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Des cours (très) particuliers

Chapitre 1

Découverte!

SM / Fétichisme
Chapitre 1DécouverteLe soleil déclinait déjà sur Vesoul, en ce lundi du mois d’octobre. Thomas Herbert boutonna sa veste, jeta un oeil sur l’heure à son smartphone et descendit rapidement les escaliers du Lycée Verdier où il était prof de maths depuis une dizaine d’années. Il marcha d’un pas vif jusqu’au parking et grimpa dans sa voiture. Après avoir lancé le moteur, il conduisit prudemment jusqu’à la barrière automatique. C’était un homme d’une quarantaine d’années, de taille moyenne avec ses 1m70 et de stature modeste puisqu’il pesait 70 kilos tout habillé. Un beau visage aux yeux marrons et aux cheveux privre et sel venaient rehausser le tout. Il était Monsieur Personne, selon lui, ou plus objectivement Monsieur tout-le-Monde. Lorsque la barrière s’ouvrit, la vieille Peugeot s’ébranla doucement. Elle incorpora aisément la circulation, encore fluide en ce début de soirée. Il prit la route de Lure par automatisme, plongé dans ses pensées. L’auto-radio diffusait un morceau de jazz lorsque son téléphone sonna, le Bluetooth coupant instantanément la mélodie du saxophone. C’était une de ses collègues de travail, Solène Duval. Thomas prit l’appel. Elle lui proposait de reprendre une de ses élèves en cours particulier, Emma Tucson, qui était encore en classe de 1iere malgré ses 18 ans. Thomas ne la connaissait pas. Il ne l’avait jamais eue dans ses cours. Solène lui décrivit rapidement les difficultés de la jeune femme ainsi que les raisons qui la poussaient à abandonner après l’avoir suivie dès la classe de seconde puis lors de sa première année de 1ière... Grosses lacunes, manque de travail et surtout problème de compatibilité d’humeur!      A présent Emma redoublait sa 1iere et la collègue de Thomas ne voyait pas d’issue pour la faire progresser. Thomas soupira. Il avait déjà "repris" un élève de Solène l’an dernier et il avait été confronté à des gros soucis. Il avait finalement  réussi à améliorer les résultats de jeune homme mais au prix de très longs efforts de pédagogie et d’analyse. Lui rendre à nouveau service cette année ne lui parut pas une bonne idée. Si seulement il avait suivi son intuition!!! ... Au lieu de ça, il s’entendit lui répondre "c’est d’accord", et lui demander de lui envoyer les coordonnées des parents par SMS. Un plaisir masochiste en quelque sorte: il récupérait les "restes" de Solène, qui donnait déjà une dizaines d’heures de cours particuliers par semaine alors que lui n’en avait aucun. Visiblement, Solène le prenait pour un parfait "ramasse-miettes" et sa très grande beauté faisait de lui son obéissant obligé... La jeune prof d’une trentaine d’années était blonde au yeux bleus, grande et très fine. Elle avait tout d’une "star". Tout lui souriait à elle... un mari charmant et riche, une belle villa avec parc et piscine sur les hauteurs de Navenne, des revenus plus que confortables alors qu’elle était issue d’une famille riche du vignoble bourguignon. Lorsque la conversation prit fin, Thomas soupira. Sa vie à lui n’était que lambeaux. A quarante ans, son divorce l’avait laissé nu, l’appartement avait été vendu pour solder leur crédit, et la pension alimentaire qu’il versait à son ex pour leurs deux enfants, dont elle avait facilement obtenu la garde, lui laissait juste de quoi manger et payer son loyer.
