"Je m’appelle Léa", cette simple phrase… est tout un programme… La jolie petite réceptionniste, allongée nue contre Cathy, me regarde avec des étoiles dans les yeux, tout en caressant machinalement le corps repu de plaisir de sa partenaire… Sa douce voix grave au souffle court est en elle même elle aussi tout un programme et je rêve de l’entendre cette fois-ci gémir, crier, demander encore plus de plaisir, tout en enchaînant des mots plus cochons les uns que les autres… Ses yeux se focalisent sur mon sexe maintenant avachi entre mes jambes, brillant de tous ces liquides et dégoulinant en tirant de longs fils nacrés sur la face interne de mes cuisses… elle passe goulûment sa langue sur ses jolies lèvres sensuelles, encore marquées de ta cyprine, gourmande…Moi, je reste bouche bée devant ce joli spectacle, ces fesses, ces cuisses, ces chattes, débordant de mon foutre, leurs anus un peu ouverts, appelant le plaisir, ces deux filles superbes, épuisées de plaisir, collées l’une contre l’autre, le dos sur cette moquette épaisse et douce, leurs ventres maculés offerts, jambes écartées, se caressant, comme si elles voulaient que leur plaisir ne s’arrête jamais… J’ai une envie folle de les rejoindre à même le tapis, de replonger dans leurs ventres, dans leurs culs, de les faire jouir encore et encore, mais mes yeux dépités fixent l’état de ma queue, incapable à cet instant de leur procurer ce plaisir…"Vous êtes fatigué", me dit la jolie Léa, en souriant, "mais vous nous avez déjà donné beaucoup, et plus encore à Cathy, en te caressant plus ouvertement un téton maculé de sperme… "il vous faut un peu de répit et j’ai peut être une solution… si vous êtes d’accord…"Devant mon regard interrogatif, elle précise "Nous avons à l’hôtel un bien joli bagagiste, bien monté, qui dort sur place dans les chambres sous les toits… et quand je suis en manque - en riant - je fais appel à ses services… vous ne le regretterez pas…" Un peu décontenancé, je lui dis OK, sans trop de conviction, mais je vois une lumière s’allumer dans les yeux fatigués de Cathy…Léa écarte sa main et se saisit de son portable, tombé au sol en même temps que ses vêtements et je l’entends appeler un certain Laurent, lui expliquant - à ma grande gêne - en détails la situation, et lui demandant de nous rejoindre le plus vite possible…A peine 2 minutes plus tard, j’entends le passe dans la serrure et je vois débarquer dans la chambre de Cathy, un superbe jeune homme, noir, moulé dans un jean et un T-shirt, noirs également, qui ne cachent rien de sa musculature et des avantages de son anatomie. "Je vous présente Laurent… il ne vous décevra pas, j’en suis garante… " en lui souriant… "tu peux te déshabiller et nous rejoindre", en se tournant vers son visage éclairé d’un grand sourire. Conscient de son physique, Laurent fait glisser son T-shirt par dessus ses épaules et sa tête, mettant en valeur le jeu de ses muscles qui roulent sous sa peau… son jean, à peine déboutonné rejoint nos divers habits sur la moquette. Il ne porte pas de sous vêtement sous son jean, peut être parce qu’il n’a pas pris le temps de l’enfiler, à moins qu’il ait l’habitude de n’en pas porter sous ses pantalons. En tout état de cause, il nous offre immédiatement un merveilleux organe, relativement imposant, bien qu’encore loi de l’érection.Sur un signe de Léa, le voilà qui se rapproche des 2 filles, me laissant toujours planté, debout, à jouir du spectacle. Se penchant sur Cathy, je le vois écarter délicatement ses cuisses, "Vous permettez ?", et poser sa bouche sur son entrejambe… la présence de mon foutre et des diverses salives mêlées à sa mouille ne semblent pas lui poser problème. Il doit être assez efficace, car en à peine quelques secondes, je vois Cathy pousser son pubis contre son visage, cambrée autant que possible pour lui offrir sa vulve, et je le vois jouer de ses lèvres épaisses et de sa langue, prenant ses lèvres entre les siennes, les lapant, petites et grandes, jouant de la pointe de sa langue avec son clito, la faisant rapidement respirer plus fort puis commencer à geindre et à l’encourager pendant qu’il la fouille de sa langue… "Oui, encore, oui…" au milieu de grognements plus ou moins animaux. Léa a décidé de prendre les choses en main, alors, a priori habituée du fait, elle se saisit du membre de Laurent qui commence à se redresser et elle le fait coulisser entre ses doigts, l’amenant par moments à sa bouche pour le lécher, le sucer, enveloppant de sa langue ce gland rose de plus en plus turgescent, coiffant un membre de plus en plus imposant dont elle se remplit la bouche…Me regardant, elle me fait signe et tout en continuant à caresser de la main gauche la queue du bagagiste, Léa se saisit de