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Des débuts très prometteurs

Chapitre 4

Gay
Souvenez-vous !L’épisode précédent s’était terminé sur ces mots : « … Il est allongé au sol, à ma merci s’il se laisse faire … et  il se laisse faire !!! Sa queue est très dure et luisante de mouille… »

** Michel a donc le visage sous le poncho et ma main s’affaire par le trou de l’encolure de celui-ci sur sa queue qui a sérieusement durci ….J’entends son souffle s’accélérer et ça me confirme qu’il est excité par ce qui va se passer … Dès ce moment, je sais qu’il va « déguster » et qu’il ne pense certainement plus qu’à ça, comme moi !
« Attends, vas doucement ! Depuis le temps, je n’ai plus l’expérience ni la résistance de nos 20 ans, tu sais »« Pas de souci : moi non plus mais maintenant on peut durer beaucoup plus longtemps et c’est ça qui est  très bon mon cochon »Il rigole nerveusement mais je réalise rapidement que sa respiration s’est beaucoup accélérée et que sa queue a grossi dans ma main … Sa tige est trempée de mouille et je la branle doucement en évitant de toucher le gland pour ne pas le faire éjaculer trop vite … Il gémit et essaie de modérer mes mouvements en retenant doucement ma main par le poignet … « C’est bon ? »« Oui … mais ne va pas trop vite sinon je risque de décharger sans le vouloir ! »« Alors je vais te sucer : tu te souviens des bonnes pipes qu’on se faisait ?»
« Déconne pas : tu vas me faire juter immédiatement si tu me pompes. Tu sais bien que rien que cette idée risque de me faire partir au quart de tour !! » « Attends, je vais faire très doucement et tu me guideras pour éviter que tu décharges … »En disant ça, ma tête s’est approchée du trou du poncho et je vois désormais parfaitement la queue de Michel que je vais sans doute sucer car l’idée m’excite au plus haut point … Il a un chibre magnifique : bien plus noueux que le mien et son gland décalotté est plus large que 2 pouces côte à côte… Il doit percevoir mon souffle chaud et humide sur ses poils car il me dit  « déconne pas, salaud … ». Je ne réponds rien mais j’approche lentement ma bouche de sa tige !En fait, je suis très excité à l’idée de branler Michel. Mes souvenirs font durcir ma queue dès que je pense à nos jeux sexuels de l’époque. On s’envoyait en l’air et on pouvait juter 3 ou 4 fois chacun dans l’après-midi !Je meurs d’envie d’avaler son gland sans attendre …. Mais ça serait gâcher bien trop vite une séance qui promet, alors je me force pour retenir ma pulsion ….. Je sens l’odeur musquée de sa bite à 10 cm de mon visage. Mes doigts enserrent sa tige et commencent un très lent va et vient qui lui arrache des gémissements et des balbutiements incompréhensibles ! Il est à ma merci, ce cochon … Il va donc déguster l’arriéré de toutes ces années « perdues » !J’ai décidé de bien le faire jouir en le faisant durer le plus longtemps possible …  ça me fait violemment bander rien que d’y penser !! Quand il jouit, il devient comme fou tellement il est sensible …. Je veux voir (revoir) ça !
La pointe de ma langue effleure son méat qui coule abondamment. Je recueille un filet de mouille gluante qui s’étire entre son gland et mes lèvres… et je le goûte : il est salé et épicé !Ma langue revient à la charge et titille son gland sur le pourtour décalotté de son chibre. Son sillon est très sensible et cette caresse linguale lui arrache des petits gémissements. Je sens nettement son gland qui palpite … et son bas-ventre qui se contracte sous mes coups de langue presque ininterrompus. Je ne veux pas qu’il jute, mais je tiens à ce qu’il jouisse le plus longtemps possible ! Alors, je recalotte difficilement son gland pour que sa pré-jute s’accumule un peu dans son prépuce. C’est un truc que les anglais m’ont appris : le massage de la peau du gland sur le liquide séminal est très agréable …Alors, pour essayer de changer un peu le cours des choses, je lui demande : « essaye donc de pisser, mon salaud » … Comme s’il se réveillait d’un bon rêve, il bredouille : « Quoi ?? Qu’est-ce que tu veux ?» Je lui répète calmement « essaie de pisser pour voir » !  