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Le dernier voyage

Chapitre 2

Erotique
Richard regarde la photo de la table de nuit : le grand amour de sa vie, Titaïna, mère de deux de ses enfants, superbe femme de Polynésie Française qu’il a laissée comme bien d’autres au bord de son chemin, attiré qu’il était par d’autres horizons. Il lui parle comme bien souvent à voix haute, avec quelques trémolos et lui dit qu’il vient de rencontrer sans doute l’ultime femme de sa vie, mais qu’il ne l’oublie pas et que c’est à elle qu’il offrira sa dernièr’e pensée ; il range le cadre dans le tiroir. Absorbé dans ses souvenirs coupables, il n’a pas entendu Julie qui lui signale du rez-de-chaussée qu’elle est arrivée ; Richard descend et il se retrouve face à face avec elle ; comme des ados ils sont empruntés, ne savent que faire, leur aventure d’hier matin resurgit et semble les submerger. Julie détend l’atmosphère en allant faire du café, ils se retrouvent attablés à la cuisine main dans la main, Julie demande :
— Richard, ça n’a pas l’air d’aller ce matin ?— Si, si, ne t’inquiètes pas, je ressassais quelques vieux souvenirs, rien de bien grave.— Tu... je peux te tutoyer ? Tu veux te reposer, je vais aller faire mon travail.— Non, montons dans la chambre, j’ai envie de passer un moment près de toi, si tu veux bien.
Ils s’assoient côte à côte sur le lit, du premier coup d’œil elle s’aperçoit que le cadre n’est plus à sa place, mais elle se garde bien d’en parler.Richard l’allonge délicatement sur le lit et déboutonne délicatement le chemisier tout en lui déposant un baiser sur les lèvres et découvre sa poitrine généreuse sans sous tifs ; il palpe les seins, en titille les tétons tendus, du bout des doigts il caresse les auréoles brunes, sa main descendant vers le ventre est accompagnée par celle de Julie qui caresse son pénis au travers de son pantalon, fait glisser la fermeture et prend en main ce sexe encore mou et alangui ; à ce stade, Julie se rappelle que feu son mari avait déjà une trique d’enfer et décide de glisser au bord du lit pour lui faire une fellation qui va ériger cette flasque pine en fier gourdin bien raide ; cela lui fait bizarre de mâchouiller quelque chose qui pourrait ressembler à une limace, ce qui lui déclenche un sourire que Richard ne voit pas ; mais à son grand soulagement l’érection se développe enfin et la queue de Richard atteint une dimension et une raideur satisfaisantes et Julie se relève, se dénude, et vient s’allonger sur le lit cuisses largement ouvertes, écartant les grandes lèvres de son vagin, portes du paradis sexuel, position qu’un homme, même diminué, ne peut décemment refuser; Titaïna quitte pour l’instant son cerveau embrumé et il s’empresse de venir exciter le clitoris de Julie avec sa langue formée en pointe puis il lèche sa vulve de bas en haut la langue élargie ; il ressent le corps de Julie se tortiller sous l’effet des léchouilles qui sont maintenant accompagnées par deux doigts qui pénètrent son vagin et s’agitent frénétiquement ; sa queue est restée bien bandée et alors que Julie le lui réclame avec gourmandise il se prépare à pénétrer le profond et mystérieux coffret aux plaisirs ; il y pénètre doucement, savourant chaque centimètre qui s’enfonce en glissant contre les parois chaudes et accueillantes, puis en ressort avec la même lenteur ; Julie apprécie ce doux labourage de sa chatte, elle a un instant le souvenir de la pine de son mari mais chasse vite cet éclair de son esprit et revient avec délice à celle de Richard qui lui transmet des sensations inconnues qui l’amène d’abord à une jouissance voluptueuse avant de se transformer en orgasme violent qui crispe son corps de femme mûre ; la bite de Richard continue à la même cadence jusqu’à ce que Julie perçoive les vibrations du pénis qui annoncent l’éjaculation qui se déverse en elle.
Alors qu’elle savoure pleinement les instants qui suivent, le corps de Richard écrasé sur elle, lui se sent heureux ; il est heureux de procurer du plaisir à Julie qui le mérite bien, de voir cette femme de trente ans sa cadette jouir du plaisir que ses caresses provoquent, son réel plaisir personnel passant bien après celui de Julie. Il l’entend prononcer calmement ces quelques mots :
— Richard, tu m’as fait un bien fou, ta bite m’a fait jouir de façon inattendue comme jamais je ne l’ai ressenti, c’était doux, c’était tendre et c’était bon !— Tu dis cela pour me faire plaisir ?— N’en crois rien !— Si c’est vrai, je suis le plus heureux des hommes !
Elle se lève, lui dépose un baiser au coin des lèvres, va se laver la chatte à la salle de bains et descend faire son travail. Lui aussi se lève, se rhabille, il a la tentation de sortir la photo de Titaïna, mais se ravise et quitte la chambre.
