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Des papy s'échangent leur petite fille.

Chapitre 1

Inceste
J’ai la chance d’avoir une très jolie petite fille de 19 ans et qui répond au prénom d’Anne-Laure. Après son bac elle est partie à la fac, dans ma ville, loin de chez elle. On s’aime bien tous les deux, on est complice, et elle n’hésite pas à me demander un service: l’héberger le temps de ses études, sachant que je vis seul dans une grande maison. J’accepte sans hésiter et cela fait quelques jours que j’ai le plaisir de sa compagnie.Elle est très agréable à vivre, m’accorde de son temps quand elle le peut, vient s’assoir sur le canapé, à mes côtés, pour regarder la télé les soirs où elle n’a rien à bucher. Elle est alors en tenue légère, prête à se coucher, avec un top et un shorty. Ca m’émoustille de voir ses longues et belles cuisses, mais je crois qu’elle le fait sans malice, naturellement, comme chez elle.On parle de choses et autres, et on en arrive à se confier nos solitudes; je suis veuf depuis un an, et elle vient de larguer son copain pour cause de tromperie. Du coup on se fait un câlin que l’on renouvelle chaque soir. C’était très sage au début, puis tendre, puis coquin, puis érotique, puis pornographique.Ca s’est fait peu à peu, inconsciemment, sans trop savoir ni comment ni pourquoi; sans doute que l’on en avait envie tous les deux. Quoi qu’il en soit on n’a plus besoin de télé, et on baise comme des bêtes tous les soirs. On sait que c’est interdit, que l’on vit dans le péché, mais on s’en fout: on se fait trop de bien, et personne ne le saura, ce sera notre secret. Elle est très jolie, je l’ai déjà dit, mais elle est surtout très douée pour le sexe, et de plus hyper bonne. C’est une gourmande, une affamée, une vorace, qui en veut toujours plus. Elle m’offre sa bouche et sa chatte sans compter, mais aussi son petit trou qu’elle m’a fait l’honneur de dépuceler. Je suis gourmand moi aussi et en plus de ma queue je lui offre ma bouche à volonté.
Le plaisir anal lui était inconnu, mais depuis que j’ai enfoui mon gland entre ses fesses elle ne peut plus s’en passer. Elle m’avoue que ça faisait partie de ses fantasmes qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de réaliser. Elle est ravie de se faire enculer par son papy, mais complète son aveu, son vrai fantasme: elle rêve de se faire défoncer le cul par une énorme bite noire. Je lui demande si elle en a déjà vue, la réponse est non, et je lui fais voir des vidéos sur le net, des vidéos que je connais par cœur pour les regarder souvent quand je suis seul. Il y a trois pornstars qui sont spécialistes du multiracial, dont une belle blonde qui pratique la double sodomie.Loin de l’effrayer, ça l’excite, elle veut ma bite dans son cul. Elle enlève sa culotte, déballe ma queue et vient s’assoir dessus. Je bande dur et elle n’a aucune difficulté à coulisser dessus jusqu’à m’écraser les couilles. Elle s’est carré mon manche bien profond, puis se met à faire du yoyo dessus, à disjoncter comme à chaque fois qu’elle prend son pied, autant dire comme à chaque fois qu’elle baise:— Oh, c’est bon, c’est bon papy ta grosse bite dans mon cul. Tu n’as pas un copain noir?— Non, désolé. Mais tu es sérieuse?— Oui, j’ai envie de savoir ce que ça peut faire un gros engin.— Ma queue ne te suffit pas? Elle ne te plait pas?— Ne te vexe pas papy, tu sais bien que je l’adore ta bite, elle est super belle. Et j’aime aussi tes grosses couilles bien juteuses. C’est juste tenter une expérience, mais tu restes mon amant préféré.— Merci ma chérie, tu es mignonne, et tu es toi aussi ma petite salope préférée. Pour en revenir à ton envie, tu peux passer une annonce.— Oui, on verra, mais pour le moment c’est de ta queue que j’ai envie, encule moi mon papy chéri.Elle se relève en même temps qu’elle me parle, se plante debout devant moi, se penche en avant et écarte ses fesses pour m’offrir son petit trou qui frétille d’impatience. Je ne vais pas la faire attendre et me lève pour la prendre sauvagement, comme elle aime:— Oui papy, fous me la profond. Oh putain, c’est bon comme tu m’encules, fourre moi bien, je suis ta salope de petite fille, ta pute chérie qui aime ta grosse queue.— Salope, salope, tu ne peux savoir comme tu m’excites Anne-Laure. Je suis ton grand-père, je t’embroche comme la dernière des trainées, et j’aime ça. Il est trop bon ton cul de chienne en chaleur.— Oui papy, j’ai le feu au cul. Eteins moi avec ta lance à incendie, inonde moi de ton sperme, je veux le sentir couler à flots.— Salope, pute, chienne, vicieuse, perverse, petite fille indigne, sauf de son papy indigne lui aussi. Tu vas l’avoir ma semence, je vais te remplir de foutre et puis je vais te le faire bouffer.— Oh oui papy, tout ce que tu veux.
