Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 41 J'aime
  • 2 Commentaires

Des pennes à la péné

Chapitre 2

Un smoothie et une sodomie

Gay
Il n’y a pas d’ascenseur dans l’immeuble, et la montée jusqu’au 4e étage me semble interminable. Une fois arrivé en haut je suis essoufflé et j’ai le cœur qui bat à toute vitesse. Est-ce que c’est uniquement la montée ou aussi l’appréhension de ce qui va suivre ?
La porte de l’appartement numéro 12 est entrouverte. Je toque pour annoncer mon arrivée.
— Entre c’est ouvert, lance depuis une pièce lointaine le serveur.
Je pousse la porte et entre dans l’appartement.
L’appartement semble de taille moyenne. Il n’y a à l’entrée pas beaucoup de paires de chaussures, ce qui me laisse croire qu’il n’est habité que par une seule personne. Je n’ose pas trop m’avancer dans l’appartement sans y avoir été invité. J’enlève mon blouson pour l’accrocher au porte-manteau, puis retire mes chaussures. J’ai à peine fini de les ranger proprement contre le mur que le serveur arrive dans l’entrée, mon verre de smoothie à la main.
— Le smoothie banane de monsieur.— Merci. Même chez toi tu joues le serveur ?— Haha oui. Je ne peux pas m’en empêcher. Je vois que tu as commencé à te mettre à l’aise. Tu veux venir dans le salon ?— Je te suis.
Les événements ont l’air d’aller à toute vitesse dans ma tête. Je ne sais pas trop comment va se passer la soirée, ni même ce qu’il va vraiment se passer. Va-t-on réellement avoir une relation sexuelle ou les textos étaient juste une manière de nous chauffer ? Je profite en tout cas de le suivre dans le salon pour parcourir du regard les courbes de son corps. Il s’est changé depuis tout à l’heure et porte maintenant un jogging et un sweat-shirt assez large. Une tenue décontractée. Le jogging lui colle tout de même suffisamment au corps pour discerner un bon petit cul.
— Tu peux t’installer sur le canapé si tu veux. Tu veux que je te serve autre chose que le smoothie ? A boire peut-être ?— Non t’inquiète c’est très bien.— Je vais me chercher une bière moi.
En son absence je ne peux m’empêcher d’analyser la pièce autour de moi. Le canapé est assez large et doux. Moelleux mais pas trop. Il y a une petite table à côté du canapé sur laquelle sont posées deux télécommandes et une boîte. La petite table entre le canapé et la télévision est recouverte de magazines de cuisine. La déco du salon est très sobre et un seul cadre est accroché au mur derrière le canapé, avec dedans la photo j’imagine d’un groupe d’amis à la plage. A droite du canapé une fenêtre donne sur un tout petit balcon qui donne lui-même sur l’immeuble d’en face. A l’opposé, une bibliothèque déborde de livres. Je me sens rassuré de voir que rien ne cloche dans ce salon.
— Ca va ? me demande le serveur en revenant s’assoir à côté de moi sur le canapé.— Oui ça va. Dis-moi, on peut se donner nos prénoms avant de passer à des choses plus intimes ?
— Tu peux m’appeler Leo. Et toi ?— Enchanté Leo. Julien.— Enchanté également Julien. Je ne sais pas si tu as l’habitude de ce genre de coups d’un soir, mais ma technique à moi c’est de ne pas trop parler de nous et d’aller directement dans le vif du sujet. C’est pour ne pas s’attacher sentimentalement. Ça te va ?— Et bien, n’enfilons pas de perle et allons dans le vif du sujet alors. Ça me va.
Mon consentement obtenu, Leo pose sa bière par terre. Il attrape mon verre pour le poser à côté du sien, puis vient me chevaucher. Ses deux mains attrapent mon cou et ses lèvres plongent vers les miennes.
Leo sait ce qu’il fait. Sa langue tournoie dans ma bouche, ses mains glissent de mon cou vers mon torse, puis descendent vers mes hanches avant de remonter jusqu’à mes oreilles et recommencer leur parcours. Il a le goût de la bière. Petit à petit je sens aussi son bassin commencer à balancer, ce qui a pour effet immédiat de faire dresser mon sexe dans mon pantalon.
Après quelques minutes où nos mains cherchent les zones de plaisir de notre partenaire, les doigts de Leo glissent sous mon t-shirt pour remonter jusqu’à mes tétons. Ses doigts sont froids et mes tétons durcissent immédiatement. Je retire mon haut pour lui faciliter les caresses, et c’est sa langue qui vient profiter de la soudaine liberté de mes tétons. Bien plus chaudes que ses doigts, ses léchouilles sont très agréables.
