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Des camarades de classe

Chapitre 9

Trash
Cyrille et Philippe s’approchèrent de la fenêtre. Le voile transparent ne masquait rien de ce qu’il se passait à l’intérieur. Peut-être même que les deux femmes sur le canapé avaient moins de chances de les apercevoir s’il leur venait à l’idée de regarder dehors. La lumière faible des bougies peinait à éclairer la scène, mais les deux larrons ne pouvaient avoir aucun doute sur l’activité qui occupait les deux protagonistes allongées dans le salon.
   ─ La vache… elles se bouffent la chatte !   ─ Regarde ! On dirait que…    ─ Quoi ?    ─ Celle qui est au-dessus… On dirait qu’elle a une bite.   ─ N’importe quoi…   ─ Si, je t’assure. Avec le manque de lumière, on voit mal, mais attends un peu et fais bien attention.   ─ Ah oui, tu as raison. Mince alors !
La réaction ne se fit pas attendre : leurs bites se mirent au garde-à-vous en deux coups de cuillère à pot. Le plus à plaindre était Cyrille qui hésitait entre continuer de mater et s’agenouiller pour sucer son ami. Il décida de continuer à faire le voyeur.
   ─ C’est dingue, cette nana en a une plus grosse que la mienne !   ─ T’aimerais te faire mettre par une fille comme ça ?   ─ Ah oui, carrément !
Philippe baissa son short et commença à se masser tranquillement la verge. Tout au spectacle que lui offraient les habitantes de la maison, il gardait cependant un œil sur Cyrille, se doutant qu’il ne résisterait pas longtemps à l’envie de l’enfourner quelque part. Mais pour l’instant, lui aussi se contentait de caresser son sexe.
À l’intérieur, le spectacle continuait. La femme s’était agenouillée sur le canapé et son amie la prenait en levrette. Si le rythme avait d’abord été lent, il augmenta rapidement et Cyrille exprima le besoin de sentir Philippe en lui. Il cracha dans sa main, s’enduisit le sexe de salive. La verge s’engouffra sans la moindre résistance dans l’anus de Cyrille qui, si la femme pouvait gémir bruyamment, devait retenir l’expression de son plaisir sous peine d’être découvert. Philippe, tout en lui limant intensément le cul, le branla sur le même rythme : pour une fois, ils n’avaient aucun intérêt à retarder leur jouissance.
Les feuilles des arbres alentour se mirent à trembler ; une petite brise du soir se levait, apportant un peu d’air après la longue journée de fournaise. Cyrille se laissait totalement prendre en main par son ami. Il se relâchait contre lui et frissonna de bonheur. Il aurait aimé que ce moment dure une éternité. Tout à leur plaisir, ils ne remarquèrent pas que la brise avait entrouvert la fenêtre qui n’était pas fermée mais simplement poussée. Le courant d’air éteignit la bougie et, alors que les deux voyeurs étaient jusqu’à présent masqués par l’obscurité, ils se retrouvèrent ainsi dans la lueur blafarde de la lune tandis que le salon se retrouvait plongé dans le noir.
Sous la main experte de Philippe, Cyrille laissa partir une longue traînée de sperme qui atterrit contre le mur. Philippe, la bite enserrée par les muscles fessiers, éjacula dans la foulée. Ils restèrent ainsi quelques instants mais furent tirés de leurs rêveries par la voix inattendue de l’une des deux occupantes de la maison. Ils ne purent voir laquelle des deux s’adressait à eux avant qu’elle n’apparaisse à la fenêtre.
   ─ On dirait que nous avions des spectateurs, ce soir. Le show vous a plu ?
   ─ Apparemment. Il semblerait qu’un de nos fans veuille emporter un souvenir…
Les deux larrons remontèrent rapidement leur short et voulurent se carapater le plus vite possible.
   ─ Pas la peine de détaler ainsi, jeune homme. Nous t’avons reconnu ; tu étais ce matin à l’épicerie du village et nous avons discuté à propos du chien… t’en rappelles-tu ?
Cyrille se figea. Philippe lui rentra dedans, mais sans pénétration. La bougie fut rallumée et les deux femmes les pressèrent de venir s’expliquer. Ils entrèrent, la tête basse, sans cesser de regarder cette verge toujours en érection, comme narguant l’assemblée de sa présence à un endroit où l’on ne l’attendait pas.
   ─ Bien, commençons par les présentations. Moi, c’est Verena ; et mon amie, qui semble vous intriguer, s’appelle Ericka.
Pour sûr qu’ils étaient intrigués ; non seulement Ericka était la fille la mieux montée qu’ils aient jamais rencontrée, mais elle semblait ne rien perdre de son érection alors qu’elle ne s’occupait pas vraiment de sa verge. Un cockring constitué d’une bande de cuir cloutée enserrait le membre érigé, empêchant le sang de refluer. Cyrille observait avec intérêt cet accessoire, imaginant le bienfait qu’il pourrait en tirer si Philippe en portait. De plus, il trouvait cette queue vraiment à son goût, et cette bande de cuir la rendait encore plus sexy à ses yeux. Il se mit à espérer qu’elles voudraient les punir, le punir pour cette intrusion et ce vol, et qu’elles le puniraient de telle sorte qu’il finirait par avoir cette queue soit dans la bouche, soit dans le cul. Il souhaitait même ardemment que ce soit les deux.
