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Ma dernière fois en boîte de nuit

Chapitre 1

Gay
Comme tous les soirs où je n’ai rien à faire, et que j’ai envie de m’amuser, me voilà en chemin vers l’Empire Club, une boîte de nuit se situant près de chez moi. Et comme chaque soir, je ne sais pas encore avec qui rentrer. Souvent, je cherche une belle femme, mais il m’est déjà arrivé de suivre des couples, voire même finir la soirée avec un homme.
Pas grand monde ce soir, en même temps, c’est en semaine, les gens sortent moins, ils attendent tous le week-end. Et dans la boîte, il y a surtout des couples, ou des groupes d’amis. Le seul sortant du lot, c’est un grand mec. Mais genre vraiment grand, il doit bien atteindre les 2 m, et dépasse tout le monde d’une tête. Même en essayant de chercher une belle demoiselle, mon regard finit toujours par tomber sur lui. Ma dernière chance de trouver la perle rare est de m’aventurer sur la piste de danse, et voir vers qui mes pieds m’amènent. Mais, après avoir fait seulement quelques pas sur la piste, je sens une main presser fermement ma fesse droite. Étant plutôt joueur, et me doutant que seul un homme fait ce genre de chose, je passe ma main dans mon dos, et remonte la jambe jusqu’à arriver sur son membre. C’est la première fois que je sens quelque chose d’aussi gros et dur. Je commence à le palper à travers son pantalon, mais j’avais l’impression de toucher une barre en fer.
— Rejoins-moi dans les toilettes si tu veux t’amuser un peu plus, me susurre-t-il à l’oreille en retirant sa main.
J’attends quelques instants avant de partir en direction des toilettes. À peine entré dans les toilettes, je sens une main me saisir l’épaule et me retourner.
— J’ai failli attendre.
L’homme que j’ai repéré plus tôt me dominait, et plongeait son regard dans le mien. Maintenant que j’ai une meilleure vue sur lui, je ne peux qu’affirmer la beauté de cet homme, avec son corps bronzé et athlétique, et son visage doux.
— On prend le temps de se présenter, je lui demande, ou l’on s’y...
Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase qu’il enfourne sa langue dans ma bouche, me poussant vers des toilettes ouvertes, et refermant la porte après notre passage. Je passe une main dans son boxer afin de lui caresser la bite, tandis que l’autre va parcourir ses fesses. Il fait de même, et nous restons comme cela quelques minutes. Ensuite, il se recule et fait tomber son pantalon ainsi que son boxer, que je mime immédiatement :
— Moi, c’est Jean-Marie, me dit-il.— Et moi, Henry, je lui réponds avant de me relancer vers sa bouche.
Je me mets à le branler, et il fait de même. Étant donné que sa bite fait deux fois la taille de la mienne, je suis obligé d’aller plus vite avec la main afin que nous restions synchronisés. Alors que sa main continue de parcourir mes fesses, comme ce que fait la mienne avec les siennes, un doigt s’introduit doucement dans mon trou. Suivant le mouvement, je fais de même, avant d’enchaîner rapidement avec un deuxième doigt. A peine a-t-il senti le deuxième, qu’il met lui aussi son deuxième doigt, avant de faire suivre le troisième, ce que je fais aussi. Je sens sa bite gonfler dans ma main, et son sperme sort très vite suivi du mien, et vient s’écraser sur nos tee-shirts. Je m’écarte un peu de lui et plonge mon regard dans ses yeux châtaigne.
— On aurait peut-être dû enlever nos tee-shirts, lui dis-je.— Bah, c’est trop tard, me répond-il. Pensons à ce que l’on va faire maintenant plutôt que ce qu’on aurait pu faire.— Je préfère te prévenir, je suis plus du genre pénétrant que pénétré.
Il me regarde droit dans les yeux avant de prendre mon cul à deux mains.
— Ecoute-moi, je fais de la manière suivante : celui qui a la plus grosse est celui qui fait la loi.— Dans ce cas, on va avoir un problème. Et de toute manière, jamais je ne pourrais prendre une bite aussi grosse.
Je sens ses deux majeurs et ses deux index entrer en moi avant de s’écarter en agrandissant mon trou, me faisant lâcher un cri de pucelle.
— Ne t’en fais pas, je l’ai déjà fait avec de plus petits trous. Et je t’assure que tu vas aimer.
Deux autres doigts s’ajoutent dans mon trou, et je sens l’excitation monter en moi.
— Très bien ; mais, je vais poser deux conditions : la première, c’est de le faire avec un préservatif, et la deuxième est que l’on s’arrête si jamais ça me fait trop mal.