Je sens qu’il débande un peu … « Je suis trop dur, je peux pas  … et puis je vais te pisser dessus ! ». « Ne t’inquiète pas pour moi ».  « Alors, tu essaies, salaud ? » Aucune réponse ne me parvient mais je sens sa queue qui mollit : il va pouvoir se lâcher ! Je n’ai jamais vu pisser un mec qui bande mais j’aimerais bien y assister pour voir ce que ça fait ! Je sais que les « uro » en sont friands et je voudrais comprendre pourquoi …. Mais Michel ne pisse toujours pas et continue à mollir doucement, alors je reprends mes jeux avec sa queue ! Je suis très excité et mon chibre commence à prendre des proportions importantes : j’ai envie de voir la bite de Michel et surtout d’entendre jouir ce dernier !Je dégage bien sa queue pour ne rien manquer du spectacle. Ses veines sont gonflées dans une peau tendue à bloc sur sa tige. Je l’entends souffler comme un phoque : il n’en peut plus, c’est sûr !!
« T’as envie, hein mon salaud ? » « Déconne pas, t’es vicieux, là, mec » « Tu vas juter mieux que jamais. Je veux que tu jouisses comme une bête. Tu te doutes bien que je bande un max moi aussi ! »En lui disant ça, je lui masse doucement les couilles en les pressant un peu. Je les sens bouger sous la peau tendue de ses bourses et ça m’excite encore davantage …Il va juter : je le sais … mais il faut que je fasse durer sa bandaison le plus longtemps possible. Son méat bave des flots de pré-jute ….  Je dois avouer que j’ai, moi aussi, la queue en ébullition !Je  « bave » comme un puceau : mon gland est recouvert d’une mouille très épaisse et gluante …
Je tiens ses couilles dans une main et sa tige dans l’autre pendant que mon visage est proche de son gland. J’enserre progressivement plus fermement ses testicules et je les tire vers le bas. Sa queue suit le mouvement et donc s’approche de mes lèvres ! Putain que ça m’excite : j’ai la queue dure comme du béton et mes burnes remontent dans mes bourses à m’en faire mal … je crains que, si Michel décharge, je jute en même temps que lui sans me toucher !Je suis redevenu le gamin que j’étais il y a longtemps mais j’ai, en plus, une longue expérience du sexe et je la mets en pratique du mieux que je peux !J’entends Michel respirer de plus en plus fort. Il grogne parfois comme une bête ! Je décide de continuer à le branlotter très doucement pour le faire pré-juter un max. J’adore ça : sa mouille tiède dégouline sur mes doigts… Par moments, son gland baveux vient buter contre mon visage et mes lèvres l’effleurent. J’en ai envie … mais si je le prends en bouche, Michel va juter très vite et je ne le veux pas (du moins, pas tout de suite).Ça fait maintenant plus de ¾ d’heure que je m’occupe de sa queue et il finit par en avoir mal aux couilles ! Il me le dit : « Putain, j’ai les burnes qui me brulent. J’ai envie de pisser ou de gicler … Tu me « finis » ou bien on inverse les rôles ? ».
Je suis trop excité pour accepter d’abandonner la tige de Michel, alors je lui dis en rigolant « Pisse donc si tu y arrives ». Je sais bien qu’il ne pourrait pas pisser, même s’il le voulait !
Alors : le faire juter ou essayer de le faire pisser avant ? C’est excitant de penser à ces deux possibilités ...Il me faut un peu de temps pour réfléchir !
Alors à bientôt pour la suite, mes lapins !
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