Désormais, il vivait seul, et la solitude lui pesait, surtout le soir. Étrangement lorsqu’il était marié les femmes libres semblaient se presser autour de lui. Or maintenant qu’il était libre et divorcé, comme un fait exprès, elles paraissaient au contraire le fuir. Et pourtant, il avait tout tenté! Il était sorti, il avait été à de nombreuses fêtes, il avait fréquenté un club de sport et s’était même  inscrit sur un site de rencontres. Sa seule consolation était de voir Solène chaque jour au travail, s’appeler le week-end pour échanger des exercices ou bien s’envoyer par mail des liens vers des publications pédagogiques. Il lui semblait parfois que Solène le "draguait", et il avait bien tenté de lui payer un verre ou un restau. Sans succès car elle avait décliné! Elle l’avait invité à venir manger chez elle en compagnie de Fred son mari. Alors il avait finalement fini par conclure qu’elle devait avoir plus pitié de lui qu’autre chose. Au final, Thomas se serait mis à genoux devant elle, si elle l’avait exigé, il lui aurait même léché les pieds avec dévotion en salle des profs si elle en avait émis le désir... Il fantasmait quasiment sur elle... il était le raté, elle, elle était la lumière. C’est pourquoi il était devenu son assistant et bienfaiteur préféré, à la constitution des emplois du temps en aout il prenait les classes dont elle ne voulait pas, il préparait souvent seul tous les devoirs communs en maths et parfois l’aidait même dans ses corrections. "Un véritable petit  valet de pieds pédagogique" songea Thomas avec amertume en se garant au pied de son immeuble.
Il appela Madame Tucson dans la soirée de la part de sa collègue. Rendez-vous fut pris pour le samedi suivant à 15h, à la villa des parents d’Emma. La semaine s’écoula lentement. Le mardi soir, Thomas répondit à trois messages sur le site de rencontre gratuit où il était inscrit. Mais c’était des femmes plus âgées ou avec des enfants, il déclina donc poliment les demandes de mises en favoris. Le mercredi soir il écrivit à plusieurs femmes qui ressemblaient vaguement à Solène sur leur photo de profil. Le jeudi soir il consulta des videos amateurs où des blondes dominantes étouffaient leurs (heureux) soumis sous leur croupes appétissantes, et il en profita pour soulager la pression qu’il sentait monter en lui, comme chez tant d’hommes célibataires non accompagnés... Le vendredi soir il consulta les listes d’exercices que Solène lui avait adressés par mail pour lui permettre de situer les plus grosses difficultés de la jeune femme. Il chercha et imprima ensuite quelques anales du bac et leurs corrigés en rapport avec les parties du programme concerné. Fin prêt, il se présenta à la porte des Tucson le samedi après-midi à 15h précises. Deux heures de cours pour cinquante euros... ce n’était pas négligeable... Et dire que Solène avait 5 élèves par semaine!
Il tressaillit lorsque Madame Tucson ouvrit la porte de la villa, il était occupé à calculer mentalement ce que Solène percevait pour ses cours annuels. C’était une femme forte avec des cheveux courts châtain et des yeux marron clair. elle lui serra la main avec une poigne énergique et s’effaça pour le laisser entrer.  - Je vous en prie, Monsieur... ?— Herbert, Madame Tucson. Fit-il en souriant. Monsieur herbert, je suis prof de maths à Verdier comme Madame Duval.— Oui excusez-moi. Nous sommes arrivés récemment, ma fille ainée a fait son lycée sur Lyon. Prétexta-t-elle.— Ah d’accord, vous avez deux filles donc!— Non, j’en ai trois en fait. Il y a aussi une plus petite. Emma a la place du milieu.A cet instant, une voix s’exclama derrière eux:— Oh oui! .... la place du milieu, c’est bien ça... c’est la pire, n’empêche!!!Thomas se retourna et tendit la main à la jeune fille.— Emma? Je suppose... Je suis Thomas le collègue de Madame Duval.— Bonjour Thomas, sourit Emma avec un air narquois. J’espère que vous êtes meilleur qu’elle, parce qu’avec elle je ne pige jamais rien!— Oh Emma!!! Gronda sa mère...
La demoiselle avait les même cheveux fins et chatain que sa mère mais beaucoup plus longs. ils encadraient un visage délicat orné de beaux yeux verts, mais la présence de gros boutons d’acné gâchait son teint pâle. Elle était fine de corps et égalait Thomas en taille ce qui n’était pas difficile. Elle portait un sweat rose aux manches remontées sur les coudes ainsi qu’un short en jeans qui lui descendait à mi cuisses. Elle portait des mules sales et crevées au bout... Elle n’allait pas remporter ce jour-là un concours d’élégance!— Je vais faire de mon mieux, fit Thomas doucement.— C’est par ici, dit sa mère pour détendre un peu l’atmosphère, en se dirigeant vers la chambre d’Emma au fond du couloir.
