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Des camarades de classe

Chapitre 16

Trash
Dans la cuisine, Cyrille se frottait contre Rudy tout en se servant un bol de céréales. Après la petite gymnastique du réveil, il s’était habillé à la va-vite, enfilant le tee-shirt de son nouvel amant. Rudy avait rit ; la différence de gabarit avait transformé son vêtement ajusté en une robe courte mais ample. Puis Cyrille avait enfilé un des strings que lui avait laissé Verena. Rudy avait aussitôt porté une grosse paluche aux fesses ainsi mises en valeur.  Ils rejoignirent Philippe et ses cousins sur la terrasse ; lorsque Michel remarqua l’accoutrement de son souffre douleur, il ne put s’empêcher de ricaner. Il s’empara du bol de céréales qu’il le déposa sur le sol.      — Mange à quatre pattes comme la chienne que tu es !   Cyrille, incrédule, implora du regard Philippe qui lui rappela sa propre proposition de se plier à ses ordres. Puisque son ami était d’accord, il obéirait, mais il sentait une pointe de vengeance dans la manière dont Philippe présentait les choses. Cyrille se mit à quatre pattes, le nez dans son bol. Michel s’amusait à lui frotter la tête comme il l’aurait fait avec un animal. Tout à coup, le jeune soumis sentit un souffle contre ses fesses, suivi d’une sensation de froide humidité. Il pensa à Zack qu’il n’avait guère eu l’occasion de voir ces derniers temps. Il voulu se retourner pour saluer le grand chien, mais Michel lui bloqua la tête. Cyrille se doutait que dans la position qui était la sienne, le chien ne tarderait pas à prendre position. Il allait se faire prendre par l’animal devant tout le monde. Cyrille en rougit mais il eu aussi la sensation que sa rondelle s’ouvrait déjà dans l’attente de la saillie. Rudy lui ôta son string et remonta le t-shirt jusqu’au épaules. Le garçon à quatre pattes sentit la queue pointer contre ses fesses. La taille du membre lui sembla bien plus conséquente que dans son souvenir. Encore une fois, il tenta de tourner la tête pour voir ce qu’il se passait mais Michel veillait au grain. Une main, celle de Rudy certainement, guida l’imposant chibre dans sa cible. Cyrille laissa échapper un gémissement, plus de surprise que de douleur, lorsque la bête fut en place. Au contact du pelage, plus ras, il était clair pour Cyrille que le chien qui le secouait comme un prunier n’était pas Zack. Tango, le danois, l’enserrait entre ses pattes ; la bave aux commissures commençait à s’écouler sur le dos de sa chienne humaine qu’il regardait d’un œil obscène. L’animal, lourd, bien plus lourd que Zack, imposait sa masse de muscle. Cyrille baissa la tête afin de ne pas dévoiler le plaisir qu’il prenait à être ainsi dominé par ce molosse. Il prenait aussi conscience de son envie, de son besoin irrépressible de n’être qu’un trou à remplir. Un jour peut-être cela se terminerait mal, mais il ne savait comment résister à cette sensation de plénitude lorsqu’il se sentait envahi, défoncé et utilisé pour le plaisir d’un mâle, quel qu’il soit. Rudy quitta la scène torride, promettant de revenir aussi vite que possible.      — Philippe, si tu le souhaites, Rudy pourrait s’occuper de ta petite pute… il a un site internet où il met en ligne des vidéos de petite lopettes comme la tienne qui se font prendre à la chaîne par ses potes blacks. Je suis persuadé qu’il en ferait une bonne petite sissy. Regarde là cette traînée, je suis sûr qu’une fois que Tango l’aura remplie de foutre, elle en redemandera aussitôt.    — Pourquoi pas, faudrait lui…    — Tu ne vas quand même pas t’abaisser à lui demander son avis. Laisse-la au rang qui est le sien !    — Il faudra bien qu’il convainque ses parents de le laisser partir.    — Oui, ça ne sera…    — La ferme, toi ! Je parle à mon cousin.   Michel enfourna sa queue dans la bouche de Cyrille. Sans aucun ménagement il appuya sur l’occiput, forçant la gorge de son souffre douleur. Rudy revint, posant sur la table une laisse et un collier de cuir.       — Serais-tu d’accord pour que je filme, là tout de suite, pour mettre la vidéo en ligne plus tard sur mon site ?    — Pourquoi pas, répondit Philippe. Mais je préférerais qu’on ne puisse pas voir son visage. En tout cas dans un premier temps.    — Pas de soucis. Pour qu’il n’y ait pas d’embrouille, je te propose de filmer toi-même avec ton téléphone. Tu contrôleras ainsi ce qui est à l’image ou pas.   Philippe obtempéra, excité à l’idée d’exhiber son ami à grande échelle. Cyrille s’inquiétait de la tournure des événements. Il n’était pas contre le projet énoncé, mais il craignait que les choses ne dérapent. Dès qu’il le pourrait, il devrait discuter de la situation avec son hôte. Pour l’instant, Tango lui labourait le cul, tandis que Michel, lui, se contentait de l’empêcher de parler en lui maintenant sa queue dans la bouche. Un bruit turpide d’intestin inondé accompagnait chaque mouvement du danois. Rudy fit signe à Philippe de s’approcher. Il sortit de sa poche une cage de chasteté qu’il comptait imposer à Cyrille. Filmé en gros plan, l’appareil dévoilait la torture qu’il infligerait. Un long tube fin devait se glisser dans l’urètre, réduisant la taille de l’orifice par lequel pouvait passer l’urine ou le foutre. Si une grosse envie prenait le supplicié, la pression opérée par le liquide freiné dans son impérieuse évacuation lui ferait subir le martyr. Cyrille devina qu’on ne le laissera jamais se déshydrater, bien au contraire. Rudy avisa un anneau scellé dans le mur. Aux gestes du chien, il comprit que celui-ci ne tarderait pas à se retourner. Il saisit le collier, l’attacha au cou de Cyrille ; la laisse avait assez de longueur pour être fixée à l’anneau. Pierre se vit confié la tâche de ramener l’écuelle de Tango pleine. Après l’exercice, le chien aurait soif et devrait partager son point d’eau avec sa chienne. Michel empoigna les cheveux de Cyrille, le forçant à lever la tête. Il lui cracha au visage puis lui administra une gifle. Il put lire dans les yeux du jeune homme à genoux devant lui toute la colère impuissante, toute la détestation qu’il lui inspirait. S’il acceptait sa violence gratuite, c’était pour satisfaire Philippe, par désir de lui appartenir. Et son cousin ne semblait même pas s’apercevoir de cette ferveur. Il en était jaloux, ce qui renforçait l’envie d’être violent avec cette petite garce.   Tango se retourna. Sa queue se vrilla dans l’intestin humain. Cyrille ouvrit grand la bouche comme s’il suffoquait. Le nœud de l’animal compressait sa prostate. Il sentit son sperme s’écouler mais la tige de métal qui envahissait son urètre ralentit l’épanchement. La double stimulation qu’il subissait était sur le point de le faire défaillir. Le molosse tirait pour se libérer de son fardeau. Hélas, celui-ci s’était contracté sous l’effet de la jouissance fulgurante. Cyrille respirait fort pour détendre ses muscles. À reculons, il suivait le chien, à moins que ce ne fût l’animal qui le tirait derrière lui. Sur ces entrefaites, Zack se pointa comme il lui arrivait souvent de le faire dans la matinée, en quête d’un morceau de pain ou de viande que lui offrait la maîtresse de maison ou d’une caresse plus ou moins intime lorsque celle-ci était absente.      — Oups ! Évacuez l’intrus, il risque d’y avoir du grabuge…    — Pas de risque, Rudy. Les deux chiens se connaissent depuis tout petit. Ils ont souvent joué ensembles lorsque ce n’étaient que des chiots, répondit Philippe.   