Philippe termina les présentations sans manquer de décrire Cyrille comme un éternel assoiffé de sexe, presque un puits sans fond. Pressentait-il qu’une contrepartie pour leur larcin serait forcément d’ordre sexuel, et qu’en introduisant ainsi son ami, il lui réservait le rôle de celui qui encaisserait le plus gros de la sentence ?
En effet, Verena amena rapidement ce sujet dans la discussion. Elle ne les menaça aucunement de les dénoncer, pas même pour obtenir en échange de leur silence des compensations physiques. Au contraire, elle proposa – puisqu’ils semblaient dotés d’un fort appétit sexuel – de combiner leurs envies, de leur faire découvrir d’autres plaisirs, et par là-même combler l’appétit sans fin de Cyrille. Ericka, cependant, admit que la situation se prêtait bien à une relation dominant-dominé et leur proposa donc d’obéir à leurs souhaits en guise de compensation. Ils devraient toutefois accepter sans condition tout ce qu’elles leur feraient subir. Ils acquiescèrent et Cyrille se retrouva vite à genoux pour sucer enfin la verge qu’il convoitait depuis qu’il l’avait découverte.
   ─ Oh, mais c’est que ce jeune homme a de l’expérience… Il suce divinement !   ─ Philippe, viens donc t’occuper de ma figue et voyons si tu es aussi doué que ton ami, ordonna Verena.   ─ J’en doute fort : je n’ai jamais eu de relation avec une fille. Ni Cyrille, d’ailleurs.
Effectivement, il ne se montra pas particulièrement doué pour les caresses buccales et Verena sut qu’il ne lui procurerait pas un orgasme ainsi ce soir. Patiente, elle l’initia et le guida pour qu’il s’améliore rapidement. Il ne pouvait de toute façon que progresser.
Verena le congédia assez rapidement pour laisser Ericka la pénétrer. Cyrille fut désappointé d’être privé de cette belle queue mais elle le rassura. Il la retrouverait bientôt : elle tenait simplement à lui permettre de goûter aux saveurs de la chatte humide dans laquelle elle s’activait. Encore une fois, Cyrille allait profiter d’un cornet double-parfum. Il se jeta comme un affamé sur le membre dès qu’il en eut l’occasion et Ericka lui déversa rapidement son sperme dans la bouche. Il se délecta de ce subtil mélange de saveurs.
   ─ Je suppose que vous avez des contraintes à respecter vis-à-vis de vos parents et qu’il ne sera pas possible de vous garder ici toute la nuit ?   ─ Oui, mes parents s’inquièteraient.    ─ Par contre, vous pouvez revenir demain dans la journée ; ou avez-vous un programme prévu ?   ─ Nous n’avons rien demain. Par contre, nous allons avoir la visite de mes cousins dans deux jours.
Pendant que Verena s’enquérait auprès des deux camarades, Ericka s’était éclipsée. Ils ne la voyaient plus, mais au bruit, elle était descendue par un escalier.
   ─ Venez avec moi, ordonna Verena.
Ils la suivirent dans la cuisine. Elle fouilla dans un placard et en sortit un petit flacon transparent au contenu jaunâtre. Elle attrapa ensuite une cuillère à soupe dans un tiroir et se tourna enfin vers eux :
   ─ Vous allez me boire une cuillère de ça chacun.   ─ Qu’est-ce-que c’est ?   ─ De l’huile de ricin. Ça va vous purger.   ─ Euh… Est-ce vraiment nécessaire ?   ─ On pourra jouer, faire plein de cochonneries sans trop se salir.
Ils burent chacun en grimaçant. Cyrille eut vraiment envie de retailler une pipe, histoire d’avoir un meilleur goût dans la bouche.Verena les invita ensuite à descendre rejoindre Ericka qui devait avoir fini les préparatifs. Ils ne savaient pas à quoi s’attendre ; ils remarquèrent que l’éclairage semblait vraiment tamisé ; ils s’étaient attendus à une lumière plus crue, typique d’un garage. Ils découvrirent la pièce et restèrent bouche bée : une immense pièce confortable et chaleureuse, particulièrement équipée, qui ne laissait aucun doute sur sa fonction : le plaisir, mais aussi la contrainte.
Elles leur fixèrent des bandes de cuir aux poignets ainsi qu’aux chevilles. Ces lanières étaient équipées d’anneaux qui leur permettaient d’entraver leur porteur. Philippe fut attaché à la croix de Saint-André et Cyrille allongé sur ce qui ressemblait à une table de massage. Verena passa une sangle dans chacun des anneaux et il se retrouva écartelé, sans aucune possibilité de bouger. Ericka arriva avec un pot de cire bien chaude. Tandis qu’elle s’occupait de Cyrille, Verena s’amusa avec différents jouets qui tous serviraient à faire rougir la peau de Philippe. Les deux amis étaient peu poilus, ils n’auraient pas à souffrir trop longtemps.