la mienne qui commence à ressentir du désir, devant cette scène plutôt excitante, et de la main droite, elle commence là aussi à me masturber, me portant par moments à sa bouche pour me faire grandir entre ses lèvres… Très rapidement, mes hormones reprennent le dessus et je me vois - grâce à ses agréables caresses buccales - , repartir pour une nouvelle érection. Laurent, lui, n’a pas attendu… il présente maintenant un membre exceptionnellement long et large, tendu comme un arc, qui se dresse fièrement devant la bouche de Cathy. Toujours tête bêche avec lui, la voilà qui arrache ce pénis hors norme de la main de Léa, qui le lui cède bien volontiers, et elle commence à le faire coulisser avec volupté entre ses doigts en appréciant la longueur et la fermeté. Lui continue à s’occuper de sa chatte, de plus en plus gonflée et sensible…
Cathy, ouvrant grand la bouche, s’aidant de sa main qui l’enfourne profond, commence à avaler ce sexe énorme, trop long et trop gros pour sa gorge, et malgré ses efforts, ses quintes de toux, elle insiste, la salive dégoulinant sur son menton, le long de sa queue, mais en vain…Le brandissant comme un trophée, je l’entends lui crier, de sa voix maintenant enrouée : "Je la veux, je la veux dans ma chatte, dans mon cul, baise moi…" et Laurent ne se le fait pas dire 2 fois… La retournant sur le ventre, le visage enfoui dans les poils longs de cette épaisse moquette, il soulève légèrement son bassin, écartant ses jambes et la maintenant fermement par les hanches, il lui met d’un coup d’un seul, son membre énorme dans le vagin… Bien que déjà ouverte par mes doigts, ma queue, trempée de tous nos liquides, elle a l’impression d’être défoncée, empalée… Je l’entends crier, puis le supplier : "Oui, oh oui, encore, défonce moi, non, oui… je n’ai jamais connu ça… encore…J’en veux, oui !" Elle est au bord de l’hystérie…Elle doit sentir ses lèvres forcées, écartées, presque déchirées par ce manche de pioche chaud, dur et doux à la fois, son gland rond et ferme, heurtant son col, ses culs de sacs, comme s’il voulait ressortir de l’autre côté, percer son ventre. Sous les assauts, elle gémit, se tortille, se cambre, se défend et s’offre à la fois, en continuant à proférer des obscénités, perdue dans son plaisir, secouée en tous sens, son visage enfoui dans la moquette. Moi, j’en reste éberlué, mais Léa ne perd pas le nord et me couchant sur le dos, la voilà qui m’enfourche et commence à chevaucher mon sexe de plus en plus dur et tendu, en ahanant comme un animal, jetant sa tête en arrière, de droite et de gauche, en s’empalant sur moi… Accroché à ses hanches, je la fais aller et venir sur mon sexe, la laissant brutalement retomber, pour la pénétrer au maximum. Mais je n’ai pas envie de lui laisser le leadership, alors la faisant basculer sur la moquette, à quatre pattes, je la prends en levrette. Ouverte et trempée comme elle est, elle aussi, je n’ai aucun mal… mais j’ai envie d’autre chose, alors tartinant son anus de salive et de ce que régurgite son vagin, je pose mon gland sur son joli petit trou tout fripé encore et je commence à exercer une pression contre laquelle elle ne se défend pas. Ses sphincters se contractent et se décontractent au rythme de son plaisir, sa main ayant remplacé ma queue entre ses cuisses. Profitant d’un relâchement, je donne un premier coup de reins qui me fait la pénétrer d’un ou 2 cm… Elle en redemande et de coups de reins en coups de reins, cramponné à ses hanches, je commence à la pénétrer de plus en plus loin, jusqu’à ce que ses sphincters cèdent et que dans un cri, elle me laisse entièrement le passage… En quelques coups de bélier, me voilà entièrement en elle, mes couilles heurtant ses jolies fesses fermes souillées de sperme, dans un bruit de claques et de succions. Cool, je suis arrivé à mes fins, je tiens ferme les hanches de Léa et, tout en l’enculant, je prends le temps de regarder le visage de Cathy, les yeux perdus dans son plaisir, la joue sur la moquette, qui me regarde faire et je vois son désir de faire pareil… mais sa peur d’être déchirée par son engin, la fait brutalement crier dans un rire hystérique : "Changement de partenaire…" et, me fixant, "Toi, encule moi… prends moi, remplis moi…" Laurent a compris, ce n’est pas une brute, alors sortant d’elle, en y laissant un vide presque douloureux, il essuie son sexe trempé de sa chatte débordante sur ses fesses et me cède la place, me remplaçant entre les cuisses ouvertes de Léa. Moi, je me couche sur Cathy, soulevant légèrement son bassin, et profitant de toute cette mouille qui lui noie le périnée, je trempe ma queue dans sa chatte, puis en tartine son petit trou à elle, et je reprends consciencieusement ce que j’étais