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Des noces en or

Chapitre 1

Erotique
(Cette histoire est la suite et la conclusion de la série « Un plan en or ». Il n’est pas nécessaire d’avoir lu ces trois histoires, mais ça peut être utile et intéressant).
Vous connaissez tous aujourd’hui mon histoire avec Malika, ma copine lesbienne, l’une des plus belles filles que je connaisse. Vous savez déjà comment j’ai compensé son manque de copine, et quels ont été nos histoires par la suite.Voici la dernière que je vous raconterai en détail, les autres n’ayant pas d’intérêt particulier.Cette histoire est celle de notre mariage, et plus précisément de notre nuit de noces.
Un an plus tôt, Malika m’avait demandé de l’épouser. Et bien entendu, ma surprise fut grande. Je savais depuis l’histoire du camping qu’elle m’aimait, et je l’aimais aussi. Mais de là à croire qu’elle voudrait qu’on se marie.Elle m’expliqua que son ex, Stéphanie, avait essayé de recoller les morceaux, comme Malika avait voulu jadis. Je fus très content de savoir que Malika avait repoussé Stéphanie, comme celle-ci l’avait fait Jadis. Je détestais Stéphanie, encore plus à cause de ce qu’elle avait fait à Malika, alors même que j’aurais dû l’adorer parce que sans elle, toute mon histoire avec Malika n’aurait jamais eu lieu.Bref, Malika me fit comprendre que ce mariage avait trois objectifs principaux. 1° : faire comprendre à Stéphanie qu’elle pouvait aller au Diable. 2° : concrétiser notre amour. 3° : faire plaisir à ses parents qui voulaient tant que leur fille unique se marie un jour.J’acceptai sans mal, sachant très bien qu’en dehors de ça, rien ne changerait entre nous.
Tout cela ne nous a pas empêché de faire un véritable mariage. Après tout, il y avait l’objectif numéro 2, et ça donnait envie d’y mettre les formes. Malika s’était notamment offert une magnifique robe, très simple et légère, qui permettait de deviner ses formes, mais sans plus.Je vous épargne les détails sur le oui devant Monsieur le Maire, le repas, la soirée, et je vais passer directement à la nuit de noces.
Pour notre première nuit en tant que mari et femme, Malika et moi avions réservé une chambre dans un hôtel de luxe. Essayant d’être fidèle à la tradition, je portais ma femme à l’entrée de la chambre, et la posais doucement sur le grand lit.J’ai commencé à la caresser au travers de sa robe. Ses cheveux étaient éparpillés sur le lit, telle une auréole entourant un ange. J’ai posé mes lèvres sur les siennes, et nous nous sommes embrassés tendrement.— Je t’aime.— Je t’aime aussi.— Il y a quelque chose que je voudrais.— Dis moi quoi.— Je voudrais t’offrir ma virginité.Le choc fut encore plus violent pour moi que son premier « Je t’aime ». Jamais je ne me serais attendu à une telle proposition. Et ce d’autant plus que Malika n’avait encore jamais accepté de me voir nu.C’est bête, mais mon esprit se mit à marcher à deux cents à l’heure. Je me disais qu’elle n’était pas vierge. Que même si elle n’avait jamais couché avec un garçon, elle avait dû être pénétrée par un gode, ou même des doigts. Mais que c’était quand même un magnifique cadeau qu’elle m’offrait. Mais que ça ne serait pas comme une vraie première fois.— Je suis entièrement vierge. Rien n’est jamais entré en moi.J’étais scié. Soit elle avait quelque chose de divin et avait lu mes pensées, soit elle me connaissait décidément très bien. J’optais pour un mélange des deux.