— Heuuu... Je... préfèrerais que nous utilisions votre table au salon Madame, si ça ne vous dérange pas? rougit Thomas.— ah ben zut, pour aujourd’hui c’est impossible, nous avons eu des amis à manger midi et la table n’a pas été débarrassée...Et déjà Emma était au bout du couloir en trainant ses pantoufles au sol, avec un grand sourire "C’est par ici, Thomas!"Il se mordit la lèvre inférieure, il était piégé. Résigné, se dirigea vers la chambre. "Bon, d’accord, mais... j’aurais préféré... au salon" Il jeta un regard à Madame Tucson qui lui dit: "C’est bien toujours cinquante euros pour 2 heures, n’est-ce pas?"— Je.. heu... oui Madame!— Parfait, alors à tout à l’heure, travaillez bien!Puis elle tourna les talons et disparu en direction de son immense séjour ouvert sur la cuisine. En entrant dans la chambre d’Emma, les craintes de Thomas se confirmèrent. Elle n’avait pas ouvert ses volets et un certain désordre régnait. Sur les murs des posters géants de Patrick Bruel jeune, Kenji Jirac et Louane. Un PC portable trônait sur le grand lit en 140 lit à moitié fait. Il y avait deux chaises devant un secrétaire muni d’un plateau abattant qui lui servait de bureau. Une commode assortie dont les tiroirs à moitié ouverts regorgeaient de vêtements et un placard mural complétaient le mobilier.
Il prit place sur la seconde chaise et demanda à Emma d’éteindre son portable qui trônait sur le bureau. Elle le fit de mauvaise grâce et Thomas sortit ses feuilles d’exercices. Ils travaillèrent plus d’une heure sur les devoirs surveillés que la jeune femme avait lamentablement ratés depuis le début de l’année. Il recensa mentalement les points délicats et ils correspondaient à peu près à ce que Solène avait identifié. Au cours de la deuxième heure, Emma commença à montrer des signes de fatigue, elle changeait fréquemment de position et commençait à transpirer. Comme ils étaient serrés sur le petit bureau, son parfum et l’odeur de sa sueur commencèrent à titiller les narines de Thomas. A plusieurs reprises, le professeur sentit la cuisse d’Emma se serrer contre la sienne. Diplomatiquement, il éloigna à chaque fois sa jambe pour ne pas sembler complice de la chose. Finalement, le cours se termina, ils avaient fait 10 minutes de plus, et dans l’ensemble, le travail satisfaisait le prof de maths.La maman d’Emma lui tendit une enveloppe et il prit congé, en prenant rendez-vous pour le samedi suivant.
 Les deux samedis qui suivirent, ils purent travailler sur la table du séjour et aucun incident n’émailla le cours. La mère était allée dans le jardin et ne réapparut qu’à la fin de la leçon. Emma avait été attentive et avait donné satisfaction. C’est le samedi suivant que les choses changèrent.
 Tout d’abord Madame Tucson avait envoyé un SMS pour dire qu’elle s’absentait avec son mari et qu’elle règlerai le samedi en 8 pour deux cours, ce qui ne dérangeait absolument pas Thomas. Il était par compte plus gêné par son absence, mais bon, Emma était majeure, il ne contrevenait donc pas aux usages.  En revanche, mauvaise surprise:  la grande sœur squattait la table du séjour, qu’elle avait remplie de pinceaux, de tubes de peinture, de dessins et de toiles. Il fit donc la connaissance de Léa, une longue fille blonde aux yeux bleus de 21 ans qui ne lui accorda qu’un " ’Jour" méprisant avant de se replonger dans ses mélanges de couleurs. Avec Emma ils battirent donc en retraite dans la chambre. Un désordre important y régnait. C’était bien pire que la première fois. Seuls les volets avaient été entrouverts et on pouvait apercevoir le jardin. Thomas nota la présence d’une culotte sale et d’une paire de collants usagés sur le sol en moquette. Ils s’installèrent pour le cours, mais Emma se releva pour aller chercher à boire, il accepta par politesse un verre, espérant qu’elle revienne vite car il ne voulait pas s’éterniser. Il avait accepté une discussion en direct sur POF avec un contact vers 18h et entendait bien ne pas louper ce rendez-vous. Dans cette perspective il avait évité de se libérer de ses "tensions intérieures" pour rester attentif et aiguisé avec cette possible partenaire. Emma revint et posa deux jus de fruit sur le bureau."Multivitamine, ça va?" Fit-elle toujours moqueuse." Oui.. merci.. allez on s’y met? Emma il faut qu’on revoie toute la trigo pour ton prochain DS!!!""Oui, oui" marmonna-t-elle. Et ils se plongèrent une bonne demi-heure dans les révisions. Thomas sentit à nouveau la cuisse de la jeune femme effleurer la sienne. Une chaleur agréable commença à irradier dans ses reins et son bas-ventre à ce contact. Il n’eut pas le courage de reculer la jambe et tenta de rester concentré sur ce qu’il disait. La pression de la cuisse d’Emma s’amplifia. Le prof bafouilla et s’emmêla dans son explication. Emma le regardait avec des yeux de biche... Intérieurement elle s’amusait en constatant qu’il avait bu tout le verre et donc absorbé la totalité de la dose de Viagra qu’elle y avait incorporé. Elle seule savait pourquoi il n’avait pas retiré sa jambe!
