des réservations avait placé une jeune femme, dans la vingtaine, à coté de moi, assise contre la fenêtre. Dans cet espace face à face, il n’y avait que nous deux. Quand elle est arrivée là, j’étais en train de regarder quelques articles d’ordre médical sur mon laptop. Je suis médecin, On s’est salué. Elle avait un sourire plutôt agréable mais je n’imaginais pas encore ce qui allait se passer.
Le trajet en TGV n’est pas long, mais le temps me semble long, lui, alors, je regarde parfois des petites vidéos où l’on voit sur l’écran des corps emmêlés, emboîtés, gémissant et remplissant mes oreillettes de leur souffle et de leurs cris… d’autant plus long que ma jolie voisine me fait de plus en plus envie et que je ne sais pas si la bosse de plus en plus dure et volumineuse que forme mon sexe sous mon pantalon est lié à ces images ou à sa présence à mes côtés…
Elle s’appelle Cathy… je n’ai pas pu lire son nom, mais son prénom ne m’a pas échappé, sur le talon de son billet lors du passage du contrôleur qui n’a pas manqué de s’attarder, intéressé lui aussi par ce qu’elle dégage…Elle ne perd rien, la jolie Cathy, de ce que je regarde, de toute évidence très intéressée, d’abord avec des regards en coin, puis de moins en moins discrètement, et à l’accélération de son souffle et à la chaleur de son visage, je vois bien qu’elle est loin d’être indifférente à ce qui se passe, sur l’écran, mais peut être aussi dans mon boxer, puisqu’elle jette là aussi de temps en temps des regards de moins en moins discrets sur mon entrejambe. Je sais que c’est encore un fantasme mais je commence à l’imaginer comme la mère Brémond, avant-hier quand je l’auscultais….. Oui, Docteur, oui à fond, je vous en prie, je vous en prie Docteur…. j’aime qu’elles m’appellent ’Docteur’ quand je les baise.
Pour l’instant, on n’en est pas là et la main de Cathy est posée entre ses cuisses et je la vois bouger lentement, insistante, entre ses jambes légèrement écartées… J’ai bien l’impression que comme moi, elle n’a nulle intention d’en rester là… et peut-être n’a-t-elle rien prévu à Genève, où je me rends pour un Congrès qui saura m’attendre s’il le faut. Quelques minutes avant l’arrivée du train, elle me tend son bouquin en me disant que cette lecture m’intéressera sûrement. C’est un pseudo best-seller érotique sans grand intérêt sauf le message inséré à l’intérieur
A la descente du train, à Genève, je la vois hésiter, son petit bagage à la main, me jeter des regards tout en s’attardant dans le hall de la gare, comme pour me laisser le temps de récupérer ma valise et de me décider quant à la suite de notre éventuelle histoire… Cathy s’arrange pour me laisser le temps de la suivre, j’en suis sûr maintenant, elle erre un peu dans le hall, sa jolie jupette si courte est restée un peu relevée de sa longue station assise, et elle ne fait rien pour la tirer vers le bas… jusqu’à ce que je la regarde…
Je regarde ses longues cuisses, se perdant sous le tissu trop court, en 2 superbes petites fesses rondes et fermes, juste séparées par la ficelle de son string, sa main qui maintenant se pose d’abord comme une caresse sur l’une d’entre elles, comme pour vérifier qu’elles sont aussi appétissantes que je les vois, avant de faire glisser de quelques centimètres le bas de sa jupette…Elle marche maintenant vers la sortie, ondulant des hanches, perchée sur ses talons, sa jupette balayant le bord de ses fesses au rythme de sa démarche . J’ai du mal à en détacher les yeux…
Elle sort et se met à traverser la rue, non sans un dernier regard en arrière comme pour voir si j’avais bien compris, si je la suivais…Je la vois passer les portes de l’hôtel Cornavin, dont la haute façade, couronnée de larges baies vitrées largement éclairées domine la place de la gare… C’est là que j’avais réservé ma chambre… heureux hasard…Je m’engouffre dans le hall derrière elle, à quelques mètres et je la vois accoudée au comptoir de bois clair… je vois l’employée de l’hôtel une jolie petite blonde au demeurant, décrocher avec un grand sourire la clé de la chambre 312 et la lui tendre… elle se retourne, me fait elle aussi un sourire et se dirige vers l’ascenseur non sans s’assurer que j’aie bien lu le n° de sa chambre…
Après m’être occupé de récupérer les clés de ma chambre auprès de la jolie petite réceptionniste, je me dirige moi aussi vers l’ascenseur… A peine les portes refermées, je me demande si je ne devrais pas faire le premier pas, et , mes bagages déposés dans ma chambre, j’appelle la réception, leur demandant de monter une bouteille de crémant du Jura avec 2 coupes à la chambre 312, puis je rouvre ma porte et me glisse dans le couloir… je suis moi aussi au 3ème, ce qui simplifie les choses…J’arrive devant la porte du 312 en même temps que la jolie petite blonde au sourire désarmant, avec son chariot roulant, son seau à champagne et ses coupes…
— Je vais m’en occuper, si vous voulez bien… je vous aurais bien invitée, lui dis je en souriant, mais vous êtes occupée… peut être à la fin de votre service…?

