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Des godes et des centimètres

Chapitre unique

Erotique
Un centimètre.Dés le début de ma vie sexuelle, j’ai toujours aimé la sodomie. Mes premières expériences étaient tellement intenses que naturellement je cherchais des sensations nouvelles et variées. Très vite j’ai commencé à me titiller l’anus, à le pénétrer avec un doigt, partant à l’aventure de cet endroit un peu secret, à la « sale »réputation et découvrant à quel point cet espace était sensible et… jouissif.
Deux centimètresLe doigt ne me suffisait pas. Je n’avais qu’une envie c’était être pénétrée avec autre chose, de réaliste, à défaut de vrai.Oui mais comment ? J’ai un certain age. On était dans les années 70.  Les gays se cachaient et je n’en ai jamais connu à cette époque. L’internet n’existait pas et les sex-shops étaient tellement discrètes que je n’avais pas la moindre idée où se trouvait la plus proche. J’ai trouvé mon premier bonheur avec une pompe à vélo hors d’usage. Les plus anciens ont sûrement connu ce modèle en aluminium, au bout arrondi. Je me rappelle la délicieuse sensation de cette barre froide, dure, lisse, me pénétrant lentement, générant des frissons dans tout le corps, bloquée entre mes pieds, montant et descendant en m’empalant sur la colonne tout en me masturbant avec délice, où l’agitant avec frénésie jusqu’à l’extase…
Trois centimètres.Grace au minitel, j’ai fini par trouver un sex-shop dans la région à cinquante kilomètres de mon domicile. Ce fut mon premier vrai sextoy. C’était un double dildo de trente centimètres de long en jelly rose. Il était souple, veiné juste comme il faut et mon épouse et moi nous sommes bien amusés avec. Il a passé d’entrée sans problème. Je l’ai aussi utilisé en solo et découvert qu’on pouvait aller bien plus loin que le rectum et pousser loin dans l’intestin. Une des premières fois, je l’ai poussé un poil trop loin… et il m’a échappé. Je l’ai englouti. Je vous avoue que pendant quelques secondes j’ai eu début de panique. Je me voyais déjà aller aux urgences pour avouer piteusement que j’avais besoin d’un coup de main pour m’enlever un grand bout de plastique de mon cul ! Heureusement, j’ai appris qu’il suffisait d’une simple poussée pour faire ressortir le corps du délit. Et également, pris conscience de la nécessite de faire un petit lavement avant de faire de l’anal en grand style. Je ne vous fais pas de dessin…Nous avons gardé ce petit dildo longtemps. Je lui dois aussi ma première jouissance anale, sans avoir besoin de solliciter le service trois pièces manuellement en même temps. Un vrai délice ! Mais il avait un défaut. Avec le temps, sa couleur a changé, passant du rose pale au mauve de plus en plus foncé. Je commençais à éprouver des sensations de brûlures. Il a fallu se rendre à l’évidence, la matière se décomposait et il a fallu le remplacer.
Ah,l’internet…Et puis arriva le temps béni de l’internet. Quel changement ! Amateur de films X, j’ai pu pleinement assouvir mes désirs sur ce plan. Je découvrais avec étonnement des pratiques dont je n’avais même pas idée… et l’envie de les imiter. En même temps, sur les sites X, je restais ahurie devant l’incroyable variété de formes et de taille des dildos, plugs et autres godes tarabiscotés ou non. Je matais avec stupéfaction les monstrueuses pénétrations dont certains et certaines étaient capables. Et je me demandais si je  pouvais atteindre le niveau de ce que je voyais. Après réflexion, il me sembla impossible de m’attaquer aux plus extrêmes pénétrations. Je devais y aller progressivement, voir jusqu’où je pouvais aller et ce, sans me perdre au milieu de l’offre délirante des sites de vente en ligne.
