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Des hommes et des chiens pour ma petite chatte.

Chapitre 5

Epilogue

Zoophilie
Clémentine a été notre première employée.
Trentenaire célibataire au visage quelconque, petite, ronde pour ne pas dire replète, avec des seins monumentaux reposant sur la graisse d’un ventre lourd, des fesses adipeuses, elle a d’abord été cliente.
Elle venait chercher en expériences tarifées dans les couloirs et backrooms de notre établissement ce que les hommes lui refusent gratuitement dans la rue.
En fait, elle connaît un véritable succès. Elle suce comme une déesse, ses gros nichons accueillent tous les gabarits de pines dans des branlettes espagnoles d’anthologie. Son gros cul se défonce en souplesse et son vagin parait un puits sans fond, près à se faire élargir par la plus grosse des queues, fut-elle celle d’un pachyderme.
Marco s’est assez rapidement entiché de cette montagne de chair et de sexe qui est vite devenue une habituée de la maison jusqu’au jour où elle a demandé à se faire monter par l’un des chiens.
On a refusé bien sûr... dans un premier temps... à cause des risques, no bêtes n’ayant jamais enfilé une inconnue... Ce n’était pas prévu dans notre "cahier décharge". Elle y a mis le prix. Les chiens adorent la couvrir, elle excite leur libido comme aucune autre femelle ne le peut. Le rut est monumental. Les mateurs nombreux.
Dès qu’elle se met en levrette, elle ondule son croupion. On ouvre la porte. Le chien accoure et renifle immédiatement la moule. Il lèche. Elle l’encourage tout en surveillant la progression de son érection. Quand elle la juge satisfaisante elle écarte bien les cuisses et les chiens spontanément escaladent sa croupe volumineuse. La protubérance rouge trouve le trou aussitôt et le chien se verrouille rapidement. Il reste là jusqu’à son orgasme. Donnant de rapides coups de reins. La femelle assure le service en couinant et en le stimulant comme elle ferait avec un homme. Sans retenue elle décrit ce qu’il se passe en elle : "C’est bon, il est calé au fond ! Il me remplit toute la masse. Je sens bien sa jute pulser dans mon trou. Il me remplit de jus chaud. Ça palpite à mort Ouiiiiiii...hmmmmm". L’auditoire est subjugué.
On a vu la progression du chiffre d’affaires dès qu’elle est montée en scène. On lui a fait une offre. Elle a accepté.
Il faut dire, et vous l’avez certainement compris, que nous avons créé une entreprise.
C’est Jean-Lou qui en a eu l’idée.
Mon salaire, bien que conséquent, ne me permettait pas de garder trois hommes et trois chiens à la maison. Mais me séparer de ces six grands baiseurs me paraissait impossible. La première semaine après nos retrouvailles  a été tellement longue... Tous les soirs je me caressais la chatte en invoquant leurs noms. Et si la distance avait été plus courte, je les aurais rejoints pour me faire défoncer tous les jours. Quant à n’en garder qu’un seul, il ne fallait pas y songer. Lequel choisir ? Même si j’ai une préférence pour Phil, j’aime aussi la façon dont les autres m’éclatent le cul.Les faire travailler à la ferme, ce n’était pas leur genre et cela n’aurait pas été rentable.

— On a les bâtiments, on est quatre. Pourquoi ne pas ouvrir une boîte de cul ?