Cyrille étant quasiment imberbe, l’épilation se concentra principalement sur le pubis et la raie du cul. Il y avait quelques poils épars de-ci de-là à faire disparaître ; rien qui ne pouvait alerter. Toutefois, pour ne pas éveiller les soupçons des parents, Ericka épargna les jambes de Philippe : puisqu’il était en short toute la journée, des jambes devenues subitement glabres pourraient intriguer.
L’heure tournait et il serait bientôt temps de retourner au bercail. Les deux femmes décidèrent, avant de libérer leurs deux victimes consentantes, de les équiper d’une cage de chasteté qui serait un gage de leur retour le lendemain. Cyrille, qui avait envisagé de se faire ramoner une bonne partie de la nuit, protesta. En vain ! Verena le rassura : il ne dormirait pas sans sollicitation de son anus. Elle ouvrit un coffre semblable à un coffre à jouet d’enfant et en retira deux plugs. Elle introduisit le premier dans le fondement de Philippe qui, lui, voyait plutôt d’un mauvais œil passer une nuit ainsi. Puis elle passa à Cyrille. Elle rit de bon cœur en constatant que l’objet choisi avait une taille vraiment insuffisante pour avoir un effet intéressant, puis elle eut un sifflement admiratif en réalisant que le second plug était encore un peu trop insignifiant.
   ─ Mazette ! Combien de kilomètres de queues sont passés dans ton cul pour un tel résultat ?   ─ Uniquement celle de Philippe.   ─ Tu oublies celle de Zack, précisa Philippe.   ─ Qui est ce Zack ?   ─ Le chien qui m’accompagnait ce matin, avoua Cyrille en rougissant.
Cette nouvelle ouvrait des perspectives intéressantes à Verena et son amie lourdement gaulée, qui se regardèrent d’un air à la fois amusé et quelque peu sadique.
   ─ Il faudra l’amener quand vous pourrez : nous avons hâte de voir ta rondelle explosée par un tel chien.
Philippe et Cyrille repartirent sur leurs vélos, le plug bien enfoncé remuant dans le rectum, augmentant les sensations qu’ils ressentaient. Chaque petite bosse ou petit trou de la chaussée propageait une vibration qui hésitait entre inconfort et excitation. Le plus délicat était de sentir le plug stimuler la prostate et provoquer un début d’érection, la cage de chasteté se chargeant alors de transformer ce début de plaisir en douleur.
Ils se couchèrent chacun dans leur lit afin de ne pas provoquer de désir. Pourtant, Dieu sait si Cyrille avait hâte de sentir la queue lisse de Philippe, mais les deux femmes les avaient piégés et laissés sur leur faim pour que le lendemain ils soient littéralement affamés. Elles avaient laissé les sous-vêtements à Cyrille qui avait enfilé une culotte en satin. Il avait envisagé de dormir avec, mais rien que le contact soyeux lui donnait envie et risquait de provoquer une érection douloureuse. Aussi il l’ôta à regret.
Ils dormirent. Plutôt mal. Pressés d’être déjà le lendemain matin, ils eurent du mal à trouver le sommeil. Sans compter la gêne provoquée par la cage de chasteté. Puis, alors qu’ils avaient fini par tomber dans les bras de Morphée, leur intestin commença à gargouiller : l’huile de ricin commençait à faire effet… Ce furent cependant de simples sensations de liquide dans le ventre, mais dans la dernière partie de la nuit ils durent, chacun leur tour, se soulager plusieurs fois. Il leur fallait à tout prix éviter de faire trop de bruit pour ne pas inquiéter les parents s’ils se rendaient compte qu’ils allaient plusieurs fois à la selle.
Ils se réveillèrent vaseux mais cependant impatients de retourner voir leurs nouvelles amies. Tout le corps de Cyrille réclamait sa dose de sexe. Philippe s’en montra un peu inquiet ; il y voyait tous les symptômes d’un drogué. Si son appétit ne cessait de croître, il serait d’une part difficile de le combler, mais surtout il se demandait comment il pourrait avoir une vie sociale à peu près normale. Il décida qu’il en parlerait avec Verena et Ericka ; elles avaient beaucoup plus d’expérience que lui et seraient certainement de bon conseil.
Michel et Evelyne restèrent circonspects lorsque Philippe leur annonça qu’ils ne viendraient certainement pas pour le repas de midi. Il resta évasif en racontant qu’ils s’étaient fait des amis la veille au soir et qu’ils les rejoignaient pour la journée. Michel les félicita de nouer des liens dans le voisinage et les encouragea à profiter de leur journée. Evelyne, elle, bien que contente de les voir s’ouvrir à d’autres, ronchonna à l’idée qu’il y aurait deux bouches de moins pour savourer sa cuisine.
Un quart d’heure à peine était passé depuis que la cloche du village avait sonné au loin. Ils avaient avalé leurs céréales presque d’un trait, et c’était tout juste s’ils n’avaient pas versé leur jus d’orange directement dans le bol pour gagner encore du temps.Dix minutes supplémentaires suffirent pour qu’ils soient fins prêts et enfourchent leurs bicyclettes.
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