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Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes.

Chapitre 2

Plan cul chez néandertal.

Avec plusieurs hommes
Je me couchai anormalement tôt dans la chaleur de l’Afrique, comme je le vis en regardant l’heure. 21 h 33. Je me mis nue et écartai les cuisses comme pour recevoir un homme.
Je regrettai de ne pas avoir apporté un gode, mais il arrive que cela me procure des ennuis aux douanes quand on inspecte trop mes bagages.Je saisis le masque et le posai sur mon visage. Il s’adaptait parfaitement comme s’il avait été fait sur mesure.
Aussitôt, je fus prise des mêmes sensations que chez le vendeur.
Les images de cul me revinrent, défilant anarchiquement. C’est comme si je voyais tous mes fantasmes, par bribes.
Mais au bout de quelques secondes, l’espèce de picotement électrique que j’avais ressenti en le touchant au premier contact devint plus intense. Cela faisait la même impression, à quelque chose près que lorsque, enfant, je mettais ma langue sur les lames d’une pile plate (type LR12, si je me rappelle bien). C’est comme si je l’avais posée sur mes tétons et ma vulve. Je les sentis prendre un volume inhabituel. C’était délicieux.
Ce faisant, en me concentrant, je réussis à me fixer sur un fantasme en particulier. Mais plutôt que de l’imaginer, c’est comme si j’avais eu un masque de réalité virtuelle sur moi, c’était surprenant de vérité.
Décidément, ce masque était prodigieux. Il donnerait à mes fantasmes une puissance d’évocation inconnue, tout en me stimulant pour m’en créer d’autres, à l’infini.
Mon esprit courait alors vers la préhistoire. J’avais envie de me taper du Néandertal, thème récurrent de mes désirs.
Alors, que l’on soit bien clair, je ne fais pas dans le fantasme soft. Tant qu’à rêver, rêvons grand ! C’est-à-dire, des mâles ultra-bien montés, très couillus qui ont les burnes pleines comme des salmanazars et, bien sûr, très endurants. Je ne déteste point, cependant, les femmes jeunes, aux poitrines généreuses et à la moule protubérante et accueillante, pourvu qu’il ait au moins un mec pour assurer une pénétration digne de ce nom dans les parages. Mais pour ma première expérience avec le masque, je choisis de me concentrer exclusivement sur du manche à couilles.
Cela étant posé, je m’imaginais des hommes préhistoriques pleins de testostérone, qui ne ferait qu’une bouchée de moi.
Le courant qui parcourait mes seins et mon sexe se faisait encore plus intense et je mouillai. Aussi, portai-je la main à mon clitoris et il était à ce point sensible que je me fis jouir immédiatement.
Au moment de l’orgasme, je basculai dans le noir. J’eus l’impression de faire une chute vertigineuse, à tel point que je tendis les bras. Il y eut une secousse. La lumière revint progressivement. J’étais au pied d’un arbre. Un ours colossal se dandinait à proximité qui cherchait querelle et que la faim en ces lieux attirait.
J’étais dans mon fantasme ! Cependant, il devenait dangereux car le plantigrade approchait de moi avec des intentions hostiles. Je grimpai dans un arbre, assez haut pour qu’il ne me suive ou ne m’attrape pas.
J’en profitais pour examiner la situation. J’étais dans une contrée baignée de lumière, par une chaude soirée de fin d’été, et je ne souffrais pas du froid bien que je fusse on ne peut plus nue. Je cherchai le masque du regard craignant que l’ours ne le piétine, mais ne le vit pas. Ce n’est qu’au moment de me pencher que je me rendis compte que quelque chose pendait entre mes seins. C’était le masque. Il s’était miniaturisé et, retenu par sa lanière certifiée en peau de couilles de gorilles, me faisait un collier.
Ceci posé, je criai à l’aide.
