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Des pirates très particuliers...

Chapitre 6

Jill et Liz

Avec plusieurs femmes
Sur une petite île perdue, Mer des Antilles 1662…    Je nage tranquillement dans la crique de cette île isolée et je me laisse flotter en regardant le rivage. La petite plage, la muraille verte des arbres et des palmiers, la petite cascade et son bassin et le navire à l’ancre qu’il va falloir vider et basculer pour le caréner, cette opération consistant à le débarrasser des algues et coquillages s’étant incrustés sur sa coque et le rendant moins rapide. Mais je regarde aussi les femmes qui nagent, marchent ou encore jouent dans le bassin. Elles sont nues appliquant cette liberté si particulière qui règne à bord du Liberté, ce cotre pirate qui porte si bien son nom. J’imagine, ou plutôt non je sais qu’elles ont toutes une histoire particulière qui les a fait se retrouver à bord ; esclaves africaines évadées comme Gamia et quelques autres, filles perdues arborant la fleur de lys sur l’épaule signe de leur passé de prostitué souvent forcé d’ailleurs, aventurières venue de l’Orient, d’un royaume scandinave, de France ou d’ailleurs encore. Filles de taverne et domestiques rejetées après avoir cru à l’amour… Elles ont désormais toute une nouvelle famille. Même si elles savent que leur destin est sombre si le vaisseau est pris, elles vivent libres en attendant. Et les quelques anciens matelots rejetés car trop vieux ou infirmes partagent leur idéal. D’ailleurs je vois d’ici Charles l’unijambiste disparaitre avec la cuisinière sous les arbres et Boule le vieux chauve serrer dans ses bras  la femme qui est son aide-charpentier, le jeune officier qui s’est découvert une nouvelle vie rit avec un petit groupe et puis moi qui…  - On songe à quelque chose matelot ?Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir que Skaldia s’est approchée de moi en nageant.  - Hmm je me disais que cela devait te faire penser aux fjords de ta jeunesse ?  - En fait c’est un peu le cas, cette crique découpée et secrète, s’y baigner nue et tu n’as pas encore goûté au bassin d’eau fraîche, un vrai paradis.Est-ce la situation, le fait d’être si détendu ? Je lâche sans réfléchir :  - J’y plongerais volontiers avec une certaine viking.   - Allons tu sais bien que ce n’est pas mon tour.  - Ah oui ma…Nous sommes interrompus par un petit bruit d’éclaboussures et voyons arriver la capitaine Roberts qui arrive. Elle nage moins bien que Skaldia et heureusement, je ne sais pas ce qui m’a pris de me livrer ainsi, sans doute le résultat d’une nuit trop magique …Je me reprends instantanément et écoute la capitaine expliquer que nous allons lancer les manœuvres en vue du carénage, nous nageons donc doucement vers le rivage ; ce qui m’arrange et me donnera le temps de me calmer car les jeux d’eau sur le corps de la jolie viking, ses mouvements… Je ne suis pourtant pas un gamin mais de m’imaginer avec elle dans le bassin ou sous la petite cascade…   Je n’ai plus le loisir d’y songer le reste de la journée, bien trop occupé aux préparatifs : Répartition du poids dans la cale et sur le pont, débarquement de presque toute les marchandises, fixation des palans sur quelques gros rochers et tirage à la corde pour faire basculer le navire sur le flanc, grattage des algues et des bernacles, nettoyage des fonds, réparations diverses. Tout le monde a du travail et. Mais quand la nuit tombe et que nous avons fini, c’est autre chose.  En effet, au soir de la seconde journée, alors qu’enfin, je pouvais aller savourer le bassin d’eau pure – quel bonheur, quelle sensation – je vis arriver deux jeunes femmes qui se ressemblaient beaucoup. Nul ne savait si elles étaient sœurs, cousines ou simples amies que le hasard avait fait ainsi. Jolies brunes aux courbes harmonieuses, aux petits seins en pomme, aux yeux bruns dans un visage toujours souriant et aux traits fins ; comme bon nombre des femmes du bord elles avaient toutes les deux les cheveux courts avec un petit catogan, elles occupaient les posters de barreuses et maitre voilier et apprenaient en sus la navigation auprès des autres membres du carré.Les deux femmes qui doivent avoir une bonne dizaine d’années de plus que moi viennent donc se tenir devant moi qui m’appâtait à quitter ma natte de repos. Elles se laissent admirer - à dessein vu leurs moues – oh ces corps qui se ressemblent, leurs seins si similaires, le même buisson sombre et bien taillé.    -Hello matelot (ah leur petit accent écossais) tu veux bien nous escorter dans la jungle ?Je leur souris et réplique que deux jolies guerrières n’ont pas besoin d’escorteur mais que c’est plutôt moi qui suis perdu sur l’île.  - Humm ce n’est pas faux alors viens nous allons te faire visiter…Elles m’encadrent et me guident vers un petit sentier qui s’enfonce dans la forêt. Quelques râles bien humains se mêlent au chant des oiseaux et cela créée une ambiance un peu particulière. Elles connaissent bien l’intérieur de l’île puisqu’après avoir grimpé une longue pente nous nous retrouvons le long d’un petit ruisseau qui doit alimenter la cascade. Nous marchons en file et puis Jill (son catogan est plus long que celui de Liz ) stoppe devant un espace herbeux au bord du ruisseau. Liz y installe un reste de voile ancien mais propre. Puis l’une se colle derrière moi et l’autre devant et je suis comme attaqué par des baisers et des caresses. Elles ont les mains partout et je réagis comme elle pour leur plus grande satisfaction. Leurs fesses sont fermes, leurs bouches chaudes, les seins pressés contre moi. Ce sont des femmes visiblement rompues au jeux de l’amour et je veux leur montrer que je ne suis pas en reste.  Presque insensiblement nous descendons et nous retrouvons couchés sur la voile, l’une et à ce stade je ne sais plus vraiment qui est qui avec la semi obscurité qui règne et de toute façon trop occupé à embrasser, caresser, peloter ! L’une est allongée et l’autre et moi la caressons, pendant qu’elle se laisse faire et savoure. C’est fort excitant d’être trois et de varier les plaisirs puisque rapidement nous échangeons les rôles et puis les échangeons encore et encore. J’avais eu ce plaisir dans un petit salon avec une noble et sa chambrière mais ici cela me parait bien plus excitant, il n’y a pas de rapport de force entre elles. Nous avons le temps, sommes tous trois nus sous le ciel étoilé des Antilles et les sentiments entrent elles me paraissent réels et forts.  Quand je me retrouve allongé sur le dos, je me laisse aussi déguster et leur entrain à me caresser et me sucer me rend près de rendre les armes. Voir leurs regards excités, voir leurs langues jouer de concert sur ma verge tendue, leurs baisers autour de mon gland gonflé… Humm cela me rend fou. Et puis c’est l’une qui aide l’autre à se placer sur ma queue, qui la tient pour et la guide pour l’intromission dans une petite chatte trempée par nos jeux, je me sens aspiré, serré, humm… Elle est assise face à moi, monte et descend sur ma verge et je caresse ses seins pendant que sa complice derrière elle l’embrasse et lui caresse le bouton avant de venir mettre son abricot juteux sur ma bouche. Oh lécher l’une et prendre l’autre, dans un tourbillon de petits cris et de gémissements… Je continue à caresser les seins à tirer les pointes durcies comme des petites pierres, je sens que celle je pénètre se penche un peu et vas peloter les seins de l’autre, j’entends vaguement des « plus forts, allez ma chérie, oui prends moi bien « puis un délicieux « je vais jouir, je vais jouiiiir «. Elle coule sur mon sexe pressé de l’intérieur et je me retiens encore avant que celle que je léchais ne dise :  - Oh il est encore dur, aide-moi je veux en profiter, je suis en feu.
  - Allez ma chérie, tu verras, aaaah j’avais oubliée comme c’est bon.    - Humm il me remplit bien, humm doigte moi en même temps ouiii j’adoooore.Celle qui a joui est repassée derrière l’autre, la caresse et lui doigte les fesses, je sens d’ailleurs un, non deux doigts qui bougent derrière la fine paroi de chair, c’est intense et cela m’encourage à donner de bons coups de hanche. Mon corps est à la fête car leur peau est douce et chaude et que ma verge est prise dans un doux fourreau humide mais mon esprit … Hummm entendre leurs cris, voir ces deux femmes se donner du plaisir en toute liberté, sentir l’air pur de la nuit et les effluves de leur plaisir, goûter le grain de la peau quand je me redresse pour sucer ses jolis seins.Les sensations montent en moi et quand elle jouit en criant, mêlant son extase aux sons de la forêt et aux autres plaintes de plaisir, je jouis moi aussi dans un long feulement. Et à nouveau mon sens de la vue est copieusement récompensé quand je vois l’une aller récolter le fruit de mon plaisir dans l’abricot de l’autre avant d’aller une fois mon foutre récolté le partager avec son amie. Cela je ne l’avais pas vu dans le petit salon parisien !  Nous nous détendons un peu, allons-nous nettoyer dans le ruisseau puis nous câlinons un peu histoire de refaire monter la température. Elles ont visiblement une longue expérience de disciples de Sapho mais ne sont pas comme d’autres femmes du bord uniquement concentrée dans ces amours et aiment jouer avec moi.  Aussi une fois à nouveau en forme nous recommençons presque de la façon, variant juste les positions puisqu’elles vont ainsi se mettre en levrette l’une à côté de l’autre, leurs visages assez proches pour s’embrasser régulièrement pendant que je prends l’une puis l’autre avant d’échanger à nouveau. J’essaye de faire durer utilisant le bref moment où j’échange de partenaires pour me refroidir un peu mais je ne suis pas un héros antique et quand l’une hurle son plaisir je les avertis de ma jouissance immédiate. Aussitôt je suis saisi et l’une me masturbe sur les seins de l’autre, me faisant jouir, oh leurs regards quand je prends mon pied en libérant ma semence sur les seins si joliment offert. Et puis se servant de ma queue comme d’un pinceau elle y étale mon foutre