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Des changements inhattendus

Chapitre 3

Travesti / Trans
Après avoir mangé tranquillement devant la télé, nous sommes parties nous mettre au lit. Demain, c’est mon jour de présence au boulot, et je ne sais pas si ma femme va encore jouer avec moi. Anxieux, je n’ose même pas tenter une approche une fois au lit. Anissa s’endort d’ailleurs assez rapidement comme souvent en semaine. 
Au petit matin, mon réveil sonne un peu plus tôt, il est 7h00. Anissa est déjà debout en train de se préparer, dans 15 minutes elle part. Je sors difficilement de mon sommeil. Au moment où j’arrive dans la cuisine, il est l’heure pour elle de partir. Elle me fait un bisous en vitesse et me dit : 
— Bonjour Victoria bien dormi ? Pour ta journée au bureau pas de panique, je t’ai préparé des affaires adaptées ! Allez à ce soir ma chérie ! 
J’ai à peine de temps de comprendre ce qu’elle m’a dit que la porte est fermée et Anissa partie. Je bois mon café afin d’être totalement réveillé avant d’aller à la douche et de me préparer. C’est en buvant mes dernières goutes que je réalise qu’elle m’a encore appelé par mon surnom féminin, et qu’elle a préparer des affaires. Je me presse dans la salle de bain afin de découvrir ce qui m’est destiné. Une fois sur place, je ne peux qu’être surpris par le choix de ma femme. Sur la commode se trouve en haut de la pile de vêtement : un string , un porte jarretelles, des bas et un soutien-gorge sans armature le tout en dentelle noir. Puis je vois ensuite quelque chose de bien plus rassurant, un pantalon et une chemise. Rassuré je décide de jouer le jeu pour ma femme, enfin surtout pour moi aussi, et prend ma douche avant de me m’habiller. 
Une fois séché, je remarque un SMS d’Anissa disant : "J’espère que ta tenue te plait, elle sera discrète pour la secrétaire et tes collègues ! PS : Mets le string après avoir accroché les bas pour ne pas être embêté si tu vas au toilette." 
Je prend m’habille avant de lui répondre. Je commence donc par le porte-jarretelles qui s’attache dans le dos, puis enfile les bas comme je sais déjà le faire. Je connais déjà l’astuce de ma femme pour le string m’ayant déjà fait avoir lors de mes essayages solitaires. Je continue avec le string qui s’infiltre bien dans mes fesses et termine avec le soutien-gorge. Je me trouve très séduisante dans cette lingerie fine. Mais pas de temps à perdre, je poursuis avec le pantalon, qui n’est pas un des miens d’ailleurs. Et c’est en le remontant que je remarque que ça coupe est assez féminine. Il moule discrètement mes fesses et mes cuisses sans être trop serré. Après quelque tour sur moi-même j’en conclue qu’il peut passer pour une pantalon d’homme. Puis je passe la chemise, qui a bizarrement les boutons inversés. Il s’agit d’un modèle femme aussi. La coupe et la matière est effectivement plus fine et cintré que mes chemises personnelles. A ce moment-là j’ai commencé à douter, mais à vrai dire je n’ai pas 2 heures devant moi pour trouver autre chose. 
J’envoie une photo de moi à Anissa pour lui montrer que je porte bien la tenue demandée et file au boulot. 
Je me gare à ma place habituelle, à une centaine de mettre de la porte d’entrée du travail. Les premiers pas en extérieur sont stressant, mais très excitant. Sentir la tension des jarretelles sur les bas, le string glissé à chaque pas entre mes fesses, et le soutien-gorge me serrer le buste, le tout en extérieur est une magnifique sensation. 
Je salue la secrétaire d’accueil brièvement, ne la connaissant pas plus que ça et me dirige vers mon bureau. Dans l’entreprise, nous n’avons pas de bureau fermé et individuel. Tous l’espace de travail est ouvert sur de grande baie vitrée qui apporte de la lumière. Il faut dire que c’est un espace plutôt agréable. La matinée se passe normalement, j’avance dans mes dossiers sans vraiment penser à ma tenue. Juste avant de partir chercher de quoi grignoter à la boulangerie, Sonia, ma collègue, viens me voir : 
— Dis moi Victor, tu en es où dans le dossier de la grange au sud de la ville ? me demande-t-elle.— Je viens tout juste de finir mon analyse, tiens le voici.