Je sens ses doigts se retirer d’un coup, me faisant lâcher un nouveau gémissement, et le vois récupérer un préservatif dans la poche de son pantalon.
— Tu veux me le mettre pendant que je continue de jouer avec ton cul, me demande-t-il, j’ai l’impression que tu aimes bien ça finalement.
J’ai voulu le corriger, mais mes mains parcourent mon cul, trahissant le fait que j’y prends plus de plaisir que je ne le pensais. Je prends le préservatif dans la main, et lui remets ses doigts dans mon cul. Je déchire le papier du préservatif, avant de commencer à le dérouler sur sa bite. Au moment où j’atteins la base de son membre, il pousse ses doigts plus en profondeur, m’arrachant un cri de surprise.
— Tu dois être prêt, me dit-il en retirant ses doigts.
Je me retourne tout seul, et me penche en m’accrochant aux toilettes. Ayant déjà vu quelques gars le faire, j’écarte les jambes, et commence à prendre de grandes respirations. Ses mains écartent mes fesses, et le bout de sa bite commence à se frotter à mon trou. Il retire sa bite, crache sur mon trou, et commence à pousser sa bite en moi. Il y va le plus doucement possible, mais un cri m’échappe quand même.
— Ça va aller, me demande-t-il, ou tu veux t’arrêter ?
Je ne suis pas du genre à m’arrêter au milieu des choses, alors je commence à bouger afin que son pénis aille encore plus profond en moi. Me voyant bouger, il reprend bien mes fesses en mains, et s’enfonce plus profondément en moi. Il est à peine à moitié enfoncé en moi que je le sens commencer à faire des va-et-vient, m’obligeant à me mordre la lèvre pour retenir mes cris. Plus ses mouvements s’accélèrent, plus je sens le plaisir monter en moi, et ma bite se durcir. J’entends du bruit tout autour, mais la sensation de sa bite dans mon cul fait que je ne fais plus attention à rien. Mon souffle s’accélère, mes gémissements arrivent à s’enfuir, et je sens sa bite gonfler dans mon cul. Une main commence à s’aventurer vers ma bite, tandis que l’autre continue de jouer avec mes fesses. J’essaie de lui dire que je ne tiendrai pas s’il continue de jouer avec ma bite, mais je n’arrive pas à enchaîner deux mots, sans qu’un de mes cris me coupe.
Je sens sa bite se retirer un peu plus que d’habitude avant de rentrer de nouveau, lâchant son sperme dans la capote. Au moment où je ressens la chaleur de son foutre en moi, ma bite suit, et couvre les toilettes de mon sperme. Il retire sa bite tranquillement, et commence à remettre ses vêtements. Avant même que je puisse me remettre de tout cela, je le vois sortir des toilettes, me laissant seul. Au moment où je remets mes affaires, je remarque qu’il a laissé une carte avec son nom et son numéro de téléphone.
Plusieurs jours passent, mais mon cul n’oublie pas cette sensation. Je prends mon courage à deux mains, et lui envoie un SMS lui demandant s’il veut remettre cela. Très vite, je reçois une réponse. Il veut bien me revoir, mais aimerait que je me rase. En regardant la touffe entourant ma bite, et en sentant les poils sur mon cul, je pense comprendre son point de vue. Un second SMS arrive, me promettant une récompense si jamais je me rasais. Et cela me suffit à me motiver.
Une fois bien rasé, je lui envoie deux photos, une de devant, et une de derrière me montrant dans mon plus simple attirail. Cela doit lui plaire, car il me répond instantanément. Il me donne rendez-vous le soir même dans un hôtel proche de chez moi.
J’arrive à l’heure, et me rends directement dans la chambre qu’il m’a dite. En arrivant, je le vois tout seul, nu sur le lit. Avant même d’échanger un mot, je me déshabille, me mets sur lui, et commence à lui lécher la bite. Je m’attendais à sentir ses doigts aller dans mon cul, mais à la place, un liquide froid glisse entre mes fesses. Je sens trois de ses doigts rentrer facilement dans mon cul, alors que je commence à prendre le bout de sa bite dans ma bouche. Juste après, trois coups résonnent à la porte.
Je me mets debout, et vois trois hommes entrer. Ils se désapent rapidement tandis que Jean-Marie prononce le premier mot.
— Voilà ta surprise. Je te laisse prendre place sur ma bite, j’imagine que tu sais déjà ce que tu devras faire après.
