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Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes.

Chapitre 3

Mon mari me fait saillir par son chauffeur (1)

Avec plusieurs hommes
J’étais totalement perplexe. Je n’avais pas pu m’endormir un si court instant. Pour ne jamais être à court quand la batterie de mon portable est à plat, j’utilise un réveil radio-contrôlé, dont on n’avait pas pu évidemment changer l’heure et, par ailleurs, un mec seul n’aurait pu éjaculer autant... et même à plusieurs, ils n’auraient pas eu le temps et je m’en forcément serais rendue compte.
J’appelai quand même la réception pour qu’on me monte le journal du jour, pour vérifier la date. Tout collait... y compris le foutre qui séchait sur moi.
Une conclusion s’imposait. J’avais ramené du sperme préhistorique. Mais c’était tellement invraisemblable que je devais vérifier.
Il n’y avait rien de plus simple. Il fallait remettre le masque. Tester à nouveau.
Mais, au préalable, je pris certaines précautions pour établir les preuves indubitables que je ne rêvais pas... Et d’abord, je me douchais entièrement. Puis, je cachai mon réveil de façon à ce que personne ne puisse s’en préoccuper ni le trouver en peu de temps. Je mis aussi mon portable pour qu’il sonne dix minutes après la pose du masque... en faisant large si j’en croyais ma première expérience qui m’avait parue longue en virtuel, mais avait été très courte en temps réel.
Je me remis sur le lit, déjà tout excitée et repris le masque. Aussitôt, le charme opéra. Mais, comme pour la première fois, il fallut attendre que je pose la main sur ma chatte pour que je bascule dans le vide noir et me retrouve là où je voulais me retrouver, dans la Rolls Silver Shadow blanche de mon ex-époux.
Je repris mes sens sur la banquette arrière, à côté de mon mari. Le chauffeur conduisait.
C’est lui qui m’intéressait.
C’était un Antillais trentenaire appelé Ayden. Il était grand et bien musclé et je fantasmais sur son sexe que je supposais conséquent du temps que je vivais en couple. Mais je n’avais jamais eu l’occasion de le tester, me méfiant des amours ancillaires. Mon fantasme me le permettait désormais.
Il suffisait de laisser faire mon subconscient. J’avais tellement rêvé de ce corps...
— Garez – vous Ayden ! Donnez-moi le volant.— Bien Monsieur.
Ce n’était pas la première fois que mon mari décidait de conduire. D’habitude, le chauffeur s’installait à côté de lui.
— Non, à l’arrière Ayden... avec Madame.
Je me demandais bien pourquoi.
— Bien Monsieur.
Nous reprîmes la route.
— Vous êtes toujours célibataire Ayden ?— Oui Monsieur !— Pourquoi ? Vous n’aimez pas les femmes ?— Si Monsieur, au contraire...— Alors ? Ne me dites pas qu’avec une situation comme la vôtre et un tel corps, vous n’avez pas trouvé.— Je les aime trop pour m’engager avec une seule, Monsieur... pour le moment.— Une petite amie ?— De temps en temps Monsieur.
Je trouvais mon mari indiscret, mais prenais un vif intérêt à la conversation.
— Comment trouvez-vous Madame ?— Pardon Monsieur ?— Ma femme, la trouvez-vous belle ?— Eh bien... Monsieur... je crois que tout le monde trouve Madame belle... dit-il horriblement gêné en me regardant d’un air interrogateur auquel je répondis symétriquement.— Savez-vous que c’est une belle salope ?
Je protestais contre cette attaque aussi inattendue qu’infamante.
— Allons ma chère, n’en faites pas trop ! Tout le monde sait que vous me trompez. Pour une fois, le cocu est le premier au courant. Personne ne s’imagine que vous m’avez épousé par amour, ni moi que je vous ai choisi autrement que pour vos formes parfaites. Chacun trouve dans cette union un intérêt bien compris qui ne doit rien aux sentiments.— Cette conversation est déplacée devant un domestique.— Voyons Ayden, vous savez que Madame me trompe ?— Eh bien... certains le disent Monsieur, mais moi je n’en sais rien.
Le gars était au supplice.
— Vous ne l’avez pas sautée vous ?— Oh Monsieur ! répondit-il en même temps que je m’écriais en me disant outragée.
Nous roulions toujours.
— Vous auriez bien aimé la sauter n’est-ce pas ?— Monsieur, je vous en prie !— Elle vous fait bander ?
Ce fut moi qui répondis.
— Mais mon ami, vous êtes fou ?— Fou ? Vous aimez les hommes jeunes et bien faits, non ? Parlons-nous de vos différents coachs sportifs, de mon neveu, de l’expert-comptable... Et j’en passe, et j’en passe...— Vraiment cette conversation...— Taisez-vous... On perd du temps... Ayden, sortez votre bite !— Monsieur... je ne peux pas.— Vous vous plaisez à mon service, je vous paie bien... sortez votre bite.
Le chauffeur me regarda d’un air de dire qu’il préférait sortir son engin que de risquer de déplaire à son employeur.
— Je ne la vois pas très bien.
Moi je la voyais. Elle était belle, grosse et molle encore, bien recouverte par son prépuce.Mon mari s’arrêta à l’entrée d’un chemin forestier. Puis se pencha en arrière entre les deux sièges.
— Enlevez votre pantalon et baissez votre slip. Déboutonnez le bas de votre chemise. Je veux tout voir.
Il obéit sans mot dire.