J’allais lui tendre le dossier d’une cinquantaine de page, quand celui-ci à voler dans tout l’open-space... Immédiatement, je m’excuse et commence à ramasser avec son aide. On se retrouve tous les deux, à quatre pattes à récupérer chaque feuille. Une fois terminé, on se relève et Sonia s’approche de mon oreille comme pour me chuchoter un secret : 
— Tu devrais faire attention, murmure-t-elle, on voit ta lingerie sexy à travers ton pantalon et ta chemise à la lumière. 
Je reste sans voix... Je n’ai pas du tout fait attention à cela depuis mon arrivée. Et maintenant ma collègue a tout vu. Je dois trouver une excuse pour me sortir de la avant que le ragot fasse le tour de la boîte. 
— Ce n’est pas ce que tu crois... J’ai perdu un pari avec ma femme et du coup voilà. Mais c’est juste aujourd’hui t’inquiète pas. — Donc tu portes toutes cette lingerie pour une défis ? Et ton pantalon de tailleur pour femme ? Et ta chemise pour femme ? Ça en fait aussi parti j’imagine ? — Euh oui, bien sûr ! dis-je rouge de honte. — Tu sais que je connais Anissa ? On fait du Yoga ensemble le mardi soir. — Ah non je ne savais pas que tu y étais aussi...— Allez Vic, on va manger un bout ensemble ? J’invite. 
Impuissant, et complètement déboussolé, j’ai suivi Sonia sans réfléchir. Elle m’a conduit jusqu’à un petit restaurant où l’on y mange régulièrement le midi avec le boulot. Une fois assis, elle reprend ses questions : 
— Alors dis-moi, tu aimes porter ces vêtements ? — Euh bah euh... Non, enfin c’est pas très confortable quoi... — Oh tu sais on s’y fait vite, je t’ai surveillé ce matin, cela n’avait pas l’air de te déranger pourtant. — J’étais à fond dans le boulot j’y pensé même plus à vrai dire. — M’oui, doute-t-elle, tu n’avais pas l’air si perturbé que ça avant que je te dise qu’on voyais tout. — D’ailleurs d’autre l’on vu ? Ou que toi ? Dit moi que tu es la seule s’il te plaît. — Oui je suis la seule, les autres femmes du bureau ne regarde que leur dossier ennuyant. Mais je pourrais leur dire par contre ! — Non s’il te plait ne fait pas ça... — D’accord, à une condition ! — Je t’écoute. — Regarde ton téléphone, tu as dû recevoir un message. 
Je sors mon téléphone et constate un message d’Anissa. je ne comprend pas trop ce qui se passe, et commence à le lire : 
" Alors Victoria, on laisse Sonia admirer sa petite lingerie ! Tu es vraiment bien dans la peau d’une femme, enfin, des fois j’ai l’impression que t’es plus dans la peau d’une femme sexy ! Bon écoute, Sonia ne dira rien à tes collègues à la seule condition que tu nous écoutes au doigts et à l’oeil. Sonia sera la pour vérifier que tu agit correctement au travail, en suivant mes ordres. 
Premièrement, Sonia a un petit cadeau pour toi, demande lui gentiment et fait en bonne usage toute suite ! A ce soir Victoria chérie, bisous et bon après-midi !" 
Je relève la tête vers Sonia qui me tend une petite boite, qui correspond au cadeau dont Anissa m’a parlé dans le SMS. 
— Ouvre-le, c’est pour toi ! — Merci lui dis-je. 
