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Des camarades de classe

Chapitre 4

Gay
     Cyrille trépignait : ses parents avaient accepté qu’il parte en vacance avec Philippe ; ils avaient même proposé que Philippe vienne avec eux le mois suivant, quand eux partiraient en camping sur la Côte d’Azur. Mais avant il y aurait le bac de français à passer. Heureusement, ses parents n’avaient pas conditionné les vacances à un succès à l’épreuve, mais il allait devoir sérieusement réviser lors des semaines qui précédaient l’examen, ce qui voulait dire qu’il verrait moins souvent Philippe. Si l’abstinence durait trop longtemps, il risquait de ne plus penser qu’à cela et de rater l’épreuve ; il fallait donc trouver le bon dosage.
     Pour compléter le tableau, Philippe avait commencé à prendre des cours de code. Ses parents étaient des gens aisés ; sans être riches à millions, ils avaient pour habitude de ne pas trop compter, sans pour autant vivre ostentatoirement dans le luxe. Philippe aurait pu commencer plus tôt, dès ses dix-huit ans, mais il n’avait pas éprouvé le besoin immédiat d’apprendre à conduire. Ses parents, bien qu’ils aient les moyens de payer le permis dès que possible, avaient ainsi attendu que leur fils manifeste un début d’intérêt pour son autonomie en matière de déplacements. Après avoir raté quelques sorties en boîte les week-ends, il s’y intéressa de plus près.
     L’examen arriva, ce qui signifiait que le départ approchait à grands pas. Michel, le père de Philippe, souhaitait prendre la route de bonne heure afin d’éviter la chaleur et les bouchons. Il demanda à Cyrille de venir passer la dernière nuit chez eux. La voiture était chargée et il ne resterait que le strict minimum nécessaire pour être fin prêts. L’excitation était à son comble, sans que Cyrille et Philippe puissent savoir si elle venait de la proximité du départ ou du fait de leur proximité lors de cette nuit-là. Michel et Evelyne, la mère, avaient finalement fait dormir Cyrille dans la chambre de leur fille, juste à côté de celle de Philippe.
     L’appartement était un duplex et, outre les deux chambres, l’étage comprenait une douche, un WC et une grande pièce qui avait été la salle de jeux lorsque les enfants étaient plus jeunes. Puisqu’ils étaient maintenant grands, c’était au tour de Michel de profiter de l’endroit. Au milieu de la pièce trônait un billard français. Les parents de Philippe vinrent faire une petite partie pour se détendre avant d’aller se coucher ; le départ étant prévu pour quatre heures le lendemain matin, ils ne s’éternisèrent pas.
   ─ Bonne nuit, les enfants, ne vous couchez pas trop tard. Si vous ratez le départ, on vous abandonne ici pour un mois, plaisanta Evelyne en descendant les escaliers.
     Cyrille avait une forte envie de prendre la queue de Philippe, soit dans sa bouche, soit dans son cul, mais la présence des parents dans l’appartement le dérangeait. Certes, cela ajoutait aussi à l’excitation, mais il aurait cependant préféré pouvoir jouir sans retenue. Il était dans l’expectative, et finalement peinait à s’endormir. Cela devait faire bien une heure que les parents étaient redescendus pour se coucher, et lui faisait toujours la crêpe dans le lit de Virginie, la sœur de Philippe. Peut-être était-ce le fait de dormir dans des draps roses dans une chambre de fille dont la décoration n’avait pas changé depuis qu’elle était adolescente qui exacerbait son envie de sentir Philippe venir en lui. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il y dormait.
     Il somnolait depuis quelques minutes peut-être quand il se prit à rêvasser de petites culottes roses. Imaginait-il Virginie en train de s’exhiber devant lui en petite tenue ? Ou au contraire se voyait-il porter un dessous piqué dans un tiroir et se faire pincer par Philippe qui le punirait en le prenant sauvagement dans cette tenue ?
     Cyrille se leva discrètement, essayant de ne faire aucun bruit. Il craignait que la chambre des parents soit juste en dessous de la sienne : ils pourraient s’étonner de l’entendre marcher en pleine nuit dans la chambre. Il ne put cependant plus résister à cette tentation inédite et s’approcha de l’armoire qu’il ouvrit délicatement. Puisqu’elle ne vivait plus là, il n’y aurait certainement pas grand-chose à y découvrir. Il n’y avait dans la partie penderie que des manteaux d’hiver ainsi que quelques pulls et robes pour la même saison. Il referma et se préoccupa des tiroirs. Il n’y avait dans le premier que quelques paires de chaussettes qu’elle avait dû ramener au cours du printemps, une fois que les risques d’une rechute des températures avaient été totalement oubliés. Dans le deuxième, il y avait des affaires de sport. C’était déjà mieux. Un maillot de bain une-pièce rose fluo, plusieurs shorts en différentes matières qui semblaient vraiment courts et échancrés. Il y avait aussi un body qui avait déjà bien vécu et qu’elle ne remettrait certainement jamais plus. Il retint les possibilités que ces vêtements lui apportaient, puis il ouvrit le troisième et dernier tiroir, presque religieusement. C’est là qu’il trouva le Saint-Graal. Ce n’était pas une collection de strings et autres dessous sexys qu’il voyait, mais il trouva plusieurs shortys roses en coton. Cela ressemblait plus à des dessous d’adolescente qui restaient dans le fond du tiroir pour dépanner lors des quelques jours où elle revenait voir la famille qu’à la panoplie, même de secours, d’une jeune femme de vingt-trois ans.