Leo me grignote les tétons un par un et je ne peux pas me retenir de gesticuler sur le canapé à cause des chatouilles qu’il me procure. À chaque chatouille j’ai le réflexe de me redresser, ce qu’il prend pour une invitation à descendre. Il dépose des baisers sur mon torse, puis mon ventre et mes hanches en descendant doucement vers mon pantalon. Avec une habilité déconcertante, il défait le bouton et la fermeture éclair de mon pantalon pour se permettre de venir retirer doucement mon caleçon et découvrir et embrasser tendrement mon pubis. Son nez vient glisser contre mes poils jusqu’à atteindre la base de mon sexe.
Maintenant à genoux par terre entre mes jambes, Leo retire le dernier rempart à ma pudeur et libère enfin mon sexe qui était à l’étroit depuis quelques minutes. Ses doigts viennent caresser délicatement ma hampe et mes testicules avant de saisir la peau de mon sexe et la faire coulisser contre mon membre tendu. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir que me procurent ses caresses.
— Ne t’endors pas hein ? m’interpelle Leo.— Aucune chance, lui réponds-je. Je profite juste entièrement de l’instant présent.— Parfait, c’est le but. Profite, détends-toi, laisse-toi venir si besoin, mais ne te presse pas, j’ai toute la nuit pour t’offrir du plaisir.
La consigne est très claire et j’en profite pour me repositionner confortablement dans le canapé, comprenant que mon plaisir ne fait que commencer.
Leo joue avec mes nerfs en approchant à plusieurs reprises sa bouche de mon sexe, mais terminant son mouvement par un baiser sur le bas-ventre ou sur les cuisses. Je sens chaque fois son souffle chaud sur mon gland humide. Ce sont ensuite son nez et ses joues qui parcourent ma hampe pendant que d’une main il chatouille mes testicules.
Puis d’un seul coup, alors qu’il me torturait depuis plusieurs minutes à frotter son visage contre mes parties génitales, Leo gobe mon sexe comme un affamé. Ses doigts resserent leur étreinte et leurs caresses sur mes couilles, et sa bouche entreprend de gourmands aller-retour autour de ma bite. C’est une fellation de professionnel qu’il m’offre, alternant sucions et grands coups de langue autour de mon gland, s’enfonçant parfois ma bite en profondeur dans sa gorge, me masturbant d’une main et malaxant mes testicules de l’autre. Ce genre de fellation parfaite dont on voudrait qu’elle ne s’arrête jamais.
Après de longues minutes de fellation intense, Leo reprend son souffle sans arrêter de branler mon sexe baveux. Il profite d’ailleurs de cette présence abondante de lubrifiant naturel pour en récupérer avec son majeur et venir titiller tendrement mon anus. Voyant que je sursaute légèrement à la présence soudaine d’un doigt à l’entrée de mes fesses, Leo me demande :
— Tu as déjà été enculé ou joué avec des sextoys ?— Oui t’inquiète, il s’est déjà passé plein de choses là-dedans. C’était plus la surprise de la fraîcheur de ton doigt qui m’a fait sursauter. Mais tu sens ? Je commence déjà à me détendre.— En effet, répond-il en enfonçant doucement une première phallange dans mon anus.
Mon cul a l’habitude d’être pénétré, mais ça fait effectivement longtemps que rien n’y est entré. Leo s’incruste doucement de plus en plus loin. Il enfonce une deuxième phalange et je le sens gratouiller ma prostate. Je me cambre de plaisir, ce qui lui ramène mon gland juste devant les lèvres. Il y dépose un bisou avant de reprendre mon gland en bouche et le suçoter en même temps que son majeur continue d’infiltrer mon cul. Sa main gauche, fidèle au poste, branle continuellement ma bite.
— Il va falloir que tu me dises ce que tu comptes faire de moi Leo, je lui demande alors que je sens le plaisir monter en moi et l’éjaculation approcher.— Je fais ce que tu veux de toi, mais j’avoue avoir bien envie de t’enculer, me répond-il les lèvres brillantes.— Il faut que je te prépare aussi pour ça alors.— Chaque chose en son temps, ton cul n’est pas prêt à m’accueillir.— Ok, mais alors il faut que tu lâches ma bite si tu ne veux pas te prendre bientôt un jet sur le visage.— Ah si ce n’est que ça, dit-il avant de replonger vers mon sexe et de l’avaler tout entier.
Je sens que ses gestes sont différents cette fois et n’ont pas que pour objectif de me procurer du plaisir, mais aussi de me faire éjaculer rapidement. Avec son majeur qui a maintenant pris toute sa place dans mon cul et qui caresse ma prostate, sa main gauche qui me branle énergiquement, et sa bouche qui va et vient autour de mon sexe…
— Aah ! C’est trop bon ! je crie dans un râle de plaisir, et explosant de sperme au fond de sa bouche.
Après quelques spasmes de plaisir, Leo finit d’avaler tout mon jus avant de libérer mon sexe.
— Et bien voilà une bonne chose de faite ! dit-il avec un sourire joyeux. Tu sens comme cette libération de ton plaisir t’a détendu l’anus ? Mon doigt glisse comme dans une petite chatte mouillée.
Et c’est vrai que son doigt m’encule comme il faut.
