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Des lesbiennes se partagent un sex-toy très spécial

Chapitre 3

Elles y prennent goût

Lesbienne
— Ne t’inquiète pas, Emilie, la rassure Léna, tu sais, les jeunes ont de la réserve !

Laure et moi, nous nous étendons de chaque côté de Claude, je la vois prendre la main du jeune homme et la poser sur sa fente, je fais de même. Il est très habile et je suis agréablement surprise de son doigté.Laure s’est tournée vers lui pour lui donner à sucer sa poitrine, elle a des seins énormes.Il en gobe un et tête le bout.
— Oui, tète-moi comme tu tétais ta mère quand tu étais petit !
La succion est terrible, elle geint à chaque aspiration du mamelon.
— Plus fort... plus fort !

Il accentue son aspiration sur le bout qui devient énorme, le mordille. Ça lui fait aussi de l’effet car je vois poindre entre les cuisses de Claude une nouvelle barre de fer qui, malgré la gravité, gagne de seconde en seconde quelques degrés supplémentaires.
Emilie s’en est rendu compte aussi. Malgré son appréhension pour les hommes, elle chevauche les jambes de Claude, se saisit du mandrin et s’en sert comme d’un gode, frottant ses grandes lèvres avec le gland avant de se laisser descendre, engloutissant dans son vagin une grande partie de ce formidable pénis, la bouche grande ouverte.
On dirait que Claude est déconnecté de ce qui se passe dans le bas de son corps car il ne réagit même pas, ne pensant qu’à continuer de donner du plaisir à moi et à Laure.Laure veut aller plus loin et a mis dans les mains de Claude deux beaux godes pour qu’il s’en serve sur nous. Léna est en train de filmer trois gouines en train de se faire fourrer par un seul homme avec trois godes exceptionnels mais dont un est fait de chair et de sang.
Mon abricot enflé d’excitation offre une fente et des lèvres plus menues que celles de Laure, mais toutes suintantes et une grosse goutte de mon sirop brille à l’orée de mon vagin et coule sur sa main.Mais Laure est déchaînée.
— Si tu veux, Claude, tu peux goûter à ma chatte et même en manger !


Elle rampe sur lui pour bloquer le visage de Claude entre ses cuisses pour qu’il puisse d’abord humer. Il trouve la chose très appétissante et fait glisser sa langue sous la houle de Laure de la raie des fesses jusqu’à la perle du clitoris. Il y concentre tous ses soins avant de poser sa bouche plus bas, sur la conque mielleuse qui produit la gluante sécrétion accumulée à l’entrée du vagin. Il goûte par petites lampées timides avant d’aspirer avec gourmandise la cyprine coulant à flots. Laure gémit comme une folle en lui tenant la tête, les yeux mi-clos et la bouche entre-ouverte.
Pendant ce temps, j’ondule du bassin en soufflant fortement car il tient toujours le gode bien ancré en moi. Je serre mes mains sur la sienne, grinçant des dents en faisant de violents allers-retours dessus, marmonnant des mots incompréhensibles.
Quand enfin nous libérons Claude de nos sollicitudes, nous voyons Emilie toujours en train de faire cavalière seule sur son braquemart. Elle souffle comme une forge, se pilonnant sans ménagement la chatte. L’engin monstrueux coulisse dans la gaine étroite et la fait râler à chaque fois quelle l’enfonce dans sa matrice en murmurant :
— Oh que c’est bon ! Ça n’a rien à voir avec un gode, je le sens vivre en moi !
Elle se ramone encore un bon moment le conduit et jouit avant de s’écrouler sur Claude, terrassée par sa jouissance.Mais lui n’a toujours pas joui, Laure me murmure à l’oreille une idée. Nous prenons position de chaque côté de lui, emprisonnant son barreau de chaise entre nos cuisses croisées. Nous branlons son chibre avec nos vulves, les lèvres collées sur son engin comme des moules sur leur poteau de bois.Sa queue est si longue qu’Emilie peut encore prendre en bouche le gland trigonocéphale et pétrir ses couilles.Sous cette quadruple sollicitation, nous l’amenons doucement vers l’explosion. Léna, en experte, s’en rend compte et attire notre attention :
— Si vous voulez que cette fois, il l’engrosse, il faudrait laisser la place à Emilie !

En une danse bizarre, nous nous retirons pour lui laisser la place. Elle se retourne, lui présentant son postérieur, et se saisit de la pine pour en pointer le gland devant son vagin dilaté. Elle se poignarde de nouveau, complètement déchaînée, arrivant assez vite à une ultime jouissance quand le pénis gigantesque décharge pour la seconde fois.Elle se cabre et hurle en giclant sa cyprine sur cette lance qui le lui rend bien, la remplissant d’une telle dose de foutre qu’il gicle sous pression quand elle se laisse tomber sur lui, s’embrochant beaucoup plus loin que d’habitude.
— Aaaahhhh ! Putain de merde ce qu’il m’a mis ! Il m’a explosé la chatte !