On y a réfléchi et c’est ainsi qu’est né "le chenil", notre boîte à partouze.
Le slogan est clair " amène ta chienne se faire baiser".
On a délibérément visé un public échangiste. Les couples viennent, et monsieur partage madame ou la regarde se faire baiser. Les femmes seules sont admises et les messieurs célibataires aussi mais c’est plus cher.
On a transformé la vieille grange et la vieille étable. Les garçons ont fait l’essentiel des travaux par eux-mêmes. On a créé un parking.Mais le succès est venu de nos "afters spéciaux" qu’on n’annonce que par du bouche à oreille.
Trois fois par semaine, dans une petite salle de spectacle avec une scène au milieu, moyennant un supplément de prix, assez substantiel il faut le dire, le public assistait à une saillie particulière.
Vêtue d’une cagoule qui cachait mes traits, je me faisais monter par un des chiens pour la plus grande joie des spectateurs et spectatrices qui finissaient par s’accoupler et partouzer avant même que la bête ne décharge en moi.
C’est lors d’une de ces soirées que Clémentine a eu le désir de prendre ma place.
Cela a été un triomphe.
L’affaire a prospéré. Les clients viennent de très loin et parfois de l’étranger. Plusieurs habituées on demandé, comme Clémentine, à se faire saillir sous le regard concupiscent de leurs maris.
Comme les voyeurs ça aime voir et que, dans les derniers gradins, on ne peut pas capter le détail, on a ajouté un écran géant qui permet à Phil, nu comme un vers mais avec un harnais de cuir, de filmer des gros plans. Les mecs, en général aiment voir le jus couler sur l’abricot.Quand le chien a dégonflé, on le ramène à la niche et tout le monde peut alors approcher pour regarder la raie en gros plan. Des femmes parfois y trempent les doigts.
On organise aussi des rencontres spéciales. Un couple, un chien. Le mari peut filmer et participer.
Certains couples nous ont proposé une fortune pour acheter un des chiens.
Alors cela nous adonné une nouvelle perspective : Marco et Clémentine ont repris des études pour devenir maître-chien et pouvoir développer un élevage canin. On a racheté une petite ferme a quelques kilomètres pour y étendre cette activité.
Et on y dresse des chiens spécialement pour l’accouplement avec des femmes ou des hommes (les demandes sont plus rares cependant).
Vendus "sous le manteau" à des fidèles des chaudes soirées du "Chenil" pour des sommes très élevées, ce complément de ressources nous assure une très solide aisance et enracine notre renommée.
En trois ans l’affaire s’est développée. Nous ne connaissons pas la crise. Nous avons embauché d’autres personnes, hommes bien pourvus, femmes débridées qui font le show et se joignent à la clientèle les soirs où il y a moins d’affluence pour ne jamais décevoir. Nous avons élargi les bâtiments, nouveaux vestiaires et douches entièrement mixtes. Nous projetons piscine et jacuzzi.
Clémentine a apporté ses propres idées.
Première cliente a avoir été pilonnée par un de nos amis à quatre pattes, elle a proposé  que nous ouvrions cette opportunité à d’autres femmes qui n’attendent que cela, en même temps qu’elle.
Au départ, le nombre de chiens nous a obligé à ne le faire que pour deux femmes à la fois. Face à face, les deux salopes se font monter en même temps en se roulant des pelles. Quand les deux chiens se sont retirés, elles se font un 69 endiablé en se bouffant leur moule respective pleine de crème blanche.
La peau laiteuse de Clémentine qui contraste avec son épaisse toison brune et sa vulve gorgée, rouge comme une pièce de bœuf qu’on vient de couper, fascinent le public masculin en rut.
Depuis peu, maintenant que nous avons plus de personnel canin, nous organisons des concours. Des femmes peuvent venir avec leur toutou ou louer un des nôtres et les spectateurs désignent la plus belle saillie du mois. La lauréate gagne son entrée gratuite, accompagnée d’un mâle de son choix pour un an. Ou alors on transforme le jeu; parmi ceux qui ont payé le droit d’assister au spectacle et qui en ont accepté toutes les règles, on tire au sort une femme pour se faire baiser par le mieux pourvu des clebs. Une fois qu’il l’a bien ramonée, tous les mâles de l’assistance peuvent la monter en gang bang sous les yeux du mari cocu qui est le seul à ne pas avoir le droit de la toucher. Ces soirées sont très courues, par des couples de tous âges. La petite salle est toujours pleine. On peut y mettre quarante spectateurs dont à peu près la moitié de mâles par conséquent.
Il ya quelques mois, on s’est lancé dans les moulages. En s’inspirant de ce que l’on trouve dans les sex-shops pour les mecs qui veulent cloner leur bite, on moule la quéquette de nos gros chiens et on vend ces godes dans notre propre boutique.
Il est bien rare qu’un mari heureux d’avoir assisté à l’accouplement de sa femme avec l’un de nos amis à quatre pattes n’achète pas le jouet correspondant pour prolonger le plaisir à la maison.
Quant à nous, notre business, outre qu’il nous a considérablement enrichi, nous a permis d’étendre notre vie sexuelle. Les garçons peuvent faire le choix parmi les clientes et moi parmi leurs maris. Nous avons désormais suffisamment de chiens pour assurer le spectacle tous les soirs et faire deux représentations sans craindre une défaillance.
Notre vie privée a un peu évolué. Marco s’est mis avec Clémentine en couple quasi exclusif avec leur chien. Moi je vis toujours avec les deux autres garçons et leurs compagnons. Nous formons un ménage des plus heureux mais nous nous ouvrons très facilement aux autres... mes cuisses y ont même acquis une grande souplesse.
Si un jour vous passez par là...
Fin.
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