Survint la cavalerie... enfin si l’on peut dire... trois solides préhistoriques qui s’apprêtaient à tuer l’animal. Cela me fit un pincement au cœur car je n’aime pas la chasse... sauf la chasse à l’homme quand je suis dans le rôle de Diane.
A peine regrettai-je le sort injuste qui attendait la bête qui servait de cible à trois javelots aiguisés qu’elle s’enfuit en courant.
J’entrevis alors la possibilité de modifier mes fantasmes en cours de route, capacité qu’il me faudrait confirmer à l’occasion... occasion qui, d’ailleurs, était là sous mes yeux en la présence de trois hominidés bien membrés qui attendaient une récompense pour la promptitude de leur secours.
Les trois néandertaliens se tenaient maintenant à la place de l’ ours et me faisaient signe. C’étaient trois mâles adultes vêtus de fourrures. Je décidai d’en rajeunir un et de le dévêtir. Et ainsi fut fait. Je ne le regrettai pas, vu que mon imagination l’avait doté d’une splendide paire de testicules et d’un zob à l’épaisseur prometteuse. Malheureusement, la pilosité excessive de ce mâle me cachait un peu trop les joyeuses qui disparaissaient dans les broussailles. Je décidai donc d’éclaircir les parties des trois compères sans les rendre lisses toutefois pour garder un semblant de crédibilité à mon fantasme.
Pour le reste, les types étaient petits, mais très massifs, de vraies belles montagnes de muscles. Toute cette puissance me promettait de jolis moments.
Leur crâne était allongé et leur front fuyant. Ils avaient de grands yeux et une énorme arcade sourcilière. Le nez était gros. Ce n’étaient pas des prix de beauté, mais ils étaient très virils.
Je descendis donc de mon arbre et quand je fus à bonne hauteur, je posai mes cuisses sur les épaules du chef qui me reçut ainsi. Il renifla ma moule et se mit à lécher. Il était doué le garçon !
Les autres s’étaient rapprochés et poussaient des grognements que le fantasme me permettait de traduire.
— Dis, tu nous la laisses ?— J’étais là le premier !— On a bien le droit de la sauter aussi cette femelle !— Oui, mais c’est moi le chef et il y en aura pour tout le monde !— J’espère bien, dit le plus jeune ! Sans ça, je balance tout à maman !
Il était temps pour moi de descendre de mon perchoir pour éviter un conflit familial.
Je m’approchai du plus jeune et lui roulait une pelle. Beurk ! J’avais oublié que l’hygiène bucco-dentaire de ces primitifs devait être assez sommaire. Mais mon fantasme corrigea aussitôt la situation et les trois individus furent dotés d’une denture saine et rutilante comme pour une publicité de dentifrice.
Ils promenaient leurs mains calleuses sur mon corps et appréciaient mes seins. Ils n’hésitèrent pas non plus à me doigter et même à me tester le cul à coups bien sentis d’index et de majeurs.
Il était temps de vérifier la rigidité de leurs bites. Je me penchai vers le magnifique morceau du plus jeune. La vache ! Ça puait ! Je ne pouvais quand même pas les doucher... mais je diminuai cependant les effluves et tant qu’à faire, je débarrassai son épaisse toison pubienne, ainsi que celle des autres, de la colonie de morbaques qui s’ y étaient établis. Dans la foulée, puces et poux furent décimés. Cela ne prit qu’un instant. La rapidité d’exécution d’un fantasme est immédiate.
Toutes dispositions étant prises, j’attaquais le zob. C’était vraiment de la belle et bonne queue qui tenait bien en bouche.
Les plus âgés avaient mis leurs fourrures à terre et je me mis à quatre pattes tout en continuant de sucer. Aussitôt, je sentis des mains vigoureuses me saisir au niveau des hanches et une bite bien raide vint se frayer un chemin jusqu’au fond de mon vagin.
J’eus du mal à garder mon équilibre, tellement le gars me secouait. Celui qui regardait tripotait sa bite. Je lui fis signe d’approcher. Ainsi, je pouvais pomper alternativement les deux mecs restés debout.
