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J'ai des fantasmes particuliers

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Dimitry, et je vais vous raconter un pan de ma vie que personne ne connaît.
J’ai 26 ans, et depuis de longues années maintenant, je ressens une excitation particulière lorsque, dans mon esprit, mes parents et le sexe se rencontrent. Je suis ce que certains d’entre vous appellent probablement un pervers, un dégénéré, et pour ces personnes-là, je préfère vous mettre en garde : ce qui suit n’est pas très « catholique », si je peux me permettre l’expression.
Tout a commencé lorsque, plus jeune, par un pur hasard un soir, je suis tombé sur le téléphone de mon père. Curieux de nature, je n’ai pu m’empêcher de regarder un peu ce qu’il y avait à l’intérieur. Je suis tombé déjà sur des sextos. Très crus, j’ai découvert des paroles que je n’aurai jamais pensé venir de mes parents. « Quand tu rentreras ce soir, je te sucerai avec un doigt dans le cul » ou « J’ai hâte de te prendre comme une chienne à quatre pattes » étaient le genre de textes que j’ai pu lire. Je fus choqué de lire ce genre de choses, mais derrière ce sentiment, je ressentais quelque chose d’autre. Une sorte de montée de chaleur. Je ne pouvais pas mettre de mots dessus à l’époque, mais maintenant je sais... Sous cette décharge d’adrénaline, j’ai continué l’exploration du portable paternel.
Un petit tour dans les photos, et là, la stupeur. Je découvris des photos de ma mère nue, avec un gode entre les cuisses, à quatre pattes, les fesses bien écartées. Je tombai sur des photos d’érection de mon père, de ma mère avec un gode ceinture. Les mains tremblantes sous la décharge soudaine d’épinéphrines, je continuai. Et une photo en particulier me marqua, et je me souviens d’elle encore maintenant comme si je la voyais pour la première fois : je découvris une image de ma mère se faisant sodomiser par mon père. Je me souviens parfaitement de la raideur de la tige à mon père, des fesses maternelles autour de ce sexe, de l’expression de plaisir sur le visage de ma mère...
Je me suis envoyé sur mon portable toutes ces photos, pour de futures masturbations. Oui, sur mes parents. Des masturbations incestueuses sur les photos pornos de mes parents. Je ne sais pas si c’était la situation en elle-même, ou le tabou lié à ce genre de pensées, mais ces plaisirs solitaires étaient les plus puissants que j’ai pu avoir.Enfin bref, avançons un peu dans le temps. Durant plusieurs années, je continuais de fouiller de temps en temps les portables de mes parents, à la recherche de nouvelles photos, vidéos et sexto. Mes recherches n’étaient pas toujours concluantes, mais lorsqu’elles l’étaient, je savais que ça allait me servir pour les mois à venir.
En parallèle de ça, j’ai commencé à jouer de plus en plus avec mon cul à moi. D’abord quelques caresses pendant mes masturbations, je suis rapidement passé à la pénétration, avec mes doigts d’abords, puis les bouteilles de shampoing / gel douche. ET j’ai compris à ce moment-là que j’adorais ça, mais qu’il m’en faudra rapidement plus. Plus gros, plus long, plus « réel »
Puis un jour, j’ai franchi un palier. Curieux de ce que j’avais pu voir sur les photos et à la recherche de « vraies » sensations, un jour où j’étais tout seul au domicile familial, je me suis mis à fouiller la chambre parentale, à la recherche de godes, photos, lingeries et toute autre chose que j’avais pu voir discrètement. Et je découvris ce que je cherchais : une valise discrètement cachée au fond de l’armoire, contenant divers ustensiles de plaisir, et j’en reconnus plusieurs, dont un gode XL, un double gode et un gode ceinture. Je suis resté immobile quelques secondes, ou peut-être une bonne minute, incapable d’en croire mes yeux. Tout ce que j’avais pu voir sur de simples pixels, je l’avais devant moi. Ce qui n’était que « virtuel » venait de prendre un tout autre aspect, un aspect plus vrai. C’était donc réel. Le corps tout tremblant d’adrénaline, je pris le premier gode que ma main réussit à attraper. C’était le gode XL. Un très gros morceau.
Je ne réussissais pas à me convaincre que ma mère réussissait à le prendre, à l’insérer entre ses cuisses, ou pire, dans son cul. Inconsciemment, je n’ai pu m’empêcher de le sentir, puis de poser ma langue dessus. Ma queue devint subitement raide à la pensée qu’il y avait probablement les restes des derniers ébats de ma mère sur ce morceau de caoutchouc, et que, indirectement, je léchais la mouille de ma propre mère.
Je me suis rapidement dirigé dans ma chambre avec ce nouveau jouet, et, armé d’une bouteille de lubrifiant que j’avais aussi récupérer dans la valise, je projetais de moi aussi me l’enfiler. La tâche allait être ardue, mais l’excitation et le lubrifiant allaient faire l’affaire. Après une ou deux minutes à réveiller ma rondelle, je l’enduis de lubrifiant, le recouvre également le gode, et je tente de m’asseoir dessus. Bordel, il était gros. Très gros. J’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois. Je n’avais jamais pris de choses aussi grosses auparavant. Je tente une nouvelle fois, et repense cette fois-ci aux photos que j’ai pu voir, et que ce gode a été (au moins) dans la chatte de ma mère. Je force un peu, et je sens subitement le gland se glisser en moi. Et à ce moment-là, je reste immobile. Une douleur se fait sentir.
Je commence à douter de ce que je venais de faire, puis, respirant profondément et gardant mon calme, je sens la douleur qui s’estompe, l’excitation qui revient, et une décharge de plaisir monter. Je tente de m’asseoir un peu plus, et je sens le jouet s’enfoncer sans difficulté. Le plaisir et l’adrénaline que j’ai ressentis à ce moment ont manqué de me faire m’évanouir. Je n’oublierai jamais ce moment. J’étais là, au milieu de ma chambre, tout seul un après-midi de juin, le plus gros des godes parentaux que j’ai trouvé qui s’enfonçait petit à petit en moi. Dans mon esprit, les images s’entrechoquaient. Ma mère à quatre pattes, l’érection de mon père, la sodomie de ma mère...
Je tremblais d’excitation, et commençais à me masturber en faisant des va-et-vient, et, sans m’en rendre compte, j’imaginais ma mère et son gode ceinture à la place du gode simple que je chevauchais. L’éjaculation n’en fut que plus puissante. Un râle de plaisir m’échappa, et heureusement que j’étais tout seul, car il fut très bruyant.
Je suis resté un moment, je ne saurai dire combien de temps, à genoux au sol, le gode encore en moi, du sperme étalé devant moi. J’essayais de reprendre mon souffle, de mettre de la cohérence dans mes idées. J’étais encore troublé et excité par ce que je venais de vivre. Une fois remis de mes sensations, je retirai le gode dans un soupir de satisfaction. Il était temps de tout nettoyer et de tout remettre en ordre.
Je venais de jouer avec des jouets qui avaient servi à mes parents, j’avais l’impression, qu’indirectement, j’avais joué avec eux. Je savais que ce n’était pas fini.
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