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Des camarades de classe

Chapitre 17

Trash
Les poings sur les hanches, Bernard observait la scène orgiaque jouée devant lui. Interdit, Philippe balbutia, supplia le fermier de n’informer en aucun cas ses parents de ce qu’il venait de voir. Le vieil homme resta évasif sur les suites qu’il donnerait. Il préféra expliquer la raison de son irruption. Virginie, la sœur de Philippe, souhaitait profiter du calme de la maison quelques jours. Elle avait téléphoné à ses parents pour qu’ils viennent la chercher à la gare la plus proche. Dans l’impossibilité de le faire, ils avaient appelé Bernard. Il avait accepté volontiers de leur rendre ce service. Avant de prendre la route, il était donc venu demander au frère de lui tenir compagnie pendant la bonne heure nécessaire pour rejoindre la gare.     — Ton ami nous accompagne, ce s’ra l’occasion d’négocier mon silence.  Bernard laissa Philippe prendre le volant, tandis qu’il s’installait à l’arrière au côté de Cyrille. La vieille CX était confortable pour une antiquité. Le fermier entama la discussion par des banalités. Cyrille n’en menait pas large, tout comme Philippe, mais lui conduisait, sans subir le regard concupiscant du propriétaire de la voiture.     — Alors comme ça, t’aimes les queues ? Et pas qu’un peu ! Cyrille avoua devant l’évidence. Il voyait déjà arriver le moment où il entamerait les négociations, accroupi entre les jambes du vieil homme. Il devait s’assurer toutefois qu’une telle offre ne l’irriterait pas ; s’il était un de ces vieux paysans au conservatisme chevillé au corps, il ne ferait qu’aggraver son cas.     — Et toi, Philippe ?   — Moins. Je préfère être actif. Mais pour faire plaisir à Cyrille, ça m’arrive de lui rendre la politesse.    — Ça fait longtemps qu’tu t’fais emmancher ?    — Trois ou quatre ans, Monsieur.    — Ça fait combien d’temps qu’vous fricotez tous les deux ?    — Pareil… C’est uniquement depuis cet été que j’ai eu des rapports avec d’autres. Mais toujours en compagnie de Philippe.    — T’es pas jaloux qu’ton copain s’fasse enfiler ?   — Ben, il est très demandeur ! Je ne parviendrais jamais à le satisfaire seul, répondit Philippe qui entrevoyait comment acheter le silence du fermier.  Cyrille regarda dans le rétroviseur ; il y croisa le regard de son ami. Il y avait dans cet échange un accord tacite pour que le nécessaire soit fait auprès de Bernard. Le garçon se tourna vers l’homme à sa droite ; il se fit aguicheur, sans forcer le trait, juste pour tester la réaction de son interlocuteur dont le visage resta neutre, comme s’il pesait le pour et le contre.     — Quand tu sortiras du village, prends la direction de St-Jean-Bourg-Le long, annonça le paysan qui semblait avoir une idée en tête.  La route principale partait sur la gauche mais Philippe suivit les indications de Bernard. Les deux garçons se souvinrent de la sortie en voiture avec Éricka et Verena. Cyrille se prit à rêver d’un traitement semblable à celui qui fut le sien ce jour-là. Hélas, ils se devaient d’être à l’heure à la gare. La route entra dans une zone boisée ; Bernard fit ralentir le conducteur qui songea au prime abord qu’il était assez bon conducteur pour rouler à vitesse normale malgré les courbes prononcées. Mais il comprit vite où le vieil agriculteur voulait en venir. 