Elle me regarde d’un drôle d’air pas dupe… elle sait bien que le 312 n’est pas ma chambre mais celle de la jolie Cathy, a qui elle a remis les clés il y a quelques minutes…
— Je finis dans 2 heures, me dit elle en me souriant de toutes ses dents, les yeux pétillants, en même temps que le crémant, alors si ça tient toujours…
Et sans me laisser le temps de répondre, la voilà qui fait demi-tour et repart vers l’ascenseur… Je la regarde marcher, de son pas dansant, avec sa jolie chute de reins malgré sa petite taille, ses longs cheveux blonds balayant ses épaules…Un dernier regard, alors qu’elle rejette ses longs cheveux en arrière dans un charmant mouvement de sa nuque, avant de s’y engouffrer, et me voilà seul dans le couloir, avec ma bouteille et mes désirs…

Je frappe doucement contre l’huis de la porte de la chambre 312 derrière laquelle j’entends bouger et marcher, ainsi qu’un léger fond musical…
— Oui ? c’est pourquoi ?
Elle a une voix agréable, pas comme ces voix haut perchées qui me coupent parfois mes envies…
— Room Service ! dis je sans me dégonfler…

La porte s’ouvre sur elle, elle a enfilé le peignoir de l’hôtel et se préparait vraisemblablement à prendre un bain ou une douche…
— Docteur P……., pour vous servir…, en faisant glisser le chariot et son agréable chargement dans la porte entrebaillée…

« J’espère que je ne vous dérange pas, Cathy (ne vous inquiétez pas, j’ai lu votre joli prénom sur votre billet, toute à l’heure)… je me disais qu’il serait agréable de partager un verre, après avoir partagé ce long voyage en train… non ?", et, en lui souriant
« Je sais bien que vous n’êtes pas malade, mais si vous avez besoin de mes services.. »La porte de la chambre 312 se referme doucement derrière moi, freinée par son groom, et je la vois - pas décontenancée le moins du monde - me sourire et me dire :
— Vous êtes très observateur… mais voilà une bonne idée… les nuits sont si tristes et si longues quand on est seule à l’hôtel. — Vous n’attendiez personne, j’espère…, lui dis je.— Si, dit elle d’une voix à peine audible, en me souriant… « Mais celui que j’espérais est arrivé… laissez moi vous servir… »

Elle se penche sur la desserte, prenant la bouteille entre ses mains… son peignoir s’est entrouvert, laissant apparaître un court instant un joli sein, bien rond à l’aréole large et au téton court et épais… Alors qu’elle fait sauter le bouchon et verse une petite quantité de vin dans chacun des verres, je la détaille un peu plus que je n’ai pu le faire dans le train… Elle est plutôt jolie et comme je viens de le constater, pas particulièrement farouche…
— Alors laissez moi porter un toast à votre beauté. lui dis je en lui tendant sa coupe…— Merci me dit elle, mais comme médecin vous devez en voir bien d’autres…
Je me garde bien de lui répondre et lui souriant toujours… :
— Vous avez apprécié le spectacle ?
Elle me fixe un peu décontenancée, avant de comprendre…
— Ah oui, sur votre PC.. ?. Désolée, mais je n’ai pas su résister à l’envie de regarder… et après vos tableaux, vos schémas et vos courbes, celles qui ondulaient sur votre écran étaient plutôt plaisantes.
