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Des cours (très) particuliers

Chapitre 5

Taxi de nuit

SM / Fétichisme
Lorsque la sonnerie de 18h retentit, Thomas Herbert, le professeur de mathématiques poussa un long soupir de soulagement. Il resta assis, crispé sur sa chaise tandis que les élèves de première quittaient la salle. Après s’être fait piéger, il subissait depuis huit jours un chantage constant de la part d’une de ses élèves et de sa sœur ainée. Malgré sa volonté initiale d’en sortir, il n’avait fait que s’enliser. Elles l’avaient forcé à les lécher contre sa volonté, puis à se masturber dans des vidéos honteuses, et enfin lors d’un rendez-vous piégé, à se faire déflorer la veille par un groupe d’hommes en rut. Il avait perdu toute combativité, cet épisode l’avait réellement brisé. Si bien qu’il avait accepté de se laisser humilier ce matin par deux étudiantes du lycée, dont l’une était dans son cours et avait dû lever sa punition. Ce qu’il craignait le plus était en train d’arriver: les deux sœurs s’attaquaient à sa réputation professionnelle au Lycée Verdier.Emma, qui était assise au dernier rang et avait mâché du chewing-gum ostensiblement durant tout son cours, ne semblait pas pressée de partir. Malgré ses 18 ans, elle était toujours en première à cause d’un redoublement. Elle traina quelques minutes au fond de la salle qui se vidait. Puis s’approcha en trainant ses baskets usées. Elle s’arrêta devant le bureau de l’enseignant et lui fit un clin d’œil irrévérencieux. puis se pencha en avant vers lui avec un sourire narquois et murmura:
— Ça va toto ? T’as le cul bien au frais ?
Thomas blêmit mais ne répondit rien. En d’autres temps il aurait trainé manu militari l’insolente par le bras chez le proviseur, qui l’aurait soutenu. Mais il se sentait à présent pieds et poings liés et devait encaisser l’humiliation jusque dans sa classe !Il lorgnait vers la porte de crainte qu’un autre élève ne revienne dans la salle.
— Ma sœur m’a dit que tu étais un gros cochon qui porte des tags sur les fesses. C’est vrai ? s’amusa-t-elle.— Ou... oui Mademoiselle. fit-il d’une voix blanche.— Moi je veux les voir ces tags ! lança Emma d’une voix forte en fermant la porte de la classe sans quitter sa proie des yeux.— M... mais... je... enfin, ici ??? s’étouffa, le prof de maths— Fais pas ta chochotte ! Baisse ton froc et montre-moi tes fesses Toto !!!! Elle sourit de tous ses gros boutons d’acné.
Morfondu, il se leva doucement, se tourna et défit sa ceinture, puis laissa son pantalon descendre.
— Soulève ta chemise !
Lorsqu’il obtempéra, elle prit deux photos qu’elle envoya à sa sœur illico.
— Bah c’était vrai alors... Tes un bon garçon, et sans slip, donc Léa va adorer ! Allez je file à toute.
Thomas eut à peine le temps de se rajuster qu’elle avait ouvert la porte et disparu dans le couloir. Il réprima un début d’érection, tout en se félicitant d’avoir ôté son slip comme l’avait ordonné Mademoiselle Léa, sa tortionnaire numéro 1. Il nota intérieurement combien il devenait soumis et passif.Il rangea ses affaires, verrouilla la porte et fila vers le parking. 30 minutes plus tard il était chez lui. Il se servit un verre de Bourbon et s’affala sur son canapé. Démoralisé.Que faire pour sortir de cette situation ?
Les mails envoyés matin telles "des bouteilles à la mer" lui revinrent en mémoire, il prit son ordi et se connecta à sa boite. Une bonne surprise l’y attendait, il avait deux réponses. L’une était négative de la part de l’enquêteur vésulien, mais l’autre était plutôt encourageante. Le détective de Belfort, Paul Lemerle, l’invitait à prendre contact avec lui pour un rendez-vous, et il y avait un numéro de mobile.Thomas composa le numéro, puis raccrocha soudain. N’était-il pas en train de compromettre sa carrière en mêlant un détective à ses affaires ? Qu’arriverait-il si Léa apprenait qu’il cherchait à se soustraire à cette situation qu’elle avait soigneusement engendrée ? De toute manière son avenir paraissait totalement bouché, que craignait-il de pire ?
Il recomposa le numéro, et laissa sonner cette fois. Une voix d’homme, sur un répondeur, l’invita à laisser un message. Il sollicita donc un rendez-vous pour la fin de la semaine et laissa son numéro de mobile, ce qui était parfaitement inutile puisqu’il avait dû s’afficher de toute évidence. Thomas ajouta Lemerle à ses contacts et se dirigea vers la salle de bains. Un coup d’œil à la pendule du couloir l’informa qu’il lui restait tout juste 40 minutes avant de se rendre chez sa jeune Maîtresse.Il se doucha et lava les cheveux, enfila un slip et un maillot de corps propres, puis passa un jogging gris pratiquement neuf. Pris d’un doute, il fonça au séjour récupérer son mobile et demanda:
— Avez-vous des instructions particulières pour ma tenue, Mademoiselle Léa ?
