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Des cours (très) particuliers

Chapitre 6

Soirée étudiante

Avec plusieurs femmes
A 30 km de Vesoul, ils se rendaient à une ancienne ferme comtoise un peu isolée. L’immense bâtisse en pierres formait un U, et avait été rénovée en manoir typique par un couple de riches Canadiens, passionnés par la franche-Comté de leurs origines. Ils s’étaient installés là une fois les travaux terminés, et avaient eu deux filles, Tiphaine et Justine, qui vivaient en France.Les parents étaient repartis pour un mois à Quebec afin de traiter les affaires de leur société qui tournait sans eux la plupart du temps. Tiphaine en profitait pour organiser des soirées à "thème" ou des boums.Pour celle-ci, son amie Léa lui avait demandé d’inviter principalement toutes les filles du lycée ou de la fac qui avaient un "compte à régler avec les hommes".L’invitation leur avait été adressée par SMS: "Salut, j’organise une grande boum samedi soir chez moi, ne te lave ni les pieds, ni la chatte, un esclave docile le fera pour toi ! Bisous, Tiphaine."C’était direct et mystérieux, pratiquement toutes avaient répondu favorablement...
Arrivée devant le portail automatique, elle appela sa camarade avec son mobile. Tiphaine actionna son badge et les battants pivotèrent. La Peugeot s’engagea dans l’allée, puis descendit une rampe pentue pour entrer par la porte basculante grande ouverte du sous-sol. Lorsque la conductrice arrêta le moteur, la porte s’était pratiquement déjà refermée. Emma avait ouvert sa porte et tirait le prof aveugle hors de la voiture par sa cravate. Leurs pas résonnaient un peu dans le sous-sol de cette immense villa.
— Salut les filles, s’écria Tiphaine, une grande rouquine aux cheveux courts dont Thomas reconnut la voix.— C’est génial chez toi, fit Emma, je n’étais jamais venue.— Notre amie est déjà arrivée ? S’enquit Léa.— Qui ça ? Souhila ? Questionna Emma ?— Oui, oui, toutes les autres aussi !!... Mais... On n’avait pas dit qu’on ne donnait pas de noms devant lui ? S’inquiéta Tiphaine.— Ma sœur est une vraie gourde, mais enfin bon, elle s’améliore je trouve ! Sourit Léa. C’est pas grave, il connait ta voix déjà. Pas vrai mon Toto chéri ?-...— Oui. Et après ce qui va se passer ce soir, je doute qu’il essaie de nous poser des problèmes.
Toutes éclatèrent de rire, et commencèrent à monter les escaliers. Emma tirait Thomas en laisse qui butait sur chaque marche. Il n’en menait pas large, ne sachant vraiment pas à quelle sauce il allait être mangé... Il ne s’était jamais senti dans une telle position d’infériorité. Seul son bas-ventre semblait se réjouir de la situation, et il continuait de bander comme un âne, à son corps défendant.A des kilomètres de là, Solène Duval ouvrit un texto qui provenait de Thomas. Il y avait une pièce jointe assez volumineuse, et le commentaire était "bonne vidéo !". Elle haussa les épaules, et déposa le téléphone sur le plan de travail de la cuisine. Elle recevait des amis et allait servir les entrées. C’était le coup de feu. Elle haussa les épaules. Quel idiot, il n’avait donc que ça à faire, lui envoyer des vidéos ? Probablement un truc scolaire ou humoristique, il est si prévisible ce pauvre garçon...Pendant ce temps-là, son collègue vivait le probablement plus mauvais moment de sa carrière... Il était debout, à côté d’Emma dans la cuisine. En laisse, les yeux toujours bandés et les mains attachées. Elle le surveillait tandis que Léa et Tiphaine faisaient les présentations dans la pièce à côté.
— Mets-toi à genoux esclave ! Fit Emma pour compenser un peu sa bévue.
Après une brève hésitation, il obéit, pliant les cuisses.
— Toutes les copines sont installées au salon, on va pouvoir y aller ! Fit joyeusement Tiphaine dont le bas-ventre commençait à fourmiller de mille délicieuses sensations.
Léa se pencha à l’oreille de Thomas.
— Alors voilà Toto... Ce soir tu vas faire exactement tout ce qui te sera demandé. TOUT sans exception, c’est bien compris ?— Ou... Oui Maîtresse, fit-il la gorge serrée...— En échange, je te garantis l’anonymat. En dehors de nous quatre, personne ne doit savoir qui tu es. Tu garderas ton bandeau de scotch et on t’appellera "chienne", "esclave" etc...— M... Merci Maîtresse... Ravalant sa salive.— Un seul pas de travers, un seul mot qui me contrarie et ta carrière de prof est finie, tu as bien saisi ? Insistait-elle.— Oui, Maitresse, j’ai bien compris.— Allez, c’est parti ! Elle tira sur sa cravate et il faillit tomber en avant.
