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Des camarades de classe

Chapitre 13

Trash
Cyrille respira un grand coup. Jamais il n’avait reçu une queue aussi grosse, mais après toutes ces récentes pénétrations, il n’eut toutefois aucune difficulté à l’accueillir. Il espéra même que la résistance de l’homme soit en relation avec la taille de son engin.  Pour l’instant il bougeait peu, laissant la rondelle du travesti s’ajuster et, satisfait, il savoura d’être parvenu à enfoncer sans efforts son pieu en entier. Il passa une main flatteuse sur le ventre du jeune homme, comme pour vérifier que son énorme membre ne lui déformait pas l’abdomen. Puis il sentit son partenaire se détendre et se laisser aller contre sa bedaine. Il pouvait donc commencer le ramonage de cette cheminée pour son plus grand plaisir. Il souleva Cyrille et le fit coulisser le long de son chibre. Le jeune homme se sentit dans le rôle d’un vulgaire masturbateur qu’on utiliserait ; il avait pourtant la ferme intention de prendre lui aussi son pied dans cette copieuse pénétration.   Jean-Paul, qui avait été le premier à pénétrer Cyrille, reprenait quelques forces et entendait bien s’occuper maintenant de Philippe. Celui-ci, plus habitué au rôle actif, était moins enchanté par la perspective de voir – ou plutôt de sentir toute la troupe défiler dans son anus. Il n’était cependant pas en mesure de protester. Éricka sentit sa réticence et pour faire passer la pilule et rééquilibrer le rapport, vint s’empaler sur la queue du jeune homme. La transsexuelle invita Verena à venir la sucer.    Cyrille ne bandait plus du tout, comme si son cerveau convoquait tout le sang disponible vers l’anus pour transformer le jeune travesti en un unique organe de plaisir. L’homme se servait de lui comme d’une poupée et tous les deux adoraient ça. Il ne s’agissait pas pour autant de soumission, mais Cyrille sentait son abandon glisser doucement vers une envie d’appartenance. Il aurait du mal à se passer de cette énorme queue. Pire, il aurait aussi du mal à s’en contenter : il lui faudrait toujours plus. Jusqu’à quel point, il l’ignorait encore. Pour l’instant le monstre allait et venait en lui. Le plaisir grandissant lui faisait tourner la tête ; Depuis plus d’une heure – bien qu’il ait perdu le décompte du temps – qu’il se faisait baiser,  le plaisir agissait comme une drogue. Il s’imaginait devenir une outre à sperme, un étui à bites. Mieux que ça, il finirait par être un sac où ranger les battes de baseball de toute une équipe. Il rêvait même de servir d’abri hivernal pour une famille d’anacondas. Il sourit en songeant que cette image était stupide, qu’il n’y avait pas d’hiver où ces serpents se trouvaient.   La voix de l’homme le sortit de sa torpeur hallucinatoire. Il le déposa sur le sol. L’anus de Cyrille,  douloureux de vide, béait et n’attendait que de se faire à nouveau investir. Le travesti reçut l’ordre de s’allonger à plat ventre sur le rocher, ce qu’il fit sans rechigner. La pierre recouverte d’une épaisse mousse était une couche idéale pour la saillie à venir. Sans attendre, le gland se présenta à l’entrée et s’y engouffra sans ménagement. Le ramonage ne tarda pas ; Cyrille sentit les couilles énormes venir battre contre les siennes à chaque coup de boutoir. Il sentit aussi tout le poids de son enculeur, ce qui renforça son plaisir, se sentant crevette dans les bras d’un mastodonte.   Hugues, qui avait précédé le géant dans le cul du jeune homme, se trouva fort excité par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il s’approcha et tendit sa queue encore ramollie vers la bouche qui s’ouvrit dès que Cyrille comprit avec quelle partie anatomique il était entré en contact. Il s’appliqua à redonner de la vigueur à la verge par un fervent travail de la langue. Sa propre bite, témoin de sa passivité acceptée et voulue, laissa échapper quelques coulées de liquide pré-séminal dans le tapis végétal recouvrant la roche. Excité de se sentir pénétré par ses deux orifices, il imaginait les deux serpents de chair se rejoindre pour déverser ensemble leur jus puis se souder en un pal qui irait et viendrait en un même mouvement. Au milieu de cette forêt, à la merci de ces gendarmes, il se voyait explorateur, capturé et transporté ainsi, embroché de part en part, par une tribu de sauvages qui passeraient tous, sans exception, entre ses reins.   