Elle reste sur lui, le poireau en jauge dans son conduit un long moment avant de reprendre ses esprits. Quand elle se relève enfin, une traînée de foutre et de cyprine mélangés coule le long de ses cuisses.Léna est venue nous rejoindre et nous formons deux couples de chaque côté de Claude. Toujours entravé, il ne peut que regarder le spectacle de ces quatre jolies femmes qui se gouinent tout autour de lui. Laure s’avance à quatre pattes, telle une lionne affamée qui fond sur sa proie et prend les lèvres d’Emilie à pleine bouche avant de descendre mordiller les bourgeons des seins. Emilie s’est déplacée pour que Claude puisse manger sa chatte, y compris le clitoris devenu énorme. On dirait qu’elle apprécie ce « mâle » qui l’a déjà fait jouir de plaisir.Léna s’occupe de moi, elle s’acharne sur mon petit minou pour m’amener à l’orgasme. Les minutes passent quand elle me glisse à l’oreille des cochonneries avant de me mettre au défi.
— De nous quatre, il n’y a plus que toi qui n’as jamais goûté au plaisir de sentir en soi la queue d’un homme. Qu’est-ce que tu attends...? Regarde, mon frère rebande rien que pour toi ! Tu vas déjà lui tailler une pipe et après, tu mettras un petit chapeau sur sa teub pour qu’il ne t’engrosse pas toi aussi.

Je tourne la tête et vois la bite en érection qui ne laisse aucun doute sur l’effet que nous lui avons fait. Léna me force à me pencher pour que je la prenne en bouche. J’en ai le souffle coupé tellement sa verge est grosse et épaisse. Je la lèche un peu en pensant que s’il n’était pas attaché, Claude n’aurait qu’une envie, c’est de me planter son pieu au fond de la chatte.Je suis de plus en plus excitée car Léna s’occupe à nouveau de mon petit minou, je mouille encore plus et je coule comme une fontaine.Je suis un peu effrayée malgré l’ambiance très spéciale de cette soirée. Je décide enfin de le chevaucher pour pouvoir contrôler la pénétration de son rostre. Léna passe un préservatif sur le pénis de son frère. J’appuie son gland contre ma vulve mais ma fente ne s’ouvre pas assez pour laisser rentrer le gland dont la taille me paraît monstrueuse.
Léna prend le tube de lubrifiant que nous réservons pour l’anal et enduit copieusement mon minou et la capote. Son gland pointe devant l’entrée de mon vagin mais je n’ose pas aller plus loin. Claude - malgré ses entraves - arrive à donner un léger coup de reins.A ma grande surprise, le gland ainsi que quelques centimètres de la hampe passent le cap fatidique.Je pousse un petit cri et reste ainsi jusqu’à ce que la dilatation de mes muqueuses me permette des mouvements de va-et-vient plus aisés.Tout en gardant une bonne moitié du gourdin à l’extérieur de mon vagin, je chevauche cette monture insolite, coulant de plus belle. A ma grande surprise, j’arrive à m’empaler presque totalement sur ce mât démesuré tout en exprimant un plaisir nouveau pour moi par des grognements de satisfaction.
Je me défonce comme une chienne sur sa verge sur laquelle dégouline maintenant mon abondante mouille. A mon grand étonnement, je trouve ça délicieux. La puissance de son épi me perfore le vagin et je sens monter en moi l’orgasme. J’accélère la cadence, me cramponnant à ce que je peux.
Je pose mes pieds sur ses genoux et mes mains sur son torse pour pouvoir manœuvrer encore plus vite et plus profond sur son dard en hurlant tout ce que je peux quand je jouis enfin avant de m’écrouler sur lui.
J’ai bien vingt-cinq centimètres de son formidable engin dans mon corps. J’essaie de reprendre mes esprits mais les filles en ont décidé autrement. Léna s’est agenouillée entre les jambes de son frère et s’occupe de mon clito dardé qui a doublé de volume avec sa bouche et sa langue. Laure et Emilie ne sont pas en reste, chacune d’elles s’occupe d’un de mes seins en excitant les tétons d’une langue habile. Elles ne perdent pas le nord et demandent à Claude de se servir de ses mains pour leur donner aussi du plaisir.
Je commence à geindre de plaisir et râle sous toutes ces sollicitudes.
A suivre...
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