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Des cours (très) particuliers

Chapitre 4

Un prof sous influence

SM / Fétichisme
En arrivant chez lui le prof de maths s’était douché longuement, sans toutefois pouvoir laver les souillures mentales qu’il venait d’accumuler. Il se sentait comme brisé et désormais vulnérable. Léa lui inspirait maintenant une peur terrible. Il resta prostré sur son canapé après s’être servi un grand verre de whisky qu’il sirota le regard perdu dans le vague. Devoir lui obéir et se soumettre à cette jeune femme et sa sœur était déjà pénible pour lui. Mais ce qui s’était produit ce matin était pour lui un grand pas en avant vers la déchéance. Des hommes avaient disposé de lui sur ordre de sa jeune Maîtresse. Ils l’avaient avili et profité de lui comme d’une poupée servile. Le pire c’est qu’il en avait joui comme il n’avait encore jamais joui de sa vie ! Une part de lui était prête à recommencer sans se faire prier cette fois. C’est probablement ce qui lui sapait le plus le moral. Il lui semblait qu’il devenait esclave de son côté sombre. Thomas finit par s’endormir...La sonnerie du réveil de son téléphone le fit sursauter ! Il manqua de tomber du canapé avant de se souvenir de la raison de sa présence au séjour. Alors il l’attrapa sur la table basse et vit qu’il était 6H30. Il se leva et entra dans la cuisine pour se faire un grand café bien serré. Il décida de rester debout tant son derrière était douloureux. D’importantes courbatures dans les mâchoires le dissuadèrent également de manger autre chose que des biscuits trempés dans son café. Il se maudissait d’avoir accepté la proposition de Solène... Si seulement il avait refusé de prendre son élève en cours particuliers ! Les choses s’étaient enchaînées d’une façon si implacable ensuite.
A partir de la quatrième leçon, tout avait basculé pour lui, il s’était fait piéger par les deux sœurs Tucson. Elles l’avaient pris dans leurs filets, et il n’avait plus eu d’autre choix que d’obéir à leur chantage. Ni les flics ni les parents Tucson n’étaient en mesure de lui permettre de s’innocenter. Il se débattait sans trouver d’issue. Il eut une pensée fugace pour son ami décédé, Serge le détective privé, puis se dit soudain qu’un autre détective pourrait peut-être tout de même tenter de l’aider !Il se leva et alla chercher son PC portable. Il lança des recherches et trouva trois détectives, un sur Lure, un sur Belfort et un dernier sur Besançon. Fébrile, le prof rédigea un mail à l’attention du premier où il résumait sommairement être l’objet d’un "odieux chantage" et souhaitait de l’aide, puis il fit un copier-coller pour contacter les deux autres. Lorsqu’il referma le capot du laptop, il avait déjà retrouvé un léger espoir. Soudain, il vit qu’il était 7h25 et se rua à la salle de bains pour une toilette rapide, il allait finir par se mettre en retard.Sa matinée au lycée Verdier s’était écoulée sans heurt. Il avait donné deux heures de cours à chacune des deux classes de terminale. Seul incident notable, il avait dû donner trois heures de colle à Souhila Kendira, une beur insolente qui lui avait manqué de respect à plusieurs reprises lors de la dernière heure. C’était peut-être un peu sévère, mais son autorité était en jeu devant toute la classe !Il monta à l’étage du lycée pour se rendre à la cafétéria. Au self il se retrouva à deux personnes derrière Solène. Il voulu faire semblant de l’ignorer, mais elle lui fit un petit signe, pour lui signifier de la rejoindre avec son plateau. C’est ce qu’il fit, avec la peur au ventre. Il éluda les questions de Solène sur Emma en prétextant qu’il "avait la situation en mains" et qu’elle avait eu 12/20 au dernier D. S... Puis il fit porter la conversation sur les vacances de Solène en Tunisie l’été dernier afin de ne pas avoir à donner plus de précisions. Soudain son téléphone vibra dans sa poche. Bref regard: zut, c’était Léa ! Catastrophe. Il pâlit.
— "Rejoins-moi dans 10 minutes à l’angle de la cour d’honneur et de la cour B. C’est urgent Toto. Sinon..."
Il soupira.
— Une mauvaise nouvelle Thomas ? s’enquit la jolie blonde.— Heu... oui, enfin non, j’ai oublié que j’avais rendez-vous avec des parents...— Tu donnes des R.-V. pendant midi maintenant ? fit-elle, étonnée.— J’ai pas pu faire autrement, c’est exceptionnel. Je dois te laisser excuse-moi...
Il la planta là, prit son plateau et s’échappa du réfectoire. Dix minutes plus tard, il attendait Mademoiselle Léa à l’endroit indiqué. Il reçut un nouveau texto.
— Faut faire des excuses à Souhila !!! Annule les heures de colle. Attends-la ici.