— Comment le trouvez-vous ?— Lui, je ne sais pas, mais je vous trouve abject de l’humilier ainsi.— Mais il ne s’agit pas de l’humilier au contraire. Montre-lui tes grosses loches salopes et vous serez à égalité.
Je ne répondis pas à l’insulte ni au tutoiement qui me montraient que nous venions de changer de paramètres.
— Et bien soit, dis-je d’un air de défi.
Je défis mon chemisier et enlevai mon soutien-gorge.
— Alors, cette paire de nibards, elle vous plaît ?
Le pauvre gars ne répondit rien.
— Touchez-là. Elle adore qu’on lui pelote ses gros nichons. Elle en est très fière et à bon droit ! Ils ne m’ont pas coûté un centime. C’est du naturel.
Il tendit timidement son bras. Je commençai à m’exciter.
— Qu’est-ce que t’attends pour prendre sa bite ?
Je pris donc le sexe dans ma main droite et le sentis gonfler. Je me mis à le masturber lentement.
— Suce-le !
Il me faisait trop envie pour le refuser. Et je m’appliquai donc à soulager du mieux possible l’énorme tension que subissait le pauvre domestique. Il se laissa faire bien docilement.
— Elle suce bien n’est-ce pas ?— Oui Monsieur !— Une vraie pompeuse. Et savez-vous qu’elle avale ?— Ah ?— Et qu’elle recrache parfois... elle s’en couvre le menton... J’adore. J’espère que vous aimez cela aussi. Allons en route.
La voiture redémarra. Mon mari conduisait lentement tout en poursuivant ses observations.
— Vous a-t-elle bouffé les couilles ?— Pas encore Monsieur.— Et bien qu’elle le fasse, vous allez voir, là aussi elle est experte. Pendant ce temps-là, caressez-lui donc la chatte. Vous allez constater par vous même qu’elle est sûrement déjà toute mouillée... mais attention ! Si vous voulez qu’elle vous donne du plaisir, prenez soin d’elle. Elle ne rend que ce qu’on lui donne.— Bien Monsieur.
Les doigts du chauffeur firent merveille.
— Peut-être serait-il temps de lui manger la chatte ? Vous aimez ça au moins ?— Bien sûr Monsieur.— Vous devriez être entièrement nus maintenant.
Du fait, nous l’étions presque, mais il est difficile de se déshabiller en voiture.
La langue du black faisait merveille dans ma raie. Ses mains avaient pris assurance et même audace et il me pinçait les tétons ayant vite saisi le vif plaisir que j’y prenais. Je gémissais de bonheur.
— T’aimes ça chienne ? T’as envie de sa queue sale pute ?— Oui, oui j’ai envie de sa queue.— Elle est grosse sa queue hein ?— Oui, elle est bonne...— Vous entendez Ayden, vous avez une bonne queue !— Oui Monsieur. Merci Monsieur.— Qu’attendez-vous pour la lui foutre ?— Votre permission Monsieur.— Mais vous l’avez, vous l’avez mon ami... sautez-moi cette garce ! Mais attention, ne soyez pas trop rapide mon ami !— Bien Monsieur.
Sa bite était vachement bonne. Il me travaillait à coups lents. Je m’accrochai à lui pour qu’il me pénètre bien à fond et je ne dissimulais pas ma jouissance.
— Ouiiii c’est bon, vas-y, encore, encore... elle est bonne ta queue...— Libérez-vous Ayden, libérez-vous. Répondez-lui comme elle le mérite.— Je peux, Monsieur ?— Vous devez.
Alors il se désinhiba tout à fait.
— C’est bon, c’est bon vraiment ?— Ouiiii...— Madame aime la bite ?— Ouiiii...— La bonne grosse queue qui lui ramone sa chatte ?— Ouiiiii...— Madame en veut encore ?— Laissez tomber les "Madame" Ayden. Bourrez-là comme une pute ! intervint vivement mon mari.— Comme une pute ? Tu veux que je te traite comme une pute ?— Ouiiii, prends-moi comme une pute.— Tiens ! Prends ça dans ta chatte salope... et ça... et ça... et encore ça !
Il joignit les mouvements à la parole et se fit plus nerveux, plus actif, plus violent.
— Alors elle est bonne ma femme ?— Oh oui, Monsieur, merci Monsieur.— Elle encaisse bien la bite !— Elle est bonne, elle a une putain de bonne chatte !— Vous voyez qu’elle aime ça !— Oui Monsieur, elle a pas l’air de faire semblant... T’aimes vraiment la bite toi, hein, t’es une grosse cochonne à bite ! Tiens suce salope, suce bien... comme tout à l’heure.— Cela vous plaît-il vraiment ?— Oh oui Monsieur.— Alors, pour cette augmentation que m’avez demandée... Vous la voulez vraiment ou vous préférez que je vous laisse baiser ma femme à vos guises respectives ?— Un peu des deux... si cette grosse pute qui jouit de mon gros sexe est d’accord, répondit-il après une courte hésitation.— Vous êtes dur en affaire Ayden. Je vous paie déjà bien, vous avez le gîte et le couverte et je vous propose une pompe à dard... Car elle aime trop votre bite pour pouvoir s’en passer. Nous en reparlerons.
Quant à moi, je fis comme si je n’avais rien entendu.
Mais, à partir de ce moment, Ayden prit les choses en main tout seul sans prendre de directives de mon mari qui intervenait souvent, ralentissait parfois pour regarder en arrière son chauffeur me saillir et repartait. J’étais trop absorbée par mon plaisir pour faire attention à ce qu’il se passait à l’extérieur. Cependant, je perçus nettement le ralentissement de la voiture et l’ombre qui nous enveloppa quand nous rentrâmes dans un vaste bâtiment.
A suivre.
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