Je ris en la regardant droit dans les yeux…
— J’ai vu qu’elles ne vous laissaient pas totalement indifférente… — Vous non plus. dit-elle en fixant franchement son regard sur mon entrejambe.
« Match nul. Mais je ne sais pas si c’était vous ou les films…" lui dis je en riant… tout en la déshabillant des yeux…« Match nul. » me dit elle en riant et en se tournant, marchant vers la grande baie vitrée ouverte sur la nuit de la ville…
Du troisième étage, devant cette large ouverture, c’est un peu comme si on volait, me dis je en la regardant marcher, ses fesses dansant sous le peignoir… et en même temps, je sentais une fois encore une chaleur diffuse envahir mon ventre… Me rapprochant d’elle, je me collais presque à son dos, penché par dessus son épaule pour regarder dehors…
— Jolie vue ? non ? et je sens l’odeur entêtante de ses cheveux envahir mes narines… ce qui n’arrange rien à mon état…

Elle ne dit rien, les yeux toujours tournés vers les lumières de la ville la nuit, à moins qu’elle ne me regarde dans le reflet de la baie vitrée… difficile à dire… me penchant un peu plus vers elle, je pose mes lèvres humides de crémant dans le creux de son épaule, juste à la base du cou et je la sens frissonner, mais elle ne se dérobe pas… la voilà même qui se retourne et qui colle sa bouche contre la mienne, ses lèvres humides et gourmandes se saisissant des miennes alors que langue se glisse dans ma bouche à la recherche de la mienne… j’enfonce ma langue dans sa bouche, m’enroulant autour de la sienne, nos salives, parfumées au crémant se mêlent et j’aime le goût de sa bouche…
Sans quitter ses lèvres, je pose mes mains sur ses épaules et je fais lentement glisser le peignoir qui tombe au sol, sur l’épaisse moquette, sans un bruit… elle est nue en dessous, comme je l’imaginais, en dehors d’un petit string qu’elle a gardé mais qui la protège si peu…Nos bouches toujours collées, mes mains parcourent maintenant son dos, se cherchant, descendant vers ses fesses rondes et fermes et les attirant contre moi… son ventre ne peut pas ne pas sentir la protubérance chaude et palpitante qui habite maintenant mon pantalon sous mon boxer…
Ma main droite empaume une de ses fesses, puis glisse le long de sa hanche pour se glisser entre ses cuisses… elles sont douces et chaudes, et ma main se pose sur son sexe, sur ses lèvres gonflées… elles sont chaudes et humides, gorgées de sang… ce faisant, ma main la repousse, dos à la fenêtre et elle se retrouve nue, écrasée contre la vitre, et le froid la fait frissonner plus que le risque d’être vue ainsi, collée nue contre la fenêtre… mes doigts se glissent dans son ventre, un premier, puis un deuxième, alors que ma bouche, abandonnant la sienne se pose sur un de ses tétons… de la salive a coulé sur son menton, et même sur son autre sein, alors qu’elle reprend sa respiration…

Je sens son clitoris gonfler juste entre mes deux doigts qui l’écrasent sur son pubis, la soulevant légèrement pour mieux m’offrir son téton que je sens durcir dans ma bouche. Sa respiration se fait plus rapide, plus rauque, et elle se tortille sous mes doigts, sous ma bouche, sans que je sache si c’est pour échapper à cette douce morsure et à cet écrasement qui la fait se cambrer, ou si c’est pour mieux s’offrir, mieux se donner…
Ses mains ne restent pas immobiles… de mes épaules où elles se cramponnaient, je les sens descendre dans mon dos, mes reins, me coller contre elle. Sa main droite se glisse dans le maigre espace qui sépare mon pubis du sien, nu et offert, et je la sens saisir l’extrémité de ma fermeture à glissière, et ouvrir brutalement mon pantalon… sa main, contre mon sexe dur et prisonnier jusque là, me fait frissonner
Elle se glisse dans ma braguette et je la sens refermer sa main sur ma queue dure et tendue sous mon boxer… j’ai envie qu’elle me branle, qu’elle me prenne dans sa bouche, maintenant libre de ma langue, alors je me recule un peu, la laissant libre de ses mouvements et elle ne se le fait pas dire deux fois… elle fait glisser mon pantalon sur mes hanches, le laissant tomber au sol à côté de son peignoir, puis mon boxer qui rejoint les dépouilles de cette bataille sur la moquette… Elle n’a pas dit un mot…
Mon sexe dur et raide est maintenant levé vers elle, libéré et sa main commence à le faire coulisser, à retrousser mon prépuce sur ce gland trempé de désir, gonflé et sensible…S’accroupissant devant moi, ses mains collées à mes fesses nues, elle aspire goulûment cette queue déployée pour elle et je sens le contact chaud et humide de ses joues quand elle m’enfonce en elle, les caresses enveloppantes de sa langue, sous le rebord de mon gland, jouant avec les débordements de sperme que je sens couler sur lui..
