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Des camarades de classe

Chapitre 5

Gay
     Il n’était pas encore midi quand la voiture fit crisser les gravillons de la cour. La maison était immense. C’était une bâtisse en vieilles pierres de deux étages, dont la façade était partiellement recouverte de vigne grimpante. Sur le perron, un gros chien, sagement assis, semblait avoir attendu toute la matinée l’arrivée des propriétaires.
   ─ Quelle belle bête ! Est-ce le vôtre ?   ─ Non, nous ne venons pas assez souvent ici pour pouvoir laisser un chien tout seul, répondit le père. C’est le chien des voisins, mais nous le connaissons depuis qu’il est tout petit, et chaque fois que nous venons ici il nous attend sur le perron. Et cela fait sept ans que ça dure.   ─ Il est vraiment très beau ; il est de quelle race ?   ─ C’est un berger d’Anatolie.
     Cyrille caressa le chien affectueusement. C’était un chien imposant et haut sur pattes, au poil clair et doux au toucher. Conscient de sa puissance, il se laissait caresser sans crainte.
   ─ Comment s’appelle-t-il ?   ─ Son nom est Zacharie, mais tout le monde ici l’appelle Zack, répondit Philippe.   ─ Pendant que nous déchargeons la voiture, allez faire un tour jusqu’à la ferme et demandez des œufs à Bernard. Vous ferez connaissance, ordonna Evelyne.   ─ Et pense à caresser le chien le plus souvent pendant le trajet, Cyrille. Il s’habituera à ton odeur… Il est très gentil, mais ça reste un chien de berger ; je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose, précisa Michel.
     Les deux jeunes vacanciers s’en allèrent donc vers la ferme voisine. Le chemin contournait la maison et pénétrait dans un bosquet. Cyrille vérifia qu’il n’y avait personne sur le chemin et se tourna vers Philippe.
   ─ Ça te dit un petit coup vite fait derrière les genêts ? Tout ce temps passé à côté de toi dans la voiture sans pouvoir te toucher, c’était frustrant.   ─ OK, mais rapide alors, parce que si nous passons une heure pour aller à la ferme, mes parents trouveront cela bizarre.
     Ils entrèrent sous le couvert et Cyrille baissa rapidement son short. Il avait gardé la culotte rose de Virginie. A cette vue, la bite de Philippe se mit aussitôt au garde-à-vous.
   ─ Regarde l’effet que tu me fais, mon salaud ! Ça te va bien, tu n’as pas beaucoup de poils… Et quand tu seras un peu plus bronzé, tu seras encore plus sexy.   ─ J’aimerais beaucoup me faire bronzer complètement nu.    ─ Je connais un endroit où tu pourras le faire sans être dérangé. En plus, c’est un coin vraiment chouette. On pourrait y aller dès cet après-midi, quand nous aurons fait la chambre.
     Cyrille fit une petite fellation bien baveuse pour lubrifier la verge de Philippe. Cependant, son cul avait maintenant assez de souplesse pour accueillir la belle bite sans trop de préliminaires. Il prit appui sur un rocher et tendit le cul en arrière. Philippe le pénétra d’un coup. Cyrille préférait sentir le pieu progresser lentement pour profiter de la dilatation, mais il fallait faire vite. Philippe, lui, appréciait tout particulièrement de sodomiser brusquement son ami. Il avait un petit côté dominateur qui s’accordait bien avec le tempérament de Cyrille. Il n’avait pas oublié la proposition qu’il lui avait faite ; puisqu’il voulait être mis au défi, il le serait. Tout le long du trajet en voiture, il y avait cogité puisqu’il n’avait eu, de toute façon, rien de mieux à faire.Pour l’instant, Philippe labourait le cul de Cyrille avec entrain. Il était debout et le tenait fermement par les hanches. La culotte était sur le sol et Zack reniflait l’odeur que dégageait le tissu rose. Philippe plaisanta sur l’odeur de chienne dont Cyrille avait imprégné le sous-vêtement. Il était vraiment excité par cette réflexion, et chaque coup de reins qu’il donnait projetait Cyrille – qui ne boudait pas son plaisir – en avant. Il sentait qu’il allait enfin jouir.
     Philippe recula juste avant l’éjaculation. Le sperme atterrit sur les fesses de Cyrille. Avant qu’il ne comprenne ce qu’il se passait, le chien était venu lécher les fesses de l’enculé. En deux ou trois coups de langue rapides, le foutre fut nettoyé. Cyrille restait immobile, figé par cette langue experte qui était passée dans la raie de son cul pour ensuite venir frôler ses couilles. Puis le chien vint faire la toilette de la verge de Philippe. Quelques coups de langue suffirent à donner au membre un début d’érection. Philippe posa son cul sur le rocher et invita Cyrille, toujours un peu désorienté par les caresses buccales et canines, à s’empaler. Cyrille exposait ainsi involontairement sa bite à la langue de Zack. L’animal s’appliquait et Cyrille ne pouvait que s’abandonner au plaisir. Il se laissait aller, le dos contre le torse de Philippe qui en profitait pour lui pincer les tétons. La jouissance, incontrôlable et d’une incroyable intensité, arriva au pas de charge. Les giclées furent projetées avec force et Philippe n’en revint pas de sentir l’anus de son ami se contracter aussi violemment autour de son membre.