Je ne me retiens plus et je balance ma sauce abondante entre ses reins. Je jouis, j’éjacule, je décharge à répétition et elle hurle de plaisir, me balance des obscénités, des injures, impensables dans la bouche d’une aussi jolie jeune fille. J’ai fini de me vidanger à fonds, je me retire pour lui donner ma queue à nettoyer en même temps que je fouille son fion pour récupérer mon jus et lui faire sucer mes doigts liquoreux.Notre séance est finie, on est épuisé, ravi, et on s’offre une longue pelle goulue pour se remercier mutuellement.
On va à ma chambre, on se met à poil et on s’allonge pour un câlin. On s’embrasse, on se caresse, et on reparle de son fantasme. Elle avait elle aussi pensé à une annonce, mais elle a peur de se retrouver seule avec un inconnu. Elle voudrait que ce soit moi qui passe une annonce, et qui exige d’être présent à la rencontre pour veiller sur elle. Ca me donne alors une idée qui pourrait me ravir moi aussi, et que je lui suggère. Elle voit que je fantasme moi aussi, me traite de vieux cochon, et trouve ma proposition très intéressante. Du coup je vais passer l’annonce, et elle m’aide à la rédiger. C’est fait, il ne reste plus qu’à valider, et je lui laisse le soin de le faire. Elle clique sans hésiter, et on peut aussitôt la lire sur le site:
"Papy 62 ans, BM, vicieux, incestueux. Je baise avec ma petite fille de 19 ans, mais elle désire un encore plus gros calibre. Alors je recherche un papy black, TTBM, incestueux comme moi pour s’échanger nos petites filles. Seule condition, la petite doit être majeure. Bisous."
On consulte ma messagerie les jours suivants, mais aucune réponse. Du coup on décide d’attendre et on s’y remet quelques jours plus tard. Ma boite est pleine, une quinzaine de messages qu’il va falloir trier. La plupart ne répondent pas à la demande: des blancs, des pas si bien membrés, des jeunes qui offrent leur sœur ou leur mère, des qui proposent des mineures. Au final il ne reste que deux réponses acceptables, et qui remplissent toutes les conditions. Cerise sur le gâteau, les vieux annoncent leur mensuration, et le moins bien équipé envoie une photo de son sexe au repos: un truc incroyable et on n’ose imaginer ce que peut être celui de l’autre. Anne-Laure reste songeuse et inquiète à la fois; elle ne croyait pas que ça existait pour de vrai. On répond quand même à tous les deux, ça n’engage à rien. Les deux réponses que l’on a reçu sont sérieuses, mais les papy imposent la même condition:ils s’en foutent d’une nouvelle bouche, ou d’une nouvelle chatte, ils ont ce qu’il faut en famille. Ce qu’ils veulent c’est un cul. Ils n’ont jamais trouvé quelqu’un qui accepte le passage arrière, et s’ils se déplacent c’est à la condition de pouvoir se farcir un petit trou. Ma petite fille ne sait quoi répondre. Elle a tant fantasmé la dessus, mais maintenant que ça peut se réaliser elle est moins sûre d’elle. Je lui propose alors de tester ses capacités anales avec des légumes bien calibrés que l’on prendra le soin de choisir, et de faire patienter nos correspondants dans l’attente du résultat. Elle me traite de salaud et accepte.Dès le lendemain, et alors qu’elle est en cours, je vais en grande surface. J’ai une scanette qui me fait passer en caisse sans vider mon chariot, et donc sans que la caissière ne s’intrigue de tous ces légumes que je n’ai pris qu’à l’unité: 1 carotte, 1 poireau, 1 navet blanc, 1 courgette, 1 aubergine, 1 concombre. J’achète aussi des préservatifs xxl à un distributeur, pour envelopper ces toys improvisés.Dès son retour je lui montre mes achats, et elle reste pétrifiée en prenant le concombre dans ses mains:— Ouah, c’est ça qu’ils ont entre les cuisses! Tu peux leur dire non, ça ne pas être possible.— Attend d’avoir d’essayer. On est souvent étonné de nos capacités.— Tu déconnes ou quoi! Tout ça pour te faire des petites blackesses. — Non, pas que pour ça. C’est pour réaliser ton fantasme. Repense aux vidéos que je t’ai montrées, à la double sodo, tout est possible.— Tu es vraiment salaud mon papy!