Celui qui me tringlait, et que je considérais comme le chef décida de se faire bouffer la bite à son tour. Mais, comme il quittait la place, son acolyte me souleva d’un coup, me colla face à lui et m’empala en me soutenant par les cuisses. Ce que voyant, l’aîné vint se coller à mon cul avec la ferme et manifeste intention de le défoncer. Seulement voilà, j’avais beau mouiller, le mandrin était trop gros pour entrer en douceur. Évidemment, un tube de gel aurait réglé l’affaire assez vite, mais il était difficile d’en trouver il y a environ 30 000 ans. Quant à inclure une pharmacie avec le rayon adéquat dans mon trip, autant revenir au XXI° siècle. Il n’y fallait pas songer.
Il y avait une autre solution, stimuler ma propre lubrification naturelle. Seulement, je fis chou blanc et dus me rendre à l’évidence: si j’arrivais à transformer mes fantasmes et leurs acteurs, je n’avais aucune prise sur moi-même. Je m’en rendis compte en essayant de me faire gonfler les seins démesurément. Ils ne bougèrent pas d’un poil, si j’ose dire, et restèrent dans l’état, déjà fort avantageux, où le masque avait bien voulu les mettre.
Il ne me restait plus qu’à dire adieu à mon fantasme ou à l’accepter tel qu’il était. Je choisis la dernière solution. Après tout, si c’était trop pénible, j’y mettrais fin.
Ce fut pénible. La grosse queue me déchira l’anus pendant que le primitif, non content de m’infliger une telle douleur, me ponçait les tétons en tirant dessus comme un malade.
Je n’y tins plus et décidai d’abréger. Mais il ne se passa rien. Je me rendis compte alors qu’il était impossible de mettre fin au scénario une fois qu’il avait démarré. Je pouvais le transformer, mais pas l’arrêter. Je résolus donc de diminuer la bite du gars qui m’enculait jusqu’à ce que cela fonctionne, tout en lui gardant une taille et une robustesse qui me combleraient. J’obtins des résultats qui me permirent de continuer à me faire prendre comme je le souhaitais, c’est-à-dire, profondément, violemment, mais à mon rythme.
Ce double préhistorique me comblait d’aise. La performance des queutards était digne de louanges. Raides, endurants, vicelards, les gars m’emmenèrent au septième ciel, surtout quand le premier éjacula dans ma chatte à gros bouillons, comme je le désirais. Le chef vint alors m’enconner tandis que le plus jeune entreprit à son tour me péter les fesses. Mais comme l’aïeul y avait déjà bien travaillé et que la rondelle était souple, élastique et évasée, je n’eus pas besoin de réduire le calibre du braquemart malgré les premiers moments pénibles.
Le jeune entreprit d’insérer sa bite dans ma chatte en même temps que celle de son père. Il fallut me mettre au sol pour y arriver, le père en dessous, le fils dessus. Ainsi, ils me ramonèrent consciencieusement avec force grognements que j’interprétai comme les jurons de l’époque. Ils déchargèrent presque simultanément et me remplirent de foutre.
S’étant bien purgé les couilles, les types reprirent leurs fourrures et disparurent dans la forêt. Je mis du temps à détourner mon regard de leurs dos puissants et de leurs culs bien bombés.
Il était temps de dormir et de mettre un terme à mon expérience, le fantasme étant achevé. Mais il ne se passa rien. Je restai là, j’errai dans la nature, je triturai le masque-collier, mais cela n’eut aucun effet. Je ne revins pas à la réalité, je ne me réveillai pas. Je revis alors distinctement l’image du vieux vendeur qui m’avertissait de trouver le chemin du retour. Je commençai à m’inquiéter. M’étais-je endormie ? Etais-je en train de rêver ? Un rêve qui commença à tourner au cauchemar dans une contrée sauvage où les premières couleurs du soir teintaient le ciel...