L’homme qui l’enculait avec ardeur le saisit par la taille ; il se sentit comme pris dans un étau dans cette poigne de fer. L’homme grognait en rythme. Sa queue coulissait avec une facilité déconcertante pour un calibre de cette taille. Il avait la sensation que ce trou le suçait littéralement et il devait lutter pour retarder le moment de l’éjaculation. Plus il tentait de contrecarrer le fin inéluctable et plus ses mains se resserraient ; Cyrille craignit que ses tripes finissent par devoir trouver une nouvelle place. Il aurait aimé donner des coups de fesses pour accompagner le mouvement et absorber le membre mais il ne pouvait pas même s’offrir se luxe tant la poigne était forte. S’il continuait, son tronc se détacherait de son bassin ! Dans une ultime poussée, il sentit un jet puis d’autres inonder ses intestins. Les mains avaient abandonné sa taille pour l’attraper par les épaules. Il n’avait pourtant aucune envie de se carapater ; au contraire, il voulait sentir le membre au plus profond.      ─ Encore, j’en veux encore !    L’homme s’était vidé et écrasait maintenant le travesti de toute sa masse. Cyrille contractait ses muscles pour stimuler encore le membre qu’il ne voulait pas lâcher. L’homme dont le souffle ressemblait maintenant à celui d’un dragon qui aurait bu du kérosène sentant sa queue aspirée par ce trou, ce boyau qui l’enserrait comme un gant, repris son va et vient. Un rythme lent tout d’abord. Il reculait au point de presque ressortir de cet orifice paradisiaque, puis s’enfonçait à nouveau de toute sa longueur. Il retrouva sous peu toute sa vigueur et la cadence augmenta. La verge remuait tant et si bien qu’elle aurait pu monter le sperme en neige. À cette évocation, Cyrille se revit dans la grange, absorbant les œufs que Philippe avait cassés pour lubrifier son anus. L’homme s’affala sur son dos, se vidant à nouveau dans le cul du jeune homme en pâmoison. Il sentit longtemps le membre se contracter par intermittence qui n’abandonnait pas facilement la partie. Reprenant ses esprits après cette double éjaculation, l’homme se redressa et abandonna cet orifice qu’il voudrait revisiter, pour sûr, dès qu’il en aurait la possibilité. Cyrille hurla, en complet désaccord avec ce retrait. Un quatrième homme, Gilbert, se présenta pour combler ce vide. Hélas pour lui, son membre n’avait pas la taille de son prédécesseur.      ─ Putain, Didier, tu lui as tellement explosé le cul que je ne sens rien !    ─ Je termine ici et je viens donner un coup de main, lança Verena.   Philippe, au gré des poussées qu’il subissait, sodomisait Éricka tant bien que mal. C’était d’ailleurs le plus souvent elle qui s’empalait sur sa queue. Il en ressentait une énorme frustration et dès qu’il serait libéré de ses entraves, il enculerait sauvagement le premier cul qui passerait à sa portée. Si la pénétration n’était pas régulière, la trans, elle, bénéficiait de la fellation experte de Verena, qui lui malaxait les couilles d’une main ferme. Les deux s’attendaient à une faciale. Ce fut la chevelure de la jeune femme qui reçut les jets de sperme. Elle changea aussitôt de partenaire pour venir en aide au dernier gendarme.    Le cul de Cyrille était tant ouvert que Verena y glissa sans peine une main qu’elle referma sur la queue trop fine de Gilbert. Elle entama un lent mouvement de va et vient qui satisfit autant l’enculeur que l’enculé, quoi que de manière différente. Didier, dont la queue avait été tout bonnement lessivée par le cul de Cyrille vint contempler le spectacle de cet anus à l’appétit sans fin. Verena allait sans aucune restriction dans l’intestin et Gilbert était aux anges. Quelle étrange sensation de se sentir si serré dans ce fion béant ! Hugues, qui avait délaissé la bouche de Cyrille lorsque Didier avait éjaculé, prit place pour sodomiser la jeune femme aux talents manuels incontestables.    Jean-Paul accéléra ses allers-retours comme pour se débarrasser d’une tâche qui maintenant l’ennuyait. Lui aussi voulait contempler cet orifice sans limite apparente, mais il était hors de question de quitter la confortable rondelle de Philippe sans jouir. Il éjacula sans peine, tant le diamètre de celle-ci était plus raisonnable. Puis il abandonna le jeune homme à son sort, pressé de voir de lui-même le phénomène d’élasticité voisin.   