J’ai ouvert le paquet pour y découvrir à l’intérieur un petit bijou métallique. Mais il ne s’agit pas d’un collier ou d’un bracelet. Mais plutôt d’un plug anal avec une base en forme de coeur rose brillant. Sonia ajoute : 
— La couleur sera en raccord avec ta cage comme ça Victoria ! Et oui, je suis déjà au courant de tout, tu es une petite menteuse. Tu sais que c’est mal de mentir ? — Mais tu savais déjà tout alors...? — Absolument tout ! Quand j’ai vu ton string au travers de ton pantalon j’ai envoyé une photo à Anissa pour savoir si elle était au courant. Elle m’a alors tout raconté dans les moindre détails ! — Quelle salope, répondis-je sans réfléchir. — pardon ? Tu me mens et après tu traite ta femme de salope ? Ça ne va pas lui plaire tout ça, allez maintenant tu vas au toilette te mettre ton petit bijou et tu reviens ! 
Que suis-je bête, je m’enfonce encore plus. Pour éviter de rajouter des erreurs à mon ardoise, je me dirige vers les toilettes pour m’y insérer le plug. Sans lubrifiant la tâche n’est pas très simple, et je n’ai pas d’autre choix que d’y mettre un peu de salive dessus. Après quelques minutes, le plug est au fond de mon cul. Je replace mon string et retourne voir Sonia. 
— C’est bon, lui dis-je. — Très bien, tu n’as pas eu trop de mal sans lubrifiant ? Parce que j’en avais dans mon sac ? — C’était pas simple mais fallait me le dire avant. — Tu n’as pas demandé, et visiblement ça à fonctionné sans, tu as du bien sucer ton plug pour te sodomiser avant, une vrai salope ! 
Sur ces mots, elle se lève, paye et nous retournons au boulot. J’ai l’impression de perdre les commandes de ma vie. D’abord chez moi au près de ma femme, puis maintenant au boulot. Et voilà que je suis habillé uniquement en vêtement féminin, en cage et le cul rempli. 
L’après-midi, j’ai dû mal à me mettre au travail. j’ai l’esprit complètement ailleurs, et la sensation d’être enculé continuellement m’excite malgré moi et m’empêche de penser à autre chose. Vers 17h00, j’ai beaucoup de retard et inévitablement, je n’ai pas terminé tous mes dossiers. Sonia, qui finit sa journée en même temps que moi constate mon faible rendement : 
— Eh beh tu n’as rien fait aujourd’hui, que s’est-il passé ? 
Elle sait très bien ce qu’il s’est passé puisqu’elle en est responsable. Cela m’énerve mais je ne n’ose rien dire, je ne suis plus en situation de force. Je range mes affaires, laisse mon retard sur place et commence à rentrer à la maison. Devant ma voiture, se tient Sonia, encore là. 
— J’ai eu Anissa au téléphone, elle veut que tu me ramènes chez vous, elle m’a invité à boire une verre ! — Elle ne m’a rien dit pourtant. — Parce que c’est moi qui te donne les informations au boulot n’oublie pas. Allez en route ! 
Une fois à la maison, Anissa n’est toujours pas là. Pourquoi avoir invité Sonia si c’est pour ne pas être là. Sauf que j’ai vite compris pourquoi Sonia était là ! 
— Bon ta femme rentre dans 30 minutes, elle veut que tu sois présentable, d’où ma présence pour te donner quelques leçons sur la vie d’une femme. Déjà enlève moi ce pantalon et cette chemise. J’ai suivi ses ordres à la lettre. Se retrouver en string porte-jarretelles devant sa collègue est très gênant. Puis elle m’a habillé d’une tenue plus adaptée pour recevoir ma femme : Je passe une robe à volant qui s’avère très courte. En revanche elle moule parfaitement mon buste et donc mes seins. J’ai remis la perruque porté la veille, puis Sonia m’a scrupuleusement maquillé, un peu trop à mon goût d’ailleurs. Pour finir, Sonia à sorti de je ne sais où une paire d’escarpins blanc à plateforme. Le talon doit faire au mois 12cm, je ne vais jamais réussir à marcher avec ça ! Mais malheureusement, à peine ai-je fini de les chausser, qu’Anissa rentre du travail.... 
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