Il y a des jours où ça peut commencer cul-turel mais ça finit cul et seulement cul. Mais ça je vous raconterai une autre fois, si vous n’êtes pas sage. Donc Fabienne, je l’ai connue cette nuit-là et depuis on est devenue amies et on a partagé beaucoup de choses. Pas que des choses, des hommes, des hommes qu’on a aimés à notre manière, qui nous ont laissé des souvenirs, de bons souvenirs en général et on s’applique à oublier les autres. Alors le confinement, pour Fabienne, c’est un drame. Pour moi aussi. Enfin, il faut remettre les choses en perspective. C’est un drame tout relatif. Il y a des gens qui sont dans des conditions bien pires que nous pour vivre cette épreuve. Que ce soit en Suisse, en France et dans certains pays émergents, ça fait peur ! Nous, on ne peut plus voir nos amis, prendre un verre ensemble et faire les coquines. Hier, j’ai demandé à Fabienne depuis combien de temps elle n’avait pas... Je vous parle de Fabienne parce qu’elle vient juste de m’appeler. Je sors de ma douche et suis en peignoir de bain. Mon dîner est presque prêt ! Et justement quand je lui ai demandé depuis quand... Elle m’a répondu : — Beaucoup trop, depuis le premier jour ! La veille encore avec Jean-Jacques, on avait bien... — C’est qui Jean-Jacques ? Je le connais ? — Non, mais je te le présenterai, dès qu’on... — Pourra baiser à nouveau ! — Oui, c’est ça, tu rigoles, mais ça me manque terriblement et puis les mâles avec qui je suis en contact... — Moi aussi, ils deviennent irascibles, dangereux...— Je veux bien vivre dangereusement les deux premières semaines de la reprise. On va faire un concours sur deux semaines. Tu veux bien ? — Un concours ? Dis-moi d’abord de quoi il s’agit ! — Ben, un maximum de mecs en deux semaines ! — Comment ça ? — Ben, on se fait tirer par un maximum et on se fait une petite fête à la fin de la période. Celle qui a gagné paye le restau à l’autre !— Bon, on en reparle, ça sonne à ma porte ! Je te rappelle ! En peignoir de bain et pieds nus, je me précipite à la porte. Quand j’ouvre, je vois un livreur qui tient un paquet.
— C’est pour vous, Madame.— Mademoiselle ! Je ne sais pas si c’est le livreur ou le colis que je regarde en premier. Le livreur, je me le garderais bien pour mon dîner... — Je dois vérifier si rien n’est abîmé. — Oui, bien sûr ! Je vous en prie. Je défais le paquet, mais je sais pertinemment ce que c’est. C’est un envoi de Kevin, mon copain. Il m’a promis une tenue sexy, genre fishnet, tu vois ce que c’est ? Je sors la tenue de son emballage, délicatement, je fais semblant de vérifier, je la montre au livreur et lui demande : — Ça a l’air en bon état, non ? — Oui, très bon état. Je parie que vous allez me demander de l’essayer pour vérifier que c’est la bonne taille ? — Oui, c’est exactement ce que j’allais vous demander ! Vous avez un peu de temps ?— Pas de soucis, tu es ma dernière cliente ! J’ai tout mon temps !— Écoutez, je n’aime pas trop être tutoyée comme ça, on n’est pas encore très intime, non ? — Oui, excusez-moi, vous avez raison ! Le livreur a les yeux qui commencent à briller... Je pars me changer et je reviens avec mon fishnet sur moi. Moins il y a de tissu et plus c’est cher. Ce fishnet doit être très cher ! — Ah oui, cette tenue te... vous va à ravir ! Un timbre poste sur le bout des seins ! Un sur ta..., ton..., enfin, votre chatte, très seyant ! — Merci, c’est gentil d’avoir l’avis positif de quelqu’un qui est sûrement un spécialiste... Mais il y a un deuxième petit paquet... Quand je le montre au livreur, il finit de rougir quand il comprend que c’est un œuf vibrant télécommandable... Sacré Kevin..... — Je crois que je peux signer maintenant. ? Et là, sur son smartphone, je signe en lui demandant : — Vous avez aussi ça en magasin ? Il hésite une fraction de seconde.. — Oui, j’ai ça, mais je n’ai plus que la grande taille... mais par contre je peux livrer tout de suite ! Il faut dire que pour signature, j’ai griffonné une belle paire de couilles avec la queue qui va bien avec ! J’ai honte, mais depuis plusieurs semaines que j’attends ce moment et, en plus, j’ai