— Oui ma puce, et c’est pour cela que tu m’aimes. Alors, on essaye?Elle accepte et on va à la cuisine. Elle s’allonge sur la table, sur le dos, le cul au bord, et relève ses jambes pour les maintenir en l’air. Je commence par lui bouffer le cul, la doigter, puis l’enculer. Je lui fous une bonne ramonée, rapide pour ne pas l’épuiser et la laisser sur sa faim. Je m’empresse de jouir dans son tube pour que mon sperme lui serve de lubrifiant. Je me retire et vais essayer d’introduire tous ces différents légumes, couverts d’une capote, en lui interdisant de regarder ce que je lui mets pour ne pas qu’elle se fasse peur à l’avance. La carotte, le navet, la poireau et la courgette passent sans problème; elle serre un peu les dents, verse une larme, mais se force à accepter. Le concombre pénètre, mais qu’à moitié, bien en dessous des mensurations de ses éventuels étalons. Quand à l’aubergine, je n’ose même pas essayer, elle est beaucoup trop large. Je la gode avec le concombre, tandis qu’elle se masturbe, se fait jouir en toute impudeur. Elle disjoncte à nouveau:— Baise moi papy, baise moi, j’ai envie.— Je voudrais bien, mais excuse moi, je suis en panne.— Fais un effort, tu sais qu’elle trop bonne ma chatte, tu n’arrêtes pas de me le dire.— C’est vrai, c’est la meilleure de toute. Je veux bien essayer, mais il va falloir que tu m’aides.— Pas de problème, on fait quoi?Je lui souffle mon idée, et on la met en pratique. Je viens sur la table et m’installe sur elle en 69. Elle se jette sur ma queue pour la sucer, me bouffe les couilles, me lèche la raie, me doigte le cul. De mon côté je m’empiffre de son huître dégoulinante et je la gode de plus en plus profond. Je ne tarde pas à rebander:— C’est bon papy, elle est dure ta bite, tu peux me la mettre. Baise moi, je n’en peux plus.Je descend de table, me met en place, mais le concombre me gêne. Je veux l’enlever mais elle tient à le garder pour une double pénétration, anale et vaginale. On va alors à la chambre et elle s’allonge sur le lit, cuisses ouvertes. Je viens sur elle, enfouis mon sexe dans le sien, et la lime virilement:— Oh oui papy, c’est bon comme tu me baises. Défonce moi, tu es le meilleur. — Salope, tu sais comment me parler petite pute. — Oui, je sais surtout que tu baises trop bien après avoir joui une fois, que tu es super endurant, et que je vais en prendre plein la chatte.Elle n’a pas tort, il va me falloir du temps pour jouir à nouveau, et je ne vais pas débander sans y être parvenu. Je la matraque et ça dégouline de partout: son cul fait de l’huile sous l’effet du concombre toujours là, sa chatte ruisselle, on transpire sous l’effort et la chaleur, on se roule des pelles baveuses. Il ne manque plus que mon foutre pour compléter le tableau. Je sens que ça vient, la prévient, et elle croise ses jambes sur mes reins, m’emprisonne sans son étau de chair pour être sûre que je vais tout lui donner. On soude nos bouches et je ne n’en finis plus de me déverser dans son ventre. Je me retire, épuisé, et m’allonge à ses côtés. Elle retire le légume d’entre ses fesses et vient sur moi pour un repos bien mérité. On se douche, elle bosse un peu, on dine, et pour la première fois depuis longtemps on ne baise pas le soir. On se fait un câlin devant la télé.
On recommence les jours suivants, des séances toujours aussi chaudes, mais le concombre n’avance guère. Je repense alors aux vidéos, et je réalise que les bites des blacks ne sont pas aussi raides, mais assez souples. Du coup je le fais cuire peu à peu, jusqu’à le ramollir juste ce qu’il faut. On réessaye et je vois ce superbe engin disparaître bien loin dans son fondement. Je le retire, lui montre ce que je lui ai mis, et elle est émerveillée de voir combien son cul est vorace. Elle est prête pour s’offrir, reste à savoir à quel partenaire. On leur a dit qu’ils étaient deux en lisse, que l’on hésitait sur le choix, et chacun propose sa solution:— le premier suggère que l’on les rencontre à tour de rôle, en commençant par celui qui nous a répondu le premier.— le second propose une partie à six.
A suivre...............................
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