Ne me faisant pas plus attendre, et ne pouvant surtout plus attendre après avoir joué tout l’après-midi avec mon cul, je m’avance vers la bite de Jean-Marie, et m’empale sur sa bite. Comme la dernière fois, je ne peux pas aller plus loin que la moitié de sa bite. Les trois hommes s’approchent de moi, la bite à l’air. Je prends la première dans ma bouche, et commence à masturber les deux autres. Ne pouvant faire tous les mouvements, je me concentre sur mes mains, Jean-Marie fait bouger mon cul, et le dernier pousse sa bite dans ma bouche. Assez vite, je sens le mec de gauche éjaculer sur mon visage, suivi par celui de droite. L’odeur fait rapidement jouir les deux autres qui finissent sur mon visage et sur mon dos. Tout le monde a joui, sauf moi. Autant l’expérience précédente m’avait bien plus, mais pas celle-là. Je me relève tout seul, remets mes vêtements, et me dirige vers la salle de bain.
— Je vais me nettoyer, et y aller juste après, leur dis-je, je ne suis pas vraiment en forme.
A peine arrivé au niveau du lavabo que Jean-Marie arrive en fermant la porte derrière.
— Ça va, me demande-t-il, ça ne t’a pas plu.
En le voyant devant moi, je comprends pourquoi je ne vais pas bien.
— La seule raison pour laquelle j’étais prêt à prendre ta bite en bouche est que c’était la tienne. Je ne peux pas faire ça avec n’importe qui. Même si c’est allé très vite entre nous, c’est parce que je me sentais bien avec toi que je peux le faire.
Je sens des larmes couler sur mes joues. Ce n’est pas l’excitation qui m’a fait venir et qui m’a fait me raser, c’est presque de l’amour. Jean-Marie prend ma main et me tire hors de la salle de bain.
— On s’en va, annonce-t-il aux trois hommes tout en s’habillant.
Ensuite, il me tire hors de la chambre et commence à partir de l’hôtel.
— Où m’emmènes-tu ? je lui demande en le suivant.— Chez moi. Te voir avec d’autres hommes m’a aussi bien plus dérangé que ce que j’aurais pensé.
Le chemin jusqu’à sa voiture, puis jusqu’à chez lui se fait dans un silence total. Une fois arrivé chez lui, il me mène jusqu’à sa chambre et commence à se déshabiller. Je fais de même et m’avance vers lui. Alors qu’il se retourne, je vois sa bite se durcir d’un coup.
— Eh bien, tu es si content de me voir tout seul ?— Non, je n’avais pas remarqué que tu avais encore du sperme plein le visage.
Je n’avais pas remarqué dans le feu de l’action, mais je sentais bien le sperme sur mon visage. Étant déjà nu, je m’allonge sur le lit et lève les jambes.
— Dois-je aller me démaquiller ? Ou bien l’on profite du fait que tu es en pleine forme ?— Tu préfères que je mette un préservatif, ou bien que je jouisse sur ton ventre ?— Vas-y nature.
A peine que je lui répond qu’il remet un peu de lubrifiant sur sa bite et sur mon cul, avant de commencer à me pénétrer. Je prends sa tête avec mes mains et attire son visage jusqu’à ce que je puisse l’embrasser. Au moment où nos langues se touchent, je sens sa bite gonfler. Il commence ses va-et-vient, me faisant réagir à chaque fois. Je me concentre sur sa bouche et joue avec sa langue tandis qu’il accélère le mouvement. Il recule son visage, et un sourire traverse son visage. Il retire sa bite de mon cul et l’enfonce d’un coup en entier. Un cri m’échappe alors qu’il continue ses allers-retours. Chacun de ses mouvements me fait gémir, et cela le motive juste à accélérer le rythme. Le plaisir monte en moi, et j’ai enfin l’impression d’avoir ma récompense. Il continue de bouger pendant plusieurs minutes, et je sens sa bite gonfler en moi. J’entoure son bassin de mes jambes et il réagit en accélérant le rythme.
Cette fois, c’est moi qui jouis en premier, juste avant de sentir son foutre remplir mon cul. Il se retire, et je sens son sperme couler doucement de son trou tandis que mes jambes refusent de bouger. Je le vois prendre son téléphone et faire une photo de mon cul avant de me le montrer avec sa sauce coulant le long de ma raie.
— Je peux plus bouger, mais je pense que ça me va.
Il s’approche de moi et m’embrasse de nouveau.
Cela fait maintenant trois mois que je vis chez lui. Nous baisons presque tous les soirs, et plus jamais je n’ai besoin d’aller en boîte de nuit.
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