La vie se poursuit à la bastide, chaque jour de semaine la venue de Julie amène son rayon de soleil, sa chaleur sensuelle, ses ébats amoureux, Richard semble rajeunir, Julie paraît plus gaie ; elle vit une nouvelle vie que son mari pourtant amoureux et attentionné ne lui avait pas fait connaître : celle d’un couple allant aux limites de l’amour physique, Richard, jour après jour l’emporte dans des corps à corps où la découverte de mille façon de baiser lui était jusqu’ici inconnue ; sa reconnaissance est infinie, elle est même aller jusqu’à se demander si elle l’aimait ? Mais non, elle a aimé son mari, profondément, elle a de l’affection pour Richard.
Elle se souvient entre autre d’un matin où Richard l’a initiée à la sodomie qu’elle connaissait par on-dit, mais qu’elle avait toujours considéré comme un péché ; comme à son habitude lorsqu’elle arrivait à 8 heures elle montait à sa chambre et lui prodiguait quelques caresses ; certains matins ils en restaient là, mais le plus souvent il la déshabillait et ils faisaient l’amour ; ce jour-là il lui demanda de se mettre en position de levrette et elle pensa aussitôt qu’il allait la baiser par derrière mais pour elle la surprise fût de taille : elle sentit tout à coup la rosace de son anus investie par la langue que sa chatte connaissait par cœur, tantôt la pointe de ce muscle particulier faisant la tour de l’anus, tantôt sa langue à plat léchait le fond du vallon entre ses fesses plantureuses, tantôt elle s’enfonçait dans le trou inviolé, de temps à autre il lui mordillait ses fesses appétissantes ; la stupeur de Julie fît place peu à peu à un émotion sensuelle si forte qu’elle se mît à désirer que la bite de Richard vint l’envahir dans ce qu’elle avait toujours considéré comme tabou ; elle le lui dit :
— Tu veux m’enculer n’est-ce pas ? Viens, je suis vierge de ce côté, mais je veux que ce soit ta queue qui baise mon cul pour la première fois !— Ah, Julie j’en ai envie depuis longtemps, je vais m’enfoncer dans ton trou noir et te baiser comme un fou.
Richard commence alors la lente progression de son gland d’abord, qui prend aisément la place de sa langue mais qui ressent une résistance qu’il ne connait pas avec l’autre trou, puis le gland avalé une bonne partie du reste de la queue trouve progressivement place dans le cul de sa belle ; celle-ci ressent la colonne l’envahir assez douloureusement, mais il lui semble qu’une ou deux gouttes de de liquide séminal vienne faire son office de graissage, ce qui permet à Richard d’accélérer sa cadence tel un piston dans la (cul)asse ; Julie se soumet maintenant volontiers au rythme de son vieux partenaire d’autant que le sentant dans le plus profond de son corps elle apprécie de plus en plus son va et vient invasif ; elle se masturbe violemment le clito ce qui ajoute à la jouissance et Richard la pistonne aussi avec deux doigts dans sa chatte ; le résultat ne se fait pas attendre, des spasmes parcourent ce joli corps de femme mûre, un grand râle fauve s’échappe de sa gorge, Richard continue à la charger comme un cavalier lancé sur sa monture au grand galop, Julie n’en peut plus et demande grâce en s’affalant sur le lit laissant la queue de Richard pantelante ; avant qu’elle ne se dégonfle il se masturbe et envoie son sperme sur la belle paire de fesse de sa maîtresse.
Julie a pris pour habitude de venir sucer la bite de Richard après qu’il ait joui, mais là, elle ne se sent pas vraiment tentée ce qu’il comprend aisément. Ainsi, au fil des jours Julie devient une experte en amour, une accro au sexe, au point que trouvant quelques faiblesses passagères dans ses érections elle lui demande d’aller chez le médecin se faire prescrire la pilule miracle.
Les jours, puis les mois se succèdent, la vie à la bastide s’écoule au rythme des amours retrouvés chez Julie et des derniers amours chez Richard ; leur vie ensemble est incomplète, la bienséance les obligeant à vivre chacun de leur côté afin de préserver l’intimité de Julie des ragots et des jalousies locales, Richard est reconnaissant envers elle d’être à ses côtés, de lui faire vivre des heures magiques plutôt que de végéter dans son rôle de vieillard, de redonner vie à cette maison si longtemps abandonnée, de l’accompagner dans ce qui restera à jamais son dernier voyage, sans Titaïna, une fois encore abandonnée.
A l’instar de Claude Nougaro parlant d’Hélène, sa dernière femme elle aussi de trente années sa cadette, il peut s’attribuer sa célèbre phrase en forme d’oraison funèbre :
— Mes précédentes femmes étaient les femmes de ma vie, Julie sera la femme de ma mort.
FIN
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