avant encore une fois de donner des coups de langue pervers qui sont un régal pour la vue. On se rafraichit à nouveau une fois avant de s’endormir emmêlés car comme elles le disent elles ne veulent pas épuiser leur étalon !Oh je sais que pour elles je n’ai que ce rôle mais cela ne me dérange pas, deux femmes splendides et un seul but le plaisir. Cette liberté me convient même si je sais bien que pour le moment je dois encore faire mes preuves et que je suis sans doute une espèce de prisonnier à bord. Quand le soleil se lève, nous sommes plusieurs à sortir de la forêt et à reprendre les travaux. Toute la journée ce sera très dur et quand tous trois nous retrouvons le soir venu devant le ruisseau c’est d’abord pour nous y plonger un moment histoire de se rafraichir et de détendre nos muscles. Ensuite c’est le règne de la passion, passion presque animale car toute la journée c’est quand même une surcharge pour nos yeux. Tant de belles femmes, tant de charme, tant de rires même en œuvrant comme des bêtes de somme car un carénage est un travail difficile. Après avoir rapidement assouvi notre feu intérieur, je leur propose un massage et nous nous retrouvons Jill et moi à détendre Liz avant qu’elles n’échangent leurs places puis ne se consacrent à moi. Je n’ai droit qu’à un peu de détente d’ailleurs car la situation devenue trop brûlante dérive rapidement et nous nous jetons à nouveau dans l’action la plus débridée. Elles aussi aiment être prises différemment et après leurs côtés face, je visite le côté pile. Quand nous nous jouons, c’est un vrai festival, leurs mains, leurs bouches sont partout sur elles et sur moi et elles adorent partager, pour mon plus grand plaisir évidemment. Elles sont vraies, si natures qu’elles me font penser à certaines filles des îles dans leur relation avec leur corps tout du moins avant que les évangélisateurs viennent changer la nature et le bonheur de certaines populations. Je ne sais pas comment les femmes du carré s’arrangent mais j’imagine que comme nous travaillons vraiment dur la journée elles ont trouvé juste de laisser une nuit supplémentaire aux deux femmes.
  La coque nettoyée et vérifiée, quelques planches sont changées sur le gouvernail sans parler des changements dans la mâture. Je comprends les importants achats de matériel que nous avions faits et aussi pourquoi le cotre est rapide. Rien n’échappe à l’œil des femmes du carré et aux anciens et tout est vite réparé. Enfin, le navire est remis à flot et le temps du repos est décrété en dehors des quarts obligatoires de surveillance. Un navire a été vu au loin mais n’a même pas fait mine de revenir. La capitaine a néanmoins fait renforcer la surveillance la nuit suivante et cela fait comprendre pourquoi le vaisseau n’a pas encore été pris malgré les recherches de plusieurs marines. J’ai pu échanger avec Timothée qui lui a chaque soir une nouvelle matelote à retrouver dans un petit local près de la cambuse  - Et je peux te dire que chaque soir c’est une surprise, je ne sais pas comment elles organisent cela Me confie t-il . Est ce qu’elles tiennent conseil, jouent a la courte paille ou quoi mais même si je sais comment nous risquons de finir, je suis enfin autre chose qu’un raté. Et puis elles sont si différentes, je ne peux jamais me lasser. Elles m’ont appris qu’au carré c’était un roulement de deux jours c’est cela ?  - Oui et, comme toi j’ignore comment elles ont décidé de l’ordre. La seule choser que je crois comprendre c’est que la capitaine ne participe pas.   - Là j’ai appris - bon sang comme certaines parlent entre deux jeux ! – que ce qui l’intéresserait ce serait de dévergonder les prisonnières qu’il nous arrive de garder pour des rançons et tiens tu sais nos deux passagères qui ont été recueillies ?  - Oui,je vois mais je leur avais quasiment pas parlé durant notre voyage.  - Eh bien, celle qui était cuisinière est venue renforcer l’équipe de la cambuse et l’autre même si elle apprend les choses du bord passe ses soirées avec la capitaine. Ceci dit, il serait déjà arrivé qu’elle joue avec des hommes mais je crois que le dernier est mort de sa main car il voulait prendre sa place.  -Tu sais bon nombre de choses et pour ma part, je n’ai absolument pas envie de commettre cette erreur.  Tu sais je suis un cadet désargenté, sans avenir, j’ai bourlingué mais sans appui sans rien… J’allais mourir quand elles m’ont sauvé alors et bien je reste à bord nous verrons bien ou cela nous amènera en attendant et comme toi que pouvais-je espérer de mieux. Bon je vais nager un peu car j’étais avec deux furies les jours derniers et je veux me montrer à la hauteur de celle qui viendra ce soir, quelle qu’elle soit ! En lui confiant mon – quasi – parcours lequel sera évidemment répété et discuté, je veux bien faire savoir que je ne suis pas dangereux .   Quand je reviens sur la rive après m’être bien délassé, Gamia m’attend avec un petit sourire et je sais déjà que la nuit va être animée…
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