Elle posa négligemment une nouvelle question au sujet du cosinus et posa également son pied nu sur la chaussure du prof. Thomas luttait pour ne pas perdre pied, des bouffées de chaleur envahissaient son visage tandis qu’un début d’érection réjouissait son bas-ventre. Il parlait avec hésitation, comme un homme ivre. Elle posa sa main droite sur la cuisse gauche du prof et la caressa lentement. Thomas frissonna et ses reins s’embrasèrent. Il était incapable de la remettre à sa place. Il DEVAIT le faire, mais ils luttait contre son instinct sexuel qui l’en empêchait.Il ouvrit la bouche pour parler...  les lèvres pulpeuses de la fille était toutes proches des siennes, comme un fruit défendu... Il senti la main moite atteindre son entrejambe et les doigts frêles effleurer son sexe arqué à travers le tissu. Des décharges électriques voluptueuses parcouraient sa verge et ses testicules, ils ne s’était jamais senti de pulsion aussi animale qu’en cet instant. Que lui arrivait-il? Il se maudissait intérieurement d’avoir laissé tant de tension et de désir s’accumuler en lui cette semaine.
Et c’est malgré lui qu’il posa ses lèvres sur celles d’Emma. Elle ne bougea pas lorsqu’il glissa sa grosse langue entre ses lèvres fines, au contraire ses doigts massaient lentement son gland turgescent à travers son pantalon. La respiration de Thomas s’accélérait. Un reste de bon sens l’empêchait de poser ses mains sur elle, alors elle effleura les tétons du pauvre homme de sa main libre, elle les étira et les pinça l’un après l’autre à travers le tissu de la chemise. Il gémit en prolongeant le baiser. Elle détacha ses lèvres des siennes et lui murmura: " j’ai envie que tu me lèches, Thomas..." Sans attendre, elle se leva et passa ses mains derrière la tête du prof, attirant le visage brulant de l’homme au contact de son ventre doux. Thomas inspira son odeur ce qui fit monter en lui une nouvelle bouffée de désir. Elle pressa sur ses épaules pour qu’il descende de la chaise et s’agenouille face à lui. Fiévreusement, il défit le bouton de son short et le fit glisser à ses pieds. Il frotta son nez contre la culotte blanche de la diabolique jeune femme. Puis enfonça son appendice nasal plus avant pour s’imprégner des suaves odeurs intimes de ce corps désiré. Irritée, Emma le prit brusquement par les cheveux et fit descendre d’un geste vif sa culotte. Enfin elle lui plaqua le visage sur sa chatte déjà bien humide. "Lèche!!!" ordonna-t-elle encore d’un ton rauque. Thomas ouvrit sa bouche et gratifia son sexe juvénile de tendres baisers, puis sortit sa langue et explora mes longues lèvres ourlées de poils clairs. Les flagrances aigres de son sexe lui faisaient perdre la raison, il n’était plus qu’un mâle en rut, un mâle qui n’avait plus approché de femme d’aussi près depuis trois ans. Sa langue s’enfonça dans le vagin serré et  bien humide... il l’agita dans tous les sens. Emma gémissait sa satisfaction. Il suça son index et son majeur et les plongea dans son sexe en remplacement de sa langue. Tout en bougeant ses doigts recourbés pour atteindre sa zone sensible derrière son pubis, il activa sa langue autour de son clitoris qui durcissait et s’allongeait. Elle eut un premier orgasme, puis un second au bout de quelques minutes. Thomas prolongea la caresse buccale en agitant la pointe de sa langue verticalement bien appuyée contre son clitoris. La jeune fille fut ravagée par un spasme puissant et jouit une troisième fois dans un râle.