une compétition à remporter ! Alors je repousse le livreur vers la porte et mets à genoux. Ça fait si longtemps que je ne me suis pas mise à genoux devant un garçon ! — Je vais vous aider à déballer le matériel. J’entreprends avec son aide de baisser son pantalon. Ça fait si longtemps...Je prends sa bite dans ma main... Ça fait si longtemps... Elle est déjà un peu raide, je la chauffe un peu avant de la prendre en bouche... Ça fait si longtemps.....Elle grossit un peu, surtout elle s’allonge, s’allonge, elle n’en finit plus de s’allonger ! Ça fait si longtemps...Fine, raide, solide et porteuse de plaisirs à venir... Comme celle de Kevin, mais Kevin, ça fait si longtemps... Aussitôt, je m’active avec ardeur pour achever de rendre opérationnelle cette merveille de la nature... — Elle te plaît ma queue ? — Écoutez, je n’aime pas trop être tutoyée comme ça, on n’est pas encore très intime, non ? Mais pour répondre à votre question, oui, elle me plaît ! Je reprends tout de suite ce que j’avais entrepris... — Ecoutez, Madame, j’ai envie de vous la mettre bien profond et tout de suite ! Vous êtes ma dernière livraison, mais j’aimerais vous livrer vite !— Bien sur, avec plaisir ! Je me relève et me tourne vers le mur en me penchant en avant. Il écarte mon string et m’entreprend alors en levrette sans faiblir pendant un long moment. J’ai les yeux fixés sur la tapisserie du couloir et mon esprit vaque pendant qu’il me baise comme ça. — Elle te plaît ma queue ? Tu la sens bien !— Écoutezoutez, je n’aime pas trop être tutoyée comme ça, on n’est pas encore très intime, non ? Mais pour répondre à votre question, oui, elle me plaît ! Et je la sens bien !! Je suis peut-être un peu dure avec lui, mais lui, qu’est-ce qu’il est dur avec moi, très dur, mais c’est si bon ! Je commence à connaître par cœur tous les détails de la tapisserie, les défauts aussi. Il me pine comme un malade en mettant un doigt dans mon petit trou, c’est trop bon et je le lui dis. — C’est trop bon votre doigt, j’aime bien ! — Je peux y mettre autre chose de plus... percutant, si vous voulez... — Vous pensez en être capable ? Qui ne tente rien n’a rien. Il tente, re-tente. Il tente avec succès. Il prend son temps, mouillant sa verge dans ma chatte avant de forcer gentiment et progressivement ma rondelle qui lâche rapidement. Quand il est au fond, il me demande : — Est-ce qu’on est assez intime pour que je te tutoie ? — Oui, on est assez intime et si c’est pour me demander si j’aime que tu m’encules, la réponse est oui ! Jusque-là, tout va bien ! C’est alors qu’il me plaque face et ventre contre le mur, il prend mes mains et les tire vers le haut jusqu’à ce que je sois sur la pointe des pieds, jambes écartées et là, il me fait sentir à chaque coup de reins qu’il est bien au plus profond de moi. Je finis par jouir d’abord puis par vouloir arrêter, j’ai mal, mais rien ne semble pouvoir l’arrêter, c’est infernal ! Il grogne, il jure, me traite de salope, d’enculée (ce qui est vrai !)... Je ne sais pas combien de temps ça dure, mais quand il me lâche, je tombe à terre, paniquée et avant de me relever, il m’attrappe par les cheveux pour fourrer son sexe dans ma bouche et il se finit là sans que je puisse rien faire. Il m’en met partout, mais ça, ce n’est pas grave. J’ai honte et avant que je puisse me relever, il est parti me promettant de revenir pour me baiser encore. Alors les filles, un conseil, n’ouvrez pas dans n’importe quelle tenue à n’importe quel livreur.
Emilie PS : Je suis à plat ventre sur le lit, la tête sur mes mains ramenées sous mon menton, je somnole à moitié et j’écoute Kevin finir sa lecture. Il est couché sur moi, un peu lourd, mais pas trop et il lit sur le laptop ouvert devant nous le compte-rendu du jeu de rôle qu’on a fait pendant les vacances de Noël. C’était bien, il m’a bien baisée, à l’instant aussi... Il est gentil Kevin, on a fait des photos. Bref, la vie est belle, on se tutoie... Est-ce que j’ai mal quand il m’encule ?... Plus tard ! Mais je confirme : un conseil, n’ouvrez pas dans n’importe quelle tenue à n’importe quel livreur !
