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Des bougies pour ma tante

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Samedi dernier, nous avons fêté les 80 ans d’Alice, ma tante avec qui je baise depuis dix ans quand elle s’est retrouvée veuve suite au décès de mon oncle, son mari depuis 50 ans. En 50 ans de mariage, elle n’avait jamais connu un autre homme. Depuis dix ans, elle s’est rattrapée et elle a découvert avec moi, son neveu qui a 15 ans de moins qu’elle, les joies du libertinage et les plaisirs de la pluralité masculine et régulièrement, malgré la période d’interruption durant la pandémie, je lui organise des soirées en compagnie de plusieurs hommes, jamais moins de trois, avec lesquels elle prend un maximum de plaisir.
Pour ses 80 ans, je lui ai donc réservé une surprise. Malgré son insistance, je ne lui ai pas dit que mon projet était de réunir quatre jeunes garçons nés en 2002 donc âgés de 20 ans cette année. A eux quatre, ils ont donc le même âge qu’elle. J’aurais aimé trouver un groupe constitué de quatre jeunes hommes, mais, sur un site habituel, je n’ai trouvé que deux fois deux hommes. Quand on a été en relation sur le site, je leur ai expliqué ce que j’attendais d’eux et je leur ai envoyé des photos pour les rassurer sur le physique de la dame. Elle a certes 80 ans, mais elle en paraît 70 ans. L’anniversaire s’est donc déroulé samedi dernier. Je suis allé chez Alice vers 20 h, une heure avant, alors qu’elle se préparait. Je lui avais dit de mettre une jupe noire très courte et en haut un chemisier noir très transparent qui ne cachait rien de ce qu’elle avait en dessous, c’est-à-dire un soutien-gorge ouvert qui laissait passer ses seins.
En bas, elle avait évidemment des bas noirs tendus par un porte-jarretelles. Alors qu’elle se préparait, elle me demanda "c’est quoi la surprise ?". Je lui ai répondu" ne sois pas impatiente, tu verras tout à l’heure ". A 21 h, je suis allé rejoindre les quatre hommes à qui j’avais donné rendez-vous sur la place de la mairie de sa commune à 3/4 kilomètres de sa maison. Deux voitures étaient bien présentes, les quatre hommes étaient à l’heure. Ils ont laissé leurs voitures sur place et sont montés avec moi. Durant le trajet, je leur ai expliqué ce que j’attendais d’eux "surtout pas de violence ni de brutalité envers Alice". Je leur ai bien précisé qu’elle ne refusait rien et que pour jouir, ils pouvaient se libérer sur son visage et pouvaient lui dire des mots crus quand il la prendrait.
Arrivés à la maison, nous sommes entrés par le garage où j’ai demandé aux quatre hommes de rester le temps d’aller voir Alice. Assise dans le salon, elle attendait tranquillement en regardant la télé. Je l’ai emmenée dans une autre pièce et j’ai fait rentrer les quatre hommes dans la chambre où allaient se dérouler les agapes, le lit étant déjà préparé. J’ai demandé aux hommes de se déshabiller et de ne garder que leur caleçon sur eux. J’ai mis une lumière tamisée et je suis retournée chercher Alice à qui j’ai bandé les yeux avant de l’emmener vers la chambre. Quand nous sommes entrés, j’ai dit "voilà ta surprise, mais pour l’instant tu n’as pas le droit de voir, juste de toucher". Les quatre hommes l’ont alors entourée et ont commencé à la caresser. " Combien sont-ils ? ". " Ne t’occupe pas" ai-je répondu. Elle était coincée par un homme de chaque côté.
Alors que deux l’embrassaient dans le cou, celui qui était devant avait retroussé sa jupe et caressait sa chatte puisqu’elle portait un string fendu. Celui qui était derrière, Erwan, un grand blond, lui caressait le cul. Alice n’était pas inactive et elle avait mis sa main dans le caleçon de Loic, celui qui était devant, pour branler une queue déjà bien raide. Ils ont fait glisser sa jupe à terre et Erwan a ouvert son chemisier pour lui sucer les seins, ce qui lui a déclenché des gloussements. Son chemisier est lui aussi tombé par terre et elle se retrouvait les seins à l’air, entourée par quatre jeunes hommes, qui auraient pu être ses petits-fils, bien membrés qui avaient aussi enlevé leur caleçon. Pendant qu’elle se faisait caresser partout, elle branlait les queues les unes après les autres. L’un des garçons lui a demandé de se mettre à genoux pour les sucer.
Comme elle n’est plus très souple; ils l’ont aidée et elle s’est retrouvée avec quatre belles bites devant sa bouche, n’hésitant pas à en avaler deux à la fois. Après dix minutes de pipes, ils l’ont relevée et l’ont allongée sur le lit. Valentin, un petit rondouillard, lui a écarté les cuisses et s’est mis à lui lécher la chatte pendant que les trois autres se faisaient sucer à tour de rôle. Valentin s’y prenait visiblement bien tant la respiration d’Alice se faisait de plus en plus haletante. Valentin a enfilé un préservatif et est rentré d’un coup dans la chatte d’Alice. Elle a eu un petit cri de surprise vite transformé par des petits cris de plaisir. " Tu aimes ça salope ?" lui a demandé son jeune baiseur. Occupée avec une belle bite dans la bouche, elle était bien incapable de répondre. Valentin l’a limée pendant cinq bonnes minutes avant de laisser la place aux trois autres qui l’ont prise à tour de rôle. Puis ils l’ont fait mettre en levrette.
Pendant qu’un la prenait dans la chatte, les trois autres à tour de rôle envahissaient sa bouche. Lucas s’est allongé sur le dos et lui a demandé de s’empaler sur lui. Elle était à peine installée qu’Erwan s’est présenté devant sa petite rondelle. Il l’a bien lubrifiée avec sa langue avant de rentrer délicatement. Je voyais Alice, les yeux fermés, partir peu à peu. Elle encourageait ses partenaires " baisez-moi plus fort, j’aime ça ". Elle a été prise en double quatre fois, tous les garçons ayant essayé son cul. Ils se sont amusés avec elle pendant plus d’une heure, la faisant jouir trois fois. Comme je leur avais demandé, ils l’ont allongée pour se mettre devant son visage qu’ils ont, chacun leur tour, inondé de foutre. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai enlevé son bandeau pour lui faire découvrir ses quatre partenaires.
Sur le coup, elle était encore dans les nuages de sa jouissance, elle n’a pas compris, il a fallu que je lui explique le rapport entre son âge et celui des quatre garçons. Nous sommes passés dans le salon pour prendre du réconfort après l’effort avec du champagne et un gâteau. J’avais mis dessus huit bougies, une pour chaque dizaine, en forme de sexe qu’elle a soufflées d’un seul coup. Après une demi-heure de repos et de discussions, nous sommes tous retournés dans la chambre où elle s’est fait prendre encore pendant une heure. Puis j’ai raccompagné les quatre garçons qui, en route, m’ont remercié pour cette bonne soirée. Quand je suis rentré, Alice m’a sauté au cou en me disant " c’était une belle surprise ". Je l’ai prise à mon tour la faisant jouir une nouvelle fois avant qu’elle ne s’endorme, fatiguée, mais ravie de sa soirée d’anniversaire. C’est vrai que les mamies fêtent sûrement leur 80e anniversaire d’une manière moins sexe.
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