Le prof en costume-cravate ressemblait plus à un homme d’affaires qu’à un enseignant. Mais sa marche en déséquilibre sur les genoux, les yeux et une partie du visage bandés sous le scotch noir lui donnaient un air ridicule. Lorsqu’il pénétra dans le salon, tracté derrière elle par la jolie blonde, il y eut un éclat de rire général.Une trentaine d’étudiantes était là. Beaucoup d’entre elles étaient en surpoids ou peu gracieuses, certaines venaient d’être larguées par leur copain ou avaient de mauvaises relations avec un père tyrannique.L’arrivée d’un homme ridicule, en position de faiblesse évidente, fit passer un frisson d’aise dans l’assistance féminine.
— Bonjour ! Lança Léa à la cantonade.
Des applaudissements et des sifflets joyeux lui répondirent. Le prof aurait donné très cher pour être ailleurs. Il était totalement à la merci de ces jeunes femmes surexcitées !
— Je vous présente mon soumis... Vous pouvez l’appeler "Esclave", " Salope", "Chienne"... C’est comme vous voudrez !
Nouvel éclat de rire général. Léa se tourna vers l’homme en costume qui bandait visiblement, en l’absence de sous-vêtements, comme un cerf. Le silence se fit.
— Alors, ma Chienne, es-tu contente d’être ici ?— O... Oui Maitresse... Léa...— Ça se voit très bien, en fait ! Fit Léa en allongeant la jambe et pointant son pied contre la bosse du pantalon de Thomas.
Hilarité générale. Il ne s’était jamais senti autant faible et humilié. Son visage s’empourpra.
— Dis-moi, Chienne, vas-tu faire tout ce que je veux ce soir ?— Oui, Maitresse... Léa... Dut-il répondre.— Pourquoi est-ce que tu m’obéis si bien, Esclave ?-...— Réponds !— Parce que j’aime me... Soumettre... À vous ?— D’accord, mais il y a une autre raison, non ?
Il ne voyait pas où elle voulait en venir.
— Parce que je ne suis qu’un cochon... Et un lécheur de chattes ?
Rire de l’assemblée. Sourire de Léa et de sa sœur.
— Oui, ça ça se voit tout de suite ! Mais pourquoi m’obéis-tu aveuglément, c’est le cas de le dire, lol...
Nouveau rire puis silence de curiosité.
— Parce que... Vous détenez des vidéos compromettantes sur moi ?— Awwww... Nous y voilà!... Bonne réponse, Esclave ! Elle lui caressa la tête comme elle l’eut fait à un animal sympathique.
Le public de femmes émit un murmure d’approbation et un frisson d’aise passa sur l’assistance. C’était donc vrai !
— Prouve-le-nous Léa ! Hurla Tiphaine...
Des "oui", "vas-y", "allez" fusèrent de toutes part. Le sourire aux lèvres, la jeune maitresse se pencha et trancha le scotch qui liait les mains du prof de maths. Il resta les bras ballants, le sexe dur et la tête emplie de trouble.
— Embrasse mes pieds, ma "Chienne"!
Thomas se mit à quatre pattes, avança à tâtons et rencontra ses jambes. Il les suivit des lèvres et descendit embrasser les escarpins de Léa. Le groupe de femmes ne pipait mot.
— Ma chienne est si soumise, qu’elle s’est fait prendre par Ali Baba et les 40 violeurs dans une fourgonnette ! Pas vrai Esclave ?
Il leva la tête vers elle, la peur au ventre.
— Oui... Maitresse Léa, s’empressa-t-il de lancer.
Léa mit en route une vidéo et leva son mobile au-dessus d’elle. On apercevait vaguement de loin un groupe d’hommes affairés à l’enculer. Mais on entendait nettement la voix de Thomas gémir de plaisir...
— Vous entendez ? Cria-t-elle.
Un cri de joie et d’excitation retentit dans la salle. Toutes applaudirent ! C’était le coup d’envoi des festivités que toutes attendaient. Ce type n’était pas consentant, mais il était à leur merci. Quelle belle occasion d’évacuer leur frustration ! Chacun de ses cris allait les faire mouiller un peu plus.Tiphaine attrapa la cravate de Thomas et le tira au centre de la pièce, jusqu’à la table basse. Une musique rythmée démarra en sourdine. Emma arrivait avec une poupée gonflable en plastique rose qu’elle coucha sur la table et maintint par la tête.