De fait, Tango jappa,  attristé de ne pouvoir se libérer pour rejoindre son ami canin. Il tirait de plus belle. Cyrille tenta de suivre, jusqu’à ce que la laisse se tende, excluant toute possibilité de recul supplémentaire. Le danois remuait davantage. Lorsque le berger d’Anatolie fut enfin à son côté, le molosse surexcité parvint à se détacher, au grand soulagement de Cyrille qui en resta sur les genoux. Zack, flairant l’odeur de sperme s’empressa de nettoyer le cul englué. Sa langue couvrit la verge molle du jeune homme qui semblait sur orbite. Un nouveau filet de sperme s’écoula. Le nouveau venu, qui n’avait guère eu l’occasion de s’accoupler depuis quelques jours, sauta sur l’occasion. Tout le monde en resta comme deux ronds de flan. Cyrille subissait une deuxième saillie canine, sans passer par la case départ ! Il n’était plus sur orbite mais parti pour les confins de l’espace.      — Tu filmes toujours, Philippe ?    — Oui mais je ne vais pas tarder à manquer de batterie    — Prends mon téléphone.   Zack s’immobilisa. Cyrille gloussait en sentant son intestin se remplir. Le chien se retourna. Il tira pour se dégager mais le garçon n’avait plus de marge de manœuvre. La laisse, tendue au maximum, Cyrille était écartelé. Heureusement, son amant canin se libéra plus rapidement que Tango. L’anus béant laissait s’échapper le foutre animal, Rudy s’empressa de prendre la suite. Il voulait découvrir la sensation d’enfoncer sa queue dans un trou débordant de sperme. Son braquemart coulissait à grand renfort de bruits incongrus. Philippe n’en pouvait plus. Il refila le téléphone à son plus jeune cousin puis s’installa devant son ami et lui enfourna son épaisse queue dans la bouche, bien décidé à lui chatouiller la gorge. Il n’eut pas besoin de lui maintenir la tête, la laisse lui empêchait tout recul. Il ne tarda pas à sentir la salive souiller ses couilles. Il poussait tant et si bien que le visage rougissant de Cyrille se colla contre son pubis. La sensation était tout simplement divine. Le visage de Rudy exprimait le même bonheur. Les yeux fermés, il fouillait le ventre du garçon qui imaginait qu’un pal gigantesque l’embrochait de part en part. Michel, ne voulant pas être en reste, se tirait sur la nouille tout en accablant Cyrille de commentaires méprisants. Tango aboyait mais personne ne lui prêta attention, tous occupés à leur plaisir. Philippe céda le premier au talent de son ami. Il hésitait entre se vider dans la gorge ou se répandre sur le visage de son téteur. Finalement ce fut la gorge qui reçut la semence, Philippe n’ayant la force de s’extirper de cette bouche vorace. Michel prit la place, mais se garda de trop se laisser aller. Il préférait de loin souiller le visage de celui qu’il s’était choisi pour souffre-douleur. Il ne lui épargnerait aucun avilissement. Rudy saisit Cyrille et se cramponna à ses hanches. Le braquemart luisant de foutre coulissait de toute sa longueur, arrachant au garçon des râles dignes d’un cerf en plein brame. L’enculeur jurait qu’il n’avait jamais connu sodomie si agréable que dans ce cul débordant de sperme canin, le tout ponctué par des Putain, Oh Putain ! Il commençait à faire chaud ; Rudy transpirait à grosses gouttes tant il se démenait. Il déchargea au terme d’une dernière poussée. Il semblait habité par un démon tant son corps était parcouru de soubresauts de jouissance. Michel, comme prévu, éjacula au visage de Cyrille qui ouvrait grand la bouche, espérant profiter de quelques giclées. L’aîné des cousins allait plonger sa queue dans l’orifice pour un bon nettoyage lorsqu’il remarqua l’intrus. Tout le monde se tourna vers le nouveau venu, à part Cyrille, que la laisse entravait.
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