 Philippe jura de se savoir délaissé. Seule Éricka s’occupait encore de lui, mais elle aussi jetait souvent un coup d’œil curieux sur ce qu’il se passait à côté. Comme son ami, il supplia qu’on le détache pour reposer ses membres endoloris. Elle accéda à sa demande ainsi qu’à celle implicite de sa queue tendue. Elle le tira par la corde jusqu’à une position lui laissant tout le loisir de regarder Cyrille se faire démonter l’anus. Elle fit asseoir Philippe et s’empala sur sa queue. Elle allait le long de cette tige tout en narrant à son enculeur, toujours aveuglé par le bandeau, la scène qui se jouait sous ses yeux.    La main de Verena disparaissait entièrement dans l’anus de Cyrille. La jeune femme se demanda jusqu’où elle pourrait aller. Loin lui semblait-il. Il émettait des grognements de satisfaction en continu. Lorsque la main revenait à la base de la verge, il jouissait de ses sphincters dilatés par le poing refermé sur la queue ; lorsque cette même main parvenait au gland après avoir massé la prostate au passage, c’était l’intestin distendu qui lui procurait une sensation de plaisir intense. La poussée d’adrénaline le transportait dans un état second et il lui faudrait un bon moment avant de redescendre de son petit nuage.    Didier, dont la bite redonnait des signes de vigueur, s’approcha de Cyrille. Il lui pinça le nez pour l’obliger à ouvrir grand la bouche. Il y enfourna son énorme membre qui, même s’il n’avait pas retrouvé toute sa raideur, encombrait pleinement la cavité. Quand la queue fut au maximum, il relâcha les narines et saisit la nuque à deux mains, bien décidé à faire pénétrer quelques centimètres supplémentaires. Cyrille devint de plus en plus rouge et des larmes coulèrent sur ses joues. À chaque fois qu’il sentait le jeune homme près de s’étouffer, Didier relâchait la pression et le laissait reprendre son souffle. Cyrille toussait et de plus en plus de sécrétions maculèrent son menton, puis se répandaient sur la roche. Le tortionnaire ne tardait pas à revenir à l’assaut pour profiter de la lubrification naturelle ainsi provoquée. Il grognait sa satisfaction de voir sa queue gagner du terrain au détriment de la gorge qui se laissait envahir.   Gilbert, excité par les bruits de clapotis que produisait celui qu’il enculait, parvint à la limite de sa résistance. Verena sentit les signes avant-coureurs de l’éjaculation ; elle serra la queue un peu plus fort.      ─ Oh putain, je viens… Quel enculé ! Quel pied !   Prévenu, Cyrille poussa pour s’ouvrir un peu plus comme pour mieux absorber le sperme de son enculeur. Sentant les muscles se distendre davantage, Verena en profita pour enfoncer un peu plus son poing. Cyrille se retrouva avec la moitié de l’avant bras enfoncé dans son rectum et il se demanda s’il ne finirait pas compressé entre le poing qui le ramonait et la verge qui lui défonçait la gorge. Si on venait à le mesurer, pour sûr, il aurait perdu quelques centimètres.   Didier allongeait la durée pendant laquelle il restait dans la gorge de Cyrille qui émettait des gargouillis de plus en plus chargés en glaires ; il lui en sortait même par les trous de nez. Si la situation était inconfortable, elle lui plaisait néanmoins. Il se demanda si Philippe avait conscience de son état. Il avait les yeux bandés comme lui mais ne pouvait pas ne pas comprendre ce qu’il se passait. Il aimerait tant être à la merci de Philippe, plutôt que d’un parfait inconnu, quand bien même la situation l’excitait.   