J’ai envie d’éjaculer là, de suite dans sa gorge, sur son si joli visage, mais je me reprends…La prenant vigoureusement par les cheveux, je commence à lui baiser la bouche, de plus en plus fort, de plus en plus loin, regardant les larmes envahir ses jolis yeux… elle suffoque un peu mais, courageuse, elle se saisit de mes couilles et de la base de mon sexe pour l’aider à pénétrer plus loin encore dans sa gorge… Ses yeux mouillés ne quittent pas les miens, jouissant de la vue de cette fellation profonde et brutale…
Je ne tiens pas plus longtemps, je l’ai trop désirée et je gicle en longs jets réguliers dans sa gorge, dans sa bouche, alors qu’elle retire ma queue et sur son visage dont le maquillage a légèrement coulé, sous les larmes et sous les éclaboussures de sperme…Je regarde avec plaisir son visage souillé, son menton dégoulinant du foutre qui déborde de ses lèvres gonflées et endolories, coulant sur ses seins magnifiques…
La tenant toujours par les cheveux, je l’aide à se relever, et arrachant mon t-shirt de l’autre main par dessus ma tête, je l’attire contre moi, pour le plaisir de sentir son torse trempé de mon foutre collé au mien, sentir ses tétons durs et électriques de mes morsures griffer ma poitrine… j’aime ce contact tiède et collant et ma bouche se colle à la sienne alors que ma main, quittant ses cheveux, se fait plus caressante, dans sa nuque, rapprochant son visage souillé, sa bouche débordante de la mienne… et j’y plonge ma langue gourmande pour récupérer une partie de ce que je viens de lui offrir… Lapant son visage, buvant mon foutre mêlé à sa salive à même ses lèvres gonflées et ouvertes… mes mains quittent sa nuque et se posent sur ses seins, les tartinant de mon sperme chaud, avant de les laver eux aussi de ma langue…
Son corps ainsi offert, souillé, le contact de ma bouche avec ces liquides mélangés me refait durcir rapidement… d’autant plus que ma bouche parcourant son ventre s’est maintenant posée sur sa fente ouverte par mes doigts, trempée de son plaisir… M’accroupissant à mon tour, mon visage collé à sa vulve ouverte, la pousse à nouveau contre cette vitre froide, offrant son dos, son cul aux passants éventuels de la place… ma tête est collée entre ses cuisses ouvertes, une seule de ses jambes encore posée sur le sol pour me livrer passage…
Trois de mes doigts se glissent dans sa fente… et elle est tellement mouillée que j’y entre sans aucune difficulté… Les recourbant derrière son pubis, crochetant cette petite barre osseuse et dure qui ferme son mont de vénus, je la tire vers ma bouche, prenant ses lèvres entre ls miennes, les aspirant, les mâchouillant en un long baiser, alors que ma langue curieuse va chercher son clitoris encore endolori, mais dur et gonflé de mes caresses brutales de toute à l’heure…
Ma langue le retrousse, l’entoure, mes lèvres l’aspirent, le suçotent et je sens son pubis collé de plus en plus contre mon visage, comme si elle voulait aspirer ma figure toute entière dans son ventre… le contact de mes dents la mordillant provoque un long spasme de tout son corps et je sens ma bouche, ma langue inondée de plus de mouille encore, alors que mes doigts non seulement la soulèvent contre moi, mais fouillent maintenant le moindre recoin de son vagin, trempé autant de ma salive que de sa mouille…