Soudain un rire éclata, qui le fit redresser d’un bond!"Eh bien??? En voilà une drôle de leçon de maths!!!" C’était Léa qui se tenait sur le pas la porte de la chambre. Thomas était blême et confus. Il ne savait pas quoi dire. Jamais il ne s’était trouvé dans une situation aussi compromettante.La grande sœur agita son smartphone avec un sourire carnassier. "J’ai fait quelques jolies photos, mais également une vidéo du tonnerre!!!" Emma ne disait rien, elle remonta sa culotte et reboutonna son short. Le prof se demandait ce qu’il fallait faire. Il bafouilla, " je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis désolé..."— Vous pouvez!" Rétorqua Léa.— Nous allons terminer... le cours... si vous voulez bien..."— Je vous en prie ! Faites! Mais... QUE des maths! OK?Thomas eut bien du mal à rassembler ses esprits pour finir l’explication de l’exercice. Son esprit était parasité de mille questions. Est-ce que Léa allait tout dire à sa mère? Qu’arriverait-il si elle portait plainte contre lui? Certains profs n’avaient-ils pas été mis à pied pour moins que ça?
Emma semblait détendue et travailla docilement. Vers 17h10, il se leva pour prendre congé. Léa semblait avoir disparu et les parents n’étaient toujours pas revenus. La jeune femme le raccompagna jusqu’à la porte et lui dit au-revoir. Il rentra chez lui, conduisant en mode automatique comme un robot.  Puis demeura prostré sur son canapé, oubliant même le chat auquel il voulait participer. Vers 20h il appela Madame Tucson. Elle ne semblait pas être au courant de ce qui s’était passé. Il lui dit alors qu’il ne pourrait peut-être pas venir la semaine prochaine. Elle acquiesça et lui dit "A la semaine suivante dans ce cas et bon dimanche!". "Merci Madame à vous aussi" put-il ajouter d’une voix blanche. Après avoir raccroché, il se mit à pleurer. Comment avait-il pu faire une telle chose?Soudain son portable bipa. Un nouveau message en provenance d’un numéro non répertorié. "Tu viens samedi prochain toto! Sinon je balance tout à ma mère. Léa." En pièce jointe une vidéo où il s’activait entre les jambes d’Emma. La qualité de l’éclairage et du cadrage étaient très bons et on les reconnaissait parfaitement. Son cœur se mit à battre très fort. Son cerveau s’embuait et il réalisa qu’il est complètement piégé. Cette Léa le tenait par les couilles et elle le savait! Tout n’est pas perdu, il pourrait peut-être la convaincre d’effacer les photos et la vidéo? Voyons... Sinon elle aurait déjà tout montré à sa mère, non?Il pianota: "Bonsoir Mademoiselle, c’est bien noté, je viendrai samedi prochain."Un nouveau bip."Tu comprends vite toto. Rappelle ma mère de suite!"Le prof chercha fiévreusement le numéro dans la liste des appels passés et rappela Madame Tucson. Il mentit avoir pu déplacer son match de tennis et l’assura de sa présence pour la leçon samedi prochain."Voilà c’est fait Mademoiselle""Bravo minus. Maintenant voici ce que tu vas faire pour me montrer ton obéissance..." Thomas pâlit à la lecture de la suite. Résigné mais affublé d’un début d’érection, il alluma son ordi et y transféra la vidéo. Puis il mit son smartphone en position enregistrement de vidéo et se filma en train de se toucher à genoux, nu, devant l’écran en regardant Emma se faire lécher. Il jouit très vite d’un orgasme ravageur qui le laissa pantelant. Il coupa la prise de vue, l’ajouta en pièce jointe et l’envoya comme demandé à sa bienfaitrice ou tortionnaire... selon le point de vue. Sa jeune nouvelle Maîtresse en tout cas. Bip."Petite bite et éjac précoce tas tout pour me plaire toto. A samedi prochain, sinon...."
A suivre si vous le voulez?
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