     Ils se rhabillèrent et continuèrent leur chemin jusqu’à la ferme, avec comme compagnon de route un chien qui ne cessait de renifler l’entrejambe de Cyrille. Celui-ci se demandait comment il allait oser se présenter devant le paysan avec ce chien qui lui tournait autour.
   ─ Ne t‘inquiète pas, c’est normal qu’un chien qui ne te connaît pas cherche à mémoriser ton odeur.   ─ Oui, mais quand même, il ne fait que me renifler le cul !   ─ Il renifle ce qui est à sa hauteur, c’est tout…
     Ils continuèrent leur chemin, Cyrille tentant d’éloigner l’animal. Philippe appela Zack et le caressa. Il l’attrapa par le collier et le fit marcher à côté de lui, ce qui rassura un peu son ami. Le chemin montait en pente douce, suivant la courbe d’une colline couverte de châtaigniers. Ils firent encore quelques centaines de mètres avant que la voie débouche sur des champs qui s’élevaient de part et d’autre, encerclant la ferme en contrebas. En se retournant, ils pouvaient voir le toit de la maison d’où ils venaient. A vol d’oiseau, les deux bâtiments étaient vraiment proches. Le chemin n’était pas le tracé le plus direct ; il décrivait une courbe qui contournait le creux qui les séparait. En tournant sur la droite, le chemin descendait sur quelques mètres et arrivait dans la cour de la ferme.
     Bernard, le fermier, s’occupait sur une remorque dont il vérifiait l’état. Philippe s’approcha et le salua puis fit les présentations. Après les banalités d’usage, Bernard demanda ce qui amenait Philippe.
   ─ J’ai eu quelques soucis avec la remorque et ça m’a fait perdre tout mon temps. Je ne sais pas si Lucienne a des œufs en réserve. Filez lui dire bonjour, et si elle n’en a pas, il ne vous reste plus qu’à aller en chercher sous le hangar, au milieu des bottes de paille.
     Ils en furent quittes pour fouiller entre les bottes. C’était plutôt amusant, tout compte fait. Ils escaladaient les rangées inégales. La logique aurait voulu que les premières bottes soient prises avant celles placées derrière, mais ce n’était pas toujours le cas. Peu importait finalement, cela leur permettait de se faufiler entre les rangées de paille comme dans un jeu de Lego grandeur nature. Philippe regarda Cyrille qui s’était aménagé une cachette en déplaçant deux ou trois bottes.
   ─ J’ai envie de te prendre là, dans la paille.    ─ T’es fou ou quoi ?   ─ Allons, ça ne risque rien. Bernard est occupé avec sa remorque. Lucienne prépare à manger. Que veux-tu qu’il arrive ? Et puis je suis sûr que ça t’excitera.
     Cyrille avait déjà baissé son short ; il n’avait pas été long à convaincre. Il posa son tee-shirt sur la botte pour éviter le contact direct avec la paille. Il n’était donc vêtu que de la culotte empruntée à la sœur de Philippe. A genoux, les coudes appuyés sur la botte devant lui, il regardait Philippe dans les yeux comme pour le réprimander de n’être pas déjà en place. Philippe le regardait bizarrement. Il avait une idée derrière la tête. Cyrille comprit rapidement ce qu’il voulait faire. Philippe cassa un œuf et l’étala sur sa queue. Il passa ensuite sa main entre les fesses de son ami pour y étaler ce qui en restait.
     Philippe profita de ce lubrifiant cent pour cent naturel et pénétra Cyrille d’un coup. Il gémit, plus par surprise que par douleur. Excité par la situation, Philippe l’enculait avec ardeur, ce qui n’était pas plus mal car les cris de jouissance de Cyrille risquaient d’alerter les occupants de la ferme tant ils étaient forts. Cyrille éjacula en premier. Juste quelques gouttes qui atterrirent dans la paille, puis ce fut le tour de Philippe. Dans un dernier et puissant coup de reins, il retapissa les intestins de son ami.
   ─ Remets vite la culotte de ma sœur : tu la parfumeras de l’odeur de mon sperme quand il s’écoulera de ton petit cul de gourmande. Je n’ose pas imaginer l’odeur qu’elle aura à la fin des vacances...   ─ T’es vraiment un sacré cochon, mais qu’est-ce que ça m’excite !
     Ils rapportèrent quelques œufs à Lucienne, comme elle le leur avait demandé. Cyrille commençait à sentir le sperme s’écouler de son cul. Ils saluèrent ensuite Bernard, toujours occupé avec la remorque. Cyrille était pressé de retourner à la maison, mais il était impossible de courir avec les œufs dans leur poche. Il jetait des coups d’œil de tous les côtés, espérant que le chien n’était pas dans le coin car il ne manquerait pas de sentir la semence de Philippe qui se répandait dans la culotte. Zack apparut au détour d’un virage. Heureusement, Cyrille constata que la ferme n’était plus visible de là où ils étaient. Tel un péage routier, le chien allait percevoir sa taxe avant de laisser les deux camarades repartir.
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