en train de faire avec Léa.Elle me serre convulsivement de ses doigts dans son dos, me faisant mal, tirant ma queue vers son anus et elle m’aide à m’y enfoncer, d’abord lentement, petit à petit, puis lâchant sa prise, entièrement au rythme de mes coups de reins… Elle gémit, crie de plaisir, alors que je pilonne ses fesses, caressant de ma main en coupe entre ses cuisses sa chatte et son vagin laminés, malmenés, douloureux mais gorgés de plaisir après la visite du sexe de Laurent.Elle a plusieurs orgasmes successifs et pris dans son plaisir, totalement en perte de contrôle, je l’entends crier, alors qu’elle échappe à mon sexe s’échappant de son anus béant : "Lui maintenant, c’est lui que je je veux… je le veux dans mon cul, je veux le sentir dans mon ventre, …" Laurent ne fait ni une ni deux et me remplace au dessus d’elle, son membre dressé comme une arme au dessus de son cul ouvert brillant de mon foutre. Léa, quant à elle ne redemande qu’à être sodomisée à nouveau, et je m’y attelle avec conviction, sans quitter des yeux ce sexe hors normes, dressé au dessus de Cathy, que je vois prendre l’alignement de son anus, et se poser sur sa rondelle ouverte par mes soins. La prenant solidement par les hanches et la décollant du sol, je le vois la tirer vers lui et tout en poussant un grognement, profiter d’un spasme de plaisir, pour commencer à introduire son gros gland rond entre ses fesses. Cathy se défend un peu et en même temps, je la vois pousser contre ce membre qui commence à l’ouvrir plus encore et à progresser lentement dans l’anneau forcé de son sphincter. J’en oublie presque Léa qui se donne pourtant sans compter, offerte à mon sexe qui l’empale avec bonheur et qui gémit et se contorsionne sous mes poussées pour profiter de tous les contacts possibles de ma queue dans son rectum.Je vois Cathy, généreusement offerte, ouverte, qui malgré la douleur, effacée par le plaisir, se cambre pour mieux offrir son cul à ce mandrin qui la transperce, la dilate, la pénètre, de plus en plus loin au rythme des poussées de Laurent, la bouche ouverte, tendu comme un arc, tout à son travail de forage… Je vois sa queue noire disparaître progressivement, de plus en plus loin dans l’anus de Cathy, entre ses adorables fesses pales et rondes, ouvertes par les doigts écartés de son amant qui dessinent une chorégraphie en noir et blanc sur ces globes fermes et si pâles par contraste. Les choses ne vont pas assez vite pour lui, elle est probablement un peu trop serrée, alors comme pour mieux la décontracter, je le vois frapper en rythme de tapes plus ou moins appuyées, les fesses claires de Cathy, dont les gémissements et les invectives augmentent en parallèle. "Encule moi, défonce moi, remplis moi, je veux ta queue … entièrement"… Il ne se fait pas prier et progresse au prix de coups de reins de plus en plus appuyés, et voilà que son membre est totalement avalé par ce cul superbe, cédant sous la pression et le plaisir… Je le vois commencer de lents aller retours, alors que Cathy ahane et gémis de plaisir… son corps, ses fesses, son ventre, sont secoués d’ondes de plaisir… je la vois jouir encore et encore… secouée de spasmes de plaisir.Dans un cri rauque, presque animal, partagé par sa partenaire, Laurent s’enfonce d’un coup brutal, ses couilles venant heurter les fesses de Cathy dans un bruit mat, et j’imagine son foutre blanchâtre, tiède, inondant les intestins de Cathy qui jouit dans un désordre complet de son corps, totalement abandonnée à son plaisir… J’éjacule presque au même moment dans le cul de Léa, tellement ce spectacle m’a presque plus excité que le joli petit cul offert de la réceptionniste. Nous nous retirons tous les deux2 presque ensemble, nos regards empreints d’une certaine tendresse se croisent, avant de se fixer sur les deux corps maintenant couchés côte à côte, à plat ventre sur la moquette, jouissant du spectacle de leurs anus ouverts, régurgitant nos foutres blanchâtres, alors que nos sexes se vident en quelques jets résiduels sur leurs reins… mêlant nos foutres sur elles en traînées nacrées. Leurs cuisses ouvertes, écartées nous offrent leurs anus ouverts, le sperme s’écoulant en petites traînées successives de leurs petits trous dilatés, vers leurs vulves gonflées, trempées et tout aussi ouvertes, trempant la face intérieure si douce et si soyeuse de leurs cuisses… au rythme des spasmes de plaisir qui agitent leurs ventres…Je vois leurs mains se rejoindre, leurs corps se rapprocher, se coller l’un à l’autre, leurs lèvres fusionner, comme si elles ne voulaient plus être qu’une après nos excès de plaisir…et c’est beau… "Alors, on se le boit ce champagne? ", dit Léa dans un grand sourire… ………………………………………………………………………………………………….
