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Des débuts très prometteurs

Chapitre 2

Gay
Bien sûr, les promesses de Michel ne se firent pas attendre très longtemps !
Après nos branles mutuelles qui nous avaient amenés l’un et l’autre à l’orgasme, nous n’avions plus qu’une seule envie, c’est de recommencer le plus vite possible …
Michel s’était retrouvé une copine (Thérèse) et la voyait de temps en temps dans une ruine d’octroi sur le chemin de notre ruisseau « de pêche », ce qui me frustrait un peu car il était moins « à moi » …. Bon, il ne la baisait pas mais il arrivait à se faire masturber par elle, ce qui évidemment le calmait pour un temps !
Un matin Michel me dit :
« Tu viens cette aprèm, on va à la pêche …. Et puis on arrivera à la ferme, non ? »« Pourquoi pas ! On part à quelle heure ? »« Après manger ».« OK . Tu prends un ‘book’ ? » « Evidemment, mec : on ne va pas s’en priver ! »
Rassuré sur ses dispositions sexuelles, je partis chez moi engloutir mon repas de midi vite fait et préparer mes cannes à pêche. L’idée de me retrouver seul avec Michel m’excitait prodigieusement et j’avais une demi-érection permanente qui déformait mon short en jean. L’après-midi promettait d’être torride ! Je revoyais la longue queue de Michel me balancer ses jets de sperme en pleine poitrine et je ressentais encore la sensation de leur écoulement tiède le long de mon torse !Nous arrivons très vite sur le bord de notre ruisseau préféré mais nos pensées sont déjà ailleurs : trouver un bon endroit tranquille !
Les buissons ne manquent pas et nous y avions confectionné une cachette pour nous planquer et braconner les alouettes !Nous réaménageons rapidement la « cabane » en coupant les ronces qui l’ont envahie. Le sol est resté assez plat et sec car il n’a pas plu depuis plus d’un mois. Je sais que nous bandons déjà tous les deux et que le « book » sexy va nous exciter encore plus …
Rapidement, nous étendons une bâche plastique au sol afin d’avoir un peu de confort.Michel sort de son panier le « Paris-Hollywood » et commence à le feuilleter sous mon nez.
Très vite, sa main se pose sur ma cuisse et remonte vers mon entre-jambes. J’écarte un peu les cuisses pour lui faciliter le travail … Il comprend vite que je meurs d’envie de ses attouchements !
Il tâte ma queue à travers l’étoffe et me dit « Putain, t’es comme un taureau ! Tu vas voir, je vais te faire jouir comme une bête. Mets-toi à l’aise, mec » … Et, disant cela, il se débarrasse de son sweat puis de son short. Nous nous retrouvons côte-à-côte en slip et torse nu.
Michel masse doucement mes couilles à travers l’étoffe tout en examinant attentivement mon torse. Brusquement, il se penche vers moi pour léchouiller un de mes tétons. Je frissonne de surprise puis, très vite, ça m’excite … Alors, il entreprend de me sucer ce téton en l’aspirant littéralement. Il me le ventouse fortement puis ses dents le mordillent légèrement, lentement en le faisant rouler … et durcir !
Je suis en nage, je gémis de plaisir : sa bouche ne quitte pas mon sein et ses dents se font plus pressantes, ses succions plus fortes … «Attends, sinon je vais juter ». Il comprend immédiatement et arrête de m’avaler mais il a écarté l’élastique de mon slip et peut accéder à ma queue dont le méat bave abondamment.
Michel sent que je suis bien préparé : il étale ma mouille sur le frein de mon gland puis sur toute sa surface … je suis complètement décalotté ! « Attends, ne me branle pas encore sinon je vais tout balancer ». Il arrête ses caresses mais recommence à me ventouser le sein qui est devenu très sensible !
