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Des camarades de classe

Chapitre 15

Trash
Il était tard dans la matinée ; Cyrille et Philippe dormaient encore lorsque les cousins débarquèrent sans crier gare. Un taxi les déposa devant le portail, et la porte d’entrée n’étant pas fermée à clé, ils entrèrent, abandonnant leurs valises dans le vestibule. Puisque personne ne semblait prêt à les accueillir, ils se servirent à boire. Michel, l’aîné et Pierre, son frère, étaient accompagnés d’un ami et de leur chien que le chauffeur du taxi n’avait accepté qu’avec réticence. Mais le danois ne pouvait rester à l’hôpital et le conducteur n’avait d’autre choix ; en fin de compte, un substantiel pourboire le convainquit.
— J’espère que papa sortira vite de l’hôpital et qu’on pourra reprendre notre périple sans trop attendre ; ça me ferait chier de devoir passer toutes les vacances dans ce trou !— C’est tranquille comme endroit, nuança Rudy, l’ami des deux frères.— Ouais ! Un peu trop... Si on cherchait notre cousin, il doit encore dormir, ce flemmard. Ce n’est pourtant pas l’animation du coin qui peut le fatiguer.— Il est peut-être sorti faire du vélo... Faisons un petit tour des lieux et s’il dort encore, nous le réveillerons après, termina Pierre.

Ils sortirent par la porte-fenêtre donnant sur la terrasse. Pierre chercha un bol qu’il remplit d’eau pour le chien. L’énorme bête s’allongea à l’ombre du mur et laissa ses maîtres à leurs recherches. Sous l’appentis, deux bicyclettes témoignèrent que leur cousin ne baguenaudait pas sur les routes. Contournant la bâtisse, vérifiant qu’il n’était pas au fond du jardin. Revenus à leur point de départ, ils s’accordèrent une petite bière sur la terrasse avant de faire irruption dans la chambre de Philippe. Bien décidés à faire la surprise à leur cousin, ils grimpèrent les escaliers en silence, prenant grand soin de ne pas faire craquer les marches. Un couinement de lit se fit entendre.
— Il est avec une copine votre cousin ?— Pas sûr que ce soit une copine, ironisa Michel.

Le bruit les encouragea à continuer leur progression avec lenteur et en silence. D’un coup sec, Michel ouvrit la porte de la chambre ; Cyrille tira le drap pour se cacher, mais il était trop tard. Philippe, furieux, pesta contre ses cousins qui avaient interrompu le coït au plus mauvais moment. Une trentaine de secondes de plus et il allait jouir.
— Si tu veux, je te remplace. Je fourre ton copain, le temps que tu te reprennes, plaisanta Michel.

En fait, si le ton avait tout de la plaisanterie, l’aîné des cousins semblait on ne peut plus sérieux, et s’il tentait d’apaiser Philippe, il ne se souciait guère de l’avis de Cyrille.
— Et s’il te faut plus de temps, Pierre et Rudy se chargeront de te faire gagner du temps. Je suis sûr que ta petite lopette sera heureuse de goûter à la grosse queue noire de Rudy. Je suis même certain qu’il en redemandera, tant il va couiner de plaisir sous ses coups de boutoir... Hein, qu’est-ce que t’en dis, la crevette ?

Il asséna une claque sur les fesses de Cyrille qui glapit de surprise. Philippe interrogea du regard son partenaire, lui aussi frustré par l’interruption. Après tout, il en avait vu passer des queues ces derniers jours ; trois de plus, ce n’était pas ce qui allait le perturber. Voyant son cousin lui céder la place, Michel dégaina sa queue déjà en forme. Le cul de Cyrille semblait lui faire de l’effet, à moins que ce fût le spectacle impromptu qui l’avait excité. La queue de Michel, longue et fine, décrivait une courbe importante qui faisait penser à un arc. Le cousin cracha sur la rondelle et enfila Cyrille sans douceur.
— Aïe ! Tu es trop brute...— Rudy, fourre lui ta queue dans la bouche, j’en ai marre de l’entendre couiner. De toute façon, vu la taille de ton engin, il vaut mieux qu’il l’enduise de sa salive.