Il était 19h30 et Léa ne répondait pas, il lui fallait 20 minutes environ pour arriver à la villa des Tuscon. Thomas prit une veste polaire noire dans la penderie du hall et y transféra son portefeuille, ses clés, des mouchoirs en papier et son téléphone.La réponse arriva au moment où il allait sortir:
— Tu progresses Toto. Costume, cravate, pas de sous-vêtements ni chaussettes.— Bien Mademoiselle.— Apporte un présa. Dépêche. lol.
Désespéré, l’homme constata qu’il lui fallait entièrement se changer. Léa pratiquait le contre-pied aussi bien qu’un joueur de rugby !10 minutes plus tard, il quittait son appartement en retard, mais habillé sur son 31. Il lança le moteur et pris la route sans trainer. Pourquoi un préservatif ? s’étonnait-il...Il se gara devant chez les Tuscon avec trois minutes de retard. Il allait sortir de la voiture lorsqu’il aperçut Léa à sa portière. Elle ouvrit et annonça:
— Tu passes derrière, je conduis !
Thomas sortit à regret, puis monta à l’arrière. Emma monta à côté de lui.
— T’inquiète, j’ai le permis ! lança Léa triomphalement.
Elle mit le moteur en route, et la Peugeot s’élança hors du lotissement.
— Mets-lui le scotch sur les yeux, Emma !— Oh... mais ?— Ferme les yeux, ordonna la jeune femme en sortant un gros rouleau de ruban noir toilé.— Non, s’il vous plait... pas ça... je...— Ta gueule !!! asséna-t-elle en même temps qu’une gifle retentissante qui fit glousser la conductrice.
La dernière vision de Thomas fut le visage d’Emma face à lui, orné d’un sourire sadique. Le ruban adhésif était froid et désagréable, il allait coller à ses cheveux et l’ôter serait long et difficile. Le prof serra les poings de désespoir tandis que son élève fit plusieurs tours.
— Les mains devant !-...
Et elle lui immobilisa les poignets de la même manière. Compte tenu du mal qu’elle eut pour le couper, l’homme n’eut aucun doute sur la solidité de l’adhésif.Léa roulait de plus en plus vite et on sortait visiblement de la ville, mais Thomas n’avait aucune idée d’où ils se trouvaient.
— Fouille-le sœurette ! fit l’ainée.— Oui bonne idée ! répondit Emma.— Vous n’avez... pas... le... dr... oucchh
Emma venait de serrer dans sa main les bourses du prisonnier à travers son pantalon. Il gémit et se tut. Elle put ensuite palper, et vider le contenu de ses poches.
— Il n’y a rien, juste un téléphone et son portefeuille.— OK, garde le portefeuille, je t’expliquerai. Regarde le téléphone, tous les appels depuis huit jours, et l’historique internet.
Le professeur de maths fut pris d’une angoisse terrible. Le détective !!!! Son seul espoir ???...
— Arrêtez, ne faites pas ça... je vous paierai... je ferai ce que vous voudrez... implora-t-il.— Mais ça c’est déjà sûr, tu vas faire tout ce qu’on veut ! Voyons voir ce téléphone... Emma s’escrimait à le déverrouiller.
Il savait qu’il y avait un code, mais une fois ouvert, les deux sœurs auraient accès à sa tentative de se soustraire à elles. Il décida de ne rien leur dire.
— C’est quoi ton code ? grogna la jeune femme, passablement énervée.-...— Il veut pas me donner le code, Léa !— Toto, soit tu lui donnes ce code, sois tu vas VRAIMENT le regretter ! De toute façon on va l’ouvrir ton téléphone, ok ?-... Thomas se mura dans son silence.— Donne-le-moi ! fit Emma en lui broyant les parties.— Ahhh... gémit Thomas, dont le sexe durcissait malgré lui.— Allez, laisse tomber. Attends fit Léa qui fouillait dans sa poche. Je l’appelle.
Le téléphone sonna et la plus jeune sœur prit la communication avant de raccrocher. Mais le verrou ne s’était pas ouvert comme sur certains iPhone.
— Passe un appel d’urgence et raccroche, le 15, par exemple. Ça ouvre sur cet iPhone !— Oh oui, bravo ! Bien joué!
Thomas poussa un long soupir de dépit. Il était totalement impuissant et elles allaient tout découvrir.
— Qui est "Lemerle" fit Emma ?— Heu... un ami...— Je vois qu’il a fait une recherche dimanche sur Safari, "Détective privé", tu te rends compte Léa ?
La voiture s’immobilisa sur le bas-côté. Et la conductrice se tourna vers Thomas qui sentait la peur monter en lui.
— Regarde sa boite mail, si tu vois quelque chose, répondit l’ainée.
Des gouttes de sueur perlaient sous le ruban adhésif, il étouffait.