J’ai l’impression d’être presque une nana tellement il me domine : je bave du gland comme un fou et il ne me lâche ni le téton ni la queue …. Je suis dans un autre monde tellement je jouis sans juter ! Il l’a bien compris et semble prendre un malin plaisir à me faire bander au maximum …
Mon téton devient presque douloureux sous son mordillement, alors je lui suggère de prendre l’autre en lui poussant doucement la tête vers l’autre côté de ma poitrine. Il arrête sa succion pour me dire : « t’aimes ça, hein, mon cochon ? Tu vas déguster un max ». Et il se met à me ventouser le téton droit en le titillant du bout de sa langue puis en le mordillant.Ce jeu me plaît bien. Je suis allongé par terre sur la bâche plastique et Michel me domine : je suis devenu sa « chose » et ça le fait bien bander !
Je vois son slip tendu par sa verge dont le gland bute contre son élastique.
J’avance doucement une main et j’écarte le haut de son slip pour laisser passer son gland qui n’attendait que ça : sa mouille coule et commence à poisser mes doigts. Je sais qu’il pourrait jouir très vite, alors je ne le branle pas. Je me contente de lui caresser le gland très doucement sans rien brusquer …. L’intensité de ses succions-mordillements me renseigne sur l’état d’excitation dans lequel il est !
Brusquement, il se crispe, lâche mon téton et me dit « putain, j’ai envie ». J’en profite pour m’asseoir et extraire sa queue du slip par l’entre-jambe …. Sa queue est dure comme un bâton et je comprends que je peux le faire juter à tout moment !J’ai repris le dessus sur lui : j’étale sa « bave » sur son frein et me mets à faire de très très lents allers-retours … Je le branle, quoi !!
Il halète comme un chien de chasse … je n’arrête pas car je veux le faire jouir mais sans trop précipiter les choses … Il bande magistralement et ne cherche pas à fuir mes caresses qui se font plus rapides !
Sans qu’il me dise quoi que ce soit, je comprends qu’il me « laisse faire » car ça lui fait trop de bien : il est assis, cuisses écartées, queue et couilles dehors par le côté du slip, et ferme les yeux pendant que je le branle … J’accélère un peu plus et il m’y encourage en me disant « tu vas me faire juter, mec».
C’est bien justement ce que je suis décidé à faire … Je fais ça du mieux que je peux et je sens chacune de ses réactions, de ses contractions, chacun de ses gémissements.
Sa queue me semble énorme et son gland devient presque violacé. Il va jouir car je le veux !Je lui dis « Tu veux que je te tète ? ». Cette simple question déclenche chez lui un orgasme inattendu dont la violence me surprend : je prends son premier jet sur la joue. Je continue ma branle et 4 ou 5 jets moins puissants s’écrasent sur mes cuisses et mon avant-bras !« Putain, mec tu m’as tué » gémit-il très essoufflé. « Tu m’en as fait balancer un sacré paquet ». Je ne pouvais pas dire le contraire car il était littéralement ‘vidé’ et commençait à débander ...
Je compris alors que, pour moi, il allait falloir que je me soulage seul …
Je me suis levé, ma queue à la main et ai commencé à me masturber au niveau de son visage.Il me regarda, hébété, crevé par ce que je venais de lui faire subir … Moi, j’étais trop excité pour différer ma branlette : mon sperme jaillit en même temps que je grognais « Hgrrrrr c’est BoooOOOOnNN ». mes giclées passèrent à côté de son visage...C’était lui qui avait commencé mais c’est moi qui avais eu le dernier mot en le faisant jouir avant moi et c’était, dans ma tête, une victoire …
Le ruisseau était à 2 pas et nus avons fini à poil dans l’eau à nous nettoyer et à nous marrer …
Les deux chenapans que nous étions venaient d’entamer une histoire qui durera longtemps.
Nous n’étions pas arrivés à la fameuse ferme.Ce n’était que partie remise.
Michel clôtura la soi-disant partie de pêche par un « Salaud, tu m’as crevé !! »« Pourquoi, t’as pas aimé ? »
« Tu verras, le prochain coup je me vengerai » !
J’étais donc prévenu et je devais m’attendre à des ‘représailles’ géantes …
Mais ça, ce sera pour plus tard !
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