Rudy s’approcha et sortit sa verge qui prenait déjà de l’envergure. Cyrille, les yeux écarquillés, fixait l’impressionnant engin. Même le boucher qui lui avait démonté le cul lors de la fausse arrestation manigancée par Verena était dépassé. Cyrille allait la sentir passer ! Pour l’instant, il sentait surtout Michel qui se déchaînait dans son cul, lui martyrisant l’anus. Cyrille se souvint de la réflexion d’Evelyne lorsqu’elle apprit la venue de son frère et de ses fils. Michel devait être aussi désagréable avec sa tante qu’il l’était pour l’instant. Il osa espérer que les circonstances étaient différentes.
Michel le défonçait sans aucune précaution ; c’était une chance que Cyrille soit rodé à la sodomie, sans quoi l’exercice se serait montré douloureux. Là, c’était juste désagréable, aussi se concentra-t-il sur le superbe pieu qu’il léchait, caressait des deux mains. Rudy, à l’inverse de Michel était doux. Ferme, mais doux. Il laissa Cyrille apprivoiser son organe hors norme, puis quand celui-ci cessa ses cajoleries pour entreprendre une fellation forcément incomplète, Rudy força la gorge de son suceur. Cyrille étouffa, eut les larmes aux yeux et étala sa bave sur le pieu d’ébène.
Michel fit signe à son cousin d’approcher et lui glissa un mot à l’oreille. Dès qu’il eut conclut sa requête d’un rire gras de celui qui s’apprête à jouer un sale tour, Philippe s’éclipsa. Cyrille s’inquiéta de ce qui l’attendait, mais doutant d’obtenir une réponse, il se concentra sur l’énorme queue qui, de toute manière, l’empêchait de prononcer le moindre mot. À son grand soulagement, Michel avait ralenti la cadence, semblant attendre le retour de son cousin pour reprendre sa cadence infernale.
Philippe accourut avec le petit panier plein de pinces à linge qu’il déposa sur le lit. Michel prit une première pince qu’il accrocha au périnée. D’autres suivirent, si bien qu’un petit stégosaure semblait avoir vu le jour entre les cuisses de Cyrille. Il claqua quatre fois les fesses de sa victime et à chaque impact, les pinces s’ébranlaient, amplifiant la douleur. Une dernière pince vint se loger sur le frein et en bon tortionnaire, Michel souleva la queue hérissée et agita l’objet en bois comme s’il remuait une petite cuillère dans une tasse. Il convoqua son cadet pour qu’il lèche de la pointe de la langue le gland et nettoie le liquide qui s’écoulait déjà du méat, tandis que lui reprenait possession de l’anus de Cyrille sur le dos duquel il s’allongea.
— Tu vas être notre vide-couilles le temps que nous resterons ici, lui murmura-t-il à l’oreille.

Puis il contempla de près la dilatation de la bouche que la queue noire exerçait. Jugeant que l’organe ne pénétrait pas assez loin, il appuya une main ferme à l’arrière de la tête et poussa. Cyrille grimaça, se demandant si la poutre qui lui ravageait la glotte allait dilater son œsophage. Satisfait de constater la soumission du copain de son cousin, Michel reprit ses énergiques va-et-vient. Chaque coup de boutoir remuait les pinces à linge et malgré la douleur, aucune complainte ne franchissait la gorge du supplicié.
— Putain, le cul de ta petite tapette est super accueillant ; il a dû en voir passer des kilomètres de bite. Je vais prendre mon temps avant de bien doser cette petite pute. En attendant, tu peux enculer mon frère ; lui aussi aime bien qu’on s’occupe de sa rondelle.— Viens que je te suce, ta queue n’en glissera que mieux, proposa Pierre.