     Cyrille attrapa un shorty rose et l’enfila. Sa queue enfla aussitôt. Là encore, il ne sut si c’était l’idée de voir un jour Virginie en sous-vêtements ou celle de se faire emmancher ainsi accoutré par Philippe, mais son état d’excitation était maintenant devenu irréversible et il devait faire quelque chose, au risque de passer le reste de la nuit sur la béquille.
     Au diable les précautions, il fallait passer à l’action ! Après avoir éteint la lumière de la chambre, il entrouvrit la porte et vérifia qu’aucun bruit ne venait de l’étage inférieur. Une fois rassuré, il alla gratter à la porte de la chambre de Philippe. Lui aussi ne dormait pas vraiment et répondit vite à l’appel.
   ─ Philippe, j’ai vraiment besoin de ton sexe, je n’arrive pas à fermer l’œil.   ─ OK, OK ! Moi aussi, mais allons dans la chambre de ma sœur : mes parents dorment juste en dessous de la mienne, et si le lit bouge ils risquent de se poser des questions.
     Ils se glissèrent sous les draps roses, et lorsque Philippe voulut caresser les fesses de Cyrille, il sentit le coton du shorty. La matière et la coupe inhabituelle le laissèrent perplexe ; il alluma la lampe de chevet pour constater que Cyrille portait un des sous-vêtements de sa sœur.
   ─ Ah, la vache ! Ça te fait un joli petit cul, ma garce.   ─ Tu veux bien commencer par me sucer ? J’ai la bite en feu tellement je suis excité, demanda Cyrille.   ─ OK, mais tu vas prendre cher ensuite.   ─ Je ne demande que ça, répliqua Cyrille, les joues rosies par l’excitation.
     Cyrille baissa à peine le shorty et le coinça sous ses couilles. Philippe engloutit le sexe tendu et Cyrille soupira aussitôt de plaisir. La salive sur sa queue le calmait quelque peu, comme les gouttelettes d’un brumisateur sur le visage en période de canicule. C’était en quelque sorte une canicule culaire, et il s’apprêtait à se faire bien encaniculer. Cyrille éjacula rapidement dans la bouche de Philippe qui vint lui rendre sa semence en un bouche-à-bouche rapide. A peine avait il absorbé son sperme que Cyrille se tournait, présentant sa croupe aux assauts plus qu’attendus. Philippe fit glisser la culotte rose et laissa couler sa salive entre les fesses que Cyrille maintenait bien écartées. Philippe pressa son gland contre la rosette de son ami et poussa d’un coup. Le gland était entré mais il le ressortit, recracha un peu de salive. Cyrille le supplia de le pénétrer à fond.
   ─ Suce ma bite et laisse toute la bave que tu pourras dessus.
     Cyrille s’empressa de s’exécuter. Quand il estima avoir bien lubrifié le membre, il se retourna. Philippe l’enfila jusqu’à la garde sans crier gare. La tête dans l’oreiller pour étouffer ses gémissements, Cyrille tendait le cul et en redemandait. Qu’à cela ne tienne, Philippe lui pilonnait le fion sans ménagement. Il s’amusait à ressortir complètement sa bite avant de la lui enfiler tout aussi complètement. A chaque sortie, il vérifiait que la rondelle s’ouvrait un peu plus. Le pilonnage dura plusieurs minutes, et quand il sentit qu’il allait jouir, il sortit sa bite et déchargea son foutre sur la rondelle. Philippe était tellement excité par la culotte rose de sa sœur qui ornait encore les cuisses de Cyrille et par la présence de ses parents qui ne se doutaient de rien à l’étage en dessous qu’il ne débanda même pas et se remit à pilonner le cul de son ami qui prenait avec délectation ce supplément de sodomie. Comme il venait de jouir, Philippe dut lui ramoner le trou encore plus longtemps avant de pouvoir en remettre une deuxième couche, pour le plus grand plaisir de Cyrille qui ne démordait pas l’oreiller.
   ─ Comme ça pendant tout le mois, et je te jure que je vais transformer ton cul en chatte...
     Cyrille se demanda pourquoi il n’avait pas songé à piquer une des culottes de Virginie plus tôt ; ce n’était pas comme s’il n’en avait jamais eu l’occasion. La promesse de Philippe le rendait tout chose et il se blottit contre lui. Ses joues étaient en feu et devaient faire office de phare dans l’obscurité de la chambre.
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