Je suis dur comme la pierre et j’ai envie de ce corps, de ces cuisses, de cette chatte, de ce cul…Alors qu’elle jouit à nouveau dans ma bouche, je me décolle d’elle et la retournant, je plaque ses seins humides de foutre et son ventre contre la vitre froide, sa joue se colle sur le verre, et les passants s’il y en a se voient offrir le sublime spectacle de son corps écartelé, écrasé contre la vitre à la lumière des lampadaires de la place… j’espère qu’il y a des voyageurs et qu’ils peuvent profiter de ce joli spectacle…Ma main s’introduit entre ses cuisses, à la recherche de cette caverne humide et chaude… les écarte pour fourrager dans sa chatte… Ma bite dure et dressée se colle entre ses fesses, les souillant de traînées nacrées, alors que je la fais coulisser contre ses fesses, le haut de ses cuisses ouvertes…une de ses mains dans son dos se saisit de ma queue et la dirige vers sa chatte baveuse… j’ai envie de crier tellement ça m’excite de sentir sa main serrée sur moi, me plantant dans son sexe à elle… je commence à aller et venir en elle, mais sa main est toujours là, serrée sur moi, comme si elle se masturbait avec ma queue comme avec un vulgaire godemichet… Je suis tellement excité et étonné que je gifle ses fesses brutalement, y laissant la trace rouge de mes doigts… ma queue toujours plantée en elle…
Elle gémit et son souffle devient animal… elle a aimé, je crois cette claque inattendue, alors je la réitère, en m’enfonçant plus encore en elle…Je sens ses fesses rouges et douloureuses se coller contre mon ventre, elle est cambrée au maximum, et elle pousse contre mon pubis comme si elle voulait que cette bite ressorte de l’autre côté de son ventre, contre cette vitre souillée de nos jus mêlés…
Mes doigts trempés de sa mouille et de mon sperme se mettent à écarter ses fesses, à caresser son anus, doucement en lents mouvements circulaires, avant de se planter, d’abord l’index, puis le majeur, dans ce petit trou palpitant au rythme de son plaisir et de mes coups de reins… Je les enfonce jusqu’à la jointure pour sentir ma bite coulisser contre eux, dans son vagin, et je suis tellement excité de ce contact, à travers ses muqueuses, que j’éjacule une deuxième fois, sentant mon foutre couler le long de ma verge et de ses cuisses au fur et à mesure de mes entrées sorties… et c’est bon…
Mes doigts continuent à la caresser, alors que ma queue en phase de décroissance a libéré son vagin trempé, toujours dégoulinant en régurgitations répétées le long de ses cuisses… Mon pouce, trempé de nos jus, planté dans son anus, et mes 4 autres doigts recourbés dans sa chatte et la soulevant, la tirant contre mon ventre…
Je sens les coulures entre ses cuisses maculer les miennes, mon ventre collé à son dos, comme si je ne voulais plus faire qu’un avec son corps et c’est vrai que j’ai du mal à le séparer du mien, tellement j’y ai pris d plaisir…Sortant mon pouce, mais mes doigts toujours en elle, je la retourne et nos lèvres se rejoignent automatiquement…J’aime y retrouver le goût de mon foutre, mêlé à sa salive…
— Merci…, lui dis-je en la prenant par la taille et en l’allongeant maintenant sur la moquette épaisse de la chambre…

Mes mains n’arrivent pas à quitter son corps pourtant souillé et le parcourent en longues et légères caresses, s’attardant sur ses épaules, son ventre, ses seins adorables aux tétons larges et toujours pointant - autant à cause de l’excitation que du froid de la vitre sur laquelle ils sont restés collés, s’y frottant si longtemps -, ses cuisses et son entrejambe ou je replonge avec délices mon visage, la lapant doucement, lentement, ma langue juste à la sortie de sa vulve, caressant ses lèvres gonflées et trempées…J’aime sentir son odeur, mêlée à la mienne, cette odeur de sexe qui m’enivre… sentir la fraîcheur de sa chatte sur mon visage, mouillant mes joues, mon nez, frottant son clitoris… et je la sens toujours à fleur de sens, réagir à ces caresses, même légères… Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes ensemble dans cette chambre, depuis combien de temps nous sommes ainsi emmêlés sur cette moquette, mais j’aimerais que cela dure toujours, et la prendre et la reprendre, dès que mon sexe s’en sentira capable… mais nous voilà brusquement rappelés à la réalité par trois quatre coups légers frappés à la porte de sa chambre…
Nous nous regardons un peu surpris ……..
Diffuse en direct !
Regarder son live