Je me suis mis à l’embrasser doucement.— Si c’est ce que tu veux vraiment, j’accepte volontiers. Mais il faut…— C’est ce que je veux vraiment. Je t’aime. Et si je ne te le prouve pas ce soir, jamais je ne te le prouverai.— Tu n’as pas à le prouver.— Je veux t’offrir ma virginité ce soir, répondit-elle comme si elle ne m’avait pas entendu. Je veux que la plus belle nuit de notre vie conclue le plus beau jour de notre vie.Je pris Malika par les mains pour la faire se lever. Je posai mes mains sur ses hanches, et l’approchai de moi pour l’embrasser. Bien entendu, elle se laissa faire et m’embrassa avec beaucoup de fougue, plaçant ses bras derrière ma tête.Sans arrêter de l’embrasser, je passai mes mains dans son dos, et commençai à dénouer les lanières qui maintenaient sa robe. Après deux nœuds, et sans que je n’aie le temps de m’en rendre compte, la robe tomba à ses pieds. Malika était nue en dessous. Enfin, topless. Elle ne portait qu’une culotte de soie blanche. Je passais un doigt sur sa culote, lentement, caressant sa fente. Elle frissonna, et m’embrassa encore.Elle commença alors à défaire les boutons de ma chemise. Elle caressait mon torse au fur et à mesure qu’elle le découvrait. Elle l’avait déjà caressé, mais jamais avec autant de sensualité.Elle fit voler ma chemise. Elle s’assit sur le lit, et me tira vers elle. Ses mains passèrent lentement sur mon torse, mes hanches, mes cuisses, puis remontèrent… Je commençais à être vraiment excité. Je pris le visage de ma femme entre mes mains, et lui caressais les joues. Elle me regarda, et je lus dans ses yeux l’excitation que j’y voyais si souvent.Malika déboucla ma ceinture, et défit le bouton de mon pantalon. Mon pantalon tomba comme sa robe plus tôt. Le caleçon que je portais était très déformé par mon excitation.Ça ne semblait pas déranger Malika, qui me caressa le sexe à travers le caleçon. Avant même que je ne comprenne, elle me baissa le caleçon. Mon chibre sortit d’un coup. Malika eut un mouvement de recul. C’était la première fois en près d’un an et demi de « relation » qu’elle le voyait et, à ma connaissance, la première fois qu’elle voyait le sexe d’un homme.Il s’est alors produit une chose totalement inédite : Malika a été gênée, incapable de savoir comment elle devait réagir. Timidement, elle caressa ma cuisse avec sa main gauche, tandis que la droite s’empara de mon membre, et commença à me masturber doucement. Elle n’avait jamais fait ça, et m’avoua plus tard qu’elle avait eu peur d’aller trop vite.— J’ai envie que tu me fasses l’amour maintenant.Elle se releva, et je me suis agenouillé, pour lui enlever sa culotte. Je ne me privais pas de déposer des baisers sur son ventre et sa chatte.Quand nous fûmes nus l’un et l’autre, elle s’allongea sur le lit, et ouvrit légèrement les cuisses.Je me suis placé au-dessus d’elle. Je caressais son visage et son corps, et je l’embrassais tendrement. Elle caressait son visage et mon dos. Elle me murmurait des mots tendres.J’abaissais mon bassin, et sentis mon sexe qui commençait à entrer dans le sien. Je sentis la paroi de son hymen. Plein de pensées se mêlèrent dans ma tête. C’était la première fois que je faisais l’amour avec une vierge, je ne savais pas comment ça allait être, pour elle comme pour moi. Et puis, Malika pouvait encore changer d’avis, et je n’avais pas envie de la prendre contre sa volonté.— Je le veux. Vas-y.Elle avait encore lu dans mes pensées. Je me suis penché sur elle, déposant des baisers dans son cou. Arrivé près de son oreille, je lui ai murmuré « Je t’aime ». Et alors, je suis rentré entièrement, déchirant sa virginité. Je crois que j’ai crié en même temps qu’elle, bien que son cri ait été plus fort que le mien.La seconde de chaleur dont je vous ai déjà parlé (cf. « Un plan en or » 2 et 3) me parut encore plus intense, quoi que tout aussi courte.Je restais immobile quelques secondes. J’écoutais le souffle de Malika, qui était très rapide. Une fois que j’eus l’impression qu’elle se remettait, je décidai de commencer. Je me mis donc à faire de légers mouvements. Elle avait vanté, sans la connaître, la tendresse dont je faisais preuve lorsque je faisais l’amour à une fille. Pour elle, je voulais mettre encore plus de tendresse.Mes va-et-vient en elle furent très lents, très prolongés. Son souffle accélérait. Elle gémissait de plaisir. Nous n’arrêtions pas de nous échanger des « Je t’aime », de nous embrasser, de nous caresser.Après quelques minutes, je sentis mon plaisir monter. J’approchais de l’extase. Mon cerveau se mit encore à bouillir : voulait-elle que j’éjacule en elle ? Que se passerait-il si je le faisais ? Accepterait-elle que je la mette enceinte ?Cette fois, elle ne lut pas mes pensées. En tout cas, elle ne dit rien.Je continuais donc mes mouvements, jusqu’à atteindre le point de non-retour.— Je viens, dis-je seulement.— Ne te retiens pas, ne te gêne pas.J’ai effectué encore deux petits coups, et j’ai joui. J’ai éjaculé en elle par grandes saccades. J’avais l’impression de me vider. Jamais je n’avais ressenti autant de plaisir, et je savais que ça n’arriverait plus jamais.Je me suis couché à côté de Malika, qui posa sa main sur mon ventre, et m’embrassa tendrement.— Merci, me dit-elle.— Je t’aime.— Pas autant que moi.Elle m’embrassa encore, et encore, jusqu’à ce que le sommeil ait raison de nous.
Je n’ai plus jamais fait l’amour à Malika après cette nuit-là. En tout cas, plus jamais comme cette nuit-là.Bien sûr, nos alliances n’ont jamais rien changé entre elle et moi. Je continue encore à être son principal broute-minou, mais elle continue de voir les filles qu’elle veut, et moi je vois toujours celles que je veux. Parfois, son amante et mon amante ne sont qu’une seule et même personne, et dans ces cas, nous partageons. C’est une situation qui me convient très bien, et je n’en changerai pour rien au monde.
De l’amour et du sexe en toute liberté. Qu’est-ce qu’un homme peut espérer de mieux ?
FIN
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