— Allez, on passe aux choses sérieuses, dit-il en se relevant et en libérant mon cul et ma bite de ses mains expertes.
Debout devant moi, Leo se lance dans un strip-tease un peu caricatural, mais pour le moins excitant. Ma main qui a pris le relais de la sienne caresse doucement mon sexe fatigué par une pipe gourmande. Ses vêtements tombent un à un et je découvre d’abord un torse parfaitement sculté et rasé. Il me tourne le dos avant de baisser son pantalon et me dévoile une paire de fesses si attirantes que j’ai presque envie de leur sauter dessus pour les bouffer. Nu comme un ver, Leo se retourne et je découvre avec plaisir une belle bite, encore au repos qui n’attend rien d’autre qu’on s’occupe d’elle.
Il s’approche vers moi et avant même que je puisse toucher son corps m’attrape par les épaules pour me coucher le long du canapé. Allongé sur le dos, je vois la jambe de Léo passer au-dessus de mon visage. À quatre pattes, il me chevauche en 69. Il secoue sa bite encore molle au-dessus de mon visage avant de l’amener doucement au contact de mes lèvres. J’arrivais encore jusque-là à distinguer son regard coquin du mec qui prend plaisir à jouer avec sa bite sur le visage d’un autre. Mais maintenant que sa bite frôle mes lèvres, je n’ai plus d’autre choix que d’apprécier la vue en plan rapprochée de cette bite tendre qui pendouille en attendant qu’on s’occupe d’elle.
Ma langue surgit d’entre mes lèvres pour faire le tour de son prépuce. Après un deuxième puis un troisième tour de langue, je prends dans ma bouche son gland encore protégé par ce petit bout de peau. J’aspire légèrement puis reprends mes tours de langue autour de son gland encapuchonné, directement dans ma bouche cette fois. En relevant son bassin, Leo fait sortir sa bite de ma bouche. Ma langue suit le mouvement hors de ma bouche, et du bout de la langue je viens léchouiller son gland qui émerge lentement de son prépuce.
Pendant que je m’occupe de sa bite qui grossit chaque seconde, j’entends Leo qui farfouille, j’imagine, dans la boîte qui est posée à côté du canapé. Le bruit d’un capuchon qu’on ouvre et d’un tube qu’on presse me laisse présager de la suite. Et effectivement, je me retrouve rapidement avec deux doigts qui viennent appliquer du lubrifiant autour de mon anus. Ils ne font que quelques tours de convenance avant de plonger à l’intérieur de mon cul. Leo n’a aucun mal à s’ouvrir un chemin tellement ses doigts glissent. J’apprécie les sensations de ses doigts triturant mon anus, en même temps que celles de sa bite maintenant bien gonflée qui frotte sur mes lèvres et glisse sur ma langue jusqu’au fond de ma bouche.
Leo se lève tout d’un coup du canapé laissant ma bouche et mon cul orphelins.
— Mets-toi à quatre pattes, m’ordonne-t-il.
Intimidé par sa soudaine autorité, je m’exécute et m’installe à quatre pattes. Je m’appuie contre le dossier, les pieds dépassant du canapé. Debout derrière moi, Leo a déjà enfilé un préservatif et présente son gland sur mon anus, et d’un petit coup sec sa bite entre dans mon cul. Après un ou deux légers allers-retours pour prendre ses marques, Leo commence à pilonner mon cul à grand coup de bassin. Je sens qu’il a bien préparé mon cul tout à l’heure car il glisse en moi sans me faire mal. Ses mains saisissent mes hanches pour mieux guider ses mouvements. Il dépose aussi ponctuellement quelques douces fessées sur ma croupe. Je prends beaucoup de plaisir à me faire prendre comme ça.
Leo baise mon cul pendant quelques minutes, jusqu’à ce que je sente son corps se tendre. Il se retire juste à temps pour enlever le préservatif et jouir sur mon dos. Je sens ses giclées venir s’écraser chaudement dans le bas de mon dos et sur mes fesses. D’une main il étale son sperme sur mes fesses dans de grandes caresses qui terminent sur mes couilles et sur ma bite qui pend tendue dans le vide. Il a les doigts tout collant de son jus, et me masturbe doucement.
— Tu vas sans doute vouloir te doucher avant de rentrer ? me propose-t-il.— Oui c’est mieux. Même s’il n’y a plus de métro à cette heure-ci, je préfère ne pas me balader dans Paris avec le cul tout collant.— Vas-y si tu veux, c’est la porte tout au bout du couloir. Je vais te chercher une serviette.
Sa main lâche mon sexe, et il s’en va dans une autre pièce pour chercher ma serviette. En me levant du canapé, j’attrape mon verre pour terminer d’une grande gorgée mon smoothie à la banane. Je ne marche pas tout à fait droit vers la salle de bain tellement j’ai pris cher dans les fesses.La salle de bain est toute petite, mais la baignoire est plutôt grande. Je ferme la porte avant de rentrer dans la baignoire, mais impossible de fermer à clé.
À suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live