Il ne se fit pas prier. Cyrille tiqua en constatant que Philippe le lâchait avec autant de facilité. D’abord, il l’abandonnait aux sévices de son cousin qui lui-même le concédait à un pote, puis il enculait son cousin plutôt que de patienter. Certes, depuis quelques jours déjà, il devenait un trou à bites et il aimait ça, mais il sentait que Philippe n’était pas celui qui menait la danse. C’était tout autant le cas avec Verena et Éricka. Peut-être devrait-il chercher quelqu’un pour l’accompagner dans son désir de s’ouvrir davantage sur le monde. En tout cas, pas une personne comme Michel qu’il trouvait trop désagréable.
Rudy agrippa les cheveux de son suceur et tira à lui, gagnant quelques millimètres dans la gorge de Cyrille qui commençait à suffoquer. La durée pendant laquelle la belle queue noire s’insinuait dans sa trachée s’allongeait. Cyrille transpirait ; son visage devait être écarlate tant la sensation de chaleur l’envahissait. Il avait hâte de sentir Michel jouir en lui et céder la place à la gigantesque bite. Il se sentait capable d’absorber le monstre en entier, avec la certitude que la prouesse enchanterait son propriétaire.
Pendant ce temps, Philippe donnait de lents coups de reins dans le fion de Pierre, revenu à son activité première : lécher la queue de Cyrille qui continuait de s’épancher. Le flot n’était pas abondant, mais continu, tant sa prostate était sollicitée par les à-coups de Michel. Là encore, Rudy risquait de faire des merveilles avec son diamètre hors-norme.
— Je sens que ça vient. Putain, t’es une affaire, toi ! J’étais pressé de quitter ce trou pour aller m’éclater en Espagne, mais finalement, je l’aime ce trou-là... Ah, j’envoie la purée ! J’avais les couilles bien pleines : pas eu le temps de niquer, entre le voyage, l’accident. Tiens Rudy, profite de mon sperme tout frais pour te lubrifier un peu plus la queue. L’accès est libre !

Michel renouvela la distribution de fessées comme pour marquer son territoire. Rudy quitta la bouche de Cyrille qui jubilait de pouvoir enfin respirer et de se faire boucher la rondelle par la même occasion. Il sentit le gland presser contre ses sphincters qui ne résistèrent à aucun moment. Rudy lâcha une onomatopée de satisfaction en se sentant aspiré par le cul. Il s’attendait à devoir batailler ferme pour s’enfoncer un tant soit peu, mais la moitié de sa queue avait déjà trouvé refuge sans rencontrer d’obstacle. Il marqua une pause, puis par de courts va-et-vient, il finit de casser le cul de Cyrille qui en mordait le polochon. L’invité à la gigantesque queue passa une main sous le ventre du jeune homme, soulevant son bassin et reprit sa plongée dans les abysses obscurs. Cyrille, dont la bouche s’ouvrait sans pouvoir émettre de son, tel un poisson sorti de l’eau, griffait le matelas de ses doigts.
— Tu as mal, tu veux que j’arrête ?— Surtout pas ! Continue, parvint à prononcer Cyrille au prix d’un effort monumental.

Rudy saisit le garçon par la taille et reprit son avancée inexorable. Ses couilles vinrent buter contre celles de Cyrille qui eut la sensation que deux noix de coco écrasaient ses deux cerises. Il prenait un pied comme jamais et c’était en continu.
— Putain, quel phénomène de foire ! Il a absorbé la queue de Rudy en entier, dès le premier coup. Quelle pute ! T’es un ventre à blacks, ma salope ; une sacrée pouliche à faire saillir par des étalons.

Le ton méprisant de Michel ne parvenait pas à faire taire la satisfaction de Cyrille. Il n’avait jamais connu cette sensation de plénitude ni cette envie d’appartenir à un mec. Une petite ombre se profila au tableau : qu’adviendrait-il de sa relation avec Philippe ?
— Pierre, n’espère pas faire jouir cette jument avec ta queue après un tel traitement ! Viens plutôt te faire sucer. Même toi, Philippe, malgré la taille de ta queue, tu ne feras pas plus jouir ta femelle que si tu étais équipé d’un vermicelle ! Faudra passer avant Rudy si tu veux faire encore faire jouir ta pouliche. Défonce donc le cul de mon frère, je crois que son amant d’ébène va se consacrer à sa nouvelle conquête, au moins pour aujourd’hui.