— A... attendez je vous tout vous dire...— On t’écoute, grosse merde !— J’ai trouvé trois détectives, envoyé un mail à chacun, un m’a répondu non, l’autre a demandé que j’appelle. J’ai appelé vers 19h15 mais il n’a pas répondu, je... j’ai laissé un message...— On ne peut pas te laisser cinq minutes sans que tu fasses une bêtise ! Un vrai gosse, ironisa Emma.— Tu sais comment envoyer une vidéo à tous les contacts, Sœurette ?— Bah oui, facile !— Alors voilà, soit tu rappelles ce Lemerle et tu te décommandes...
Thomas grimaça sous le scotch.
-... Soit on fait partir une vidéo bien sexy à tous tes contacts sans exception... Alors ?... tu choisis quoi ?— Je suis... désolé... je suis une merde... je vais l’appeler... détachez-moi... vous avez gagné... j’ai compris la leçon !— Tss tss tss... mets le haut-parleur Emma, on va voir ça tout de suite.
Elle recomposa le numéro, et cette fois Lemerle décrocha. Léa éteignit le moteur et la voix amplifiée remplit la voiture.
— Allo ? Allo ?— heu... Oui bonjour... Monsieur Lemerle...— Ah c’est vous qui m’avez laissé un message, désolé je n’ai pas eu le temps de vous rappeler.— Ce n’est pas grave. Heu... c’est à moi de m’excuser, finalement... Heu... j’ai trouvé une autre solution...— Vraiment ? Pourtant vous aviez l’air...— Oui mais ça va beaucoup mieux !... Heu... j’ai vraiment réussi à me faire aider !— Bon... si vous le dites...— Oui, je vous remercie infiniment de m’avoir... répondu...— Bah... je vous en prie ! Tout de même... vous...— Je... vous remercie ! Je vous souhaite de très bonnes enquêtes !!! au revoir Monsieur Lemerle !— Au revoir !— Quelle pourriture ! t’as voulu nous coincer ! siffla Emma;— C’est clair ! Ca réclame vengeance. Tiens... Envoie une vidéo de ce porc en train de s’astiquer le manche à cette conne de Mère Duval, l’autre prof de maths, qu’elle sache bien qui tu es VRAIMENT ! grogna Léa.— Et voilà c’est fait, ricana sa sœur.
Emma coupa la communication, puis alla dans les paramètres pour changer le code d’accès. Enfin elle éteignit le portable.Thomas était prostré... Il se sentait blessé et défait, comme nu.
— Tu as voulu jouer et tu as perdu. Tu es un loser, tu le sais, non ? fit Léa en redémarrant la voiture.— Et un bon loser, ça sert à quoi ? ironisa Emma ?-... Sans réponse.— A me lécher la chatte ! conclut Emma en le tirant violemment en avant par les cheveux.
Il perdit l’équilibre et s’agenouilla d’instinct derrière le siège avant, les coudes sur le tunnel de transmission, il entendit un bruit de tissu puis sentit son visage au contact des odeurs fauves et désormais familières de la jeune femme.
— Lèche ! saloperie !
Hésitant, il tira la langue et parcourut à tâtons ses longues lèvres. Il titilla doucement de la pointe de la langue la lisière délicate de ses muqueuses et de sa toison. Puis remonta délicatement sa langue et lécha longuement, en tournant lentement sur son clitoris. Ensuite il insista sur l’espace entre son vagin et son clitoris. Emma adorait ça, il le savait. Elle émit des petits cris de joie.La langue du prof se concentrait à présent sur l’entrée de son vagin. Il allongeait sa langue pour la faire dure et longue. Il appuya plus fort et accéléra le rythme, la pénétrant comme avec un petit sexe. Quel dommage qu’il ne puisse pas utiliser ses doigts ! Au-dessus de lui, Emma se massait les pointes des seins à travers son sweat informe, elle n’avait même pas de soutien-gorge sous son t-shirt, tant elle manquait de volume à soutenir. A ses gémissements, il sentait qu’elle montait, mais il se retint de peur de déclencher une nouvelle fois sa colère. A l’inverse, il ralentit ses pénétrations, pour tournicoter en élargissant ses cercles. Il fouillait en elle, lui arrachant des soupirs étouffés. Pour soulager sa langue, il enchaina avec un frottement à plat sur sa zone clitoridienne. Puis, de la pointe plus particulièrement il s’affaira sur ce clitoris devenu long et dur... Il sentait son sexe tendu frotter délicieusement contre le tissu rêche de son pantalon. Il accéléra ses mouvements buccaux.Emma serrait les fesses de plus en plus fort pour ne pas jouir et elle fut saisie d’un énorme spasme qui la secoua subitement. Léa tourna la tête avec un sourire, lorsqu’elle entendit sa sœur jouir. Décidément, elles avaient bien choisi leur soumis.
Et désormais, il semblait même complètement en leur pouvoir. Leurs amies allaient passer une vraiment très agréable soirée !
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