Thomas reçut comme un coup de poing dans l’estomac. Le message tournant à toute allure dans sa tête. Léa n’est plus au lycée comment est-elle au courant ? Qui de cette classe a pu la renseigner si vite ? S’agit-il d’Emma ? Connaissent-elles Souhila ou bien est-ce juste un test ?
Il attendit un bon quart d’heure et allait partir lorsqu’il vit arriver Souhila en compagnie d’une étudiante plus grande aux cheveux roux et courts qu’il ne connaissait pas.Les deux jeunes femmes virent se planter devant lui. Souhila avait un sourire narquois et le prof comprit qu’il devait faire profil bas. Mais que savait-elle exactement ?
— Bonjour... heu Souhila...— ’Jour...— Heu... je suis désolé...-... Grand sourire et pas de réponse.— Bon je me suis un peu emporté ce matin... Je n’aurais pas dû.— Et donc ? fit crânement la jeune beur.— Donc... je ne vais pas te mettre les trois heures de colle.
Elle lui planta ses yeux noirs et il baissa les siens, mal à l’aise. Il était évident qu’elle savait, Thomas perdait contenance.
— Génial ! Je préfère ça "Toto"-... Il resta silencieux et ne releva pas l’irrespect de sa réponse. A quoi bon ?.— Alors vas-y maintenant, tu t’excuses !!! fit-elle pour pousser son avantage.— Je... te prie de m’excuser, Souhila... articula-t-il avec peine.
La rouquine intervint:
— Non, non, non, pas comme ça ! Tu la vouvoies et tu l’appelles "Mademoiselle", ok ?
Elles arboraient soudain des sourires carnassiers. Thomas crut défaillir. Il jetait des regards alentour pour voir si quelqu’un se trouvait à proximité.
— Je... vous prie de bien vouloir m’excuser... Mademoiselle Kendira...— Bah voilà, ça j’aime ! C’est beaucoup mieux.-... Incapable de répondre, le prof se sentait morfondu.— Tu me fais plus chier !... la prochaine fois d’accord !? aboya Souhila.— N... Non Mademoiselle.
Il dû serrer les poings. Quelle infamie !
— Allez ça va on se tire ! Basta !— Au revoir... Mesdemoiselles... put-il articuler, rouge de honte et de confusion
Elles tournèrent les talons et s’éloignèrent en éclatant de rire. Thomas les suivit des yeux, il était tétanisé. Tout ça allait décidément beaucoup trop loin.
— "Voilà c’est fait Mademoiselle" Textota-t-il à sa Maîtresse.— T’es un bon clébard. Va dans les toilettes, écris au feutre "GROS" et "CON" sur chacune de tes miches et envoie-moi la photo. Tu as 10 min pas plus.
Le prof accusa le coup. Puis il vit que l’heure de la reprise des cours approchait. Il décida de repasser par la salle des profs pour prendre un Velleda puis d’utiliser les toilettes les plus proches. Un début d’érection commençait. Il se demandait vraiment ce qui pouvait l’exciter dans tout ça ! Il était en train de perdre toute l’autorité et le crédit acquis ici durant des années.Sans réfléchir il baissa son pantalon et son slip pour écrire maladroitement sur sa peau, ne disposant pas de miroir dans la cabine des WC. Après plusieurs essais, en se contorsionnant, il obtint une photo pas trop mal cadrée et l’envoya à regret à sa tourmenteuse.
— Voici Mademoiselle.— Joli cul, vieux pédé! Ne remets pas ton slip, enlève-le et me mets-le dans ton cartable.— Bien, je vais le faire, Mademoiselle !— A genoux maintenant !... et astique-toi dans la cuvette des chiottes !— S’il vous plait, pas ça.— Discute pas ! Tu as trois minutes !!!-...— Evidemment... je veux la vidéo ! :P
Le pauvre homme laissa son pantalon descendre sur ses chevilles et s’agenouilla, honteux et bandant déjà comme un cerf. Il tint son portable pour filmer de la main gauche et astiqua sa tige avec rage de la main droite. Il ne tarda pas à éjaculer dans la cuvette avec un râle étouffé. Le visage en feu il contempla les volutes de sperme qui coulaient en longs serpentins, dans l’eau, au fond des toilettes.Soudain la sonnette de reprise des cours retentit.Il se releva d’un bond et se rajusta sans ôter son slip, comme elle l’avait pourtant exigé! Excédé, le professeur de mathématiques sortit des toilettes sans obéir. Et puis quoi encore ? Puis... il se ravisa, rentra à nouveau aux toilettes... et fit prudemment ce qu’elle avait ordonné.Son sexe était parcouru de délicieuses sensations et ses reins fourmillaient de papillons voluptueux. Il pensa que si elle vérifiait et qu’il avait désobéi, elle était capable de lui infliger une punition très lourde. Il était inutile de se rebeller ainsi. D’ailleurs plus il se soumettait et plus il éprouvait des sensations fortes. Était-ce sa nature profonde qui se révélait ?
Il soupira et rejoignit la salle de son prochain coursUn texto arriva sur son mobile une heure plus tard: "Ce soit 20h devant chez moi sans faute."
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