Cyrille détestait cette façon que Michel avait de ne jamais utiliser son prénom pour parler de lui. Qu’il se serve de formules vulgaires, il n’était pas contre, mais cet oubli systématique et volontaire le déshumanisait. Au contraire, Rudy ne parlait pas, mais dans ses gestes ne démontrait en rien d’une agressivité omniprésente dans l’attitude de Michel.Rudy commença d’aller et venir dans l’accueillant anus. Le mouvement était lent et à chaque recul, Cyrille avait la sensation que son intestin allait se retourner comme une manche, mais il n’avait aucune envie que cela cesse. Le ramonage prit un rythme de croisière et Cyrille put se concentrer sur la queue de Pierre dont la taille ne devait pas excéder celle de sa propre queue. Qui plus est, le plus jeune des cousins avait la mine renfrognée de celui qui se voit confisquer son jouet. Cyrille s’appliqua à lui offrir la meilleure des fellations, c’était bien la moindre des choses.
Philippe, lui, faisait contre mauvaise fortune bon cœur. S’il venait de se rendre compte qu’en se faisant piquer son compagnon de jeu habituel, il avait un petit pincement au cœur, le cul de son jeune cousin était plus serré que celui de Cyrille et il appréciait cette sensation. Mais tout de même...
Sans en avoir conscience, il imprimait un rythme plus vindicatif et Pierre, sous la double attention dont il était l’objet, ne tarderait pas à jouir. La queue qui le ramonait massait sa prostate et il laissait déjà écouler des filets de liquide pré séminal dont son suceur se pourléchait. À chaque coup de boutoir de Philippe ou de Rudy, Cyrille qui se retrouvait le nez écrasé contre le pubis ; il prenait sans difficulté la totalité du membre dans la bouche. Il délaissa un instant la bite pour sucer les testicules du jeune homme qui échappa un soupir de plaisir. Les deux couilles dans la bouche, il fit rouler les bijoux de famille sur la langue et les gémissements de Pierre se firent plus rapides et bruyants.
Philippe saisit son cousin par les hanches et se déchaîna dans son fondement. Pierre apprécia de pouvoir se faire pilonner avec énergie ; Rudy n’aurait jamais pu se permettre une telle vigueur sans risquer de le blesser. Philippe atteignit le point de non-retour ; il accéléra encore la cadence, son souffle se fit rauque. Pierre saisit son suceur par les cheveux qu’il n’eut le temps de reprendre la verge en bouche. L’organe répandit la semence sur le visage de Cyrille.Philippe, lui, déchargea dans le ventre de son cousin, succombant aux contractions de celui-ci. Michel, qui se branlait en contemplant les échanges, s’astiqua avec plus d’insistance, bien décidé à tenter d’ajouter quelques gouttes de sperme sur le visage déjà souillé. Il chercha l’inspiration en regardant Rudy donner de grands coups de reins dans le cul de Cyrille qui était aux anges. Philippe s’était assis sur le lit et Pierre, toujours enculé, l’avait suivi.
— Oui, ça vient ! Je vais te balancer la purée sur ta gueule et ensuite, Rudy t’inséminera en profondeur. Si profond que son sperme restera en toi. Prépare-toi pour ton petit-déjeuner, salope !

Michel agrippa une poignée de cheveux et redressa le visage de Cyrille pour qu’il le regarde bien dans les yeux alors qu’il lui éjaculait dessus. Il espérait bien parvenir à lui gicler dans les yeux. Le premier jet atterrit sur l’arcade sourcilière et finirait bien par couler sur la paupière ; le deuxième vint obstruer une narine. Une idée perverse traversa l’esprit de Michel, mais pour l’instant, il continuait d’éjaculer. Un troisième jet se posa sur la langue que Cyrille tirait comme une chienne assoiffée. Le flot tarissait et l’aîné des cousins secoua sa verge pour que les dernières gouttes rejoignent la dernière giclée digne de ce nom.
Michel racla le sperme sur le visage de Cyrille et le fit converger vers la narine que le deuxième jet avait obstruée. Il plaqua le doigt contre l’orifice :
— Vas-y, renifle un grand coup ; fais-toi un rail de sperme !

Le liquide épais et gluant resta bloqué et Cyrille dut s’y reprendre à plusieurs fois avant de libérer la narine. Michel étala ce qui restait sur le visage, barbouillant le jeune homme un peu plus, puis donna ses doigts à nettoyer.Rudy, proche de l’éjaculation, commença à grogner. Ses coups de reins se firent plus brutaux, mais Cyrille encaissait bien. Il eut un orgasme en sentant les contractions de son enculeur. Les deux jouirent ensemble, l’un souilla les draps, l’autre retapissa la paroi intestinale. Cyrille tendit une main en arrière pour retenir Rudy le plus longtemps possible. Celui-ci finit par se retirer lorsque sa queue ramollit, au grand dam de Cyrille qui eut la sensation qu’un anaconda abandonnait ses entrailles.
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