Philippe se contracta, incapable de résister aux va-et-vient experts de la transsexuelle. Depuis le temps qu’il était sollicité, Philippe fut soulagé de s’être enfin libéré. Il déchargea de belles giclées d’un foutre épais. Verena se rendant compte que sa partenaire était maintenant libre, elle lui demanda d’aller jusqu’à la voiture et d’apporter sa mallette. Il y avait dedans un flacon de lubrifiant qui lui serait utile pour la suite. Elle se tût pour ne pas gâcher la surprise, même si Cyrille ne devait pas entendre grand-chose avec les énormes battoirs que Didier lui plaquait sur les oreilles.    Attendant le retour d’Éricka, la jeune femme tournait son poing dans le fondement du voleur de sous-vêtements. Les mouvements rotatifs compressaient la prostate de Cyrille et celui-ci se vidait sur la roche, produisant une quantité phénoménale de liquide pré-séminal qu’elle trouva dommage de gaspiller. Elle profita de l’attente pour prendre entre ses lèvres la verge toute molle de Cyrille, petite limace généreuse en sécrétion qu’elle téta avec avidité.   Éricka, de retour, ouvrit la mallette et Verena s’empara du flacon de lubrifiant. Elle déversa en quantité du gel qu’elle étala sur son avant-bras. Elle reprit le travail de sape dans le cul de Cyrille. Elle ressortait le poing pour l’enfoncer aussitôt tout en accélérant la cadence. Elle profitait de chaque sortie pour verser davantage de lubrifiant et boxait littéralement la rondelle qui n’avait pas le temps de se refermer. Elle tapissait ainsi les muqueuses de gel avant de reprendre un travail de profondeur. Le bras s’enfonça de plus en plus et le coude vint flirter avec l’entrée des artistes. Tout le monde retint son souffle lorsque Verena annonça vouloir arriver jusqu’au biceps. Du moins allait-elle tenter.   Cyrille sentait la main qui cherchait l’alignement parfait pour progresser. Il eut la sensation que ses intestins étaient comme un rideau suspendu à une tringle. Chaque centimètre gagné le faisait grogner de plaisir. Sa rondelle s’écarta encore un peu pour laisser passer l’articulation. Verena sentit toutefois qu’elle n’irait guère plus loin cette fois-ci. Elle se contenta de quelques rotations de son bras pour travailler le muscle anal qui en avait vu de belles, puis elle commença à se retirer d’un geste lent. Cyrille fut soulagé de constater que sa fisteuse était raisonnable ; il avait un instant cru qu’il finirait le corps fendu par le centre. Le mouvement lent et régulier de retrait lui fit penser qu’un serpent coulissait dans son ventre et la sensation était tout aussi agréable, voire plus, que celle de la progression en sens inverse. Lorsqu’il n’y eut plus que le poing à sortir, Verena le retira d’un seul coup. Puis elle l’enfourna à nouveau aussi brusquement. Elle boxa ainsi quelques minutes sans chercher à aller en profondeur. Le sphincter s’ouvrait de plus belle. La jeune femme écarta l’orifice de toutes ses forces à l’aide de ses deux mains.      ─ Putain, on pourrait te faire une coloscopie à l’œil nu !    ─ Bordel, j’ai une de ces envies de pisser, moi, annonça Didier.    ─ Attends !   Verena fit descendre Cyrille du rocher et lui ordonna de se mettre à quatre pattes en relevant bien le cul. Elle enjamba le jeune homme et penchée au dessus de son dos, elle écarta à nouveau le sphincter de ses mains. Didier, qui avait tout de suite compris où elle voulait en venir s’était placé derrière Cyrille, écartelé. Il pissa tout son saoul dans l’anus béant. Cyrille, quoi qu’un peu dégoûté en entendant ce qui allait lui arriver, apprécia cette curieuse chaleur liquide qui se répandait en lui. Tous, l’un après l’autre vinrent se vider la vessie dans cet urinoir humain. Éricka qui aurait bien aimé sentir Philippe jouir en elle changea pourtant de projet.       ─ Branle-toi ! Si tu débandes, je te fouette le cul avec des branches d’orties.   Elle pissa elle aussi, puis remplaça sa compagne et maintint l’orifice ouvert pour que Verena puisse également profiter de l’occasion d’uriner dans cette insolite pissotière. Ce ne fut pas chose aisée, mais l’originalité de l’affaire valait bien qu’elle essayât. Elle dirigea tant bien que mal son jet d’urine dans le centre de la cible. Les premières secondes furent les plus délicates et elle répandit quelques gouttes sur les fesses de Cyrille ou sur les doigts d’Éricka. Puis, quand le flot se fit plus intense, elle n’eut plus qu’à maintenir la direction. On fit approcher Philippe. Puisqu’il était le seul à ne pas avoir pénétrer son ami, il fut décidé qu’il l’enculerait maintenant et se viderait les couilles dans les intestins pleins d’urine. Il dut attendre un peu que le muscle se contracte et se referme. On pouvait entendre le liquide doré gargouiller dans son ventre alors qu’il se frayait un chemin dans les replis de l’intestin.    Philippe eut du mal à éjaculer tant l’anus dilaté de son camarade ne lui permettait pas un contact efficace, mais la sensation créée par le liquide chaud compensa. Il s’en donna à cœur-joie tant il avait été frustré. Il tenait Cyrille par les épaules et donnait de grands coups de reins. Il transpirait à grosses gouttes, tant il bourrait avec ardeur. Il finit par jouir et s’allongea sur le dos de son ami, le souffle bruyant. Il serait resté ainsi plusieurs minutes mais Didier les sépara.      ─ Une dernière petite épreuve et on pourra dire que ce petit voleur de sous-vêtements aura expié ses fautes.   Cyrille se demanda ce qu’il allait encore pouvoir subir. Il était debout et sentait l’urine se frayer un chemin vers la sortie. Ses intestins gonflés étaient quelque peu douloureux et il avait hâte de se vider. On le suspendit par les bras, les jambes, puis on laissa la gravité faire son œuvre. Tout d’un coup, ses intestins se vidèrent.      ─ Je me sens comme une vache qui pisse !   Quand la source fut tarie, Cyrille retrouva la terre ferme. Il était épuisé et peinait à marcher. Verena le fit asseoir, tout en lui demandant ce qu’il pensait de son traitement. La réponse était claire. Il était prêt à recommencer, si voler d’autres sous-vêtements lui valait la même punition. Il attendrait simplement d’avoir refait le plein d’énergie.      ─ Nous allons te faire une dernière surprise, puis nous descendrons à la rivière où tout le monde pourra se rincer. Tu es prêt ? Nous allons enlever vos bandeaux.   Cyrille et Philippe clignèrent des yeux. Même à l’abri du feuillage la clarté les aveugla. Ils avaient tout de même passé plus de deux heures les yeux bandés. Quand leurs yeux s’habituèrent, les deux compères se fixèrent, étonnés.      ─ Mais… ce ne sont pas des gendarmes !    ─ Non, tous les quatre sont nos amis. Comme tu as un appétit insatiable, j’ai manigancé ce piège pour tester tes limites.    ─ Et…alors ?    ─ Eh bien, je ne les ai pas trouvées, je dois admettre, répliqua Verena.   Une fois au bord de la rivière, tout le monde se déshabilla et plongea dans l’eau rafraîchissante. Cyrille resta admiratif de la queue de Didier, qui lui avait procuré tant de plaisir. Celui-ci promis de s’occuper à nouveau de son anus, mais pour l’instant il devait reprendre ses forces : jamais on ne lui avait autant et si bien vidé les couilles.
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