Quatre centimètres.Le premier fut un plug anal en latex. Avec une certaine naïveté, je trouvais l’idée de me balader avec ce truc dans le cul très excitante. Dois-je le dire ? J’ai été déçue ! L’objet est entré très facilement, mais une fois en place les sensations n’étaient pas du tout à la hauteur de ce que j’avais espéré. De plus j’ai constaté très vite l’impossibilité de le garder longtemps. Très rapidement, l’anus se détend, se relâche et l’objet n’a qu’une idée : se barrer !Et pourtant… Figurez vous que je le possède encore ! Il n’a pas bougé (matériellement s’entend...) et je m’en sers régulièrement pour l’échauffement avant d’attaquer le vif du sujet. Et comme je suis le sujet, je ne vous fais pas un dessin pour savoir ou se trouve le vif…
Cinq centimètres.Cette fois c’était du sérieux. Je savais que je passais à une dimension supérieure à la plupart des organes créés dans la nature humaine et je me demandais comment çà allait se passer. Pour remplacer le petit dildo poubélisé, nous avons opté pour un modèle de plus grande taille en latex, très souple, d’une couleur très naturelle (j’adore cette matière) de quarante cinq centimètres de long. Je ne veux pas faire de la pub, mais c’est un modèle qu’on voit souvent entre deux personnes dans beaucoup de vidéos X. Et que naturellement nous avons utilisé de la même manière.Il fait partie des sextoys que je possède encore, utilisé en solo ou en duo. En solo, j’aime le pousser loin, loin, loin, mais alors très, très loin et je dois dire qu’il m’est arrivé d’introduire la totalité des quarante cinq centimètres dans mes fondements. Je ne m’en serai jamais crue capable… Et je vous jure que çà fait une drôle d’impression de sentir l’objet avancer en soi jusqu’au premier coude de l’intestin en titillant le rein au passage.Il est en parfait état, mais je me suis rendu compte qu’il a un diamètre plus proche des quatre centimètres et demi que des cinq. Et bizarrement, je n’ai jamais réussi à avoir une jouissance anale « sans les mains » avec lui.
Six centimètresJe me demandais si prendre un peu plus d’un centimètre d’un seul coup ne serait pas beaucoup ? Cette fois, ce fut un gode ventouse en silicone translucide. Il n’était pas très long, un peu plus de vingt centimètres, mais le diamètre, lui, était bien là ! Ma femme en le découvrant déclara « mais c’est énorme ! ». D’une certaine façon elle avait raison. Mais encore aujourd’hui, c’est un de mes jouets favoris.La première fois j’ai eu l’imprudence de vouloir l’utiliser sans préliminaires. Je l’avoue, j’ai eu mal. Par la suite, je me suis imposé un petit échauffement préalable, le plug une dizaine de minutes bien au chaud. Maintenant, avec le temps, bien rodé, je me passe d’échauffement ! Je me demande si ce n’est pas mon préféré. Il a une surface un peu granuleuse, veinée et on sent la moindre de ses aspérités quand il passe là ou vous savez. Au bout d’un moment, çà commence à chauffer d’autant qu’il masse plus ou moins la prostate, pour peu qu’on y mette du rythme. Et grâce à lui, j’ai eu de nombreuses jouissances anales. Je l’adore !
Sept centimètres.Avec le recul, j’ai fait preuve d’enthousiasme optimiste. Mais j’étais tellement satisfaite d’avoir si bien maîtrisé le gode ventouse… Mon dévolu s’est jeté sur un modèle baptisé « big boss », donné pour sept centimètres de diamètre et trente cinq de long. J’utilise ce terme sans remord puisque beaucoup de modèles sur le Net portent ce nom. Mais quand je l’ai reçu…J’étais effarée. Cette fois c’est moi qui me suis dit, c’est énorme ! Je réalisais alors que chaque fois qu’on augmente le diamètre d’un centimètre, coté tour de taille si j’ose dire, c’est plus de trois centimètres… Pour la première fois je me suis dit que peut être cette fois je n’y arriverai pas.Le premier essai a été un échec. Ainsi que le deuxième. Mon anus était distendu à l’extrême, j’avais peur de me déchirer. J’ai précédé le troisième essai d’un long échauffement avec mon gode ventouse favori. Lubrifiée plus que généreusement, je me suis installée à genoux sur le carreau