J’eus soudain l’idée d’activer un autre fantasme pour sortir de cette situation. J’en essayai plusieurs, avec une vedette de cinéma, un acteur porno, un régiment de parachutistes, etc. en vain. J’étais bloquée dans mon époque. Je tentai donc un autre fantasme préhistorique en essayant pour le coup de trouver une tribu d’homo sapiens sapiens, notre espèce. Et hop, j’y avais à peine pensé que survinrent cinq jeunes chasseurs à la peau très noire. Plus élancés, vêtus d’un simple pagne, ils eurent peur en me voyant. J’entrepris de les rassurer et m’imaginais un matelas de mousses et de lichens où je pourrais me mettre à quatre pattes. Je le fis confortable à souhait, m’y disposai en montrant ma croupe aux hommes comme je l’avais vu faire dans la "guerre du feu" où le héros est invité un moment à saillir toutes les femelles de la tribu.
Il parait que c’est un langage universel car la crainte disparut avec l’érection et j’eus bientôt cinq belles tiges autour de moi.
Là encore, il y avait un chef qui prit l’initiative en m’enfilant brutalement, sans manières et sans préliminaires. Les autres attendaient patiemment leur tour en se pignolant et le gang bang s’organisa par ordre de préférence. Cependant, il y eut un esclandre entre le quatrième et le cinquième, deux jeunes hommes qui se disputaient la préséance et je crus comprendre que l’un d’eux n’avait pas encore atteint certaines qualifications pour pouvoir saillir. Pourtant, aux cicatrices de son corps, au javelot qu’il tenait à la main, à la toison fournie de son pubis et à sa bite élancée, on pouvait croire qu’il avait toutes les aptitudes requises. Mais les autres l’écartèrent et je le vis tourner les talons à regret, d’autant que ses fesses étaient admirables. Aussi décidai-je de le rappeler et de m’occuper de sa bite en le suçant vigoureusement et en promenant mes mains sur son agréable partie charnue.
Pour gagner en efficacité, j’abandonnais la levrette, forçai le gars qui me sautait à s’allonger pour que je m’empale sur sa tige puis j’avalais le dard du jeunot qui en gémit de gratitude.
C’étaient vraiment de bonnes bites. Le jeune chasseur-cueilleur que je suçai découilla abondamment dans ma bouche, suffisamment pour que j’en recrache sur mes seins tout en avalant une dose significative et nutritive. C’est comme si j’avais tété une vache au pis. Quand le sperme toucha le masque-pendentif, les picotements me reprirent et je ressentis une forte chaleur entre mes deux mamelles.
Je me mis en missionnaire pour que le dernier achève de me bourrer. Il éjacula bruyamment, puis se retira, la queue encore toute dégoulinante. Ma chatte était pleine de son foutre et de celui de ses trois précédents comparses, ma bouche aussi et mes seins en étaient couverts. J’étais aux anges. Alors mes cinq amis reprirent leurs armes et disparurent.
Le masque aussitôt se mit à grossir pour atteindre sa taille normale. Le fantasme était terminé. Il reprit de lui-même sa place. Tout devint noir et je me sentis comme aspirée vers le haut.
Enfin, je revins à moi dans le confort de mon lit.
Le masque gisait au sol. J’étais claquée, harassée, moulue, la chatte en feu et le derche en compote, mais satisfaite par la puissance de ce voyage virtuel. J’entrepris de me caresser lentement les tétons encore durs. Ils étaient poisseux. Je réalisai alors que j’avais du sperme plein la bouche. Je portai alors la main à ma vulve. Mon sexe était encore rempli de jus qui s’en écoulait. Les draps en étaient inondés.
Que s’était-il passé ? Un mec aurait-il profité de mon sommeil ? Je jetai un coup d’œil à mon réveil. 21 H 34 ! La date n’avait pas changé et il s’était passé moins d’une minute depuis que j’avais enfilé le masque...
A suivre.
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