— Viens lécher le sexe de ta promise, Esclave ! Glapit sa nouvelle tortionnaire en le tirant sur la poupée.
L’ambiance devenait électrique. Les filles riaient, émoustillées par l’humiliation du mâle. Le prof sentit l’odeur du plastique sous son nez et réalisa l’horreur de sa situation.
— Lèche ! Salope ! Cria Léa en lui plaquant le visage sur l’entrejambe de la poupée.
Il sortit sa langue et commença à parcourir le PVC, cherchant à deviner la forme d’un sexe féminin. Les filles hurlaient de rire, certaines avaient sorti leur mobile pour prendre des photos, d’autres se touchaient les seins ou l’entrejambe sans pudeur.Totalement humilié, mais bandant à en avoir mal aux reins, l’homme simula un cunnilingus vigoureux pour obéir à ses Maîtresses et montrer sa bonne volonté. La vison de sa langue rose qui s’activait faisait chavirer les sens de certaines de ces filles privées de sexe depuis longtemps.
— Viens faire l’amour à ta "chérie"!!! Esclave ! S’écria Léa.
Elle le tira par sa laisse au-dessus de la poupée gonflable, tandis qu’Emma se précipitait pour défaire sa ceinture et baisser son pantalon. Le pénis violet de désir de Thomas jaillit aux yeux de toutes. La plus jeune des sœurs le plaqua en avant en appuya sur les fesses du soumis.Résigné Thomas, ondula un peu pour trouver l’orifice du trou factice et s’y introduisit. Léa tira fermement sur la laisse pour qu’il la prenne bien à fond. S’aidant de ses mains pour se tenir à la table, il commença à mimer l’acte sexuel avec l’infâme objet de plastique.Un murmure de plaisir et quelques rires accompagnèrent cet accouplement ridicule et forcé. Souhila s’approcha et commença à lui claquer les fesses.
— Plus vite gros porc ! Fit-elle.— T’aimes ça les poupées, hein ? Riait Tiphaine.
L’homme humilié força l’allure pour les satisfaire et sentit une vague de plaisir sale mais irrépressible monter en lui. Il gémit.
— Encore plus vite, la chienne lui souffla Léa...
Et il hurla sa jouissance dans l’humiliation, sous le regard lubrique des voyeuses au regard trouble.Avant qu’il ait eu le temps de souffler, une grosse fille rouge d’excitation l’attrapa par la cravate et le tira à ses genoux. Elle avait écarté les cuisses en l’empoignant vivement par les cheveux. Elle lui plaqua le visage sur son sexe poilu. Un cri de surprise et de joie parcourut le groupe.Tiphaine et Souhila posèrent un plateau avec des boissons alcoolisées et des gobelets sur la table basse, la musique monta d’un cran. Germaine dont le sexe odorant écœurait un peu Thomas ne tarda pas à jouir sous ses coups de langue experts. Une autre fille dont la laideur certaine l’aurait fait fuir en temps normal, le captura par la laisse et l’installa entre ses jambes. Il commença ainsi à faire le tour de l’ensemble des chattes assises sur les canapés tout autour. L’alcool aidant, les inhibitions s’envolaient. Certaines le gardèrent captif plus longtemps entre leurs cuisses plus afin de jouir plusieurs fois. La suivante s’impatientait et se plaçait derrière lui claquant les deux fesses et lui criant des insanités pour qu’il se hâte.Le cul en feu et le sexe à nouveau bien dur, le soumis mit presque trois heures à faire le tour du salon. Il n’était pas resté bien longtemps le centre de l’attention générale. Juste un accessoire secondaire bien agréable qu’il fallait se prêter à tour de rôle au long de la soirée...
Beaucoup de filles dansaient dans la pièce à côté. Un buffet avait été dressé dans un coin et les convives se servaient dans des assiettes en plastique. Dans le brouhaha des conversations, des amitiés naissaient, toutes passèrent une excellente soirée.Vers 2h, pratiquement toutes les étudiantes étaient parties. Thomas fut libéré de son bandeau.Tiphaine le fit mettre complètement nu, il dut nettoyer le salon, le séjour et la cuisine, pendant que les quatre complices sirotaient des vodkas sur le sofa. Léa l’avait coiffé d’un casque Bluetooth qui diffusait de la musique forte, afin qu’il ne sache pas ce qu’elles se disaient et qu’il se dépêche d’accomplir ces tâches.
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