    — À c’que j’en ai vu, tu t’fourres d’sacrés morceaux dans la rondelle, mon salaud ! Bernard fit signe à Philippe d’emprunter le chemin de terre qui partait à flanc de colline. Cyrille devina qu’il ne s’agissait pas d’un raccourci vers la gare. Bien au contraire, mais le fermier annonça qu’ils avaient un peu d’avance. Il indiqua à Philippe un bouton qui leur permettrait d’avancer sans que la voiture ne racle les grosses pierres qui dépassaient de la piste. La CX se souleva ; en position haute, elle se joua des aspérités. Ils roulèrent encore quelques kilomètres jusqu’à ce qu’ils soient assez loin pour n’encourir le risque de croiser un autre véhicule. La négociation pouvait commencer.    — Alors, fais-moi voir l’élasticité d’ton p’tit trou. Dessape-toi. Chuis pas tout jeune, alors va falloir foutr’ment m’chauffer si vous n’voulez pas êtr’en r’tard à la gare.  Cyrille n’opposa aucune résistance. Depuis le début des vacances, il n’était qu’un trou qui absorbait toute bite à portée ; une de plus n’allait pas le contrarier. Puisque le vieux vicelard voulait être chauffé, Cyrille y mit tout son cœur. Il cambra les reins pour exhiber son postérieur qu’il remua sous les yeux du paysan dont il sentit la grosse pogne peloter ses fesses.     — J’veux t’voir t’enfoncer le levier de vitesse dan’le derche.  Étonné par la requête, Cyrille marqua une pause que l’agriculteur prit pour une réticence. Le garçon reçut un bref rappel de la menace qui planait sur eux deux. Il le rassura. Il n’avait aucune envie de se défiler ; il acceptait de se plier à ses envies, quelles qu’elles soient. Il enjamba la console centrale ; Philippe s’adossa à la portière pour laisser plus de place à son ami.    — Tourn’toi vers moi, j’veux voir ton visage quand tu t’ramon’ras l’fion.  Cyrille cracha une abondante salive sur ses doigts. Il en lubrifia sa rondelle qui ne se refermait guère depuis son arrivée dans la maison de vacances. Il fléchit les jambes jusqu’à sentir le pommeau du levier de vitesse buter contre son anus. L’agriculteur tendit la main qu’il referma sur la verge en demi érection du jeune homme puis lui malaxa les couilles sans délicatesse.    — Vas-y p’tite pédale, empale-toi ! Cyrille obéit. Le levier s’enfonça sans aucune difficulté dans le cul qui en avait vu bien d’autres, de plus gros gabarits. Bernard lui imposa une cadence rapide. Quand le manche disparaissait entièrement, Cyrille sentait le pommeau presser sa prostate. Sa queue maintenant en parfaite érection laissait échapper un filet de liquide séminal.     — Suce-le, Philippe ! J’veux pas qu’il en foute partout… Simple spectateur jusqu’alors, le garçon se contorsionna sur le siège et enfourna la queue bien raide. Avec la cadence, Philippe s’attendait à une jouissance rapide et surtout abondante. Bernard matait le spectacle devant lui ; il avait sorti sa queue et se masturbait, mais il n’avait aucune intention de gâcher ainsi sa jouissance. Pour une fois qu’il disposait d’un orifice plus vaillant que celui de sa femme ! Par contre, il n’entraverait pas l’éjaculation de Cyrille qui, une fois ses couilles vidées, se concentrerait sur le plaisir anal. Le garçon agrippa les poignées de plafond de chaque côté de la voiture et se démena comme un beau diable sur le levier de vitesse. Le propriétaire du véhicule craignit que le manche n’y résistât pas. Cyrille trembla de tout son corps ; il se raidit, projeta le bassin en avant. Philippe sentit l’épais nectar jaillir dans sa bouche ; la décharge abondait. Le regard embué, Cyrille s’affala sur le levier. Plus il s’enfonçait, plus il stimulait la prostate du jeune homme dont la queue se recroquevillait, laissant un flot de sperme s’écouler comme une lave blanchâtre. Bernard laissa Philippe tarir cette source.  — Tourne-toi sans déculer, j’vais t’glisser la mienne dans l’cul. Y t’faudra bien tout ça pour t’boucher l’fion ! Malgré l’aide de son ami, Cyrille eut toutes les difficultés à effectuer son demi-tour sans laisser sortir le pieu. Il obéit à l’agriculteur, se pencha contre le tableau de bord. Il remua le cul pour changer la position du levier de vitesse. Il tendit les fesses en arrière jusqu’à sentir le gland du paysan contre sa rosette. Il poussa pour faciliter l’intrusion de la verge. La couronne de chair s’étira ; Cyrille gémit. Serré entre le levier et la paroi intestinale, le vieil homme commença par de lents allers-retours, le jeune lui, se cramponna aux dossiers des sièges. L’accélération des coups de reins changea les gémissements en râles. Une lueur perverse brilla dans les yeux de Bernard. Il appuya ses mains sur la banquette arrière, glissa ses jambes sur les sièges-avants. Le coït prenait des allures de numéro de cirque. — Laisse-toi aller en arrière et allonge-toi contre moi. Voilà ! Philippe, viens face à lui et enfile-lui ta queue qu’on lui éclate le cul à c’te salope. — Non mais vous… tenta de protester Cyrille.— Fais pas ta chochotte, j’suis sûr qu’si y’avait plus d’place dans l’habitacle, t’en prendrais une quatrième sans broncher. Philippe ne se fit pas dire deux fois ce qu’il fallait faire. Il cracha sur ses doigts, étala la salive sur sa queue. Il peina à pénétrer son ami mais ne douta à aucun moment qu’il n’y parviendrait. Le gland entra. La rondelle s’étirait de manière obscène. Cyrille grimaça ; son visage affichait autant de douleur que de plaisir. Millimètres après millimètres, la bite se frayait un chemin. Les yeux révulsés, Cyrille hurlait des insanités. Ses jambes brassaient l’air.  — Putain, défoncez-moi, déchirez-moi le fion ! Pissez-moi votre foutre dans le cul ! La prostate compressée par ce triple envahissement, la queue flasque de Cyrille déversait encore un flot abondant de liquide séminal. Pris de frénésie, il se labourait le sillon et telle une terre avide de semence, il attendait avec inquiétude l’instant où son intestin deviendrait le réceptacle du sperme de ses deux baiseurs. Des spasmes secouèrent son corps, puis Cyrille se mit à trembler. Incapable de se retenir, il se laissa aller contre Bernard. Par saccades, sa queue expulsa un mélange jaunâtre d’urine et de liquide séminal qui aspergea Philippe. Cyrille n’entendit pas les remontrances de son ami. Il était ailleurs.  — Incroyable ! Il squirte comme une gonzesse.— J’vais jouir dans ta pétasse !  Les deux enculeurs éjaculèrent avec peu d’intervalle. Le foutre ruisselait du cratère anal de Cyrille. La seule chose qu’il parvenait à exprimer était son désir de se faire encore ramoner, mais il avait vidé ses deux amants. Philippe se vautra sur le siège conducteur tandis que l’agriculteur tentait de se dégager. Amorphe, Cyrille pesait sur lui de tout son poids, quand bien même fut-il celui d’une brindille. Bernard s’extirpa avec difficulté. Il allongea le garçon sur la banquette arrière, les jambes à l’extérieur pour que le sperme s’écoulant ne tâche pas le tissu. Il gisait ainsi, le cul en l’air, réclamant encore un déboîtage anal. Bernard, lessivé, n’était pas prêt à renouveler la pénétration. Même Philippe accusait le coup. D’autre part, il ne cessait de râler que son T-shirt souillé empestait. Son téléphone sonna. Virginie le prévenait que son train avait un peu de retard. Son frère se porta devant la voiture afin que les encore répétitifs de son ami ne s’invitent dans leur conversation.Amusé, Bernard saisit Cyrille sous les aisselles et le traîna pour l’installer sur l’attache remorque. La boule pleine de graisse pénétra sans résistance l’anus distendu. À peine s’il sentit l’étrange intrusion. L’agriculteur posa les mains sur les épaules du garçon toujours dans un autre monde, pressa de tout son poids. Cyrille, tel un chien de Pavlov conditionné pour le sexe, écarta les jambes dans l’espoir de gagner quelques centimètres de profondeur.  — Si tu veux, j’t’emmène comme ça à la gare… Tu f’rais un beau trophée !
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