de la salle de bain, le gode géant bloqué entre mes pieds, et j’ai positionné l’autre coté entre mes fesses, bien décidée à le faire rentrer un jour ou l’autre. Et j’ai pesé de tout mon poids. Çà a fait mal, très mal, au point que je me suis dit, c’est bon, j’arrête. Et là je me rend compte que le monstre m’a pénétré de quelques centimètres. J’avais l’impression que j’allais me déchirer, et je me dis « putain, c’est rentré ! Tant pis, perdu pour perdu, je vais au bout ! ».Je ne me rappelle pas avoir jamais ressenti à ce point l’impression d’être empalée, pour ne pas dire embrochée. La tète me tournait, j’avais des étoiles dans les yeux. A un moment, j’ai l’impression que le truc a buté sur quelque chose. C’est bon j’arrête. Et stupéfaite je me rends compte que je l’ai rentré presque à fond, bien plus de vingt centimètres !J’étais au bord de l’évanouissement. Je cherchais ma respiration tellement la douleur était intense. Je me suis plus ou moins effondrée sur le carrelage avec l’engin profondément planté en moi. Je sentais mes chairs écrasées contre les os de mon bassin. Mais le pire était à venir, quand j’ai essayé de le retirer. Je n’arrivais plus à pousser. Il me résistait.Finalement en me contorsionnant, et en gémissant, j’ai pu mettre la mais sur ce qui dépassait encore et commencé à le retirer. Ce fut presque horrible ! J’avais l’impression de m’arracher les entrailles, que mon anus et le reste allait se retrouver à l’extérieur de mon corps. Puis soudain, je l’ai éjecté…Je suis restée un long moment allongée sur les carreaux, le temps de reprendre mes esprits. Puis d’une main un peu tremblante, j’ai inspecté au toucher mon anus, et à ma grande surprise tout était en place, sans même la moindre déchirure. J’étais soulagée à tous les niveaux, d’abord de ne pas m’être blessée, et surtout d’avoir réussi ! Mais je me suis dit « plus jamais ! ».Mais…Vous savez ce qu’on dit ? Serment d’ivrogne… Quelques jours plus tard, je suis repartie à l’assaut. Puis une autre fois.Et puis une autre. Avec le temps, mon corps a fini par accepter le monstre, et il glissait entre mes fesses avec une relative facilité. Toute fois, je ne le possède plus. Son défaut était d’être trop rigide. Une erreur que je n’ai pas renouvelé pour les autres. Parce que oui, il y en a eu d’autres…
Huit centimètres...J’avais des doutes… J’avais raison. J’avais prudemment opté pour un plug. Pas très long, mais le diamètre y était. Et c’est l’échec… J’ai beau tout essayer, me tortiller dans tous les sens, rien à faire. Je sens le plug buter sur les os de mon bassin. Et çà, ce n’est pas extensible. C’est terminé, je connais mes limites à présent. Sept centimètres et un chouia, c’est le maximum que je puisse me permettre. Et qui me laisse malgré tout un énorme choix !
...Et plein d’autres centimètres. Depuis je me suis amusée avec pas mal de sextoys. Je ne les citerai pas tous. J’en ai gardé quelques uns, poubélisé d’autres pour diverses raisons. J’ai testé les godes gonflables. J’ai été déçue. D’une part, quand on le sort gonflé, il s’écrase au passage, et d’autre part j’avais toujours peur qu’il me pète dans le rectum ! Par contre j’ai adoré un gode fist. Si çà tente un jour quelqu’un, pas de problème, j’ai de l’entraînement ! Actuellement un de mes préférés est un énorme gode XXL noir, cinq centimètres au gland pour onze centimètres à la base. Inséré au plus loin que je peux, il écrase mes tissus contre mes os au point qu’il comprime mes vésicules séminales, d’où fuite de gouttes de sperme que je récupère soigneusement, miam. Et il m’a confirmé mes limites, c’est à dire qu’il bloque à un niveau voisin de huit centimètres de diamètre. Et là, rien n’y fait. Il m’arrive d’être complètement en lévitation sur lui et çà ne bouge plus d’un millimètre.
Et voilà. Bien sur mes plaisirs ne se limitent pas à çà, j’en ai bien d’autres… en duo. D’ailleurs, si l’un de vous un jour a envie de me rendre visite et visiter mon intimité, il sera toujours le bienvenu.
Alors, à bientôt !
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